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(13/03/2009 18:00:02)

Les PME adoptent le green IT pour réduire les coûts

Par souci de réduction de coûts bien plus que par souci écologique, les PME ont engagé différents types d'initiatives pour réduire l'impact de leurs infrastructures informatiques sur l'environnement. C'est ce que montre l'enquête menée auprès des PME de 12 pays dont la France par Info-Tech Research Group pour le compte d'IBM, entre décembre 2008 et janvier 2009 (*). L'étude se penche sur les taux d'adoption et l'impact de onze initiatives green IT : la consolidation et la virtualisation de serveurs, la consolidation du stockage, la virtualisation des postes de travail, l'amélioration des salles serveurs déjà installées, la construction de nouveaux datacenters, les mesures globales de consommation électriques, le contrôle de la consommation des postes de travail, la centralisation des systèmes d'impression, la téléconférence, le télétravail et le recyclage de l'équipement IT. Autant de démarches motivées par la réduction de coût immédiate qu'elles génèrent (baisse de la consommation électrique, de l'utilisation de consommables...), mais qui débouchent aussi sur une diminution des émissions de CO2. Les projets déjà achevés sont couronnés de succès Plus de 80% des entreprises sondées ont lancé des chantiers green IT ou prévoient de le faire sous peu. Ainsi 52% ont déjà engagé un projet de consolidation du stockage (37% y pensent), 57% ont centralisé leurs impressions (31% vont le faire), 52% recourent à la téléconférence (36% l'envisagent), 51% ont déployé des stratégies de télétravail (33% vont s'y mettre), 56% disent recycler leurs équipements IT (32% le prévoient)... Plus précisément, 25% des PME interrogées ont déjà achevé certains projets de consolidation du stockage et de virtualisation. Et, bonne nouvelle, plus de 70% des projets sont couronnés de succès. Par exemple, dans 70% des cas, ils ont permis de réduire l'espace requis pour le stockage et dans 75% celui requis pour les serveurs. Dans 73%, ils ont débouché sur une réduction des investissements futurs sur le stockage et de 76% sur les serveurs. Parmi les motivations avancées pour la mise en place du télétravail, les entreprises évoquent, notamment, la réduction des coûts de transport pour leurs salariés et des dépenses liées aux surfaces de bureau. Les économes, les avocats de la cause Green et les autres... L'enquête fait apparaître quatre grands profils de démarche dans les PME interrogées. Les économes (38%) sont les plus nombreux : très engagés dans les projets de green IT, ils sont moins concernés par les aspects environnementaux. Les avocats de la cause (25%), eux, ont lancé leurs chantiers avec la sauvegarde de l'environnement en tête. Les observateurs (30%) ont engagé peu de choses et se sentent peu concernés par l'écologie. Enfin, pour les 7% restants, la Green attitude est bien là, mais les projets n'ont pas encore suivi. (*) L'enquête a été menée auprès de 1 047 responsables IT et décideurs (dont 8% en France), au sein d'entreprises comptant de 100 à 1 000 employés. 30% regroupent entre 100 et 250 salariés, 34% entre 250 et 500 salariés, 36% entre 500 et 1 000 salariés. Elles appartiennent à tous les secteurs d'activité. (...)

(13/03/2009 17:42:18)

Bonne fête l'Internet

Ce week-end, prévoyez des fleurs et une place à table pour l'Internet, c'est sa fête. Cette douzième édition de la « Fête de l'Internet » est lancée par la Délégation aux usages de l'Internet, un service du gouvernement, avec le soutien de l'association Villes Internet. Son but est d'inciter « tous les acteurs de l'Internet [...] à organiser des rencontres, portes ouvertes, animations, avec présentation des différents usages, personnels ou collectifs (l'Internet au service de l'insertion et du lien social, du développement durable, de la formation et de l'emploi, de l'accès aux services publics, de la démocratie, de la culture ...) », pendant 8 jours, du 14 au 22 mars. Parrain depuis plusieurs années de la manifestation, Edgar Morin livre un témoignage en vidéo sur le thème de cette année, "L'Internet, pour quoi faire ?". Et il y a quelque chose d'assez rassurant, en ces temps de chasse aux pirates et aux violeurs de jeunes filles, à entendre le philosophe rappeler que si on trouve des mafieux sur Internet, le réseau est avant tout un lieu d'échanges et de rencontres, où on peut réapprendre à donner aux autres. (...)

