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(24/07/2008 15:32:39)

22 nouveaux projets accordés aux pôles de compétitivité TIC

Dans le cadre du 6e appel à projets des pôles de compétitivité, le gouvernement annonce la validation de 99 projets ainsi que leur financement par l'Etat à hauteur de 109 M€. Ces projets émanent de 59 pôles de compétitivité et ont été choisis parmi 193 dossiers. Les collectivités locales ajouteront 75M€ au financement de l'Etat. Dans les pôles traitant des TIC, 22 nouvelles initiatives ont été validées. On trouve en tête, avec huit projets, le pôle francilien System@tic qui s'occupe de conception de systèmes. Du fait des efforts récents de ce dernier pour intégrer davantage les PMEdans ses travaux, la moitié des projets choisis sont portés par des petites structures. Celles-ci appartiennent aux groupes de travail sur le logiciel libre, les outils de conception et de développement de systèmes, la sécurité, la défense et enfin les télécoms. Huit projets pour System@tic, quatre pour Cap Digital L'autre pôle parisien, Cap Digital, spécialisé dans les techniques de l'image, se voit attribuer quatre projets. Le gouvernement en accorde un autre à Images et Réseaux en Bretagne, six à Minalogic spécialisé dans les nanotechnologies et installé en Rhône-Alpes, et trois pour le pôle SCS qui travaille sur les communications sécurisées installées en région PACA. L'ensemble des appels à projets des pôles, tous thèmes confondus, ont permis de soutenir 554 projets des pôles depuis 2005 (3,6 Mds € de R&D, 12 000 chercheurs, plus de 1,1 Md€ de financement public). Un septième appel à projets sera lancé mi-septembre. (...)

(24/07/2008 11:21:20)

Microsoft rend son activité online indépendante de Windows

Mercredi, à la surprise générale, Microsoft a décidé de réorganiser sa division plateformes et services. Les deux activités qu'elles réunissaient, Online Services Business et Windows OS business, deviennent désormais deux groupes séparés. Le géant de Seattle a également annoncé le départ de Kevin Johnson, patron de la défunte division, qui rejoint Juniper Networks. [Mise à jour]Un communiqué de de ce dernier confirme que Kevin Johnson devient tout simplement son PDG. Steve Ballmer compte ainsi reprendre le contrôle d'une activité qui se cherche désespérément depuis le lancement de Windows Live services, fin 2005. Microsoft a toujours su se lancer après ses concurrents sur les marchés majeurs pour mieux les rattraper, voire les dépasser. Une stratégie qui semble avoir trouvé ses limites face à un Google tout puissant dans le domaine des services et de la publicité en ligne. Un bon moyen de voir plus clair dans la stratégie online Selon Charlene Li, analyste indépendante pour l'industrie technologique, la séparation des deux activités « va permettre à Microsoft de clarifier sa stratégie online. On devrait commencer à comprendre à quoi correspond la marque Windows Live et ce que l'éditeur essaie d'en faire. Les deux offres (messagerie online d'un côté, OS Windows de l'autre) n'avaient rien à voir l'une avec l'autre. » L'activité Online Services Business a perdu 1,23 Md$ cette année, le double des 617 M$ perdus en 2007. Difficile par ailleurs d'oublier que Microsoft a échoué dans sa tentative d'accélérer le mouvement dans ce domaine en achetant Yahoo , ou tout du moins son moteur de recherche. Chris Liddell, directeur financier de Microsoft, a pourtant évoqué la semaine dernière de vagues plans d'investissements qui iraient principalement alimenter l'activité moteur de recherche et soutenir les revenus provenant de la publicité en ligne. A priori, certains des plus gros actionnaires du géant et certains analystes ne seraient pas très convaincus. La réunion annuelle des actionnaires se tient aujourd'hui, 24 juillet, et devrait permettre d'y voir plus clair. « Microsoft peut se permettre d'investir beaucoup sans se soucier trop du court terme » [[page]]Matt Rosoff, analyste pour le cabinet Directions on Microsoft rappelle pourtant que Microsoft a « l'habitude se donner des plans à 10 ans, et que sa course après Google a tout juste commencé il y a trois ans. Microsoft a réalisé 60 Md$ de CA l'an dernier, son activité est toujours en croissance et il peut se permettre d'investir beaucoup sans se soucier trop du court terme. » Quant au départ de Kevin Johnson, il apparaît plutôt logique aux observateurs. "Il avait en main cette stratégie online, de loin la plus grosse faiblesse de Microsoft, estime Rob Helm, un autre analyste de Directions on Microsoft. Il n'a rien fait pour améliorer la part de marché ou augmenter les revenus dans ce domaine, que ce soit par croissance organique ou par des acquisitions. [...] Il avait clairement un poste difficile et il pourrait bien ne pas être le dernier manager à tomber sous le même glaive. » A la décharge de Kevin Johnson, qui était derrière les négociations pour le rachat avorté de Yahoo, il avait aussi la charge de la florissante activité des produits Windows. A noter que le poste de manager pour la nouvelle division OSB reste à pourvoir... (...)

