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(02/04/2008 23:00:16)
Sage veut accroître de 50% le nombre de ses clients en CRM d'ici 2010
Avec le lancement de SalesLogix 7.2 le premier avril, Sage vient de boucler un cycle de renouvellement de l'ensemble de sa gamme d'outils de CRM. En février dernier, l'éditeur avait déjà livré Sage CRM 6.1 (qui dispose d'un équivalent ASP avec SageCRM.com) et Act ! 2008. « Les évolutions apportées à ces logiciels sont un pas supplémentaire dans la mise en oeuvre de la stratégie produit que nous avons définie jusqu'en 2010 », indique Florence Méro, la directrice générale de la division Sage CRM Solutions. Cette stratégie produits repose sur trois piliers, en commençant par l'interopérabilité entre les logiciels de CRM de l'éditeur, pour faciliter les migrations et les prises en mains d'une part, ainsi que le développement de composants communs (Workflow, Interface utilisateurs, décisionnel.... ). Deuxième axe : améliorer l'usage et l'accessibilité des applications par une optimisation de l'accès aux données (en mode connecté, déconnecté, en situation de mobilité). Enfin, l'intégration avec les logiciels de gestion et les ERP de Sage constitue l'un des points centraux de la stratégie CRM de l'éditeur qui veut ainsi capitaliser sur sa base installée dans les deux premiers domaines. Sur ce point, Sage CRM 6.1 est le premier à répondre à cette exigence en s'interfaçant nativement avec la Ligne Sage 100, et bientôt l'ERP X3, via des services web. SalesLogix devrait bénéficier des fonctionnalités offerte par cette approche de type SOA d'ici la fin de l'année. Comme il le fait dans le domaine de la gestion, Sage mise également sur la constitution d'un catalogue d'application métiers développées par ses partenaires pour adapter ses logiciels de CRM aux besoins spécifiques de certains clients. [[page]] Parallèlement à la ligne conductrice suivie en termes de produits, l'éditeur doit aussi développer son expertise et celle de ses partenaires dans le domaine du CRM. Ses propres équipes ont déjà fait un grand pas dans ce sens lors de l'acquisition de l'éditeur français de logiciels de CRM KDP en septembre 2007. Les 15 personnes issues des équipes de cette société ont fortement contribué à apporter les compétences recherchées, sans compter une base installée de 2700 clients, à la division CRM de Sage aujourd'hui dotée d'un effectif de 60 collaborateurs. Ces derniers doivent poursuivre la construction, entamée il y a un an et demi, d'un réseau de distribution capable de distribuer les logiciels de CRM de Sage. A l'heure actuelle, l'éditeur estime que 110 de ses partenaires français sont capables de vendre SalesLogix et Sage CRM. Quarante d'entre eux disposent d'une équipe d'au moins 5 personnes axées sur le CRM et sont ainsi considérés comme des experts par Sage. On compte parmi eux Dimo Gestion, Absys Cyborg, Prodware ou encore Micropole Univers. Un marché du CRM en croissance de 6% par an jusqu'en 2011 Forts de ces stratégies commerciales et produits, l'éditeur a pour objectif de faire progresser de 50% son parc installé de clients équipés d'un de ses logiciels de CRM à l'horizon 2010. A l'heure actuelle, 11 000 entreprises en sont déjà équipés en France. Le gros des troupes est constitué des clients Acte ! (7000 sociétés), un logiciel de gestion de contacts qu'un cabinet de conseil reconnu comme Pierre Audoin Consultant ne prend pas en compte pour évaluer le marché français du CRM. Viennent ensuite les 2300 à 2400 société utilisatrices des logiciels KDP puis les 1600 clients ayant souscrit une licence SalesLogix ou Sage CRM. A défaut de disposer des chiffres permettant de le mettre en perspective avec la croissance attendue sur le marché français du CRM, on peut toutefois estimer que l'objectif en volume de Sage est ambitieux. Selon IDC, les revenus des services et des licences de logiciels de CRM devraient en effet connaître un taux de croissance annuel moyen de 6% jusqu'en 2011. Un taux qui n'est pas, à priori, de nature à s'extasier alors que les entreprises françaises restent encore une clientèle à conquérir en matière de CRM. Environ 62% d'entre elles ne sont pas équipées de ce type d'applications. « Le secteur des entreprises de 20 à 500 salariés offre les meilleurs perspectives de croissance », indique Florence Méro. Ce qui va dans le bon sens pour Sage puisque c'est auprès de ces entreprises que les logiciels de gestion de l'éditeur sont les mieux implantés. Selon une étude d'Ipsos IT, Sage dispose en outre d'un taux de notoriété de 25% auprès des entreprises sur le marché de la relation client, loin devant ses concurrents que son notamment Microsoft et SAP. (...)