(13/03/2009 17:31:20)

IBM donne un coup de neuf à ses serveurs x64

IBM gonfle le haut de gamme de ses serveurs x86 System X, propose un châssis plus économique pour ses serveurs lames et renforce son offre de disques magnétiques et flash. Ces annonces viennent compléter celles de fin février, centrées autour de l'ajout d'Intel Xeon 7400 et AMD Opteron 8300 45 nm (Shanghai) dans ses serveurs System X. Aujourd'hui, c'est le System x3755 qui peut recevoir trois Opteron 8384 Shanghai et 15 Go de mémoire. La présence d'une carte Pass Thru Card et d'un système d'accélération de la mémoire permet à cette configuration triprocesseur d'avoir des performances qui taquinent celle d'un quadriprocesseur à un prix moindre. Le châssis BladeCenter E (7U -14 lames) embarque un gestionnaire de la consommation électrique et est proposé avec des alimentations de 2000 ou 2300 watts. Pour le stockage, IBM propose des disques SAS en 73 et 146 Go ainsi que deux disques SSD (mémoire flash) de 50 Go qui se différencient par leurs performances. Au quatrième trimestre, IBM était, parmi les grands fournisseurs de serveurs X64 (x86 en 64 bit), celui qui a perdu le plus de parts de marché. Ces trois mois détiennent en effet le record de la plus forte baisse tant en valeur (-17% à 6,5 Md$) qu'en volume (-11,7% à 1,8 million d'unités) pour ces systèmes. (...)

(13/03/2009 17:29:50)

Le Web souffle ses vingt bougies

Il y a 20 ans déjà, au coeur du Cern (Organisation européenne pour la recherche nucléaire), Tim Berners-Lee esquissait les tout premiers contours du futur World Wide Web. « Un peu vague, mais prometteur. » C'est ainsi que Mike Sendall, son responsable de l'époque, visionnaire, avait accueilli sa proposition d'un nouveau système de gestion de l'information. Il lui a néanmoins laissé toute latitude pour mener à bien son projet. Sans lui, qui sait ce que seraient devenus Larry Page, Sergey Brin et Mark Zuckerberg ? C'est en 1990 que Tim Berners-Lee a véritablement donné naissance au Web. En septembre, il a reçu le système Cube de NeXT qu'il avait commandé. Cette machine, fabriquée par la société créée par Steve Jobs après son départ d'Apple, était alors un petit bijou avec un impressionnant système d'exploitation orienté objets appelé NextStep. Tout juste deux mois plus tard, en décembre, les premiers fils de la grande Toile reliaient quelques machines du Cern. Le Cube était devenu le tout premier serveur Web de l'Histoire ! En ce 13 mars 2009, deux décennies plus tard, Tim Berners-Lee revient avec émotion sur les lieux de son crime pour fêter dignement cet anniversaire : « Le Web a bien changé lui aussi, mais ses racines resteront à jamais ancrées au CERN. » Le Monde Informatique sur la Toile dès 1995 Grand utilisateur d'informatique, le Cern reste aujourd'hui un lieu d'innovation privilégié en la matière. L'organisme a ainsi beaucoup apporté aux réflexions sur le grid computing, aujourd'hui au coeur des infrastructures de 'cloud'. A l'automne dernier, à l'occasion de l'inauguration de son nouvel accélérateur de particules, le LHC (Large hadron collider), le chef de département IT du Cern avait partagé avec LeMondeInformatique.fr les détails de l'infrastructure IT qui soutient ce projet exceptionnel. « Lorsque les scientifiques du Cern rencontrent un obstacle technologique sur leur chemin, ils ont tendance à le surmonter, a confirmé Rolf Heuer, directeur général du Cern. « Je suis heureux de pouvoir dire que l'esprit d'innovation qui a permis à Tim Berners-Lee d'inventer le Web ici-même, et au Cern de le développer, est toujours bien présent. » A noter que, dès 1995, Le Monde Informatique s'est lancé dans l'aventure de la grande Toile mondiale avec lmi.fr. Et en vrais pionniers, certains journalistes de la rédaction actuelle étaient déjà là !... (...)

