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(01/02/2008 16:56:27)
Les administrations françaises à la traîne pour recruter en ligne
La deuxième édition de l'étude Monster/Acteurs Publics sur le recrutement en ligne dans les administrations européennes en 2007, confirme deux grandes tendances déjà amorcées en 2006. La migration des offres du support papier vers le online, d'une part, et le retard des administrations françaises en matière de recrutement sur Internet, d'autre part. L'enquête montre en effet que les employeurs européens du secteur public semblent avoir compris les avantages du Net en accompagnant le processus de modernisation du service public. Elle indique parallèlement que l'usage du Net pour recruter reste notablement plus développé dans les administrations du Nord qu'au Sud de l'Europe. Parmi les 27 membres de l'Union, les 10 pays qui, en proportion de leur nombre de fonctionnaires, utilisent le plus Internet, sont tous situés dans le Nord du Vieux Continent. Les Pays-Bas, l'Irlande et la Suède qui s'octroient la tête du classement. La France arrive seulement en neuvième position, mais elle devrait rapidement rattraper son retard. Pour faire face à l'augmentation de ses besoins en recrutement dans la fonction publique suite aux départs massifs à la retraite, l'Hexagone devra recourir à de multiples outils pour publier ses offres d'emploi, dont Internet. En outre, le développement généralisé de l'administration en ligne et plus largement de la modernisation du service public, devrait entraîner de profondes modifications en matière d'usage Internet, notamment dans le domaine des ressources humaines en France comme dans le reste de l'Europe. (...)
(01/02/2008 16:44:56)Baisse des investissements TIC dans les entreprises en 2008, selon PAC
L'Observatoire des TIC, qui regroupe PAC (Pierre Audoin Consultants), l'Idate et Coe-Rexecode, a publié fin janvier un rapport concernant la croissance des investissements informatiques des entreprises en France, en Europe et dans le monde. Son analyse confirme des signaux déjà observés fin 2007, et prévoit une décélération de la croissance pour 2008 : 3% en Europe de l'Ouest et seulement 2,5% en France.
Dans une interview accordée au mondeinformatique.fr, Frédéric Girou, directeur chez PAC, nous rappelle que des secteurs comme la banque et la finance, gros investisseurs en 2007, seront en retrait en 2008, en raison de l'incertitude économique qui règne actuellement aux Etats-Unis. Divers projets pourraient être gelés, dans le CRM ou le décisionnel par exemple. L'outsourcing et le offshore ne devraient pas être touchés par ce ralentissement, car ces contrats permettent aux entreprises de réduire leurs coûts.
Lire l'interview complète de Frédéric Girou, directeur chez PAC
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Microsoft veut racheter Yahoo pour 44,6 milliards de dollars
Microsoft vient de proposer de racheter Yahoo pour 44,6 Md$ en numéraire et par actions pour pouvoir mieux concurrencer Google sur le marché des services en ligne. Cette initiative ne surprendra finalement pas les observateurs de la sphère IT. Il n'était guère de mois au cours des derniers trimestres sans que le Landerneau des entreprises technologiques ne se fasse l'écho d'un éventuel rapprochement entre les deux principaux concurrents de Google. Le secteur de la publicité en ligne est de plus en plus dominé par un seul acteur, a déclaré Microsoft, et un rapprochement avec Yahoo permettra d'offrir une alternative. L'éditeur de Redmond pense que le marché de la publicité en ligne va pratiquement doubler d'ici les trois prochaines années, de 40 Md$ en 2007 à 80 Md$ en 2010. La fusion avec Yahoo conduira notamment à réaliser des économies d'échelle. « L'alliance de ces deux grandes équipes permettra de fournir à nos clients un éventail d'offres d'une ampleur qu'aucun de nous deux n'aurait pu atteindre seul », a déclaré Ray Ozzie, architecte logiciel en chef de Microsoft. Innover plus rapidement [mise à jour] L'éditeur pense réduire de 1 Md$ ses coûts en réalisant des synergies avec Yahoo dans quatre domaines. D'une part, [[page]]grâce à des économies d'échelle au fur et à mesure de l'accroissement de l'audience, d'autre part, en associant ses efforts de recherche et développement avec ceux de Yahoo pour innover plus rapidement, ensuite en éliminant les recouvrements au niveau opérationnel, et enfin en mettant en commun les expertises pour innover en matière d'applications vidéo et mobile. Les deux entreprises vont travailler ensemble pour faire avancer le plan de fusion, a indiqué Microsoft. L'éditeur veut retenir les ingénieurs de premier plan et les équipes de Yahoo après le rapprochement. L'offre de Microsoft dépasse de 62% le niveau de l'action Yahoo à la clôture de jeudi. L'éditeur de Redmond espère obtenir toutes les approbations nécessaires au rachat au second semestre de cette année. Sur son dernier exercice fiscal, échu le 30 juin 2007, Microsoft a réalisé un chiffre d'affaires de 51,12 Md$ et un bénéfice net de 14 Md$. Sur le premier semestre de son exercice en cours, son chiffre d'affaires s'est elevé à 30,12 Md$ (+29%) et son bénéfice net à 8,99 Md$ (+47,38 %). Yahoo, de son côté, a réalisé sur son exercice 2007 un chiffre d'affaires de 6,97 Md$ (+ 8%) et un bénéfice net de 660 M$, en baisse de 12,1% par rapport à l'an dernier. (...)
