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(05/12/2011 10:08:00)
Les DSI frileux avec la consumérisation IT
L'interdiction est sans doute considérée comme la solution aux difficultés à gérer la sécurité de ces terminaux hétérogènes et non-contrôlés par nature. Mais cette solution est sans doute illusoire tant la pression des utilisateurs est forte pour utiliser les outils jugés les plus pratiques à leur disposition pour accéder aux systèmes d'information quand et où ils le veulent.
Une évolution devenue inéluctable
49% des répondants admettent d'ailleurs qu'ouvrir le système d'information aux terminaux personnels sera obligatoire dans l'avenir pour répondre aux attentes des clients de leur entreprise.
Une des manières de réagir est de déléguer la responsabilité des conséquences des usages de ces terminaux aux utilisateurs. 31% des répondants le font explicitement, 41% considèrent que les utilisateurs sont par principe responsables de leurs propres outils, notamment en termes de pertes ou de détournements de données ayant transité par ces terminaux.
Services à la personne : l'amendement Borloo confirmé pour l'assistance informatique
Curieux scénario jeudi dernier à 'Assemblée nationale. Alors qu'un amendement pour restreindre l'avantage fiscal pour certain services à domicile (dont l'informatique) avait été adopté en commission des finances, le gouvernement s'y est finalement opposé. Sans doute suite à l'opposition du Syntec Numérique.
Mais les parlementaires eux ont protesté ! Dénonçant le laxisme fiscal du gouvernement (le dispositif coûte 3,6 milliards d'euros contre 2 il y a cinq ans) et surtout les dérives des services à domicile. La société Acadomia est dans le viseur, mais un député, Christian Eckert a également cité l'utilisation par les sociétés informatiques de l'argument fiscal pour vendre leurs prestations.
Valérie Pécresse, ministre du budget a vanté l'intérêt de l'avantage fiscal en matière d'emplois, tout en reconnaissant que le dispositif coûtait cher.
Un ingénieur utilise Siri d'Apple pour contrôler sa voiture
Brandon Fiquett a montré sur son site comment il a réussi à contrôler le démarrage et l'arrêt de son véhicule en donnant un ordre à Siri, assistant vocal de l'iPhone 4S. Cet ingénieur a utilisé le proxy server développé par la société française Applidium et nommé Plamoni. Cet outil a été utilisé récemment par un développeur qui avait réussi à piloter à la voix le thermostat de sa maison.
Dans le cas de la voiture, Brandon Fiquett a installé préalablement un module Viper SmartStart de la société Directed Electronics. Il s'agit d'un équipement qui utilise le réseau de téléphonie mobile et permet certaines actions comme arrêter ou démarrer sa voiture. Des applications sous iOS et Android existent pour contrôler à distance sa voiture. L'ingénieur a créé un script en PHP, pour que le module envoie des commandes via Siri Proxy. Il a réussi à intégrer plusieurs actions. Cela démontre le potentiel et le buzz qui commence à se développer autour de Siri. Apple ne réagit pas pour l'instant à la prolifération de ces développements originaux.
(...)
Une tablette Android à 249 euros chez ViewSonic
ViewSonic se pose aujourd'hui en concurrent du français Archos sur le segment des tablettes à prix serrés. Les composants et le système d'exploitation Android ne sont pas de dernière génération, ce qui explique le prix compétitif de l'ardoise ViewPad 10e, 249 euros. Cette tablette associe un processeur Cortex A8 cadencé à 1 Ghz épaulé par 512Mo de mémoire vive alors que les leader du marché, Apple et Samsung, sont passés sur des puce ARM double coeur. La ViewPad 10e est livré 4 Go d'espace de stockage en Flash, extensible à 36Go avec une carte MicroSD. Presqu'aussi fin avec ses 9,1mm d'épaisseur que l'iPad (8,8mm), la ViewPad 10e est équipée d'un capteur de 1,3 mégapixels.
Elle fonctionne avec le système d'exploitation Android 2.3 (Gingerbread), alors que les derniers produits Android sont en train de passer à la version 4.0. Certaines applications ne pourront donc pas fonctionner sur Gingerbread. On en revient encore à l'éternel problème de la fragmentation d'Android. C'est un peu comme si des constructeurs de PC livrés aujourd'hui des produits animés par Windows Vista, pas vraiment un bon souvenir chez les utilisateurs. Conçu à l'origine pour les smartphones, Gingerbread n'est pas l'OS mobile le mieux adapté aux tablettes.