(24/07/2008 10:43:18)

Sony crée un consortium autour de sa technologie Transfer Jet

Il y a six mois, Sony présentait, lors du salon CES à Las Vegas, la technologie « tranfer jet ». Elle permet de relier l'ordinateur, l'appareil photo, le camescope, la télévison, sur une courte distance (moins de 3 centimètres), mais avec un débit correct (560 Mbps). Sont concernés : des transferts de fichiers, par exemple de photos, des musiques ou des films haute résolution. Il sufit de rapprocher deux appareils pour que l'échange se fasse. Toutefois, pour que « transfer jet » entre en application, il faut des appareils compatibles. Justement, Sony annonce maintenant la création d'un consortium : The TranferJet Consortium ». Il comprend : Canon, Kodak, Hitachi, Victor Company of Japan, KDDI, Kenwood, Matsushita, Nikon, Olympus, Pioneer, Samsung, Seiko-Epson, Sony Ericsson, Sony, Toshiba. Sony en sera l'administrateur. Ses travaux vont porter sur les spécifications de cette technologie, les outils de tests, les procédures de mise en conformité. Sont également au menu : la promotion auprès d'autres constructeurs et du grand public ainsi que la question des droits de propriété intellectuelle. Le consortium annonce l'apparition des premiers produits compatibles « transfer jet » courant 2009, sans plus de précision. Sa réussite permettrait de donner un nouvel élan au marché sans lancer d'appareils nouveaux, en renouvelant ceux existants. (...)

(24/07/2008 09:19:57)

Google lance Knol, son encyclopédie en ligne

Google ouvre officiellement les portes de Knol, son encyclopédie en ligne annoncée en décembre et jusqu'alors réservée à quelques testeurs. Un moyen pour le pantagruélique acteur du Web de se diversifier encore un peu plus. Si Knol partage le but de Wikipedia - assembler le savoir collectif sur Internet - il diffère de son prédécesseur par plusieurs aspects. En premier lieu, les contributions des internautes y sont signées par leurs auteurs, qui sont encouragés à utiliser leur véritable identité. A l'inverse, Wikipedia baigne dans un climat d'anonymat, où chacun peut modifier un article en paraphant d'un simple pseudonyme. Autre différence : sur Knol, les auteurs sont libres d'enrichir ou de transformer leurs textes à partir des contributions des internautes. Celles-ci ne doivent donc être vues que comme de simples suggestions qui, si elles sont acceptées, permettront à leurs auteurs de co-signer les articles ainsi amendés. "Nous espérons qu'il y ait de multiples knols sur un même sujet" L'objectif de Google est qu'un même sujet fasse l'objet de plusieurs textes, qui reflèteraient autant de points de vues différents. « Chaque knol aura un auteur ou un groupe d'auteurs, résume le blog officiel du groupe. C'est leur knol, leur voix, leur opinion. Nous espérons qu'il y ait de multiples knols sur un même sujet, nous pensons que c'est ce qui est bien. » De multiples points de vue, mais pas question d'y trouver celui de Google. Le moteur de recherche précise, dans les conditions d'utilisation du service, qu'il n'exercera aucun contrôle éditorial sur le contenu qui sera mis en ligne. La responsabilité de ce dernier incombant donc aux seuls auteurs. Les contributeurs peuvent gagner de l'argent avec AdSense Enfin, et c'est une différence de taille entre Knol et Wikipedia, les contributeurs au nouveau service de Google ont la possibilité de gagner de l'argent grâce à leurs articles. Ils peuvent en effet souscrire au programme AdSense et choisir de faire apparaître des publicités - sous forme de liens contextuels - avec leurs textes. Ils ne peuvent choisir les mots clés déterminant les sites vers lesquels renvoient les publicités : Google explique que ses propres serveurs « déterminent le sujet de votre knol et affichent les publicités les plus pertinentes à destination de vos lecteurs. » (...)

