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(05/12/2011 16:23:38)

Des puces 4 coeurs Qualcomm S4 pour les tablettes Windows 8

Qualcomm vient d'indiquer que sa puce ARM quatre coeurs SnapDragon, gravée en 28 mn, sera capable d'animer les tablettes équipées du prochain système d'exploitation Windows 8 de Microsoft et attendues dans la seconde moitié de l'année 2012. Les puces quad-core de la ligne de produits Snapdragon S4 sont bien sûr basées sur l'architecture ARM. Ces processeurs qui seront également disponibles en version mono et double coeur fonctionneront à des vitesses d'horloge comprise entre 1,5 et 2,5 GHz. Microsoft a déclaré que Windows 8 fonctionnera avec les processeurs ARM, et il a choisi Qualcomm, Texas Instruments et Nvidia comme partenaires initiaux pour les puces.

Le coeur graphique Adreno de Qualcomm, compatible DirectX 9.3, soutiendra la technologie multimédia qui sera disponible dans Windows 8. Une porte-parole de Qualcomm a toutefois refusé de commenter à notre confrère d'IDG NS, Agam Shah, quand les tablettes Windows 8 seront disponibles sur le marché. Mais Microsoft a déjà exhibé une ardoise Win 8 sur base Snapdragon. 

Nvidia a déjà sorti sa puce ARM 4 coeurs, la Tegra3

L'éditeur de Redmond  n'a pas annoncé de date de sortie officielle pour Windows 8. Toutefois, Intel a déjà déclaré que l'OS sera disponible au plus tard l'année prochaine, ce qui pourrait indiquer que les tablettes S4 seront prêtes au même moment. Les puces Snapdragon sont déjà utilisées dans les ardoises HTC Jetstream et Lenovo IdeaPad U1. Pour sa part, Qualcomm précise travailler sur près de 30 modèles de tablette avec le haut du panier des constructeurs, selon la porte-parole du fondeur. Le marché commence donc à s'échauffer. Nvidia a déjà livré une puce ARM quad-core pour tablettes, la Tegra3, déjà utilisé par HTC pour son ardoise Quattro sous Android, tandis qu'Asustek a récemment annoncé que son Eee Pad Transformer, équipé d'un écran 10 pouces, sera doté de ce même processeur. 

Mais des interrogations commencent à se lever au sujet du réel intérêt de ces puces quatre coeurs, car les modèles dual-core répondent aux besoins de la plupart des tablettes, a souligné Dean McCarron, analyste chez Mercury Research. Les processeurs quad-core x86 sont par exemple utilisés dans moins de 10% des PC commercialisés, et le marché des tablettes pourrait connaître le même taux d'adoption, a-t-il indiqué.

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(05/12/2011 16:20:35)

Méventes de la Playbook : RIM provisionne 485 millions de dollars

La tablette Playbook pèse lourdement sur les comptes de son fabricant Research in Motion (RIM). Le Canadien va devoir provisionner pas moins de 485 millions de dollars au cours du 3ème trimestre 2011 pour compenser le coût de ses stocks invendus. Avec des tablettes commercialisées à un tarif inférieur à leur prix d'origine et qui ne décollent toujours pas, RIM pourrait bientôt suivre les traces de HP en arrêtant complètement leur production. En faisant un rapide calcul basé  sur le prix de vente (500 dollars) de la PlayBook de base (16 Go), il semble que RIM va devoir s'asseoir ou considérer comme perdus près de 970 000 exemplaires. Cela fait beaucoup de tablettes invendues.

RIM espérait faire fructifier sa réputation de leader du marché des terminaux mobiles d'entreprise en se différenciant des tablettes l'iPad d'Apple. Bien qu'il existe une grande diversité de produits concurrents sur ce segment, comme l'iPad d'Apple, la Xoom de Motorola ou la Galaxy Tab de Samsung, RIM a essayé de se positionner avec une tablette uniquement destinée à un usage professionnel. Reste que peu de personnes manifestent leur désir de l'acheter.

Un tarif abaissé de 300 dollars

Pourtant, la PlayBook compte des adeptes, mais son lancement a essuyé des critiques et de l'incrédulité, ce qui a scellé son sort en dépit des prétentions ambitieuses affichées par les dirigeants du constructeur. Ce dernier s'est démené pour garantir aux utilisateurs que sa tablette serait à la hauteur de sa réputation, en promettant une mise à jour majeure à venir pour  début 2012. Mais qui voudrait attendre plusieurs mois avant d'acheter une telle tablette alors qu'il en existe actuellement de nombreuses autres qui fonctionnent bien mieux  ?