Le ViewPad 10e intègre ViewScene 3D, une interface personnalisable dans laquelle il est possible d'installer des widgets 3D. ViewSonic a également préinstallé de nombreuses applications, dont Amazon Kindle, qui donne accès à des livres et de magazines (en angalis principalement). La tablette sera en vente en France d'ici à la mi-décembre.
(...)(02/12/2011 17:19:53)RecapIT : Carrier IQ espionne les mobiles, les tromperies de Facebook sanctionnées, Hadopi s'attaque au streaming
Est-ce que Big Brother existe ? Oui, mais ils sont plusieurs. Si on regarde l'actualité cette semaine, États, opérateurs, constructeurs de téléphonie mobile, réseaux sociaux, personne n'échappe à cette frénésie de vouloir tout sur nous. A commencer par le mobile, les logiciels espions pour smartphones deviennent une tentation grandissante et abordable pour les amoureux trompés, mais aussi pour les entreprises prises de doutes sur certains salariés. Plus grave est l'affaire Carrier IQ, un bout de code de ce programme, qui a été installé sur près de 140 millions de terminaux mobiles, pouvait permettre aux fabricants et aux opérateurs d'enregistrer des données à l'insu de l'utilisateur, comme des frappes au clavier et l'historique de navigation Internet.
Wikileaks a rajouté une couche à ce tourbillon d'inspection généralisée, en présentant les différentes sociétés qui vendent des outils de surveillance électronique des réseaux. Pour certaines, les ventes se font à des pays sous régime dictatorial et les solutions servent à suivre les opposants. Même Facebook a fait son mea culpa en déclarant des tromperies sur la garantie de confidentialité des données de ses utilisateurs. La FTC a appliqué la même peine qu'à Google Buzz, 20 ans de mise sous surveillance. L'Union européenne, pour sa part, a appelé à l'unification des législations nationales sur la protection des données. D'autres initiatives, comme le moteur de recherche Open Source en mode P2P, Yaci tente de se démarquer des analyses comportementales des grands moteurs comme Google, Yahoo, Bing. Enfin, le gouvernement français a chargé Hadopi de travailler sur les mesures pour arrêter le streaming et le téléchargement direct de contenus illégaux. L'Autorité a 3 mois pour rendre sa copie et certains s'inquiètent de la mise en place de technique de filtrage (DPI) peu compatible avec la protection de la vie privée.
Free Mobile en préparation et iPhone 5 + iPad 3 annoncés
14, 19 ou 24 décembre, telles sont les rumeurs sur le lancement de l'opérateur Free Mobile. Des analystes parient sur des forfaits démarrant à 10 euros. Du côté d'Apple, la version beta d'iOS 5.1 a révélé quelques surprises comme des références à l'iPhone 5 et l'iPad 3. L'assistant vocal d'Apple continue à faire parler de lui avec un développeur qui a réussi à contrôler le démarrage et l'arrêt de sa voiture. Android n'est pas en reste dans l'amélioration, des programmeurs ont publié un projet de portage de la version 4.0, dite Ice Cream Sandwich sur des processeurs X86. On notera aussi la prise de conscience de RIM sur la concurrence en intégrant les mobiles sous Android et iOS au sein de sa plateforme de gestion de mobile, nommée Fusion Mobile.
Salesforce siphonne les médias sociaux et l'Europe veut se protèger du Patriot Act
Dans la lignée de l'introduction de l'article, les données publiées sur les médias sociaux intéressent beaucoup les entreprises. Ainsi, avec Radian 6, Salesforce.com a lancé un cloud marketing qui siphonne les réseaux sociaux. Le collaboratif est aussi un sujet important cette semaine, avec Microsoft qui a étoffé sa suite bureautique et de communication en ligne Office 365. Par ailleurs, Tibco a présenté la version 4.0 de sa plateforme analytique qui intègre un axe collaboratif. Devant l'afflux de ces données, les grands acteurs de l'IT travaillent sur le traitement de ces énormes volumes d'informations. HP a montré à Vienne la combinaison d'Autonomy et de Vertica pour traiter toutes sortes de données (structurées ou non). Enfin, soulignons pour conclure l'initiative de deux entreprises suédoises qui se sont alliées pour offrir à leurs clients un cloud de stockage localisé en Europe et soumis au droit communautaire, pour éviter les dérives du Patriot Act américain. En vertu de cette loi, les données des utilisateurs européens des services cloud américains peuvent secrètement être saisies par des agences fédérales.