(24/07/2008 09:07:36)

SAP se débarrasse de TomorrowNow

Déjà évoqué en novembre dernier, la revente de TomorrowNow par SAP est désormais officielle. L'éditeur allemant se déleste ainsi d'un poids qui lui a empoisonné l'existence durant plus d'un an. TomorrowNow, racheté en février 2005, était au coeur d'un conflit opposant SAP à Oracle depuis mars 2007. Ce dernier accuse son concurrent d'avoir illégalement téléchargé sur ses serveurs des documents confidentiels liés au support de logiciels PeopleSoft et JD Edwards, et lui réclame un milliard de dollars de dommages et intérêts. SAP a toujours nié une quelconque tentative d'espionnage industriel, en rejetant l'entière responsabilité sur TomorrowNow. Sa filiale américaine avait en effet accès aux serveurs de support clients d'Oracle, dans un cadre spécifique. SAP a profité de ce litige pour faire le ménage, en remerciant plusieurs dirigeants, comme Andrew Nelson, PDG de TomorrowNow. Pour le moment, TomorrowNow n'a pas trouvé de repreneur. SAP s'est donné jusqu'au 31 octobre prochain pour en dénicher un. Dans le cas contraire, l'éditeur allemand fermera purement et simplement sa filiale. SAP aidera les 225 clients de TomorrowNow à trouver un autre prestataire. 70 d'entre eux sont déjà clients chez SAP. Les autres auront le choix, y compris celui d'opter pour... Oracle justement. (...)

(24/07/2008 08:26:56)

IBM continue de se désengager de Lenovo

IBM continue de se désengager de Lenovo, constructeur chinois auquel il a vendu en 2005 son activité micro-informatique. Avant-hier, IBM a cédé près de 116,2 millions de titres au prix unitaire de 5,9 HK$ ce qui lui a permis de retirer 77 M$ de cette vente de 1,3% du capital de Lenovo. En 2005, lorsque le cours de l'action de Lenovo s'établissait à 2,67 HK$, IBM avait obtenu 15% du capital en échange de sa division micro-informatique fortement déficitaire. Depuis, IBM a progressivement vendu ses titres Lenovo. A la suite de la dernière opération, il n'en détient plus que 4,7% après avoir, à chaque vente, réalisé des plus-values. Juste après la vente par IBM de sa centaine de millions de titres Lenovo, les analystes de JP Morgan ont révisé leur appréciation de la situation de Lenovo, qu'ils jugent désormais surestimée. JP Morgan anticipe un fléchissement des marchés micro-informatiques grand public chinois et américains. (...)

(23/07/2008 16:24:50)