RIM a réduit le prix de la PlayBook de 500 $ à 200 $ au cours du Black Friday qui a lancé la saison des achats de fin d'année aux Etats-Unis. La tablette est toujours disponible à ce prix chez Best Buy, et sur le site de RIM, mais sur ce dernier, l'offre a expiré le 3 décembre 2011.

Concurrencée à la fois par l'iPad d'Apple et par la Kindle Fire d'Amazon, la BlackBerry PlayBook se vend difficilement, même à 200 $. Pour 500 $ la plupart des consommateurs et des utilisateurs professionnels penchent pour l'iPad 2, et pour 200 $ la Kindle semble être très convaincante pour une tablette grand public sous Android. Si le prix de la PlayBook remonte à 500 $, cela risque probablement de prononcer sa condamnation à mort.

Même si RIM brandit le drapeau blanc, Apple sera tout de même confronté à une certaine concurrence sur le marché des tablettes professionnelles. La firme de Cupertino devra affronter Cisco et sa tablette Cius, qui coûte 725 $. On ne sait pas encore bien comment, mais l'équipementier prévoit de doubler la mise avec une plus grande version de sa tablette prévue pour 2012.

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(05/12/2011 15:49:54)

Sourcefire rentre sur le marché du firewall applicatif par l'IPS

Sourcefire, connue pour ses systèmes de prévention contre les intrusions (IPS) reposant sur la technologie Open Source Snort a décidé de leur ajouter la fonctionnalité firewall applicatif. Pour Cyrille Badeau, directeur régional de la zone Europe du Sud de Sourcefire « notre solution de contrôle applicatif diffère de nos concurrents en ce que nous entrons sur le marché du firewall par l'IPS, via la plateforme Power ». Concrètement, cela signifie que l'éditeur contextualise le contrôle applicatif et ne le systèmatise pas. Ainsi, si une entreprise souhaite bloquer l'utilisation de Facebook pour certaines personnes, mais l'autoriser pour d'autres, la solution NexGen Firewall, qui utilise le système Firesight, va donner d'abord un état des lieux du réseau. « Avec cette connaissance, il est plus facile d'établir quels sont les divisions métiers, les postes et les OS qui vont avoir accès à ces applications. Ensuite, il s'agit d'appliquer des règles de sécurité sur cette cartographie. Nous avons privilégié une approche de gestion des risques plutôt qu'un filtrage d'URL (plutôt l'apanage des solution UTM) ».

Une intégration progressive

Palo Alto Networks et Checkpoint proposent des produits concurrents à Sourcefire. L'éditeur travaille depuis près d'un an sur cette orientation vers le firewall applicatif. Il s'agit d'une surcouche logicielle intégrée aux appliances de sécurité de la firme américaine. Selon Cyrille Beaudeau « cette fonction est disponible dès aujourd'hui sur les boitiers haut débits et sera disponible sur tous les boitiers dans les prochains trimestres ». Sur le plan tarifaire, le responsable reste laconique mais évoque un surcoût de 10% sur les solutions existantes.

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(05/12/2011 14:33:20)

Etude SaaS Forrester : les décideurs IT face aux nouvelles tendances

Selon Forrester Research, alors que le SaaS (Software as a Service) gagne en maturité et en popularité, les acheteurs informatiques des entreprises se retrouvent aujourd'hui aux prises avec de nouvelles considérations au moment du choix. Ainsi, Liz Herbert, analyste chez Forrester et auteur du rapport, a répertorié cinq domaines clefs du SaaS dans lesquels elle a constaté des changements : la spécialisation de l'industrie, l'analyse intégrée, l'orchestration des services, les réseaux sociaux et la mobilité.