(02/04/2008 22:54:27)OOXML : l'Afnor justifie sa position... et prie pour l'âme du format !
Le 2 avril après-midi, l'Afnor a tenu une longue conférence de presse téléphonique pour justifier son abstention dans le vote pour la normalisation ISO du format bureautique de la suite Microsoft Office 2007, Office OpenXML (OOXML) ainsi que pour présenter l'évolution souhaitée de la situation. Signe que le sujet est bien considéré comme sensible, c'est Olivier Peyrat, directeur général d'Afnor, qui a lui-même animé la conférence de presse, accompagné de Frédéric Bon, PDG de CleverAge et président de la commission technique de l'Afnor compétente. Lire l'article sur CIO-Online (...)
(02/04/2008 18:56:18)Les serveurs System i et System p d'IBM deviennent les Power System
IBM fond ses gammes serveurs System i et System p en une seule et même famille dénommée Power. En clair, les successeurs des AS/400 rejoignent les serveurs Aix au sein d'une même gamme. Tous partageront désormais la même architecture de processeur bi-coeur Power6 et hébergeront au choix Aix, Linux ou i. Cette dernière dénomination minimaliste, sensée rendre compte de la simplicité du système d'exploitation, désigne la toute nouvelle version de l'OS des System i, ex AS/400 ("i" est aussi appelé i5OS). Pour utiliser conjointement un ou plusieurs des trois systèmes d'exploitation, plus besoin de partitionnement physique ni de partition mère avec les Power System. C'est désormais l'hyperviseur de virtualisation PowerVM qui s'occupe de tout. Il peut gérer jusqu'à 160 partitions virtuelles et se charge du partitionnement du stockage. Des serveurs préconfigurés pour rassurer les PME IBM présente deux premières machines Power d'entrée de gamme (Power System 520 et 550) et un serveur lame (JS12) basés sur le Power6. Il complètera son catalogue dès la semaine prochaine. Mais pour ne pas trop perturber la clientèle historique de l'AS/400, en particulier les PME, le géant proposera des ensembles préconfigurés pour chaque système d'exploitation (processeur, mémoire, disque dur, OS). De leur coté, les partenaires IBM auparavant spécialisés sur l'une ou l'autre des deux anciennes plateformes, seront bien entendu désormais incités à proposer l'ensemble des machines. IBM exigera d'eux des certifications idoines très poussées. Ils devront être titulaires d'une certification associée au matériel et d'une autre pour l'un des trois OS proposés. Les ISV, eux, seront associés à des business partners pour pouvoir se concentrer sur le développement applicatif. La fusion des deux gammes devraient théoriquement leur faciliter la tache. (...)
(02/04/2008 18:09:43)Succès confirmé de la mobilisation chez Capgemini
Hier, mardi 1er avril, ils étaient 1 200, chez Capgemini, à faire grève pour un retour des augmentations de salaires générales. Si l'on tient compte de la première journée de mobilisation du 28 mars, qui avait réuni quelque 400 grévistes, les deux manifestations lancées à l'appel des syndicats CFDT, CFE-CGC, CGT, FO, CFTC auront rassemblé près de 1 700 salariés, au total., soit 8% des effectifs du groupe (qui compte 20 000 salariés). La CFDT se félicite de l'importance du taux de participation, surtout dans l'ouest, le centre et le sud-ouest de la France, « des régions où certains salaires ne dépassent pas les 2 000 € mensuels », selon Frédéric Boloré, délégué syndical CFDT. Hier, 150 grévistes s'étaient mobilisés sur l'un des sites de Capgemini Ouest à Nantes, 180 manifestants étaient comptabilisés à Rennes, alors qu'une soixantaine se rassemblaient à Brest. Le mouvement a également gagné le site OS de Clermont (80 salariés mobilisés), et a été fortement suivi à Toulouse, avec plus d'une centaine de salariés en grève. La direction réagit en ouvrant trois jours de débats Devant l'ampleur de la grogne, la direction a décidé de répondre positivement à une proposition de dialogue. « Nous avons bon espoir, car la direction a proposé de bloquer trois journées complètes de discussion les 7, 8 et 9 avril prochains », indique Frédéric Boloré. Seront abordées les questions des salaires et des compléments de rémunération et les processus d'évaluation. De son côté, la CGT se veut moins optimiste en raison « d'une conjoncture difficile », terme qui aurait été évoqué lundi dernier par la direction. Rappelons que les syndicats réclament une augmentation générale qui rattrapera la perte du pouvoir d'achat depuis cinq ans, un accord salarial pérenne, une revalorisation des frais professionnels et une refonte complète du système d'évaluation des salariés. La direction avait rétorqué que « les minima salariaux chez Capgemini étaient supérieurs à ceux pratiqués par la branche et que les enveloppes budgétaires consacrées aux augmentations individuelles étaient équivalentes voire supérieures à celles de la profession ». Un point de vue que ne partage pas la CFDT : « La direction entend par « augmentations », celles des minima sociaux issues de l'accord 2006 sur les dispositions salariales Syntec appliquées aux salaires les moins élevés, déplore Frédéric Boloré. A l'issue de cet accord, une enveloppe budgétaire de 178 000 € avait été proposée, soit moins de 2% d'augmentation. » Quoi qu'il en soit, et quels que soient les résultats des négociations de la semaine à venir, il semble que les syndicats sont prêts à aller jusqu'au bout. « Jusqu'ici, la mobilisation a atteint un niveau qui va au-delà de ce qu'on avait pu espérer, estime Frédéric Boloré. Nous sommes prêts à poursuivre notre action, en cas d'un éventuel refus de la direction. » (...)
