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(07/12/2011 12:23:32)
Pour l'inauguration de son Googleplex, Google mixe politique et communication
8 rue de Londres dans le 9ème arrondissement à Paris, telle est l'adresse du siège européen de Google inauguré en grandes pompes hier. Le coup d'envoi de cette grande opération de communication a été donné par le Président de la République et Eric Schmidt, président exécutif de Google. Nicolas Sarkozy est revenu dans son intervention sur ses premiers rapports pugnaces avec le dirigeant de la firme américaine. Il lui reprochait de prendre des clients et de ne pas investir en France. Avec le siège européen à Paris, Google met sur la table 100 millions d'euros pour la création d'un centre de recherche et développement portant sur l'amélioration de la recherche de contenus vidéo sur YouTube, l'accessibilité des données publiques, sur le navigateur Chrome et réfléchir aux nouvelles technologies. De plus, un institut culturel européen est aussi implanté dans le « Googleplex » et aura pour mission d'aider à élaborer des outils pour la préservation et la diffusion de la culture en ligne, via les musées notamment. La création de ces deux entités impliqueront l'embauche de plusieurs ingénieurs (70 environ), la firme de Mountain View, passera donc de 350 salariés en France à 500 prochainement.
Si l'opération a été déclarée « Win-Win » selon les mots de Nicolas Sarkozy, rien n'a été dit sur la question de la fiscalité, car Google reste imposable en Irlande et non pas en France. Eric Schmidt a indiqué à nos confrères de Slate.fr : « nous payons la majorité de nos impôts en Irlande, et si cette loi change, nous les paierons sans problème dans un autre pays ». Les questions sur les pratiques en matière de concurrence n'ont pas plus été abordées. Eric Schmidt s'est rendu à Bruxelles, lundi pour discuter avec le commissaire européen en charge de la concurrence. Pour conclure cette journée médiatique, Bertrand Delanoe, maire de Paris, est intervenu en soirée pour inaugurer le Googleplex. Dans son discours, il a égratigné ceux qui doutaient de Google au début et qui voulaient le voir s'installer en dehors de Paris. La soirée à continuer avec plusieurs personnalités, dont Bruno Lasserre, président de l'Autorité de la concurrence ou François d'Aubert, ancien ministre délégué à la recherche.
Bertrand Delanoe, maire de Paris et Eric Schmidt, président exécutif de Google, ainsi qu'une interprète
Crédit Photo: IDG NS
Des salariés chouchoutés et un foisonnement de démonstrations
La visite du navire amiral de Google a été aussi l'occasion de voir quelques démonstrations des technologies et des applications de l'éditeur. Ainsi, sur les livres, un écran géant tactile montrait un carrousel d'ouvrages où l'utilisateur est invité à en choisir un, pour le feuilleter, scanner le code-barre pour ensuite le commander en ligne. Plus pragmatique, on notera différentes initiatives pour aider les jeunes entreprises (le start-up café ou le Camping en collaboration avec Silicon Sentier) à se créer, mais aussi accompagner les entrerprises existantes de créer gratuitement son site Internet avec le programme Monentreprise en ligne.

Bureaux dans le Googleplex
Crédit Photo: IDG NS
(...)(07/12/2011 11:37:45)
Les profils Timeline Facebook progressivement lancés
Présenté le 22 septembre dernier, les profils Timeline arrivent progressivement sur Facebook. Le mercredi 7 décembre, la Nouvelle-Zélande devient le premier pays à en profiter, en attendant un déploiement progressif du service aux quelque 800 millions de membres recensés dans le monde.
Ce profil s'apparentera à une véritable biographie, incluant des événements et des documents antérieurs au lancement de Facebook, classés année par année. De fait, il devient possible de compiler toute sa vie sur une seule page, de sa naissance à sa dernière mutation professionnelle, de ses coups de coeur musicaux à ses derniers articles partagés.
Facebook ne précise pas encore à quel rythme sera déployé "Timeline". La Nouvelle-Zélande compte environ deux millions d'internautes sur Facebook.
