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(05/03/2008 12:21:00)

Interview de Jean Pierre CORNIOU

De DSI à Consultant, comment passe-t-on de l'un à l'autre ? La gouvernance galvaudée ? (...)

(05/03/2008 10:50:00)

Interview de Jean Pierre CORNIOU

Présentation de son dernier livre, ''La Société Numérique'' (Lavoisier, 2008) (...)

(04/03/2008 17:08:03)

Serena lance trois gammes de logiciels en mode SaaS

L'éditeur américain Serena s'apprête à proposer un accès en mode hébergé à ses trois gammes de logiciels. En mai dernier, ce spécialiste de la gestion du cycle de vie des applicatifs (ALM, application lifecycle management) a étendu son offre vers la gestion de projet avec le produit Serena Mariner, issu du rachat de Pacific Edge. Plus récemment, en septembre, il a annoncé un éditeur de mashups, services applicatifs permettant d'agréger différentes fonctionnalités. Aujourd'hui, l'éditeur annonce qu'il va progressivement fournir ces trois catégories de logiciels sous la forme de services accessibles en ligne (modèle SaaS, software as a service). Le premier à être disponible sous cette forme, en avril prochain, sera Serena Mariner, la solution de gestion de portefeuilles de projets (PPM, project and portfolio management). L'abonnement à ce logiciel sera proposé à partir de 18 dollars par utilisateur et par mois. (...)

(04/03/2008 16:51:25)

Cebit 2008 : l'IT verte, thème chéri - et obligé - des exposants

Il trône majestueusement au coeur du Hall 9, est indiqué par une multitude de pancartes disséminées sur toute la superficie de la Messe, est l'endroit qu'il ne faut pas manquer. Objet de toutes les attentions, le Green IT Village constitue l'incarnation de la tendance du moment dans le monde de l'IT. Plus qu'une mode, aux dires des exposants, le vert qu'ils revêtent symbolise leur attachement profond aux questions environnementales. Et n'allez pas leur parler d'opportunisme ou de calcul marketing. « Les entreprises sont vraiment concernées », assure Kristin Blodgette, qui représente le Climate Savers Computing Initiative, un groupement de géants comme Lenovo, Dell ou HP, décidés à alléger la consommation énergétique de leurs produits. « Les sociétés ont une responsabilité sociale, elles veulent changer », poursuit-elle. La géothermie pour refroidir les centres de calcul A quelques mètres de là, Fujitsu Siemens présente un condensé de ses produits verts. Grâce à des modules de mémoire nécessitant une tension de 1,5 V (contre 1,8 V précédemment) et un CPU à faible consommation, son serveur rack RX300 S4 réduit de moitié ses besoins d'énergie par rapport à un serveur rack traditionnel. Le constructeur dévoile en parallèle un écran 22' ne consommant rien lorsqu'il est en veille. Un moniteur traditionnel affiche, en comparaison, une consommation de 3 à 5 W. Plus originale encore est l'initiative de l'Allemand Brach+Roll. Originellement spécialisé dans la climatisation, cet habitant du Green IT Village s'est tourné vers le refroidissement de centres de calculs et a pris le pari de ne pas s'attaquer à la pièce dans son ensemble mais aux seuls racks. Ici, la solution repose sur la géothermie : les serveurs sont refroidis grâce à la fraîcheur de la terre, que Brach+Roll va chercher en creusant des trous de 80 mètres de profondeur. « Ainsi, nous n'avons plus besoin d'énergie pour refroidir un serveur, hormis pour alimenter la pompe et les ventilateurs », explique Marc Siggelkow, le chef de projet. Malheureusement, cette technologie n'est utilisable que pour des unités de petite taille, consommant jusqu'à 15 Kw. Greenpeace, relégué à l'autre bout de la Messe A l'écart du Green IT Village, perdu parmi les fabricants coréens de gadgets pour geeks, Greenpeace a installé ses quartiers d'hiver. L'association écologiste aurait apprécié obtenir un emplacement aux côtés des grands noms de l'IT réunis dans le Hall 9.[[page]] Les organisateurs du Cebit l'ont cependant entendu d'une autre oreille et ont relégué les écolos à l'autre bout de la Messe. Il faut dire que le stand de Greenpeace aurait contrasté avec les tapis verts immaculés et les délicates orchidées déposées dans de fragiles soliflores du Village vert : chez les activistes de la protection de l'environnement trône un volumineux container rempli de déchets électroniques et informatiques. « Nous sommes venus pour corriger le tir, explique Yannick Vicaire, responsable des campagnes toxiques. Nous voulons encourager les entreprises à sortir les substances nocives de leurs appareils. Elles ne doivent pas se contenter de lancer des produits énergétiquement efficients. Il faut qu'elles améliorent leur processus de production, ou ceux des assembleurs qui travaillent pour elles. Enfin, nous souhaitons faire réfléchir les constructeurs sur la notion de cycle de vie des produits. » Selon le responsable de Greenpeace, il faut endiguer la diminution de la durée de vie du matériel électronique et informatique, réactualiser des concepts obsolètes comme la réparation, puis penser au recyclage et privilégier la récupération de matière. Surtout, l'association voudrait entendre les entreprises, qui claironnent toutes leur message écologique, changer de discours : « nous préférerions que les grands acteurs de l'IT pensent à verdir leur propre business avant de se poser en sauveurs du monde ». Des progrès mais on est loin du compte Demain, Greenpeace présentera son nouveau rapport établissant les performances vertes de vingt appareils électroniques. « On a demandé à plusieurs constructeurs de téléphones mobiles, d'ordinateurs et de smartphones de nous fournir leurs produits les plus verts, puis on les a disséqués ». Sans trahir de secret, l'industrie IT montre des progrès mais « on est encore loin d'avoir entre les mains des produits véritablement verts ». (...)