« Pour l'industrie, certaines solutions intègrent plus que les bonnes pratiques et les modèles de code, soit sous forme de packs d'applications préconfigurées ou prêtes à l'emploi, soit sous forme de cloud orchestré ou de boutique de vente en ligne pour un secteur spécifique, » écrit l'analyste. « Mais le problème pour les acheteurs, c'est que cela se traduit par des coûts plus élevés, parfois très conséquents, » a-t-elle ajouté. « Par exemple, certaines solutions micro-verticales basées sur NetSuite coûtent quatre fois plus chères que NetSuite lui-même. »

Les outils spécialisés toujours indispensables

Les analytiques sont devenus un élément intégrant des offres SaaS et sont adaptés « au contexte dans lequel travaillent les utilisateurs, » écrit encore Liz Herbert. « De nombreuses entreprises souhaitent disposer en priorité de données d'évaluation spécifiques à leur activité afin de pouvoir comparer leurs performances avec leurs concurrents, un type d'analyses que certains fournisseurs de SaaS commencent à proposer. » Cependant, en général, les applications SaaS s'emploient plutôt à fournir des rapports que des comptes rendus spécifiques, « si bien que les clients doivent encore se tourner vers des outils spécialisés, » ajoute-t-elle.

« En même temps, les clients qui souhaitent faire tourner une série d'applications SaaS disposent de plus de choix sur la manière de les gérer, » avance Liz Herbert. « Face à la prolifération d'applications SaaS et de solutions plus légères, émanant souvent aussi de vendeurs moins fiables, certaines entreprises aimeraient pouvoir disposer d'une solution plus simple, émanant d'un fournisseur unique et responsable, pour leurs contrats, la facturation, le provisioning, le support, l'intégration, les mises à jour, et les tests, » écrit-elle. A l'heure actuelle, seuls des fournisseurs comme Hewlett-Packard offrent de tels services. Encore que ceux-ci sont, en général, des « arrangements ponctuels, qui répondent à une demande particulière. » Cependant, selon l'analyste, « les acheteurs peuvent s'attendre à ce que ce modèle se développe. »

Penser aux déploiements mobiles à venir

« La tendance à l'orchestration augmente avec le développement de boutiques d'applications en ligne, qui permettent aux clients d'acheter facilement des add-ons pour leurs applications SaaS, » écrit Liz Herbert. « Mais les deux filières d'approvisionnement comportent des risques, notamment un verrouillage de la part du vendeur, » explique-t-elle. « Les acheteurs de SaaS doivent également veiller à ce que leurs fournisseurs aient des capacités et une forte stratégie orientée vers les médias sociaux, » ajoute encore l'analyste. « Les entreprises de premier plan effectuent leurs recrutements via Facebook et Second Life et s'adressent à leurs clients via Twitter et Facebook, » écrit-elle. « Les responsables du sourcing doivent veiller à trouver des solutions qui permettent d'intégrer les informations sociales aux sources d'information traditionnelles, y compris des analyses permettant une vue d'ensemble des salariés, des clients et des produits. »

« Enfin, les acheteurs devraient prendre le temps de s'intéresser à la façon dont les fournisseurs de SaaS  réalisent déjà ou envisagent d'effectuer leurs déploiements mobiles, » selon Liz Herbert. « Cette nouvelle tendance concerne la plupart des solutions SaaS. Des fonctionnalités sympathiques et innovantes risquent de ne pas avoir beaucoup de valeur, si le personnel utilise des terminaux plus anciens, » écrit-elle. Mais au cours des 10 prochaines années, la baisse des prix, les progrès en matière d'autonomie des batteries et la couverture haut-débit, ainsi que d'autres facteurs « vont mettre la mobilité au premier plan. »

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(05/12/2011 13:47:37)

La bêta de Windows 8 attendue début 2012

Il semble que Microsoft soit sur la bonne voie pour livrer Windows 8 selon un calendrier similaire à celui adopté pour Windows 7, avec une version bêta de son prochain OS livrée début 2012. Le géant du logiciel n'a pas encore annoncé officiellement la date à laquelle Windows 8 sortirait, ni même à quelle date, une version bêta serait disponible. Mais deux sources affirment qu'une bêta de Windows 8 sera livrée dans les prochains mois.

Selon le site The Next Web, qui affirme détenir des informations de sources anonymes « proches de Microsoft, », la version beta de Windows 8 sera lancée en février. Mais le site Winrumors prétend, selon ses propres sources, anonymes également, qu'une première version stable du futur OS sera testée quelques semaines plus tôt, c'est à dire fin janvier.

