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(21/12/2011 11:57:56)

Amazon et Nokia-Microsoft convoiteraient RIM

En lançant un avertissement sur ses résultats et en retardant la sortie de son prochain BlackBerry, RIM s'expose à des demandes de rapprochement pour faire face aux difficultés. Cet été, selon Reuters, c'est Amazon qui se serait dévoilé pour acquérir le fabricant canadien. Le spécialiste du commerce en ligne aurait mandaté une banque de conseil pour réfléchir sur un potentiel rachat. Les sources citées par l'agence de presse ont indiqué qu'Amazon n'avait pas fait d'offre formelle, devant le refus des dirigeants de RIM. Le nom d'Amazon avait été également cité sur le rachat de WebOS de Palm. L'éditeur souhaite acquérir un écosystème mobile complet pour se démarquer de sa dépendance à Android de Google.

Nokia et Microsoft auraient travaillé également sur un projet de reprise conjointe de RIM selon le Wall Street Journal. Le quotidien précise que rien n'a été formalisé en raison de la complexité du dossier. On notera que RIM a déjà des partenariats avec Microsoft pour l'utilisation du moteur de recherche Bing.

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(21/12/2011 11:15:26)

Dégroupage : des opérateurs contestent la baisse des prix proposée par l'UE

« Le projet de la Commission européenne de baisser les prix d'accès aux réseaux en cuivre afin de stimuler l'investissement dans les réseaux de prochaine génération est une erreur, » ont fait savoir les principales entreprises de télécommunication européennes. C'est au mois d'octobre que Neelie Kroes, la commissaire chargée de la stratégie numérique en Europe, a révélé cette mesure de baisse du prix du dégroupage. Mais une étude, réalisée par Plum Consulting pour le compte de l'ETNO (European Telecommunications Network Operators Association), l'association qui regroupe les plus grands opérateurs européens ex-monopoles, montre que l'abaissement du prix de l'accès aux réseaux en cuivre pourrait avoir un effet inverse.

Selon ce rapport, la réduction du prix du dégroupage nuirait à l'investissement, car elle ferait baisser les prix de détail dans le marché, aussi bien pour l'accès à la génération actuelle que l'accès à la suivante. « Avec pour conséquence, une baisse de la demande et une réduction du prix de la fibre, » explique le rapport. L'enquête de Plum Consulting affirme qu'en baissant les prix du cuivre on réduirait également le cash-flow disponible, avec le risque de réduire les dépenses sur les infrastructures.

Les acteurs du câble protestent aussi


Selon Cable Europe, une association professionnelle qui regroupe tous les principaux opérateurs de télévision par câble à haut débit et leurs associations nationales à travers l'Europe, la Commission a adopté une approche « à court terme. » Gregg Svingen, porte-parole de Cable Europe a déclaré que cette mesure « ne tenait pas compte de la dynamique concurrentielle à laquelle contribuent les câblo-opérateurs. » Aujourd'hui, « nous nous déployons en Europe, où il s'agit de concurrencer les opérateurs historiques. Fort de ses critères concurrentiels, le câble est un bon exemple pour rappeler qu'il y a des forces déjà en action dans le marché, qui poussent les opérateurs historiques à investir dans les infrastructures de prochaine génération, » a-t-il déclaré.

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« Il est également important de voir que chaque nouvelle action règlementaire a des conséquences, et certaines peuvent être imprévues ou inattendues. Tout effet de laminage sur le marché global pourrait éloigner les investisseurs et les orienter vers d'autres secteurs de ce marché crucial. Nous demandons à la Commission de réfléchir à une règlementation moins intrusive, en particulier en ce qui concerne ses méthodes de calcul », a poursuivi Gregg Svingen.

Casser la rente de l'ADSL

Mais, au mois d'octobre, Neelie Kroes a répondu que les opérateurs des réseaux alternatifs considéraient que les prix d'accès aux réseaux en cuivre étaient trop élevés, étant donné que la valeur des actifs en cuivre des opérateurs était largement amortie. « Pour le moment, les entreprises de télécommunications hésitent à engager des fonds importants pour le déploiement de la fibre. En conséquence, les opérateurs historiques préfèrent réaliser de bons profits, facilement, sur l'infrastructure existante, plutôt que d'investir des sommes importantes dans les réseaux en fibres, » a-t-elle fait valoir.

La Commission s'est engagée à favoriser le déploiement des réseaux en fibre optique de façon à ce que tout Européen puisse profiter du haut débit à 30 Mbt/s à l'horizon 2020, et qu'au moins 50%  des Européens puissent profiter d'un accès à 100 Mbt/s.