(04/03/2008 16:47:24)

Cebit 2008 : SAP annonce des serveurs sous Linux préinstallés avec All-in-One

A l'occasion du Cebit de Hanovre, SAP vient d'annoncer pour les PME la prochaine livraison de solutions packagées couplant matériel et logiciel. Issues d'une collaboration avec Intel, ces offres « tout en un » sont optimisées pour l'architecture Intel Xeon. Il est prévu qu'elles soient livrées sur des serveurs modulaires sur lesquels aura été préinstallé le progiciel de gestion intégré (PGI) SAP Business All-in-One (taillé pour les entreprises de taille moyenne), sous système d'exploitation SUSE Linux Enterprise, de Novell, et avec la base de données MaxDB, de SAP. Ces configurations serveurs seront déployées par des partenaires OEM (original equipment manufacturing). L'éditeur allemand les destine aux PME de l'industrie, du commerce et des services. Sur son stand du Cebit, le fournisseur présente un prototype de cette offre sur un système NEC. 700 PME exploitent déjà SAP sous Linux Pour parvenir à l'objectif ambitieux qu'il s'est fixé (100 000 clients en 2010), SAP cherche donc à multiplier les modes de commercialisation de ses offres destinées aux PME. Avec l'annonce de ce jour, il diversifie l'éventail de ses solutions à installer dans l'entreprise (basées sur Business All-in-One et BusinessOne) avec une configuration plus rapide à déployer et, ce faisant, moins coûteuse. [[page]] Rappelons que, dans le même temps, l'éditeur fait parallèlement monter en puissance son offre de gestion Business ByDesign à exploiter en ligne (une application fournie comme un service, hébergée par SAP et actuellement en phase de lancement). A l'occasion de l'annonce faite ce jour sur le Cebit, le fournisseur allemand précise que 700 entreprises de taille moyenne exploitent déjà ses applications sous Linux, plus de 35% d'entre elles le faisant en association avec la base de données SAP MaxDB. Les premiers exemplaires de ces serveurs sous Linux, préinstallés avec All-in-One et MaxDB, devraient être disponibles en Europe au cours du semestre. SAP compte ensuite lancer la commmercialisation de ces offres en Inde et en Chine, au deuxième semestre. En Asie, la mise en place des applications sur des serveurs internes à l'entreprise est toujours préférée à une exploitation des logiciels en ligne, ainsi que le rappelait récemment Léo Apotheker, PDG délégué de SAP. (...)

