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(22/11/2011 14:45:26)
Les jeunes délaissent la télé au profit d'Internet selon BVA
Une nette majorité des Français continue de préférer regarder la télévision (63%), plutôt que de surfer sur internet (37%), mais la tendance s'inverse chez les plus jeunes, qui à une écrasante majorité (70%) préfèrent surfer sur leur ordinateur, téléphone ou tablette que regarder les programmes de télévision.
Cette enquête a été réalisée par téléphone les 28 et 29 octobre 2011 auprès d'un échantillon de 1 009 personnes, représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus.
Ce sondage vient contredire l'étude Junior Connect' de l'institut Ipsos, dévoilés le 14 novembre, qui indiquait que deux tiers (66%) des moins de vingt ans plaçaient la télévision en tête de leurs activités de loisirs préférées, loin devant le surf sur internet (48%).
Apple pourrait devenir leader sur le marché du PC en 2012 aidée par les tablettes
D'ici la fin de l'année 2012, Apple pourrait devenir leader du marché des PC (ensemble regroupant aussi bien les ordinateurs que les tablettes), selon une étude du cabinet Canalys. La part de marché d'Apple dans ce secteur est passée en un an de 9% à 15%.
Avec la dynamique de vente de l'iPad, Apple se situe d'ores et déjà au second rang des plus grands vendeurs de PC au monde au 3e trimestre de cette année. Toutefois, sa mainmise sur le marché des tablettes, aux Etats-Unis du moins, pourrait être mise à mal par l'arrivée de la Kindle Fire d'Amazon.
Les analystes de Canalys s'attendent également à ce que les ultrabooks (ces PC portables fins, légers et très performants) dopent les ventes d'ordinateurs portables ces cinq prochaines années. Toutefois, la première moitié de 2012 pourrait être plutôt critique avec une pénurie annoncée de disques durs, due aux inondations en Thaïlande.
Canalys estime qu'il va se vendre en 2011 quelques 415 millions d'ordinateurs et de tablettes dans le monde, soit 15% de plus qu'en 2010, avec une forte proportion pour les tablettes.
Annuels HP : forte chute du bénéfice net sur le 4e trimestre
Empêtré dans ses problèmes de leadership et d'organisation, l'Américain Hewlett-Packard a subi une baisse de plus de 90% de son bénéfice net par rapport à l'an dernier, sur son quatrième fiscal clos fin octobre. Celui-ci s'établit à 200 millions de dollars contre 2,5 milliards de dollars sur le quatrième trimestre 2010, avec un bénéfice par action de 0,12 dollar (-89%).
Le chiffre d'affaires du trimestre a reculé de 3% à 32,1 milliards par rapport à 2010.
Il y a trois semaines, le PDG du groupe, Meg Whitman, qui a repris la tête de la société à la suite du départ de Léo Apotheker, avait annoncé que HP garderait son activité PC (moins rentable que d'autres domaines), après avoir étudié l'éventualité d'une scission de cette division.
Sur l'ensemble de son exercice fiscal, HP annonce un chiffre d'affaires GAAP de 127,2 milliards de dollars, en hausse de 1% par rapport à l'année 2010 (126 Md$). Sa marge opérationnelle a baissé de 1,5 point sur un an, à 7,6%. Quant à son bénéfice net annuel, il a reculé de 19% à 7,1 Md$ (contre 8,8 Md$ l'an dernier).
Une activité Services en légère hausse à 9,3 Md$
Sur le quatrième trimestre fiscal de HP, c'est l'activité Logiciels qui enregistre les meilleurs résultats, avec une progression de 28% sur les ventes de licences et de services associés, entre début août et fin octobre 2011. Mais cette division ne pèse que 976 millions de dollars de chiffre d'affaires, soit moins de 3% des 32,1 Md$ engrangés au total par le groupe sur le trimestre. Les revenus de la division Services financiers affichent également une progression à deux chiffres (+18%), mais là aussi sur un chiffre d'affaires inférieur à 1 Md$ (952 M$).
En revanche, la division Services n'a augmenté que de 2%, à 9,3 milliards de dollars sur le trimestre. Les ventes de l'activité Serveurs d'entreprise/Stockage/Réseau ont baissé de 4% par rapport à l'an dernier, à 5,6 Md$, tandis que celles de la division Imagerie et impression ont subi un recul de 10% sur un an, à 6,3 Md$ (avec une marge opérationnelle de 12,8%). Enfin, la division PSG (Personal Systems Group), qui a fait couler tant d'encre depuis cet été, n'a finalement reculé que de 2%, à 10,1 milliards de dollars.