(02/04/2008 17:41:08)Firefox double sa part de marché dans les entreprises
La part de marché du navigateur Firefox de la Fondation Mozilla, a quasiment doublé en l'espace d'un an dans les entreprises, pour atteindre les 18%, d'après le cabinet Forrester. L'étude, réalisée auprès de 50 000 salariés (en Europe, en Amérique du Nord et en Asie), révèle que si Internet Explorer (toutes versions confondues) de Microsoft reste majoritairement utilisé (78,7%), son dauphin n'a cessé de grappiller des points au courant de l'année. Un bémol toutefois dans les grandes entreprises, plus lentes à adopter Firefox. Les deux leaders sont suivis de très loin par les navigateurs Safari (2,4%), Opera (0,5%), Mozilla (0,2%) et Netscape (0,1%). L'étude précise par ailleurs que moins de 30% des entreprises ont basculé vers IE 7.0, les autres se contentant de la version précédente... une frilosité qui n'est pas sans rappeler celle concernant Windows Vista. (...)
(02/04/2008 17:31:42)Léo Apotheker devient co-PDG de SAP
Ainsi que l'on s'y attendait depuis un certain temps déjà, Léo Apotheker, actuel PDG délégué de SAP, vient d'être nommé co-PDG de l'éditeur allemand, aux côtés de l'actuel PDG Henning Kagermann. Selon Hasso Plattner, président du conseil de surveillance de SAP, Henning Kagermann a souhaité la nomination de Léo Apotheker comme co-PDG, afin de préparer sa propre succession. Henning Kagermann doit quitter la direction de l'entreprise au printemps 2009 pour prendre sa retraite. Les deux hommes dirigeront conjointement SAP, numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés, qui vient d'achever l'absorption de l'éditeur français Business Objects, spécialiste du décisionnel. Léo Apotheker, fondateur de la filiale française, a rejoint SAP en 1988. Membre du comité exécutif depuis 2002, il est PDG délégué de SAP depuis mars 2007. Il a été nommé à ce poste alors que Shai Agassi, responsable des développements technologiques et promis à un bel avenir au sein de la société, avait préféré partir lorsque le mandat de Henning Kagermann à la tête de SAP avait été prolongé jusqu'en 2009. Le patron américain prend la main sur les ventes mondiales Parallèlement à la promotion de Léo Apotheker, le conseil de surveillance de SAP a nommé au comité exécutif de l'entreprise trois nouveaux membres, ce qui porte à dix le nombre total de ses membres. Il s'agit d'Erwin Gunst, de Bill McDermott et de Jim Hagemann Snabe qui prendront leurs fonctions le 1er juillet prochain. Erwin Gunst devient directeur opérationnel (COO, chief operating officer). Collaborateur de SAP depuis vingt ans, il était jusqu'alors président pour la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Jim Hegemann Snabe, chez SAP depuis quinze ans, est désormais responsable du développement de l'offre intégrée SAP Business Suite et de la plateforme d'intégration SAP NetWeaver. Enfin, entré chez SAP en 2002 pour diriger le continent américain, Bill McDermott sera désormais responsable des ventes mondiales de SAP, une lourde responsabilité qui incombait jusque-là à Léo Apotheker. (...)