(04/03/2008 15:50:38)

Cebit 2008 : les PME françaises communient à la Messe

Nicolas Sarkozy s'en était félicité hier soir, dans son discours inaugural : environ 150 entreprises françaises sont présentes à Hanovre et illustrent le partenariat noué entre la Deutsche Messe et l'Hexagone. Parmi les sociétés à avoir fait le déplacement, neuf pôles de compétitivité et de compétences ont profité des services et des conseils d'Ubifrance, l'organisme chargé d'épauler les entreprises françaises à se développer à l'international. « La collaboration franco-allemande sur le Cebit, la présence de Sarkozy, l'année de la France... tout cela est la conséquence d'une volonté des entreprises françaises souvent exprimée, celle de travailler avec le pays voisin », explique Claude Courivaud, de la mission économique de Düsseldorf et membre d'Ubifrance. Qu'elles éditent des solutions de gestion, des outils collaboratifs ou des logiciels pour le monde de la mode, les entreprises françaises présentes à Hanovre semblent ravies du voyage. D'abord parce qu'elles participent à l'un des principaux rassemblements IT au monde, s'offrant ainsi une visibilité sans précédent et la possibilité d'humer les tendances du moment. « Nous commençons notre expansion européenne, confie Laurent Pantanacce, de blueKiwi, une entreprise qui édite des outils Web 2.0 pour les entreprises. Nous ouvrons un bureau à Londres et jugeons le spectre du marché allemand intéressant. » Installé dans le Limousin, il a pu profiter du soutien du pôle d'excellence e-design, et indirectement d'Ubifrance, pour se rendre en Basse-Saxe. Tout comme son voisin sur le salon, Pierre Peyramaure, venu pour promouvoir Clipbooster, une application permettant d'expédier de larges fichiers par courriel. Ce dernier n'espère cependant pas vendre sa solution, mais plutôt « prendre la température, voir comment les gens réagissent, repartir d'ici en sachant que des personnes connaissent [son] produit : Les PME/TPE ont besoin d'être sur des salons comme le Cebit ». Dans les deux cas, les jeunes entreprises ont été aidées par le pôle de compétences de leur région, qui a pris en charge le prix de la location des stands. [[page]] L'appui logistique et financier d'UbiFrance et de ses partenaires aux PME de l'Hexagone est l'autre raison pour laquelle le Cebit 2008 compte plus d'exposants français que les éditions précédentes. Si la vitrine est belle, l'adition est en effet salée : « les petites entreprises n'ont pas les moyens de mettre 2000 € pour un bout de table », indique Pierre Peyramaure. A titre d'exemple, un stand de 12 m², dans une configuration standard, sans fioriture ni élément de décoration ostentatoire, revient environ à 5500 € pour la durée du salon. « Ubifrance a cherché à ramener le prix au mètre carré à un niveau qui soit le plus bas possible sans que le taux de subvention global soit trop élevé, résume Claude Courivaud. Surtout, venir au Cebit avec Ubifrance, c'est avoir la certitude d'être bien placé, de constituer une attraction ». De fait, réunies dans le vaste parallélépipède loué par l'organisme de développement international, les PME jouissent d'une visibilité maximale et sont clairement identifiées comme représentant la France. Certains en feraient presque des complexes : « ils se sentent un peu petits en arrivant ici, s'amuse le délégué à la mission de Düsseldorf. Et il y a du déchet, sur dix entreprises qui viennent, toutes ne vont pas se développer à l'international. In fine, c'est le marché qui décide ». Certaines histoires trouvent pourtant au Cebit une issue heureuse. C'est notamment le cas de Xamance, une entreprise spécialisée dans « la GED intelligente », qui présente un produit « capable de ranger le bazar tout seul », selon les mots de Thomas Henry, le fondateur de la société. Celle-ci était déjà présente au salon allemand l'an passé : « on a montré un prototype et recueilli de nombreux retours positifs alors même qu'on n'avait rien à vendre ». Cette année, retour à Hanovre avec l'outil prêt à être commercialisé. L'essai pourrait être transformé avec déjà « sept ou huit rendez-vous avec des partenaires potentiels » pour distribuer la solution. (...)