(13/03/2009 16:15:42)

IBM veut renforcer la modularité de WebSphere grâce à OSGi

Les travaux de modularisation de WebSphere entrepris avec la version 6.1 sont encore à l'ordre du jour. S'exprimant à l'occasion de la conférence SD West 2009, Savio Rodrigues, chef produit WAS (WebSphere Application Server) d'IBM, a expliqué vouloir aller vers des composants de plus en plus fins. « Dans les versions futures, a-t-il dit, nous allons étendre notre travail avec OSGi pour rendre le serveur d'applications encore plus modulaire, de façon à ne plus avoir qu'à démarrer des [services spécifiques]. » Au lieu de lancer toute la couche de support des services Web, par exemple, WebSphere pourrait ainsi activer seulement le module dont une application a besoin. OSGi est un standard conçu pour intégrer des composants dans une architecture globale. Développé à l'origine pour l'environnement de développement Eclipse, il fait petit à petit son chemin dans les serveurs d'applications Java. IBM a commencé s'appuyer dessus dès la version 6.1 de WebSphere, et JBoss de Red Hat suit le même chemin. Toutefois, aucun ne repose entièrement dessus, à l'opposé du tout neuf dm Server de Springsource, conçu dès l'origine dans un souci de modularité. De même, depuis sa version 5, Jonas du consortium OW2 repose sur une passerelle OSGi. « La réécriture complète a pris deux ans, commente François Exertier, leader du projet dans OW2 et manager de l'équipe R&D Open Source de Bull. Aujourd'hui, tous les services techniques sont délivrés sous forme de composants OSGi. Cela permet par exemple d'arrêter un service - et les services avec lesquels il existerait des dépendances - sans arrêter le serveur. » Changer la configuration sans redémarrer le serveur Savio Rodrigues a donc indiqué qu'IBM entendait aussi faire bénéficier les développeurs travaillant sur WebSphere des avantages de l'architecture OSGi : « Un serveur d'applications plus léger, qui démarre plus vite, et que vous n'avez pas à redémarrer quand vous changez sa configuration ; toutes choses que vous vous attendez à trouver dans WebSphere, et sur lesquelles nous devons travailler. » Le chef produit a par ailleurs indiqué que la plateforme middleware d'IBM devrait prochainement supporter des langages de script en sus de PHP et Groovy, déjà utilisables pour sMash, le tout jeune outil de création rapide d'applications composites (mash-up) d'IBM. Python et la plateforme Ruby on Rails devraient faire leur apparition dans sMash comme dans WebSphere. (...)

(13/03/2009 16:09:12)

Sun ajoute des disques SSD à ses serveurs lames et x64

Sun propose désormais en option des disques SSD pour ses serveurs lames, x64 et CMT (Chip MultiThreaded). Il s'agit de disques Intel X-25 SSD de 32 Go. Sun dit aussi avoir qualifié pour ces SSD son système de fichiers open-source Solaris ZFS. Ce dernier peut ainsi combiner dans un même ensemble de stockage de la DRAM, des SSD, et des disques durs traditionnels (SATA et SAS). La société lance également le logiciel Sun Flash Analyser, pour mieux gérer l'activité de ses serveurs et diriger les applications particulièrement gourmandes en transaction vers les disques SSD. Cet fonctionne sous Solaris 10, Windows et Linux. Les disques SSD de Sun sont disponibles dès à présent à partir de 1 100 euros seuls pour mettre à niveau des serveurs. En novembre dernier, Sun avait déjà lancé des disques SSD pour ses baies de stockage. Il a été rejoint depuis par HP, EMC, et Hitachi. (...)