Un planning de sortie proche de celui de Win 7

Que ce soit en janvier ou en février, la sortie d'une version bêta de Windows 8 début 2012 n'est pas particulièrement surprenante. De nombreux observateurs pensent que Win 8 adoptera un calendrier de sortie similaire à celui de Windows 7. Microsoft avait rendu publique la version bêta de Seven en janvier 2009, et la version quasi définitive c'est-à-dire la release candidate de Windows 7 avait été livrée quatre mois plus tard. Le 22 octobre 2009, Seven était officiellement lancé.

L'attente suscitée par la sortie de Windows 8 en 2012 a été largement entretenue par diverses informations divulguées ici et là, sans parler des déclarations publiques faites par Steve Ballmer, le PDG de Microsoft. Cependant, certains éléments laissent croire que Windows 8 pourrait être prêt un peu plus vite que son prédécesseur. Le directeur général de Nokia France a récemment indiqué à un journal économique français que le fabricant de mobiles finlandais prévoyait de sortir une tablette tournant sous Windows 8 en juin 2012. On ne sait pas très bien si le dirigeant de Nokia voulait dire que le constructeur commencerait à produire ses tablettes à cette date-là ou si elles seront effectivement commercialisées à ce moment-là. Dans le premier cas, cela ferait bien coïncider le calendrier de sortie de Windows 8 avec celui de Windows 7. En effet, Microsoft avait livré Seven aux constructeurs en juin 2009 afin de leur permettre d'intégrer l'OS dans leurs produits. Et les premiers PC tournant sous Windows 7 étaient apparus en octobre de cette même année.

La version bêta de Windows 8 n'est sans doute pas encore prête, mais, en septembre, Microsoft a diffusé une preview du nouvel OS aux développeurs. Ceux qui souhaitent l'essayer peuvent la télécharger en suivant ce lien.

Crédit D.R.

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(05/12/2011 12:18:18)

Affaire Carrier IQ : Plaintes déposées et la FTC saisie pour enquête (MAJ)

En fin de semaine dernière, un chercheur en sécurité, Trevor Eckhart, a expliqué que  le logiciel développé par Carrier IQ et installé sur les terminaux par les fabricants et les opérateurs enregistrerait des données à l'insu de l'utilisateur, comme des frappes au clavier et l'historique de navigation Internet. Grâce à un changement de code, ce programme peut devenir un logiciel espion redoutable. De son côté, l'éditeur Carrier IQ a commencé par nier les allégations du chercheur en sécurité et affirmé que sa technologie est utilisée uniquement à des fins de diagnostic pour améliorer les performances du terminal et la qualité du réseau. Cependant, une vidéo postée par Trevor Eckhart semble montrer que le logiciel enregistre les frappes des touches.

Après l'émoi suscité par cette affaire, un élu démocrate du Massachusetts, Edward Markey, a envoyé une lettre à la FTC pour lui demander d'enquêter sur Carrier IQ. « J'ai de sérieuses inquiétudes au sujet du logiciel Carrier IQ, notamment s'il a secrètement recueilli des données personnelles, tels que le contenu des messages texte, » a-t-il déclaré dans un communiqué. La FTC est chargée de protéger les gens contre les « actes ou pratiques injustes et trompeuses ». La commission fédérale ne s'est pas exprimée sur la suite accordée à cette demande.

Outre la demande d'enquête, deux plaintes en class action (recours collectif) ont été déposées dans l'Illinois pour infraction à une loi sur les écoutes téléphoniques. Les plaintes concernent les opérateurs, mais également les constructeurs de terminaux mobiles comme Samsung et HTC. Les plaignants réclament plusieurs millions de dollars de dédommagement. Une autre action judiciaire a été déposée en Californie.

NB: L'Europe commence aussi à s'intéresser à Carrier IQ. En Allemagne, le régulateur bavarois des données privées a envoyé une lettre à Apple pour connaître son implication dans l'utilisation de Carrier IQ. La réponse intéressera aussi l'Information Commissioner's Office (ICO) britannique (équivalent de la CNIL) et le BEUC (le bureau européens des usagers et des consommateurs).

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(05/12/2011 11:14:41)

SAP rachète SuccessFactors pour propager ses offres cloud

SAP America a annoncé au début du week-end qu'il déboursait 3,4 milliards de dollars en numéraire pour s'offrir SuccessFactors, éditeur d'outils de gestion du capital humain en mode Software as a service (SaaS). Les dirigeants de SAP ont indiqué que ce rachat allait sensiblement accélérer l'avancée du groupe allemand dans le domaine des applications de gestion exploitées dans le cloud. La transaction, encore soumise à des approbations réglementaires, devrait être effective au premier trimestre 2012. Elle valorise l'action de Successfactors à 40 dollars, soit un bonus de 52% par rapport à son cours du 2 décembre 2011.

