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(04/02/2008 17:16:49)
Intel présente Tukwila à l'ISSCC
Alors que l'ISSCC (International Solid State Cuircuit Conference) s'ouvre aujourd'hui à San Francisco, Intel a déjà dévoilé quelques détails sur Tukwila, la prochaine génération de processeurs Itanium, attendue pour la fin de l'année. Celle-ci sera basée sur des processeurs quadri-coeurs pour des fréquences allant jusqu'à 2 GHz. Des performances qui doublent celles de l'actuel Itanium 9100 bi-coeur, selon Julian Rattner, directeur technique d'Intel, pour seulement 25% de consommation électrique en plus. Annonçant un chiffre record de 2 milliards, ce sera le processeur commercial avec le plus grand nombre de transistors. Une grande partie d'entre eux seront affectés à la gestion de la mémoire. Tukwila comprendra 30 Mo de mémoire cache et deux contrôleurs mémoire intégrés. En effet, comme Nehalem (la future évolution des processeurs x86), Tukwila disposera de l'architecture QuickPAth (qui nécessite au moins un contrôleur mémoire intégré), qui améliore la vitesse de communication entre les différents composants du système, offrant ainsi plus de performances pour une consommation moindre. Tukwila, qui fonctionnera avec Unix, Linux ou Windows, est destiné aux serveurs accueillant des applications métiers et aux entrepôts de données. Il sera l'un des derniers processeurs Intel à être gravé en 65 nanomètres, avant la génération suivante de processeurs Itanium, qui sera directement gravée en 32 nanomètres. (...)
(04/02/2008 17:14:04)Annuels Informatica : +20% sur les ventes de licences
Exercice fiscal (échu au 31 décembre 2007) Chiffre d'affaires : 391,3 M$ (+20,5%) Ventes de licences : 175,3 M$ (+20%) Bénéfice net (normes US GAAP) : 54,6 M$ (+50,8%) Quatrième trimestre fiscal 2007 Chiffre d'affaires : 113,9 M$ (+24%) Ventes de licences : 54,9 M$ (+28%) Bénéfice net (normes US GAAP) : 20,6 M$ (+48%) L'éditeur américain Informatica, spécialiste des solutions d'intégration de données, a enregistré des ventes de logiciels en hausse de 28% sur son quatrième trimestre fiscal, à 54,9 M$, et de 20% sur l'ensemble de son exercice 2007, à 175,3 M$. Des ventes de licences qui pèsent 48,2% du chiffre d'affaires total de l'éditeur sur le dernier trimestre et 44,8% sur l'année. L'autre part des revenus provient des ventes de services. (mise à jour) Informatica dit avoir enregistré 79 nouveaux clients sur le quatrième trimestre 2007, auxquels s'ajoutent 275 contrats supplémentaires gagnés avec sa base installée (celle-ci comptant 2 988 entreprises). L'éditeur a annoncé début novembre la version 8.5 de sa plateforme regroupant ses offres PowerCenter, PowerExchange et Data Quality. Une évolution de son offre visant à réduire les coûts d'intégration de données en particulier en réutilisant des développements existants. Rappelons que le marché des logiciels d'analyse décisionnelle (dit aussi de Business Intelligence), sur lequel évolue Informatica, a été marqué l'an dernier par une forte concentration de ses acteurs (Oracle a racheté Hyperion, Cartesis a été repris par Business Objects qui a lui-même rejoint SAP, et IBM a acquis Cognos, pour ne citer que les mouvements les plus importants). Un certain nombre d'entre eux (SAP, Cognos, Teradata, HP...) utilisent les outils développés par Informatica, lesquels sont conçus pour extraire, retraiter et faire migrer les données (d'une base ou d'un environnement à l'autre, ou pour l'alimentation d'un entrepôt de données) et à en maîtriser la qualité. Les offres concurrentes se trouvent principalement chez IBM (avec les solutions d'Ascential), SAS ou Oracle. Informatica figure donc parmi les acteurs encore indépendants du secteur du décisionnel, avec SAS, Information Builders ou Microstrategy, notamment. (...)