(13/03/2009 15:44:49)

Avec Google Voice, les messages vocaux se lisent

Avec son nouveau service Google Voice, Google transcrit les messages vocaux sous forme de textes, accessibles directement dans sa boite Web ou sur son téléphone portable en SMS. Ils seront, comme les courriers électroniques reçus sur Gmail, archivés - « à vie » précise Google - et indexés pour faciliter la recherche. Les messages envoyés seront également archivés et indexés. Google précise que ce service est le premier du genre à reposer sur une transcription totalement automatisée de la voix en texte. Ce service est basé sur la technologie de GrandCentral, une société de télécommunication californienne achetée par Google en juillet 2007. Comme l'offre GrandCentral, Google Voice permettra de disposer d'un numéro unique permettant de renvoyer les appels vers tous ses abonnements téléphoniques (fixe ou portable), et de passer des communications longue distance à moindre coût. Aux États-Unis, l'offre comprendra un service de renseignement gratuit, pour trouver un professionnel (livraison de pizza, plombier, coiffeur) et être mis en relation en fonction de son emplacement géographique. Google Voice va, dans un premier temps, être proposé aux abonnés actuels de GrandCentral, avant d'être étendu par la suite à l'ensemble des internautes. Pour l'instant, ce service est gratuit et vise le grand public. Une déclinaison payante, telle que celle que Google Apps propose aux entreprises, n'est pas encore envisagée. (...)

(13/03/2009 16:03:03)

Microsoft veut réduire son empreinte carbone de 30% d'ici à 2012

Steve Ballmer, patron de Microsoft, vient d'envoyer un courriel à l'ensemble de ses équipes dans le monde pour les sensibiliser à l'objectif que la société s'est fixé : réduire, d'ici à 2012, l'empreinte carbone par salarié de 30%, par rapport au niveau de 2007. Sur son blog, le responsable de la stratégie environnementale de Microsoft, Rob Bernard, explique que le PDG a enjoint ses quelque 90 000 collaborateurs d'aider l'entreprise à atteindre ce but. En parallèle, il leur demande aussi d'accélérer le développement de solutions logicielles propres à soutenir cette action et de faire avancer la recherche scientifique dans ce sens. La semaine dernière, sur le Cebit de Hanovre, c'est l'éditeur allemand SAP qui annonçait sa décision de réduire son empreinte carbone de 60% par salarié, mais à l'horizon 2020. Microsoft aurait économisé 90 M$ l'an dernier sur ses déplacements Microsoft s'attelle à son objectif avec les mêmes moyens que les autres entreprises de son secteur : réduction de la consommation électrique dans ses bâtiments, dans ses bureaux et au niveau de l'activité quotidienne de ses salariés, révision à la baisse de ses voyages en avion, et hausse du recours aux énergies renouvelables. L'éditeur veut notamment développer l'utilisation de ses outils de communication unifiée, ce qui lui aurait déjà permis d'économiser plus de 90 M$ l'an dernier sur ses dépenses de déplacement. Rob Bernard ajoute également que Microsoft poursuivra ses efforts d'innovation sur la conception, la construction et la mise en oeuvre de ses datacenters. Sur son site de Redmond, la société de Bill Gates agrandit actuellement son campus (un projet d'1 Md$). Quelques-uns des nouveaux bâtiments disposent d'un système de refroidissement qui souffle de l'air frais depuis le sol, ce qui permet de réduire le recours aux systèmes d'air conditionné. A l'instar des autres acteurs de l'IT, Microsoft n'oublie pas de rappeler la contribution que peut apporter l'industrie informatique dans l'effort global de développement durable (réseau électrique intelligent, bâtiments intelligents, outils de téléprésence...). Tout récemment, l'éditeur a notamment complété son ERP Dynamics AX d'un tableau de bord environnemental permettant à ses clients de calculer la consommation énergétique globale de leur entreprise. (...)