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(21/12/2011 10:48:02)

Les applications et gadgets pour la santé en croissance en 2012

Les applications et les gadgets relatifs à la santé devrait connaître ue forte croissance en 2012 selon le cabinet Trendwtaching. Par exemple, le nombre d'applis dans la catégorie "santé" de l'App Store, autour des 9 000 à ce jour, devrait passer à 13 000 d'ici juin 2012.

Parmi les appareils les plus en vue mentionnés dans ce rapport, on note le dernier gadget en date sorti par Jawbone, le UP, un bracelet flexible qui permet d'étudier et d'analyser les habitudes sportives et alimentaires du porteur, mais aussi de recueillir des données sur ses rythmes de sommeil et son alimentation. Mais aussi le Digifit Ecosystem, un pack d'applications et de gadgets mesurant toutes les données liées à la santé et à la forme (vitesse, rythme cardiaque...)

Parmi les autres applications dignes d'intérêt selon le rapport, on trouve Skin Scan, qui aide à détecter les cancers de la peau; Lifelens, permettant de diagnostiquer le paludisme; et Lungs, une appli qui donne une idée aux fumeurs des dégâts possibles qu'il causent à leurs poumons.

Ce rapport va dans le même sans que celui de Rock Health, une pépinière de startups basée à San Francisco, qui prévoit que 400 millions de produits du type Basis, UP et Lark vont envahir le marché d'ici 2014, représentant une industrie de près de 4 milliards de dollars (2,93Mds€ environ).

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(21/12/2011 10:38:55)

Big Data et BI : EMC pointe la carence des compétences

EMC s'est intéressé aux compétences en matière de Big Data et décisionnel auprès de 500 ingénieurs de la donnée (data scientist). Le constat montre une carence des compétences dans ce domaine. En effet, selon les chiffres fournis par cette enquête, seules un tiers des entreprises parviennent à s'appuyer sur des données qualifiées pour étayer leurs processus métier, accentuer leur avantage concurrentiel, améliorer leur productivité et innovation ou encore pour mieux cerner leur clientèle.

Pénurie de talents


L'étude révèle que l'explosion des données numériques, générées notamment par les capteurs mobiles, les médias sociaux, les systèmes de surveillance, les images médicales ou les réseaux électriques intelligents, provoque une croissance similaire en termes d'opportunités. La demande en «data scientists» a donc rapidement progressé ces dernières années, ce qui conduit 64% des personnes interrogées à estimer qu'au cours des cinq prochaines années, la demande de talents en sciences des données dépassera l'offre.

L'étude met par ailleurs en évidence plusieurs obstacles qui entravent le plus souvent une exploitation efficace des données, dont: des carences en compétences ou en formation (32%), le manque de budget ou de ressources (32%), une structure organisationnelle inadaptée (14%) ou encore une pénurie d'outils et de technologies (10%). En outre, seuls 22% des «data scientists» et 12% des experts de business intelligence déclarent avoir suffisamment accès aux données brutes disponibles au sein de leur entreprise pour leur permettre de les explorer à des fins de modélisation.

Data scientists et experts BI


L'étude se concentre également sur les principales différences entre le domaine de la business intelligence (BI) et la science des données (data science). Au vu du fait que la BI se concentre sur l'exploitation de données à des fins de monitoring et d'aide à la décision, alors que la science des données se concentre avant tout sur l'utilisation d'outils d'analyse et d'algorithmes afin de générer des données prospectives devant mener à l'innovation, les profils des experts de ces deux métiers sont également différents. Par exemple, note EMC, les «data scientists» sont trois fois plus nombreux à être titulaires d'une maîtrise universitaire ou d'un doctorat que les experts en BI.

ICTjournal.ch

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Par ailleurs, alors que les experts en BI viennent en premier lieu du domaine commercial (37%), les «data scientits» proviennent plus facilement de l'informatique (24%), de l'ingénierie (17%) ou des sciences dures (11%). Ces derniers utilisent également une palette beaucoup plus diversifiée d'outils d'analyse. Ainsi, alors que de nombreux experts en BI utilisent avant tout Excel, les «data scientists » recourront beaucoup plus à SQL, aux bases de données NosQL, ainsi qu'à des outils d'analyse de big data comme Hadoop, des outils de visualisation comme Tableau, des instruments encore quasiment inconnus dans le monde de la BI. Des outils Open Source comme R statistics, Python et Perl sont également utilisés par 20% des data scientists, et seulement 5% des experts en BI.