(04/02/2008 16:57:09)Ventes de licences et de services dopent les résultats d'EMC en 2007
Exercice 2007 Chiffre d'affaires : 13,2 Md$ (+19%) Bénéfices nets : 1,67 Md$ (+43%) 4e trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 13,2 Md$ (+ 19%) Bénéfices nets : 525 M$ (+33%) Joe Tucci, Chairman d'EMC s'est montré fort satisfait des résultats de sa société. Ce sont en particulier les ventes de licences (+20% à 3,6 Md$) et de services (+27% à 2,1Md$) qui ont tiré la croissance, sans oublier, bien sûr, la hausse de 80% du CA de VMware, société qu'EMC détient encore à 90% et qui est donc consolidé dans ses comptes. La division stockage progresse aussi fortement (+14% à 5,7Md$) ainsi que celle de la gestion de contenu (+17%). Et RSA, spécialiste du cryptage, dont le rachat avait été très décrié à l'époque, affiche une croissance de 30% à 148 M$. Au terme de cet exercice, on peut constater que les ventes de matériel proprement dites ne représentent plus que 43,5% de l'activité d'EMC. (...)
(04/02/2008 16:57:07)Epanouissement et salaire, moteurs de la motivation des informaticiens
Pour avoir une idée de ce que pensent les informaticiens du marché de l'emploi, le site lesjeudis.com a demandé au cabinet d'études Harris Interactive de réaliser une enquête d'opinion sous forme d'un sondage. Chaque trimestre, Lesjeudis.com exploite ces résultats dans un baromètre de l'emploi. Les premières analyses du sondage révèlent que l'épanouissement dans le travail est la première motivation des informaticiens interrogés (pour 58% des réponses). Vient ensuite l'aspect de la rémunération : surtout citée par les employés des SSII, de 36 à 40 ans, la question du salaire est la première raison qui pourrait les amener à changer d'emploi (pour 53% d'entre eux). Il sont également 37% à évoquer en premier lieu le souhait de gagner un meilleur salaire dans les cinq années à venir, et 34% à considérer leur niveau de rémunération comme principale motivation. La moitié des informaticiens interrogés gagnent entre 30 et 50k€ par an, tandis que seuls 15 % d'entre eux perçoivent plus de 50 k€. Des offres d'emploi jugées insuffisantes à 80% Les résultats de l'enquête indiquent par ailleurs que les opportunités du marché de l'emploi sont jugées insuffisantes par la majorité des répondants (80%). Ils montrent également que l'opinion sur le nombre et la qualité des offres d'emploi diffère selon les profils. Ainsi, chez les sondés de moins de 26 ans, 63% pensent que les offres sont nombreuses et intéressantes. Pour 52% des répondants âgés de 31 à 35 ans, les offres sont nombreuses, mais peu intéressantes. Les 41 ans et plus, eux, sont d'un tout autre avis : 35% d'entre eux considèrent que les offres sont peu nombreuses mais intéressantes, et une proportion équivalente estime qu'elles ne sont ni nombreuses, ni même intéressantes ! Le degré de satisfaction est réparti de manière plus homogène entre les différents secteurs d'activité : 38% des répondants travaillant en SSII pensent que les offres sont suffisantes mais inintéressantes. 47% des informaticiens travaillant dans d'autres entreprises partagent cet avis. (...)