Danone mesure l'empreinte carbone de ses produits avec SAP
Sur le chemin qui le mène vers la réduction de 30% de son empreinte carbone globale d'ici à 2012, Danone s'emploie à diminuer les émissions de dioxyde de carbone associées aux produits laitiers qu'il fabrique (*). Sur ce projet, le groupe agro-alimentaire français fait équipe avec SAP autour des solutions informatiques permettant de calculer les empreintes par produits et par entités de l'entreprise. L'objectif est de mesurer l'impact de chaque étape pour prendre les décisions les plus appropriées en fonction des objectifs. Cela inclut la chaîne agricole et les choix géographiques d'approvisionnement, les modes de transport, les emballages et leur fin de vie, etc.
« Nous avons décidé de passer par une mesure sur les produits, comme en comptabilité analytique, en partant d'un point zéro pour évaluer les progrès, a expliqué hier à Paris Myriam Cohen-Welgryn, directrice générale Nature de Danone. « Nous voulions responsabiliser les employés, que chacun connaisse l'empreinte de son périmètre pour agir à son niveau. » Sur le papier, l'objectif semblait déraisonnable, ajoute-t-elle. « Mais nous allons l'atteindre. Le carbone, demain, sera monétarisé. Le gérer aujourd'hui, cela constitue un objectif compétitif pour l'entreprise ». Actuellement, le groupe a une empreinte carbone de 14 millions de tonnes équivalent CO2, ce qui correspond à 2 kg de carbone par kilo dans les produits frais et 200 gr/l sur les bouteilles d'eau(**). « C'est une véritable transformation de l'entreprise que nous faisons là. Cela permet d'éclairer les décisions prises au quotidien », insiste la DG Nature.
Danone cédera la propriété intellectuelle du projet
La coopération avec SAP apporte à Danone l'assurance de mettre la solution en oeuvre plus rapidement en gardant de l'avance par rapport à la concurrence, explique Jean-Marc Lagoutte, directeur général des systèmes d'information. Pour l'éditeur, intégrer la problématique de Danone dans ses solutions va lui permettre de les proposer par la suite au plus grand nombre, complète de son côté Nicolas Sekkaki, directeur général de SAP France.
A terme, le groupe agro-alimentaire ne conservera pas la propriété intellectuelle relative à ce projet, mais il va bénéficier de son adoption par SAP puisque l'éditeur en assurera la maintenance et continuera à la faire évoluer. Or, pour Danone, il est très important de pérenniser cette solution, souligne son DSI.
80% des données déjà collectées automatiquement
Le système d'information du groupe français repose déjà sur des solutions SAP, un choix qui remonte à dix ans. Environ 80% des données couvrant le cycle de vie de ses produits fabriqués sont collectées automatiquement dans l'ERP. Les coûts de mise en place du projet ont donc été marginaux pour Danone si on les compare aux coûts d'intégration que devraient prendre en compte des entreprises équipées d'autres systèmes. Dans le domaine logistique par exemple, en amont et en aval, les informations sont déjà suivies de manière très opérationnelle par Danone. « Il suffit d'intégrer ces données avec la mesure carbone pour savoir ce qui est généré en termes d'empreintes. Donc, l'intégration avec la plateforme SAP est clé, absolument », confirme le DSI Jean-Marc Lagoutte.
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« Pour faire de la co-innovation, il faut une vision partagée entre deux entreprises, souligne de son côté Nicolas Sekkaki, DG de SAP France en rappelant l'importance accordée par l'éditeur au développement durable depuis plusieurs années. Début 2009, le groupe allemand, alors co-dirigé par Léo Apotheker, s'était lui-même fixé des objectifs de réduction de son empreinte carbone et lançait notamment la suite EHS pour gérer les risques sanitaires et environnementaux. Il a depuis renforcé son offre avec le rachat de Technidata.