Dans un dernier volet, EMC analyse les spécificités des spécialistes de l'analyse du big data, et note leur propension à utiliser des outils comme R Statistics (50% contre 13%), ou comme Hadoop, Greenplum ou Netezza. EMC relève par ailleurs que l'analyse du big data exige un degré élevé de collaboration avec d'autres experts, comme des statisticiens ou des programmeurs.

Au vu de la pénurie d'experts formés dans ces professions émergentes et exigeantes, EMC recommande de privilégier la formation interne de personnes dotées de rigueur et de la curiosité intellectuelle suffisante. Elle note aussi l'importance pour les entreprises de favoriser l'accès aux données afin de permettre à leurs experts de les explorer et de les exploiter à des fins d'expérimentation et de modélisation.

ICTjournal.ch

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(21/12/2011 10:26:56)

Le marketing en ligne exaspère les internautes Français

Les Français sont 76% à se déclarer agressés par le marketing en ligne traditionnel, selon une étude réalisée par Tedemis. Chaque internaute recevrait en moyenne 33 e-mails commerciaux chaque jour, dont une majorité non sollicités.

Les sondés ne sont pourtant pas contre l'idée de recevoir des offres ciblées, puisque 40% d'entre eux sont même prêts à donner des informations personnelles pour recevoir des offres personnalisées et attractives. Ce chiffre a d'ailleurs tendance à diminuer avec l'âge. Ainsi, les 25/34 ans sont 47% à faire preuve de bienveillance envers les offres pertinentes. Leur tolérance irait jusqu'à une dizaine de messages par jour.

Enquête réalisée du 11 au 20 novembre 2011, auprès de 2 381 personnes résidant en France et âgées de plus de 18 ans.

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(21/12/2011 10:23:03)

Le Stade Toulousain protège ses données distantes avec R-Cost et AGS

Le Stade Toulousain est une société anonyme sportive professionnelle réalisant un chiffre d'affaires de plus de dix millions d'euros par an grâce à ses 80 collaborateurs. Ceux-ci se répartissent à parité entre le domaine sportif et les autres domaines (administratif, boutiques...). Cette société possède son propre stade, le stade Ernest Wallon (aussi appelé stade des Sept Deniers) et les boutiques adjointes, notamment en restauration.

Le système d'information couvre l'ensemble des activités de l'entreprise, ce qui implique une variété de logiciels, notamment la billetterie, et la génération de 2,5 To de données par an. En 2008, le nouveau DSI constate que la sécurité est très insuffisante : malgré la criticité de certains systèmes (la billetterie par exemple), aucun PCA n'existe. Seules des sauvegardes sur bandes magnétiques sont réalisées ponctuellement à partir des serveurs Windows 2008 et Windows 2003 ainsi que d'un serveur sous Linux pour l'intranet. Le Stade Toulousain possède des sites distants. Il en résulte des connexions entre sites qui sont autant de sources de failles de sécurité mais aussi une opportunité pour installer des réplications distantes.

Des sauvegardes protégées

Après étude de marché, le Stade Toulousain choisit d'installer des boîtiers de sauvegarde intégrant la réplication distante. En l'occurrence, la société a choisi d'installer des appliances Noébox de R-Cost autant en local sur son siège que dans un site distant. Ces boîtiers sont associés à la solution logicielle ShadowProtect distribuée par Athéna Global Services (AGS).

Le logiciel ShadowProtect est installé sur chaque serveur matériel ou virtuel et sauvegarde une image intégrale de chacun sur le premier boîtier local, qui fonctionne comme un NAS. Celui-ci se réplique d'une part sur un boîtier de secours en local et d'autre part sur un boîtier distant via les connexions existantes.

La restauration d'une image de 1 To peut se faire en moins de deux minutes en local. En cas de défaillance du premier boîtier local, le second peut être mobilisé aussitôt. Le boîtier distant sert quant à lui en cas de sinistre sur le site principal.

Le coût du projet n'a pas été révélé.

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(21/12/2011 09:55:22)

Le Parlement européen choisit BT pour la rénovation de son IT

Le Parlement Européen dispose de trois sites situés à Stasbourg, Bruxelles et Luxembourg. Il souhaitait renouveler et faire évoluer ses infrastructures et services IT afin de se doter, par exemples, de ToIP, de communications unifiées, de vidéoconférence, de téléprésence, d'accès Internet individuel, etc. Cela supposait le remplacement ou la fourniture d'équipements réseaux et d'applications associées.