(04/02/2008 15:34:54)Microsoft/Yahoo : les défenseurs des libertés individuelles s'inquiètent
L'éventualité d'un rachat de Yahoo par Microsoft n'a pas manqué, outre-Atlantique, de susciter des réactions enflammées de la part des défenseurs des libertés individuelles, notamment du CDD (Centre pour la démocratie numérique, une association d'avocats) et de l'EPIC (Electronic privacy information center), deux des organismes qui s'étaient déjà insurgés, aux côtés d'US PIRG, contre la fusion Google/DoubleClick. Cette alliance pourrait « affecter de manière significative la confidentialité en ligne », selon Jeff Chester, directeur exécutif du CDD. Pour lui, il était évident que la fusion entre Google et DoubleClick ferait réagir Microsoft, « mais nous ne pensions pas que ce serait aussi rapide », commente-t-il. Dans le collimateur des deux organismes, on retrouve toujours les mêmes problématiques : la protection des données et de la vie privée des citoyens, le statut de l'adresse IP et le respect des règles de la concurrence. Pour Joseph Turow, doyen associé de l'école de communication Annenberg de l'Université de Pennsylvanie, « l'OPA de Microsoft est une réponse naturelle à l'incapacité du gouvernement américain à réglementer le rôle des conglomérats du Web. » Il déplore [[page]]l'approbation, par les autorités fédérales, du rapprochement entre Google et DoubleClick, une fusion qui, rappelons-le, n'a toujours pas été approuvée par Bruxelles. Course à la publicité ciblée Pam Dixon, directrice exécutive du World privacy Forum a quant à elle soulevé un autre point. Elle estime que Microsoft et Yahoo pratiquent des politiques de protection de la vie privée des internautes très différentes, Yahoo étant « moins transparent », avant de s'interroger « qui adoptera l'approche de l'autre en cas de fusion ? ». Le CDD et l'EPIC craignent que l'internaute soit finalement le grand perdant de cette bagarre sans pitié que se livrent les colosses d'Internet pour marquer leur suprématie sur le marché de la publicité et des services en ligne. « Microsoft et Google ont chacun la capacité d'emmagasiner une quantité phénoménale d'informations sur les internautes, puis de les revendre à tout un panel d'annonceurs », prévient encore Jeff Chester. Selon lui, cette acquisition ne fera que renforcer cette course à l'e-surveillance et à la publicité comportementale ciblée. Les deux organismes encouragent donc la FTC à ouvrir une enquête pour déterminer les implications de ce rachat sur le respect des données personnelles des utilisateurs. Marc Rotenberg, directeur de l'EPIC, confirme : « la FTC doit intervenir, et ne pas commettre la même erreur que lors de l'affaire Google/DoubleClick ». (...)
(04/02/2008 15:31:38)Les bourses mondiales profitent de l'OPA de Microsoft sur Yahoo
Une offre publique d'achat est plus salutaire à la vitalité des marchés boursiers qu'un plan de relance à grands coups de milliards de dollars. C'est du moins l'un des enseignements qu'on peut tirer de la réaction des places boursières à l'OPA de Microsoft sur Yahoo. Alors que l'économie américaine suscite les plus vives inquiétudes - entre crise des subprimes et suppressions d'emplois - et que les presque 300 Md$ injectés par le Sénat et le gouvernement américains ont a peine rassuré les marchés, l'initiative de Microsoft apparaît comme la solution miraculeuse aux maux de Washington.
Vendredi, le Nasdaq gagnait ainsi 0,98% et près de 4% sur l'ensemble de la semaine. Soit la plus forte hausse hebdomadaire depuis près d'un an et demi. Une progression essentiellement due à la folie spéculatrice profitant au titre Yahoo. Réagissant à l'offre le valorisant à 31 $, soit 62% de plus que son cours au 31 janvier, les investisseurs se sont rués sur celui-ci, lui permettant d'afficher une hausse de 48%. Et ce ne sont pas les reculs enregistrés par les titres Microsoft (-6,6%) et Google (-8,6%) qui sont venus contrarier l'élan insufflé par Yahoo, y compris sur les autres places boursières de la planète, où les valeurs technologiques suscitent les convoitises.
Ainsi, à Paris, les titres des SSII sont fortement recherchés : Steria gagne 4,6% ce lundi, GFI grimpe de 3,4%, Altran progresse de 6,9% et Atos de 1,1%.
(...)