Recours à des logiciels d'analyse de la rentabilité
Dans le cadre de la coopération avec Danone, ce sont des logiciels financiers qui sont mis en oeuvre. « Le développement durable, c'est un autre prisme pour voir la performance de l'entreprise et trouver de nouveaux gisements de productivité », poursuit Nicolas Sekkaki. Pour l'analyse des données, il faut disposer ici d'une granularité par produit. « Nous nous sommes aperçus que les solutions que nous avions dans le monde financier pouvait être adaptées à cette problématique ». En l'occurrence, il s'agit des logiciels BusinessObjects FIM (Financial Information Management), utilisé pour récupérer les données sources, et BusinessObjects PCM (Profitability & Cost Management), pour gérer les coûts et la rentabilité.
La collaboration entre SAP et Danone a permis « de prendre des données et processus qui existaient pour en faire quelque chose de très novateur, en douze à dix-huit mois », met en avant Nicolas Sekkaki. Il souligne combien il est important, dans ce type de projet, « de comprendre la vision business dans le système d'information. Il faut avoir un DSI qui possède cette double casquette ».
Un programme mis en place en Espagne, en Belgique et aux Etats-Unis
Le projet a démarré par un test pilote, mené avec succès dans deux filiales en Espagne, puis en Belgique et aux Etats-Unis, avec l'entreprise Stonyfield Farm. « Fin décembre, nous aurons 22 projets », précise Jean-Marc Lagoutte. Danone prévoit d'installer la solution dans 40 de ses filiales d'ici la fin de l'année prochaine. Un déploiement qui couvrira alors 70% du chiffre d'affaires du groupe et plus de 35 000 produits. A terme, la solution doit être généralisée à 50 filiales pour couvrir les quatre domaines d'activité : produits laitiers frais, eaux en bouteille, nutrition infantile et nutrition médicale.
« Nous revisitons tous les processus élémentaires et nous simplifions considérablement », ajoute le DSI de Danone. Les problématiques environnementales sont prises en compte par le groupe depuis des années, rappelle-t-il. « La conduite du changement a été un facteur clé. Cela touche à tous les services de l'entreprise. Nous avons un 'carbon master' dans chacune des filiales. » Jean-Marc Lagoutte pointe aussi pour le groupe des bénéfices autres qu'environnementaux : « Il y a aujourd'hui des jeunes qui souhaitent rejoindre Danone à cause de ce genre de projets », indique-t-il.
(*) Danone s'est fixé comme objectif de réduire de 30% son empreinte carbone entre 2008 et 2012 sur la chaine où sa responsabilité directe est engagée (sites industriels, emballages et fin de vie, transport et stockage).
(**) Sur une empreinte 100, le lait représente 45%, les usines environ 10%, le transport entre 13 et 15%, le packaging entre 13 et 18 %, notamment.
Un prototype de tablette souple chez Samsung
On pourrait être tenté de disqualifier cette vidéo en n'y voyant qu'une divagation, mais Samsung a déjà présenté des prototypes d'écrans flexibles et transparents. Au Consumer Electronics Show (CES) cette année, le coréen présentait un écran AMOLED translucide de 19 pouces et au Samsung Mobile Display un écran flexible de 4,5 pouces.
De son coté, Nokia a profité du salon Nokia World en octobre pour présenter un prototype similaire, le Kinetic. Les deux constructeurs prévoient tous les deux de commercialiser ce type d'appareils dès l'an prochain. Ultra-minces et souples, ils suivraient la forme et les mouvements du corps et répondraient aux pressions et aux flexions. Dans la vidéo repérée par OLED-Info.com, le Flexible de Samsung est également capable de projeter des images holographiques en 3D. Dommage la vidéo de promotion abuse des effets spéciaux et on a l'impression que le produit est complètement bidon.
On devrait voir d'autres exemples d'écrans transparents et flexibles à l'édition 2012 du CES en janvier.
Une tablette Android 4.0 à 99 dollars sur base Mips
Si ARM domine outrageusement le marché des terminaux mobiles, smartphones et tablettes, des fondeurs comme Intel et Mips Technology n'ont pas encore jeté l'éponge. Ainsi une des premières tablettes animées par Android 4.0 (Ice Cream Sandwich) reposera sur une puce Mips. Il s'gait de la Novo7, proposé à un prix très serré : 100 dollars environ mais uniquement sur le marché chinois pour l'instant.