Les investisseurs semblent enclins à envisager un peu de stabilité chez HP après la valse des dirigeants à la tête du groupe. Meg Whitman, sans doute mieux connue pour avoir été PDG du site d'enchères en ligne eBay, a remplacé Léo Apotheker qui était à ce poste depuis moins d'un an après avoir pris la suite de Mark Hurd, remercié en août 2010.
Pendant la direction de Léo Apotheker, HP avait décidé d'arrêter de produire des smartphones et des tablettes numériques basées sur le système d'exploitation WebOS, acquis avec le rachat de Palm. Dans la foulée, le groupe avait suscité une ruée sur sa tablette TouchPad lorsqu'elle fut bradée pour écouler les stocks. On attend maintenant de savoir ce qu'HP a décidé de faire de WebOS. Le groupe a entre temps expliqué qu'il miserait sur Windows 8 pour ses prochaines tablettes et PC.
Les spammeurs migrent vers les réseaux sociaux
Le fabricant de solutions de sécurité internet (pare-feux) Cyberoam a mené une étude sur les propriétaires de comptes compromis. Ce type d'attaque survient souvent après une connexion depuis un réseau WiFi public, en raison de l'utilisation d'un mot de passe trop simple ou après avoir cliqué sur un lien envoyé par un ami sur Facebook. Les chiffres sont éloquents : 23% des utilisateurs n'ont pris aucune mesure pour remédier à la situation, pensant qu'il s'agissait d'un incident isolé. Cette tendance s'est accentuée après le démantèlement au début de l'année par Microsoft du botnet Rustock, responsable de près du tiers du spam au niveau mondial.
Adopter une hygiène sécuritaire
Les responsables de Cyberoam incitent les utilisateurs à la plus grande prudence et à respecter des règles de bon sens lorsqu'ils se connectent à internet depuis un réseau public. Il est conseillé aux internautes d'utiliser un gestionnaire de mots de passe (qui en génère de nouveaux et les synchronisent), de ne pas cocher la case "Mémoriser le mot de passe" lorsque l'on se connecte à sa messagerie ou son compte Facebook et surtout de ne pas cliquer sur les liens accompagnés de phrases accrocheuses.
(...)(22/11/2011 15:54:27)WebLogic 12c, le serveur d'application d'Oracle en mode cloud en approche
Selon un communiqué publié sur son site Internet, Oracle prévoit d'annoncer la prochaine version de son serveur d'applications phare WebLogic à l'occasion d'un événement en ligne programmé pour le 1er décembre. WebLogic Server 12c, où le « c » est probablement un raccourci pour « Cloud », va succéder à la version 11g, dont la première mouture était sortie en juillet 2009. « Aujourd'hui, la plupart des entreprises souhaitent passer à une infrastructure cloud, » peut-on lire dans le communiqué. « Cependant, les départements informatiques doivent continuer à investir et à maintenir leurs infrastructures actuelles, indispensables pour faire tourner leur activité. Avec Oracle WebLogic, nous offrons le meilleur des deux mondes. »
WebLogic 12c va aussi devenir un élément de première importance pour le serveur d'applications Exalogic d'Oracle, un peu éclipsé jusque-là par l'Exadata Database Machine, et par le service cloud public annoncé récemment par l'éditeur. Les clients seront en mesure de construire des clouds privés avec Exalogic, mais aussi d'utiliser le service cloud public d'Oracle basé sur WebLogic. Selon Oracle, il sera facile de déplacer les applications de l'un vers l'autre. WebLogic 12c offre, parmi ses caractéristiques, Java EE 6, Active GridLink pour RAC (Real Application Clusters), Trafic Director et Virtual Assembly Builde. Hasan Rizvi, vice-président senior, Oracle Fusion Middleware and Java, ainsi que d'autres responsables d'Oracle, prendront la parole le 1er décembre. Le même jour, Oracle devrait aussi lancer une série de webinars « Developper Deep Dive ».
Actuellement, aux Etats-Unis, la suite haut de gamme WebLogic coûte 45 000 dollars par processeur, plus 9 900 dollars pour le support annuel. On ne sait pas très bien pour l'instant si Oracle va augmenter ou non son tarif avec la livraison de la version 12c. WebLogic 12c sera en concurrence avec une série d'autres serveurs d'applications Java, notamment JBoss de Red Hat et WebSphere d'IBM, et même le serveur GlassFish d'Oracle acquis avec Sun Microsystems. GlassFish coûte 5 000 dollars par processeur, plus 1 100 dollars pour la maintenance annuelle, soit environ deux fois moins que WebLogic Server Standard Edition. Il existe aussi une version supportée par la communauté GlassFish, disponible sans frais.