On pressentait depuis une quinzaine de jours que l'éditeur allemand était sur le point de réaliser une nouvelle croissance externe. L'un de ses co-PDG, Jim Hagemann Snabe avait lui-même évoqué cette probabilité lors de la conférence annuelle organisée par la banque Morgan Stanley.

Lars Dalgaard va conduire l'activité cloud de SAP

Lars Dalgaard, fondateur et PDG de SuccessFactors, va rejoindre SAP pour diriger son activité cloud, tout en gardant la direction de sa société d'environ 1 450 employés, basée à San Mateo, en Californie. Cette dernière restera indépendante, a indiqué son acquéreur. SAP « partage notre vision du cloud et de l'importance que représente cette opportunité », a déclaré Lars Dalgaard lors de l'annonce du rapprochement. « Nous avons eu un parcours incroyable au cours des dix dernières années », a-t-il ajouté en soulignant que, malgré tout, le développement du cloud ne faisait que commencer. Son nouveau champ d'action : les 176 000 clients de SAP auxquels il va proposer l'interface conviviale de ses logiciels disponibles sur terminaux mobiles et via le web.

Lars Dalgaard a créé Successfactors en 2001 pour développer des solutions permettant d'aligner les collaborateurs d'une entreprise sur les objectifs stratégiques définis par ses équipes de direction. Une démarche dont il avait pu constater la validité dans ses précédentes fonctions comme dirigeant de filiales chez Unilever et Novartis. Par la suite, l'offre s'est complétée, par développement ou acquisitions, des différentes briques nécessaires à la gestion des RH : recrutement, suivi des rémunérations et des successions, fonctions en self-service, gestion des talents, analyse et planification des ressources, suivi des actions de formation, collaboration.

Une combinaison de choc, selon Bill McDermott

SAP considère que l'offre de SuccessFactors est particulièrement complémentaire avec ses solutions de gestion du capital humain (HCM), de même qu'avec ses applications en ligne, Business ByDesign et les offres complémentaires pour grandes entreprises (Line of business*). Le cloud est au coeur du développement futur de SAP, a rappelé le co-PDG Bill McDermott dans un communiqué en estimant que l'association des équipes de SuccessFactors et de la technologie de SAP allait constituer une combinaison de choc.

La société californienne annonce 15 millions d'abonnés à ses logiciels en ligne pour plus de 3 500 clients répartis dans 168 pays. Au troisième trimestre 2011, SuccessFactors a réalisé une progression de 77% sur son chiffre d'affaires, à 91 millions de dollars (fin septembre). Sur les neuf premiers mois de l'année, l'augmentation est de 59%, à 232 millions de dollars. L'ambition affichée de SAP est de faire croître considérablement le nombre d'utilisateurs de ses logiciels. Dans cette perspective, le groupe allemand souligne le potentiel que représentent les 500 millions de collaborateurs totalisés par ses clients et ses 15 000 déploiements HCM (Human Capital Management).

L'un des derniers rachats de SAP remonte à septembre lorsqu'il a acquis Crossgate, éditeur et opérateur d'une plateforme d'échange de données interentreprises. Sa précédente transaction de grande ampleur (5,8 milliards de dollars) remonte à mai 2010 avec l'acquisition de Sybase. Sa première opération de croissance externe de grande envergure (6,8 milliards de dollars) avait porté en octobre 2007 sur l'éditeur français Business Objects.

(*) SAP prépare pour l'an prochain des solutions de recrutement (Career OnDemand) et de gestion des frais de déplacement (Travel OnDemand).

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(05/12/2011 10:50:17)

Le très haut débit amorce son décollage selon l'Arcep

La France compte désormais 22,395 millions de foyers connectés en haut débit, selon les premiers chiffres de l'Observatoire trimestriel de l'Autorité de régulation des communications (Arcep). Parmi eux, 175 000 sont connectés via la fibre optique, ce qui représente une augmentation de 20% en trois mois seulement.