(02/04/2008 17:13:59)Citrix présente XenServer 4.1 avec des tarifs attractifs et la bénédiction de NetApp
Citrix accompagne la disponibilité de XenServer 4.1, d'un intéressant accord sur le stockage avec NetApp et d'un mode de facturation au système plutôt qu'au processeur. La version 4.1 de XenServer intègre une cinquantaine d'améliorations qui portent essentiellement sur les performances. On notera que, dans la version Platinium, promise pour ce mois-ci, XenServer intègrera Provisionning Server. D'après Guillaume Le Tyrant, directeur marketing produit chez Citrix France, Provisionning Server permet d'exécuter une "charge applicative" (qu'il s'agisse d'un couple natif OS-Application ou d'une ou plusieurs VM) à la demande. Cela permettrait ainsi, selon lui, de répondre aux besoins tant des adeptes de la virtualisation que de tous ceux qui utilisent encore des configurations physiques. "Ce qui est encore le cas le plus souvent". Citrix est aussi tout à la joie d'annoncer que la console de XenServer 4.1 intègre la gestion des API de Data OnTap de NetApp. Autrement dit, on peut lancer les outils de NetApp à partir de XenServer pour cloner une machine virtuelle ou pour réaliser un snapshot. Ces fonctionnalités semblent bien proches de celles dont on dispose avec SnapManager for Virtual Infrastructure, fruit d'un accord signé par NetApp et VMware. Citrix joue la tarification au serveur Enfin, Citrix joue l'effet d'annonce avec une tarification non plus au processeur, comme le font VMware et Microsoft, mais au serveur. Selon l'éditeur, cela dispenserait du casse-tête de gestion des licences et permettrait de réaliser des économies, la facture devenant indépendante du nombre de machines virtuelles créées. Les prix affichés par Citrix pour la version d'entrée de gamme de XenServer 4.1 commencent à 600$ par an et par serveur et à 900$ pour une licence perpétuelle. Toutefois, Citrix précise que ces tarifs s'appliquent uniquement pour les OS 64 bits installés sur des serveurs dotés de quatre processeurs au plus. (...)
(02/04/2008 16:30:27)Google lorgnerait toujours sur Skype
Google envisagerait de nouer un partenariat avec Skype (service de téléphonie sur IP), voire de le racheter à son propriétaire actuel eBay, selon le blog spécialisé TechCrunch. La rumeur d'un éventuel rapprochement courait depuis le mois de novembre dernier, suite à un article publié par le Guardian. Google dispose déjà de son propre service de voix sur IP gratuit GTalk, lancé en août 2005, et qui se base sur un protocole Jabber. GTalk est toutefois beaucoup moins populaire que Skype. Autre défaut de GTalk, il est propriétaire et n'est utilisable que par les internautes disposant d'un compte GMail. Le possible rachat de Skype par Google s'inscrit en outre parfaitement dans la stratégie gloutonne du géant du Web qui consiste à multiplier les services, notamment en avalant d'autres sociétés. Skype a plombé les résultats de eBay en 2007 Du côté d'eBay, qui a déboursé 2,6 Md$ en septembre 2005 pour se payer Skype, l'opération - si elle se réalise - pourrait se révéler positive. Ebay a certes publié un chiffre d'affaires annuel satisfaisant, mais un bénéfice net en baisse de 69%, plombé par la dépréciation de Skype, qui avait entraîné une charge exceptionnelle de 1,4 Md$ au troisième trimestre 2007. Ebay est par ailleurs en proie à des turbulences internes. Meg Whitman, ancienne CEO de la société, a par exemple quitté ses fonctions en janvier dernier. (...)
(02/04/2008 13:07:54)Telindus ouvre une centaine de postes en sécurité, réseaux et communications unifiées
Telindus Belgacom ICT, intégrateur spécialisé dans les réseaux et la sécurité, annonce pour l'année en cours, un plan de recrutement similaire à celui lancé il y a un an à peine. Après avoir embauché 130 nouveaux collaborateurs en 2007, en Ile-de-France et en régions, l'intégrateur poursuit sur sa lancée en annonçant l'ouverture d'une centaine de postes supplémentaires d'ici la fin de l'année. Les offres sont à pourvoir dans les domaines liés à la sécurité, aux réseaux, aux communications unifiées et à la vidéo-protection. Il s'agit d'ingénieurs avant-vente, de consultants, de techniciens et ingénieurs support et réalisation, et de directeurs de projet. «Nous devons faire face à l'évolution de nos effectifs, pour répondre à un besoin permanent d'expertises complémentaires sur un marché tendu », a commenté Fabienne Guillou, directrice des ressources humaines de Telindus. Des partenariats avec les écoles d'ingénieurs télécoms Pour accompagner ses recrutements, Telindus compte sur le soutien de grandes écoles d'ingénieurs, comme Telecom Sud Paris (ex INT), l'Esigetel, l'Epita, Télécom Lille ou encore l'Insa. Dans le cadre de ces partenariats, l'équipe RH est régulièrement sollicitée pour des simulations d'entretiens et du coaching de positionnement individuel auprès des futurs jeunes diplômés. Le fournisseur dispense aussi des formations auprès de ces écoles partenaires sur des technologies de pointe telles que les communications unifiées ou la sécurité. (...)
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