L'institution a ainsi acquis, pour chaque site, des commutateurs intelligents, des routeurs, des multiplexeurs à large bande... A chaque équipement sont, bien entendu, associés des services d'intégration, de maintenance, de reporting et de formation des personnels internes.

Pour les cinq prochaines années, ces besoins seront couverts via un marché exclusif conclu avec BT pour un montant global de 120 millions d'euros répartis en deux contrats distincts. Ce prestataire a été choisi notamment pour sa capacité à adopter les meilleurs fournisseurs de technologies du moment et pour chaque besoin.

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(21/12/2011 09:39:40)

CA Technologies intègre le paiement à l'usage pour son offre ARCserve

CA Technologies a lancé, au mois de septembre dernier, la version 16 de sa solution de sauvegarde, ARCserve. Au-delà de cette évolution technique, la version s'ouvre au cloud computing. Parallèlement, les ventes indirectes sont concernées avec un programme spécifique, ARCserve MSP 2.0. Il permet de vendre de l'abonnement mensuel. La facturation se fait par téracoctets.

« C'est un changement majeur dans le fonctionnement du marché, souligne Valérie Hénin directrice des ventes indirectes de CA, les clients se tournent vers l'accès au service sur un mode de consommation et non plus d'investissement.  Nos partenaires seront accompagnés de manière à leur fournir la licence et la façon de payer à la consommation et non plus à l'achat ».

Aucun engagement de durée

Ce programme s'adresse aussi bien aux partenaires MSP actuels de CA qu'à de futurs partenaires intéressés par l'offre et la formule. Ils doivent s'inscrire et passer une accréditation technique, ils ont alors accès à la licence spécifique et au mode de facturation mensuel. Aucun engagement de durée ne leur est imposé.  15 MSP sont dans ce programme en France, les grossistes de CA sont également impliqués sur ce programme.

Autre intérêt, ARCserve est désormais très ouvert et s'intègre par exemple avec les outils d'administration de Nimsoft, filiale de CA, et de Kaseya. Il est interopérable avec les outils de supervision de N-able Technologies, LabTech et Level Platforms.

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(20/12/2011 16:16:20)

IBM prédit 5 innovations dans les 5 prochaines années

Il est toujours difficile d'être une pythonisse dans le monde des technologies. Pourtant, IBM a sauté le pas en présentant son rapport « Five in Five », soit 5 innovations dans les 5 prochaines années. La première concerne la production personnelle d'énergie. Big Blue pense à la marche, au jogging, au cyclisme, à la chaleur produite par les ordinateurs et même au mouvement de l'eau dans les canalisations. Les notions de smart grid et de smart planet sont bien sûr mises en avant pour aboutir à ce résultat. Autre tendance soulignée par IBM, la suppression des mots de passe. La gestion des identités et leur authentification se feront depuis les caractéristiques biologiques comme la reconnaissance vocale, rétinienne ou d'autres données biométriques.

Télépathie et disparition de la fracture numérique et du spam


Plus audacieux est l'arrivée de la télépathie. IBM estime que le contrôle des terminaux n'est plus réservé à la science-fiction. Des avancées dans la bio-informatique permettront le développement de tels usages. Plus pragmatique, Big Blue penche pour la disparition d'ici 5 ans de la fracture numérique. Pour la firme, 80% de la population mondiale disposera d'un terminal mobile. Enfin, dernière tendance, la notion de spam s'effacera au profit de courriers prioritaires. Les solutions analytiques permettront d'intégrer en temps réel l'ensemble des données disponibles sur une personne afin de lui proposer des informations utiles et pertinentes.

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(20/12/2011 15:50:51)

AT&T renonce au rachat de T-Mobile USA

Après avoir retiré son dossier auprès de la FCC (régulateur américain des télécoms), AT&T a officiellement renoncé à acquérir T-Mobile USA, filiale de Deutsche Telekom. L'opération d'un montant de 39 milliards de dollars se trouvait confronté à plusieurs obstacles réglementaires. Le département de la Justice et la FTC s'étaient saisis du dossier et avaient exprimé des doutes sur l'impact concurrentiel et sur l'emploi d'un tel rapprochement. AT&T jette donc l'éponge et versera au passage à T-Mobile la modique somme de 4 milliards de dollars (dont 3 en cash et 1 milliard en fréquences ) en guise de réparation. (...)

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