La France à la traîne de l'Europe en matière d'utilisation des TIC

La France utilise moins l'informatique et Internet que les allemands, les anglais et les habitants des pays nordiques. Tel est le tableau en demi-teinte de la numérisation de l'économie et de la société française que dresse le Sessi (Service d'études et de statistiques industrielles), en charge de statistiques au Ministère de l'Économie et des Finances. Certes, le taux d'équipement en ordinateurs des entreprises frôle les 100%, En revanche, si l'on s'intéresse à la fréquence de l'usage de l'informatique par leurs salariés, la France se place en dessous de la moyenne de l'Europe (Europe des 15) qui s'établit à 53%. A titre indicatif, les pays où les salariés utilisent le plus l'ordinateur sont la Finlande (70%), l'Allemagne (61%) et les Pays-Bas (59%). Les français utilisent moins Internet au travail que leurs voisins Même constat pour la part des salariés utilisant au moins une fois par semaine Internet dans le cadre de leur travail. Cette part n'atteint que 38% en France. Elle est inférieure à la moyenne européenne (41%) et loin derrière celle des deux premiers pays, la Finlande (62%) et le Danemark (60%), mais aussi derrière celle de nos deux grands voisins, l'Allemagne (47%) et le Royaume-Uni (44%). Les entreprises françaises sont aussi à la traîne à l'aune de l'indicateur de l'équipement en réseau local. Là encore, le taux d'équipement en France est inférieur à la moyenne européenne qui se situe à 75%. Même constat pour la proportion d'entreprises qui on mis en place un site Internet. Elles sont 62% dans ce cas, soit un taux encore une fois inférieur à la moyenne européenne. Le nombre de serveurs sécurisés pour 100 000 habitants permet, quant à lui, d'apprécier la propension d'une population à effectuer des transactions sur Internet. La moyenne des pays membres de l'OCDE s'établit à 37 serveurs sécurisés pour 100 000 habitants. La France est nettement en queue de liste avec moins de 10 serveurs. A titre indicatif, le Royaume-Uni, troisième pays au monde, en compte 55. L'équipement à la maison n'est pas plus satisfaisant [[page]]Le train de vie numérique des ménages français ne permet pas de redorer le blason national. A données comparables, le taux d'équipement en micro des ménages français atteint 62%, soit en dessous de la moyenne de l'UE des quinze (68%) et loin derrière Le Danemark, la Suède et les Pays-Bas avec chacun 83 % des ménages, l'Allemagne (79 %), le Royaume-Uni (75 %) et la Finlande (74 %). Pour l'accès Internet, les données comptabilisées par Eurostat donnent un taux d'équipement des ménages français de 49%. Un taux bien faible comparé à celui constaté en moyenne dans l'UE à 27 (54%) et surtout par rapport à celui des Pays-Bas, de la Suède et du Danemark (tous autour de 80%), de l'Allemagne (71%), de la Finlande (69%) et du Royaume-Uni (67 %). (...)

(23/07/2008 16:07:10)

Un spammeur condamné à quatre ans de prison

Le spam peut rapporter gros à ceux qui en sont les auteurs. Notamment de fort rondelettes peines de prison. C'est ce qui vient d'échoir à Robert Soloway, qui a été condamné par la justice américaine à 47 mois d'emprisonnement. En plus de ses activités de pourrielleur, le cyber-délinquant comparaissait pour évasion fiscale. Il rejoint, au palmarès des spammeurs les plus actifs, Jeremy Jaynes et Adam Vitale, respectivement enfermés pour neuf et deux ans. Le juge s'est pourtant montré clément en ne suivant pas les réquisitions du procureur. Celui-ci réclamait une peine supérieure à celles dont ont hérité les deux prédécesseurs de Robert Soloway. Sept à neuf ans derrière les barreaux semblaient plus appropriés, aux yeux du ministère public, en raison du degré de « malveillance, des techniques de harcèlement, du nombre de spams » dont le condamné est l'auteur. Pour son avocat, en revanche, la sanction est trop sévère : le détenu n'a endommagé aucun ordinateur avec ses pourriels, n'a jamais expédié de code malicieux, ni dirigé ses destinataires vers des sites pornographiques. En somme, selon le barreau, Robert Soloway est un gentil spammeur. Des arguments qui n'ont pas ému la Cour, qui a tenu à faire de ce cas un exemple qu'elle espère dissuasif. Surtout, les juges ont basé leur condamnation sur le passif du serial-spammeur, comme le suggérait le procureur : « cet individu a refusé de mettre fin à sa conduite délictueuse, n'a pas tenu compte de deux jugements au civil et d'une injonction prononcée par un juge américain. La manière la plus efficace d'arrêter Soloway est une longue peine de prison. » Le coupable, tout penaud, reconnut, avant de partir vers les geôles, que « nul n'est à blamer, sauf [lui]. » (...)

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