Le dégroupage se porte bien

Parmi les autres données fournies par l'Arcep, le nombre de logements éligibles aux offres FTTH (fibre optique) bondit de 40% en un an, atteignant désormais le chiffre de 1,35 millions. Quant au dégroupage, il concerne désormais 9,670 millions de lignes, dont 8,576 millions en dégroupage total.

Ces indicateurs, qui concernent le troisième trimestre 2011, sont tous au vert.

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(05/12/2011 10:43:53)

Open Data : le site data.gouv.fr est officiellement ouvert (MAJ)

Annoncé par François Fillon, la semaine dernière, lors des Assises du numérique, le gouvernement a décidé de donner aux internautes français un libre accès à l'ensemble des données publiques de l'administration, via le portail data.gouv.fr officiellement lancé ce lundi 5 décembre. Ce site regroupe toutes les données de l'Insee sur le recensement des 36 000 communes de France, mais aussi des informations sur le budget de l'Etat, l'environnement, la sécurité routière, les dépenses de santé, etc. Plus de 352 000 jeux de données publiques sont accessibles gratuitement. Techniquement, la plateforme a été développée, selon les Echos, par Logica et utilise le moteur de recherche Exalead, propriété de Dassault Système.

Annoncé au printemps dernier par le Premier ministre François Fillon, ce portail, fruit du travail d'Etalab, a pour but de mettre à disposition des citoyens l'ensemble des données publiques de l'Etat et de ses établissements publics administratifs. Les postes de dépenses du budget général de l'Etat, la mesure de la qualité de l'environnement ou la géolocalisation des accidents de la route sont quelques exemples d'informations mises en ligne sur ce site. Toutes ces données peuvent être consultées en ligne ou bien téléchargées.

Stimuler la création d'applications

Philippe Cros, coordinateur open data du Ministère de l'Agriculture, précise sur le site « si les retombées économiques à venir de data.gouv.fr sont certaines, elles restent  aujourd'hui difficilement estimables. » L'objectif de cette initiative, outre le principe de transparence, est de faciliter la création d'applications notamment mobile intégrant ces données publiques. Eric Besson, ministre de l'Industrie et en charge de l'économie numérique avait lancé cet été des appels à projet au niveau européen sur ce sujet.

Philippe Cros donne comme exemple l'INAO (Institut National des Appellations d'Origine) met en ligne sur data.gouv.fr la liste des communes sur lesquelles se trouvent des appellations d'origine (du vin, du fromage, des volailles, etc.). « Il est évident que des applications pour mobiles feront très vite apparaître par couplage avec le GPS intégré quelles richesses gustatives offre le territoire dans lequel le citoyen en déplacement se trouve » conclut le coordinateur.

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(05/12/2011 10:22:15)

Temenos et IBM vont travailler plus étroitement dans le conseil

Selon le communiqué, cet accord résulte d'une collaboration de onze ans dans le domaine des technologies et des services et plus particulièrement dans la gestion de fortune. Ce nouvel accord associe l'expertise d'IBM dans l'industrie de transformation de programme à grande échelle avec les solutions éprouvées deTemenos. Il bénéficiera à des clients commun aux deux entreprises tels que la Banque industrielle de Corée et Marfin, sachant que, actuellement, 60% des clients de Temenos utilisent de la technologie d'IBM.

La crise financière et les changements de régulation poussent les banques à réduire leurs coûts et se démarquer de la concurrence avec des nouveaux services. C'est ce qui constitue la base de la coopération. En outre, selon le communiqué, avec l'acquisition d'Odyssey en 2010, Temenos est mesure d'offrir des solutions dans la gestion de fortune qui incluent un partenariat existant avec IBM.

Par ailleurs, Bernd-Michael Rumpf a été nommé au poste de Customer Services Group chez Temenos. A ce titre, il sera responsable des services de conseils, de l'implémentation des solutions, du développement de la clientèle, du support et des services de formation des clients. Il sera placé sous la houlette de Guy Dubois, CEO.

Avant de rejoindre Temenos, Bernd-Michael Rumpf a travaillé pendant 12 ans chez SAP où il a occupé divers postes de direction. Titulaire d'un doctorat en Business Administration de l'Université de St Gall et d'un MBA de la London Business School, il a notamment été Head of Field Services and Support, en charge d'une équipe de 18 000 personnes. Auparavant, il a été Strategic Consultant and Principal chez Cap Gemini Ernst & Young.

ICTJournal.ch

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