Google veut faciliter la ré-utilisation des relations existant dans les réseaux sociaux
Comment récupérer et transmettre les nombreuses relations sociales nouées dans Facebook ou MySpace à d'autres applications sociales en ligne ? Une question sur laquelle s'est penchée Google. Et, dans la lignée d'OpenSocial - qui fournit une kyrielle d'API pour développer et croiser les applications de réseau social - , le géant de l'Internet publie Social Graph API. Des interfaces pour faciliter les travaux de développeurs pour relier, partager et intégrer des profils publiques FOAF (Friend of a friend) ou XFN (XHTML Friends Network) entre applications. Ces deux standards Web définissent les relations et les connections passées entre utilisateurs. En clair, Social Graph cartographie l'ensemble du réseau social de l'utilisateur pour l'exporter vers d'autres applications. Dans une vidéo, Brad Fitzpatrick explique comment récupérer les données publiques de MySpace, Twitter et de blogs, pour éviter de démarrer sans contact ni connexion lors de l'inscription dans de nouveaux réseaux sociaux. Une solution également aux nombreuses (re)invitations qu'un utilisateur doit effectuer à son arrivée dans un réseau social. (...)
(04/02/2008 13:10:02)Alcatel-Lucent supprime à nouveau 400 postes en France
Ce sont finalement 400 postes qui seront supprimés en France chez Alcatel-Lucent. Ces réductions viendront s'ajouter aux 1 006 suppressions déjà en cours chez l'équipementier. La direction a présenté son second plan de restructuration, vendredi 1er février, lors de la réunion du Comité Central d'Entreprise. Comme pour le précédent plan social annoncé en octobre 2007 (4 000 postes supprimés dans le monde, dont 1 468 en France), ce nouveau plan sera basé sur des départs volontaires, et des solutions de mobilité interne seront proposées aux salariés. Selon l'intersyndicale d'Alcatel-Lucent (CGT, CFTC, CFDT), les services commerciaux et de support aux clients sont les plus touchés par le projet de réorganisation. En revanche, les activités de Recherche et Développement (R&D) subissent un impact moins fort qu'en 2007. Dans ce domaine, les arrêts se trouvent en partie compensés par des créations et des transferts d'activités dans le mobile. 273 postes supprimés en région parisienne En France, c'est la région parisienne (Vélizy + Villarceaux) qui reste la plus frappée, puisqu'elle supporte les deux tiers des suppressions d'emplois à elle seule (soit 273 postes). La fermeture du site de Châteaufort est, par ailleurs, programmée pour 2008. Ses 850 salariés seront « redéployés » sur Villarceaux et Vélizy. Si les suppressions d'emplois dans cet établissement ne sont pas prévues dans le plan présenté par la Direction, l'intersyndicale évoque le risque de départs « hors plan », du fait de possibles refus de mobilité. Les salariés des sites de province, s'ils sont moins touchés, n'en sont pas pour autant rassurés sur leur avenir. En particulier, le site d'Ormes passera sous la barre des 500 salariés. Même constat pour le site de EU, dont les effectifs sont également revus à la baisse. La moitié des départs se feront par des préretraites et l'autre moitié par des projets externes, majoritairement en région parisienne, et ce, dans le cadre d'un projet qui devrait être terminé fin 2008. La procédure de consultation du CCE démarrera à la mi-février. (...)