Prêt pour l'entreprise, Hadoop stimule la demande de compétences
Sur la conférence Hadoop World, qui s'est tenue à New York au début de ce mois, les analystes et responsables IT présents ont à plusieurs reprises souligné que l'accès à des compétences spécialisées constituerait l'une des principales difficultés des entreprises souhaitant opter pour Hadoop. Et celles qui disposeront des bonnes compétences bénéficieront d'un sérieux avantage sur les autres.
Parmi les conférenciers présents à New York, les responsables IT de la banque JP Morgan Chase et du groupe d'enchères en ligne eBay, ont profité de l'occasion pour indiquer à leur auditoire qu'ils recrutaient dans ce domaine, ont rapporté nos confrères de Computerworld. Hugh Williams, vice-président, responsable des plateformes chez eBay, a précisé que sa société recherchait des professionnels d'Hadoop et invité ceux qui étaient intéressés à s'adresser à lui. Un peu plus tard, c'est Larry Feinsmith, directeur général pour les opérations IT chez JP Morgan Chase, qui a surenchéri et proposé, en semblant ne plaisanter qu'à moitié, de payer 10% de plus qu'eBay.
« Hadoop, c'est le nouveau datawarehouse, la nouvelle source de données » au sein de l'entreprise, décrit James Kobielus, analyste de Forrester Research. On s'intéresse beaucoup aux personnes qui en savent suffisamment sur les rouages d'Hadoop pour aider les entreprises à en tirer avantage », explique-t-il.
Des compétences en datamining et en modélisation prédictive
Le framework Open Source Hadoop aide à collecter et stocker d'importants volumes de données structurées et non structurées. Les entreprises ont commencé à s'en servir de façon croissante pour analyser les petaoctets de données telles que les connexions web, clics et contenus multimédias, afin d'obtenir davantage d'informations sur leurs activités et leurs clients. Cette adoption entraîne la demande de compétences nécessaires aux analyses avancées, ajoute James Kobielus. Cela inclut les personnes ayant des connaissances en matière d'analyse statistique, de datamining, de modélisation prédictive, de traitement en langage naturel, d'analyse de contenus, de textes et de réseaux sociaux, explique-t-il.
« Les Big Data, dans leur sens large, et Hadoop en particulier, génèrent de la demande pour des gens expérimentés utilisant de nouvelles approches telles que MapReduce et le langage R, pour la modélisation statistique et prédictive », poursuit-il. « Il s'agit de personnes spécialisées dans l'analyse de données ou de scientifiques qui travailleront dans les environnements Hadoop pour pénétrer plus avant dans les données et leur donner un nouveau sens ».
Des administrateurs de clusters Hadoop
L'intérêt suscité par Hadoop est aussi en train de créer une demande pour des professionnels de cette plateforme, ajoute James Kobielus. Leur rôle consistera à mettre en oeuvre des clusters Hadoop, à les sécuriser, les gérer, les optimiser et faire en sorte que le cluster reste disponible pour l'entreprise. Selon l'analyste de Forrester Research, les administrateurs de base de données qui interviennent sur Teradata ou sur l'appliance Exadata d'Oracle sont les mêmes profils qui commencent maintenant à redéfinir leurs rôles comme administrateurs de clusters Hadoop. C'est un nouveau monde qui s'ouvre, estime-t-il en ajoutant qu'on s'attend aussi à voir une demande pour les professions de la gestion de stockage et pour celles permettant d'intégrer les environnements Hadoop avec les technologies existantes de bases de données relationnelles.
(Crédit illustration : D.R.)
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Martin Hall, PDG de Karmasphere, fournisseur de logiciels pour les environnements Hadoop, confirme que trois catégories de professionnels sont concernées. Les professionnels de la gestion de données seront ceux qui choisiront, installeront, géreront et feront évoluer et monter en puissance les clusters Hadoop. Ce sont eux qui décideront si l'infrastructure Hadoop doit se situer dans le cloud ou sur site, quels fournisseurs il convient de choisir, quelle distribution d'Hadoop retenir. Ils définiront la taille du cluster et s'il doit être utilisé pour exploiter des applications de production ou à des fins de test qualité. Les compétences requises pour ces fonctions sont similaires à celles que l'on demande pour effectuer les mêmes tâches dans des environnements de SGBDR traditionnels ou de datawarehouses, précise Martin Hall.