(13/03/2009 15:10:57)

Open Source Think Tank : L'Open Source doit apprivoiser les DSI

Eric Barroca, président du directoire de Nuxeo, est rentré de l'Open Source Think Tank la semaine passée avec une dernière tribune sur cette manifestation. Cette fois, il rend compte d'une discussion entre DSI sur le sujet de l'Open Source dans l'entreprise. Aux points de vue échangés, Eric Barroca ajoute sa vision de patron d'éditeur d'ECM (entreprise content management, gestion de contenu d'entreprise). Résultat : des regards aiguisés sur la réalité de l'Open Source dans le système d'information, mais aussi une remise en perspective de l'éditeur d'une stratégie qui s'appuie sur ce « modèle de développement et de distribution ». (...)

(13/03/2009 12:21:08)

Hadopi : les houleux débats suspendus jusqu'à la fin du mois

Il faudra finalement patienter jusqu'au 31 mars pour connaître le sort que réservent les députés au projet de loi Création et Internet. Les débats ont en effet été suspendus hier soir, alors que les élus venaient de débuter l'examen de l'article 2, qui est au coeur du texte. C'est cet article qui prévoit, notamment, la création de la Haute autorité baptisée Hadopi et le principe de la suspension de l'abonnement pour les internautes coupables de téléchargement illicite. Cet article est présenté par Jean-Pierre Brard comme réunissant « toutes les conditions pour que l'internaute partageur retrouve le droit chemin, celui des sacro-saintes règles commerciales, celui du respect du profit à tout prix pour des majors incapables de se remettre en cause ». Même son de cloche pour Christian Paul, qui souligne « l'absence de garanties procédurales solides » des mesures prévues. « La connexion pourra être coupée avant toute possibilité de recours », souligne le député socialiste, qui décrit l'Hadopi comme « l'emblème technologique de la contre-civilisation numérique que [le gouvernement tente] d'imposer. Sa transcription graphique aurait la légèreté d'une raffinerie de pétrole. » Sans surprise, les groupes Verts et SRC ont indiqué qu'ils voteront contre l'article 2. Le dérapage de Christine Albanel Avant d'en arriver là, les députés ont multiplié les rappels au règlement et les passes d'arme, entre provocations et dérapages. Mise en difficulté sur le sujet du nombre de suspensions que sera amenée à prononcer l'Hadopi - 47 décisions par heure, selon Lionel Tardy qui se base sur les chiffres avancés par le ministère -, Christine Albanel a franchi la ligne rouge. « Je suis accablée par toutes les caricatures sur tous les bancs et par l'obstination qui consiste à présenter l'Hadopi comme une sorte d'antenne de la Gestapo », s'est-elle emportée avant que le président de la séance ne suspende les débats pour permettre aux députés de gauche, ulcérés, de retrouver leur calme. Les débats auront par ailleurs permis de lever un doute - si toutefois il subsistait encore : la licence globale, ou 'contribution créative' selon la nouvelle définition des élus assis sur la gauche de l'hémicycle, n'a guère de chance d'exister. Le principe, présenté par plusieurs amendements discutés hier, repose sur « une contribution forfaitaire que paieront les abonnés à Internet, en contrepartie de laquelle ils pourront s'échanger entre eux, sans but de profit, des oeuvres numériques phonographiques ». Sans surprise, les représentants de la majorité ont dénoncé cette mesure, qualifiée de « vente forcée » par Franck Riester, et ont rejeté les amendements. (...)

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