(04/02/2008 12:58:45)SAP vise 1 000 clients sur Business ByDesign d'ici à fin 2008
SAP table sur un millier de clients d'ici à la fin de l'année sur son offre de gestion hébergée Business ByDesign destinée aux PME. Un nombre que Léo Apotheker, PDG délégué de l'éditeur allemand, juge « suffisant » pour prouver que SAP est un véritable acteur sur le marché des applications fournies en ligne (un mode de diffusion des logiciels également désigné sous l'acronyme SaaS, pour « software as a service », par opposition à la mise en place de l'application sur un serveur interne à l'entreprise cliente). Le PDG délégué n'a en revanche pas souhaité préciser l'objectif de SAP sur le nombre d'utilisateurs susceptibles d'exploiter l'offre à cette date. Business ByDesign est un progiciel de gestion intégré (PGI) complet. Il s'adresse aux entreprises de 100 à 700 salariés souscrivant un abonnement pour 25 utilisateurs au minimum. L'Inde en ligne de mire D'ici au mois de décembre, l'éditeur allemand prévoit d'ouvrir ce service applicatif sur plus de vingt pays, dont l'Inde. « Notre intention est d'aller d'abord sur les plus grands marchés, a expliqué Léo Apotheker. Et l'Inde est un marché très important pour un produit comme Business ByDesign. » Lancé en septembre, le PGI en ligne, tarifé sur la base d'un abonnement mensuel (149 dollars par utilisateur), est actuellement testé ou utilisé par 150 entreprises dans cinq pays : les Etats-Unis, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Chine. Chaque trimestre, [[page]]SAP lancera le service dans de nouveaux pays. L'arrivée en Inde est prévue pour le deuxième trimestre. ByDesign ne cannibalise ni All-in-One, ni Business One, selon SAP Business ByDesign n'est pas le seul PGI pour PME du catalogue SAP. Ce dernier comporte également Business One, pour les PME de moins de cent personnes, et All-in-One pour les entreprises à l'organisation plus sophistiquée. Deux produits qui s'installent de façon classique sur les serveurs des clients. Des offres qui ne sont pas remises en cause par le lancement de SAP Business ByDesign, surtout si l'on considère que certaines zones géographiques ne sont pas encore familiarisées avec la notion d'application fournie comme un service. « La Chine est un marché où le strict modèle « à la demande » est encore considéré avec circonspection », cite en exemple Léo Apotheker qui balaie le risque de cannibalisation de All-in-One et Business One par Business ByDesign en soulignant l'augmentation significative de la base installée globale pour ces deux offres en 2007. (...)
(04/02/2008 12:50:28)OPA sur Yahoo : Google s'inquiète, Microsoft le rassure
L'avenir de la compétition sur Internet serait-il menacé par l'OPA de 44,6 Md$ lancée par Microsoft sur Yahoo ? Oui, selon Google. C'est tout le contraire, répond Microsoft. D'un monopole à l'autre, les amabilités pleuvent. Sur le blog officiel de Google, David Drummond, vice-président senior et responsable des affaires juridiques (Chief Legal Officer) du moteur de recherches, écrit que l'OPA pose des questions inquiétantes, qui vont au-delà de la simple transaction financière : « Il s'agit de préserver les principes sous-jacents d'Internet : ouverture et innovation. » Et d'expliquer son inquiétude par le comportement passé de l'éditeur et ses pratiques monopolistiques : « Microsoft pourrait-il maintenant essayer d'exercer sur Internet le même genre d'influence déplacée et illégale ainsi qu'il l'a fait dans le monde du PC ? » Microsoft a vite répondu, par le biais d'un bref communiqué signé Brad Smith, conseiller aux affaires légales. Qui ne nie pas l'accusation... mais contre-attaque en accusant à son tour Google d'avoir établi un monopole sur les revenus publicitaires d'Internet : « Aujourd'hui, Google est l'entreprise dominante des recherches et de la publicité sur le Web. Google a amassé environ 75% des revenus liés aux recherches dans le monde, et sa part de marché continue de croître. Selon des sources publiques, Google dispose de plus de 65% de parts de marché aux Etats-Unis dans la recherche sur Internet, et de plus de 85% en Europe. » Les parts de marché combinées de Microsoft et Yahoo seraient, toujours selon Brad Smith, de 30% aux Etats-Unis et 10% en Europe. D'où son assertion : « La combinaison de Microsoft et Yahoo créera un marché plus compétitif en établissant un challenger attrayant pour la recherche et la publicité sur Internet. Les scénarios alternatifs mènent uniquement à moins de compétition sur Internet. » (...)
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