Cette ardoise low-cost est dotée d'un écran 7 pouces, de capteurs photos en façade et au dos, de l'interface WiFi, de ports USB et HDMI et donc d'un processeur monocoeur Mips cadencé à 1 GHz. Selon le fondeur MIPS et le fabricant chinois Ingenic Semiconductor, elle serait capable d'afficher des vidéos en 1080p (la résolution de l'écran en dépasse toutefois pas 800 x 480 pixels). Coté mémoire de stockage, cette ardoise, pas très mince (voir illustration principale), est livrée avec 8 Go de flash. Elle est disponible en ligne chez Ainol Electronics au prix de 99 dollars et devrait également arrivé aux Etats-Unis et dans d'autres pays mais sous d'autres marques comme Leader International ou OMG Electronics. Des déclinaisons 8 et 9 pouces sont également prévues.
Et contrairement à bien des tablettes chinoises peu chères, auxquelles Google n'accorde pas son imprimatur, leur interdisant les dernières versions de son système d'exploitation mobile et l'accès aux applications de l'Android Market, la Novo7 est une tablette Android adoubée par l'américain. Le poids de Mips semble avoir fait le nécessaire.
Les mainframes séduisent encore selon une étude BMC Software
Les mainframe continuent de jouer un rôle critique dans les datacenters des entreprises. Tel est l'un des résultats d'une enquête menée par BMC Software auprès de 1347 entreprises dans le monde. 63% des responsables interrogés estiment que les plateformes mainframe vont grandir et assumer de nouvelles charges. Pour deux tiers des sondés, c'est l'augmentation des volumes de transaction et des affaires qui stimulent l'usage croissant des mainframe. 31% des responsables estiment même que les mainframe vont attirer de nouveaux workloads.
Sécurité et disponibilité toujours mis en avantLes avantages des mainframe mis en avant par les responsables sont leur sécurité, leur disponibilité et un environnement serveur centralisé supérieur. Le manque de ressources qualifiées pour ces systèmes datés continue d'autre part de préoccuper trois entreprises sur quatre. Pour y faire face, elles ont en général recours à la formation interne et à l'engagement de candidats expérimentés. 20% seulement des sociétés résolvent le problème en migrant les workloads vers d'autres systèmes. Enfin, une part non négligeable des responsables aimeraient gérer leur environnement mainframe via un iPad ou un autre terminal mobile.
Pour consulter l'étudeICTJournal.ch (...)(07/12/2011 10:42:19)
Intelligence économique, le Patriot Act commence à gêner les clouds américains
Le Patriot Act établi suite au 11 septembre est fréquemment brandi comme un obstacle majeur à l'utilisation de services cloud basés aux Etats-Unis ou proposés par des firmes américaines. Les entreprises et les gouvernements d'autres pays craignent en effet que la loi ne soit utilisée par les autorités américaines pour se saisir - parfois à leur insu - de leurs données sous prétexte qu'elles seraient suspectes.
Quand bien même l'usage de services cloud américains ou étrangers n'est pas prohibé par les lois d'autres pays - hormis certains secteurs particuliers à l'instar de certaines institutions financières - cette crainte et son impact sur la compétitivité des fournisseurs américains ont poussé la Maison blanche à se saisir du dossier, rapporte le site spécialisé Politico.com. Des échanges diplomatiques auraient ainsi été engagés avec plusieurs pays en Europe et en Asie, répondant à un appel adressé au Département américain du commerce par une coalition de fournisseurs.
Du côté américain justement, on estime que le Patriot Act est mal interprété voire exploité à dessein pour bloquer le marché aux fournisseurs US. «Les personnes qui appréhendent la loi de façon erronée ne manquent pas. Si l'on ne s'occupe pas de ces mauvaises interprétations ou problèmes réels, les entreprises et gouvernements hésiteront à travailler avec des prestataires de services cloud américains», avertit Phil Bond, un lobbyiste, ancien CEO de TechAmerica. Des craintes exacerbées par le fait que le cloud computing repose justement sur la possibilité de déplacer les données sans restriction.