Face au Patriot Act, l'Europe pousse à un cloud de stockage européen
L'Union européenne, préoccupée par l'intrusion des lois américaines, a créé un nouveau marché pour des services européens de cloud computing. Un récente enquête a indiqué que 70% des Européens se préoccupaient de la protection de leurs données en ligne et de la sécurisation de ces dernières dans les entreprises. A présent, deux entreprises suédoises, Severalnines et City Network ont commencé à promouvoir leurs services nouvellement fusionnés comme «un refuge » contre le Patriot Act. En vertu de cette loi, les données des utilisateurs européens des services cloud américains peuvent secrètement être saisies par des agences fédérales.
« Nous pensons qu'un service qui est détenu, qui est exploité localement dans l'UE et qui est entièrement compatible avec la législation européenne de protection des données, sera très attrayant pour les entreprises européennes », a déclaré Johan Christenson, PDG de City Network. Il a ajouté que les entreprises américaines qui réalisent des opérations sur le sol européen bénéficieront d'une plus faible latence avec une solution hébergée localement . Cette ouverture du marché est également exploitée par d'autres entreprises tels que DNS Europe, Colt et MESH. Ce dernier encourage fortement sa localisation en Allemagne et la séparation des données en stricte conformité avec les lois allemandes de protection des données.
Echec du Safe Harbor Agreement
Les législateurs européens sont également préoccupés par la protection accordée aux données personnelles dans le cloud. « Il est crucial, pour les entreprises et les utilisateurs européens, que les données dans le cloud soient stockées dans un pays sûr », a pour sa part estimé Philippe Juvin, un membre du Parlement européen.
L'Europe et les Etats-Unis ont tenté de surmonter la méfiance des utilisateurs avec le Safe Harbor Agreement, mais il a largement été considéré comme ayant échoué. Selon l'accord, les organisations américaines auto-certifient leur adhésion aux principes de la sécurité des données, mais il existe très peu d'applications et certaines lois américaines, en particulier le Patriot Act, peuvent remplacer ses principes. Des juristes, tels que Theo Bosboom de Dirkzager Lawyers, considèrent que le Safe Harbor Agreement est dépassé. « J'ai bien peur qu'il n'ait plus grande valeur, puisqu'il semble que les entreprises américaines qui proposent de stocker les données dans un cloud européen seront tout de même obligées d'autoriser le gouvernement américain à y accéder sur la base du Patriot Act », explique-t-il.
Des mesures sur le cloud dans la nouvelle directive européenne
Sophia In't Veld, du MEP, n'est également pas une adepte de cet accord. Pour elle, le Safe Harbor Agreement était une bonne idée, mais il n'a pas fonctionné. Quand il a été mis en place, les temps étaient différents et il est presque devenu redondant avec le progrès technologique. « Nous sommes conscients des problèmes des zones de juridiction entre l'UE et les Etats-Unis », a-t-elle exposé. « Or, un système comme le Safe Harbor Agreement n'est pas un concept suffisamment solide pour pouvoir résoudre ces problèmes ».
L'UE est actuellement en pourparlers avec les Etats-Unis sur les transferts de données sensibles à travers l'Atlantique et une nouvelle directive européenne sur la protection des données sera publiée début 2012. La commissaire européenne en charge de la justice Viviane Reding a promis d'y inclure des mesures pour couvrir les données dans cloud mais il semble que les services cloud européens puissent y voir une opportunité marketing.
(...)