Des professionnels pour construire des algorithmes MapReduce
La deuxième catégorie de professionnels sera chargée de créer les processus de traitement des données. Ils construiront les algorithmes MapReduce distribués qui seront utilisés par les personnes qui analyseront ensuite les données. Les ingénieurs possédant des compétences en Java et en C++ auront davantage d'opportunités à mesure que les entreprises commenceront à déployer Hadoop, prévoit le PDG de Karmasphere.
La troisième catégorie de professionnels recherchés seront ceux qui disposent d'expérience sur les logiciels d'analyse statistique (SAS, SPSS), ainsi que dans les langages de programmation comme R. Ce sont eux qui généreront, analyseront, partageront et intégreront les informations rassemblées et stockées dans les environnements Hadoop.
Pour l'instant, le manque de compétences autour d'Hadoop signifie que les entreprises ont besoin d'être aidées par les fournisseurs de services pour déployer cette technologie. L'un des indicateurs de cette situation, pointe l'analyste James Kobielus, de Forrester, c'est que les revenus générés autour d'Hadoop par les professionnels du conseil et de l'intégration de systèmes sont bien plus importants que les revenus provenant des ventes des produits Hadoop. Des sociétés telles que Cloudera, MapR, Hortonworks et IBM proposent aux entreprises des formations pour qu'elles puissent elles-mêmes construire leur propre centre d'excellence Hadoop, indique-t-il.
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En effet, même s'il subsiste des inquiétudes sur la sécurité et sur d'autres points, Hadoop est prêt à être utilisé en entreprise si l'on se réfère à l'avis de responsables IT qui sont intervenus sur la conférence Hadoop World, à New-York. Ainsi, depuis trois ans, la banque JPMorgan Chase utilise de façon croissante le framework Open Source de stockage et d'analyse de données, a expliqué Larry Feinsmith, le directeur général des opérations IT pour le groupe. La banque continue à s'appuyer fortement sur les systèmes de bases de données relationnelles pour les traitements transactionnels, mais elle utilise la technologie Hadoop pour un nombre croissant d'applications, parmi lesquelles la détection de fraude et la gestion des risques informatiques. Elle gère près de 150 petaoctets de données stockées en ligne, 30 000 bases de données et 3,5 milliards de connexions à des comptes utilisateurs. La capacité d'Hadoop à stocker d'énormes quantités de données non structurées lui permet de collecter les connexions web, les transactions et les informations recueillies sur les médias sociaux. « Nous conservons des données que nous stockions pas auparavant », a pointé Larry Feinsmith. Celles-ci sont agrégées sur une plateforme commune afin d'être explorées, pour mieux comprendre les clients, avec un ensemble d'outils de datamining et d'analyse.
eBay stocke 9 Po de données sur des clusters Hadoop et Teradata
De son côté, le groupe eBay utilise la technologie Hadoop et Hbase, qui supporte l'analyse en temps réel des données, afin de constituer un moteur de recherche pour son site d'enchères en ligne. Hugh Williams, vice-président, responsable plateformes et recherche chez eBay, a expliqué que ce projet de moteur (nom de code Cassini) va remplacer la technologie dont la société s'est servie depuis le début des années 2000. La mise à jour est notamment nécessaire pour prendre en charge les volumes croissants de données. eBay rassemble plus de 97 millions d'acheteurs et de vendeurs actifs et plus de 200 millions d'articles en vente dans 50 000 catégories. Il gère 2 milliards de pages vues, 250 millions de requêtes et 10 millions d'appels à des bases de données chaque jour, a indiqué Hugh Williams. Le groupe stocke 9 petaoctets de données sur des clusters Hadoop et Teradata, un volume qui grossit vite, a ajouté le responsable plateforme et recherche. Il précise que 100 ingénieurs d'eBay travaillent sur le projet Cassini, ce qui en fait l'un des plus gros efforts de développement de la société.
Le moteur, prévu pour entrer en fonction l'an prochain, devra répondre aux requêtes des utilisateurs en fournissant des résultats contextuels et plus affinés que ceux que propose l'actuel système, promet Hugh Williams.
Larry Feinsmith, de JP Morgan Chase, met en garde les départements informatiques qui seraient intéressés par Hadoop. Ils doivent être vigilants sur les questions de sécurité. Il explique que l'agrégation et le stockage des données provenant de sources multiples peut créer de nombreux problèmes liés au contrôle d'accès et à la gestion des données, tout en faisant remonter des questions liées à la possession des données.
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