Toutefois, comme le souligne le site Politico.com, les administrations américaines feraient peut-être bien d'analyser leurs propres pratiques. En effet, plusieurs d'entre elles aux niveaux national ou régional formulent dans leurs cahiers des charges des restrictions quant à la localisation des centres de données sur lesquels s'appuient les services cloud achetés. «Si les Etats-Unis ne font pas les choses correctement, cela laissera le champs libre à d'autres pays pour élaborer eux aussi des modèles protectionnistes», avertit Robert Holleymann, CEO de la Business Software Alliance.
ICTJournal.ch
Les ventes de logiciel de stockage bondissent au 3ème trimestre 2011 selon IDC
Selon IDC, les ventes de logiciels de stockage dans le monde ont généré 3,5 milliards de dollars de chiffre d'affaires lors du troisième trimestre de l'année, soit 9,7% de mieux qu'il y a un an. Un chiffre qui constitue la deuxième meilleure performance trimestrielle du secteur depuis que le cabinet d'études a commencé à le suivre il y a neuf ans. Le record n'est pas si vieux puisqu'il a été atteint durant le premier trimestre 2011.
Entre juillet et septembre derniers, six des sept segments de marché qui composent celui des logiciels de stockage ont connu une croissance en valeur. Quatre d'entre eux ont même enregistré une hausse à deux chiffres. C'est le cas des logiciels d'archivage et des logiciels de gestion des unités de stockage dont les ventes ont progressé respectivement de 12,2% et de 11,3%. Les solutions de protection et de récupération des données représentaient quant à elles 34,9% du marché des logiciels de stockage en valeur lors du troisième trimestre 2011.
Encore une fois, l'éditeur EMC se retrouve en tête du secteur avec une part de marché (PDM) stable de 24,4%. Toujours numéro deux, Symantec perd quant à lui plus de deux points de PDM et s'arroge 15,3% des ventes. Il réalise une des plus faibles performances du trimestre avec des ventes en hausse de seulement 2,2%. IBM conserve de son côté la troisième position sur le marché des logiciels de stockage avec 14% de PDM. A la dernière place du Top 5 trimestriel d'IDC avec 4,1% de PDM, Hitachi décroche toutefois la palme de la croissance avec une hausse de ses ventes de 18,4%.
Un cloud avant tout pour la performance selon une étude CSC/TNS
Cependant, 82% des répondants jugent avoir bénéficié d'une réduction de leurs coûts mais la situation est très différente d'un pays à l'autre. Les entreprises américaines ne mettent en avant que très peu d'économies alors que les firmes du Brésil et d'Australie semblent avoir particulièrement profité du modèle. Les gains ne se font que marginalement par des réductions de personnel : seules 14% des entreprises déclarent avoir réduit leurs effectifs informatiques contre 20% qui ont au contraire recruté des spécialistes du sujet.
93% se vantent d'avoir bénéficié d'au moins une amélioration de leur système d'information depuis l'adoption du cloud computing. Parmi les autres facteurs ayant poussé à l'adoption du cloud computing, il y a la réduction de l'empreinte énergétique de l'entreprise. Cependant, l'empreinte énergétique est le plus souvent simplement externalisée d'un datacenter interne à un prestataire externe.
Pour protéger ses PC contre le vol, la SNCF mise sur Computrace
Confronté à des problèmes de vols d'ordinateurs, le technicentre cherchait une solution pour les protéger de façon inviolable. Après des tests en 2008, le centre industriel a décidé de déployer la solution Computrace d'Absolute Software au fur et à mesure du renouvellement du parc informatique. Le déploiement en est aujourd'hui à environ 150 postes.
La solution a été choisie d'une part à cause de ses capacités à faciliter le repérage et la récupération des matériels volés ainsi que la destruction à distance des données présentes, d'autre part à cause de sa résistance à l'éradication. En effet, la solution d'Absolute Software réside partiellement dans la mémoire du BIOS des machines et résiste donc au reformatage du disque dur. En cas de vol, les techniciens d'Absolute Software peuvent intervenir et bloquer à distance le fonctionnement de la machine. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. Le ROI est surtout lié à la baisse des vols de matériels, la solution étant disssuasive.
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