Oracle optimise WebLogic 12c pour le cloud
Comme on l'attendait, Oracle a fait évoluer son serveur d'application WebLogic (ex-BEA) de façon à faciliter les déploiements dans le cloud, ainsi que l'a souligné Mike Lehmann, directeur senior produit, lors de l'annonce de la version 12c hier soir, par webconférence. « De nombreux clients exploitent des datacenters traditionnels mais sont intéressés par une migration vers le cloud. WebLogic 12c a été conçu pour cela ». Le suffixe « c » derrière le numéro de version vient souligner cette destination. WebLogic est le deuxième produit du catalogue à l'arborer après Enterprise Manager 12c annoncé sur OpenWorld 2011. Cette solution est au coeur de l'appliance Exalogic qu'Oracle préconise aux entreprises souhaitant déployer leurs applications dans un environnement de cloud privé.
Cette mise à jour majeure du serveur d'application, qui apporte selon Oracle plus de 200 fonctionnalités supplémentaires, sera disponible dans les prochaines semaines (la précédente remontait à la 11g en 2009). Elle constitue le fondement de l'offre Fusion Middleware dans le cloud, avec les briques Coherence (technologie de cache distribué) et Tuxedo (moniteur transactionnel). Un autre composant de l'offre middleware, Traffic Director (OTD) ajoute des mécanismes de routage de trafic, à haute performance et haute disponibilité. Le trafic entrant est routé à travers les différentes instances WebLogic dupliquées. OTD apporte des fonctions pour gérer de façon dynamique le cache, la répartition de charge et le support des serveurs proxy pour les applications basées sur http.
C'est la première version de WebLogic compatible avec Java EE 6 et avec les API et bibliothèques de ses composants technologiques, Java Servlets, JAX-RS 1.1 (Java API for restful XML Web services), JSF (Java Server Faces) 2.1, les Enterprise JavaBeans 3.1, etc. Cette conformité avec Java EE 6 donne aussi accès à CDI (Context and Dependency Injection), une fonctionnalité requise par les développeurs pour injecter facilement des composants dans les applications.
Assembler des applications multiniveaux en containers
Pour amener WebLogic vers le cloud, une grande partie du travail a résidé dans l'intégration du logiciel avec d'autres solutions d'Oracle. Le serveur d'applications a été modifié pour fonctionner avec Virtual Assembly Builder. Ce dernier permet, dans des environnements virtualisés avec Oracle VM, d'assembler dans un même container des applications multiniveaux (multitiers). Typiquement, les composants d'une application Java d'entreprise, incluant un serveur web, le logiciel de gestion du trafic, le serveur d'application et une couche de gestion des messages, sont souvent répartis entre plusieurs serveurs. Virtual Assembly Builder les réunit dans une bulle virtuelle qui peut alors être déplacée de serveur en serveur et gérée comme une identité unique.
« Lorsqu'elles préparent leur environnement pour le cloud, les entreprises se retrouvent face à une prolifération de machines virtuelles. Virtual Assembly Builder sert à en réduire le nombre, tandis que Traffic Director permet aux entreprises d'ajuster le trafic réseau au sein de leur infrastructure », explique Mike Lehmann.
Intégré avec Apache Maven
La version 12c du serveur d'application a également été revue pour fonctionner plus efficacement avec RAC (Real Application Clusters), la solution d'Oracle permettant à une base de données de fonctionner au sein d'un cluster de serveurs. WebLogic peut sélectionner le serveur qui lui paraît le mieux approprié à un moment donné, ce qui peut conduire à tripler ses performances, indique Mike Lehmann. Les autres serveurs d'applications vont interroger la base de données pour intervenir sur de nouveaux événements, tandis qu'avec WebLogic, Oracle met en place un système de messages qui peut alerter le serveur d'applications immédiatement quand une nouvelle information a été intégrée dans la base.
A la demande des utilisateurs, l'éditeur de Redwood a par ailleurs intégré son serveur d'applications avec Apache Maven, qui aide les développeurs à gérer les dépendances au sein de leurs applications, ainsi que les bibliothèques et les classes nécessaires à leur fonctionnement. « Cela facilite l'intégration de WebLogic dans leur environnement de build standard ».
WebLogic 12c est disponible. Son prix ne change pas, a précisé Oracle. Il est fixé à 45 000 dollars par processeur (auxquels s'ajoutent 9 900 dollars pour le support annuel). (...)
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