(04/03/2008 15:20:38)

Pour HP, le futur des centres de données est à l'harmonisation de ses composants

Pour Parthasarathy Ranganathan, chercheur chez HP Labs, la multiplication de systèmes de gestion de l'énergie au sein des processeurs, de la mémoire, du serveur, des logiciels et des circuits de refroidissement va nécessiter une collaboration totale entre ces différents composants d'une salle de serveur. « Que se passerait-il si tous ces systèmes (ndlr, de gestion de l'énergie) se mettent en place en même temps ? Comment puis-je m'assurer que l'ensemble ne va pas exploser avec des infos contradictoires ? », craint-il. Au-delà des techniques actuelles visant à alléger les salles de serveurs (comme la virtualisation) et à réduire la consommation électrique (comme les processeurs multicoeurs), Parthasarathy Ranganathan préconise une optimisation des applications installées et surtout une coopération holistique de tous les systèmes de gestion de l'énergie, sans que l'un d'entre eux n'entre en conflit avec les autres. Ce qu ele chercheur baptise alors « No Power Struggle Project ». Quel en sera le chef d'orchestre ? Quelle forme prendra la communication entre les différents composants ? Pour l'instant, ces questions restent sans réponse, la réflexion d'HP Labs n'en est qu'à ses prémices. IBM face à ce même problème a une réponse déjà prête, le « Cloud Computig » dont l'initiative Blue Cloud (qui permet aux utilisateurs d'utiliser une interface similaire au Web pour administrer leur systèmes d'information). Pour Laura Anderson, responsable des systèmes d'information au centre de recherche Almaden d'IBM : « Nous sommes au bord d'une nouvelle révolution. Nous parlons de faire quelque chose pour simplifier et intégrer ces éléments de façon à ce que de simples mortels (ndlr, non informaticiens) puissent les administrer. » (...)

(04/03/2008 15:10:59)

Cebit 2008 : Software AG réaffirme ses ambitions

A l'occasion du Cebit 2008, Software AG, spécialiste de la SOA et du BPM, a réaffirmé ses ambitions de devenir un éditeur influent sur le marché. En bon régional de l'étape, Karl-Heinz Streibich, PDG de l'éditeur, a profité de la Grand Messe de Hanovre pour rappeler que son projet de se muer en une société à un milliard d'euros de CA d'ici à 2010 était bien sur les rails. Et optimiste, il se déclare être le digne héritier de SAP, en termes de croissance et d'évolution, et l'entreprise la mieux positionnée pour suivre les traces du modèle de l'icône allemande. « La croissance et l'innovation résident dans les processus métiers et la SOA . » Ainsi, le groupe prévoit de doubler en taille tous les cinq ans, tant en revenus qu'en d'effectifs. Et place au centre de sa stratégie entre six et dix opérations de croissance extérieure, sans mentionner de noms. Pour mémoire, Software AG s'est payé webMethods pour 546 M$ mi-2007, affirmant la positionnement de la société dans le middleware. Depuis Oracle a finalement, après une passe d'arme entre actionnaires, croqué BEA pour 8,5 Md$. Ce qui ne semble pas inquiéter Karl-Heinz Streibich, pour qui sa société représente ce dont le marché a besoin : « une nouvelle et indépendante source sur le segment de l'intégration [d'applications, ndlr] ». (...)

(04/03/2008 14:38:42)

Altitude Telecom annonce la création de 80 postes

Avec une croissance de 30% en 2007 et la même évolution prévue pour 2008, l'opérateur Altitude Telecom renforce sa politique de recrutement pour soutenir le développement de ses activités. Le groupe envisage de créer 80 postes au cours de cette année : il s'agit de chefs de projet, d'ingénieurs télécoms, d'ingénieurs en informatique, et également de techniciens (en systèmes et réseaux, et informatique) et d'ingénieurs commerciaux. 70% de ces postes visent des jeunes diplômés. Les 30% restant des recrutements étant réservés aux candidats plus expérimentés. L'opérateur accueille également tous les ans de nombreux stagiaires ou apprentis issus d'écoles d'ingénieurs, écoles de commerce, de Masters ou d'IAE, et également de BTS/DUT. (...)

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