(01/02/2008 12:32:32)L'Icann veut taxer la période de rétractation d'achat d'un DNS
0,20$. C'est le prix que compte imposer l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) lors d'un dépôt de DNS pour faire barrage aux pratiques parasites dites de « Domain Tasting ». Cette pratique consiste à exploiter la période de rétractation de cinq jours (Add Grace Period) qui suit l'achat d'un nom de domaine. Initialement prévue pour réaliser des modifications sur le DNS en cas d'éventuelle erreur (comme l'orthographe), cette période de grâce est également utilisée pour tester la valeur commerciale d'un nom de domaine. Le principe consiste alors à acheter en masse des DNS, à placer des publicités sur les pages Web s'y rapportant et à calculer les revenus générés sur la courte période. Les moins rentables seront alors revendus, comme l'autorise la rétractation. La pratique ne serait pas anodine. En janvier 2007, 51 millions de DNS ont été enregistrés, mais 48 millions ont été effacés, soit 94%, écrit l'Icann dans un rapport. En découlent alors des problèmes de disponibilités chez les registrars (opérateurs d'enregistrement des noms de domaine) et leurs clients, qui voient le DNS convoité inaccessible à l'achat, mais de façon temporaire. 20 cents pour limiter l'abus du « Domain Tasting » Le paiement de ces 20 cents devrait freiner considérablement cette pratique, argumente l'Icann, car la somme gonflera irrémédiablement la facture des adeptes du «Domain Tasting ». « On peut aujourd'hui enregistrer un million de différents DNS pour cinq jours pour zéro coût. Si cette proposition est acceptée, il en coûtera 1$ pour cinq DNS déposés. Ce qui modifiera le modèle financier de la pratique », raconte Jason Keenan, responsable media pour l'Icann. La proposition sera discutée lors de l'approbation des budgets 2009 de l'Icann, qui aura lieu à Paris en juin. Elle devra alors être approuvée par le conseil d'administration et par les registrars nationaux. (...)
(01/02/2008 12:26:43)Modernisation du marché du travail : les représentants du portage salarial ne s'y reconnaissent pas
L'Opps (Observatoire Paritaire du Portage Salarial) ne se reconnaît pas dans la définition du portage salarial donnée par l'accord du 11 janvier 2008 sur la modernisation du travail.. Cette association, qui regroupe à ce jour le Sneps (Syndicat National des Entreprises de Portage Salarial), la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC, estime en effet que l'article 19 de l'accord donne une définition du portage salarial qui ne saurait concerner les entreprises du Sneps. Elle considère que, contrairement à ce qui est spécifié par l'accord, le portage salarial ne correspond pas à un objet social spécifique, mais plutôt à une modalité particulière d'organisation d'entreprises relevant du champ conventionnel de leur activité principale. L'Opps insiste également sur le fait que les prestations réalisées doivent être des prestations de services et exclure toute mise à disposition de personnel (pas de transfert du lien de subordination à l'entreprise utilisatrice comme dans l'intérim). Tout en rappelant qu'il n'existe pas de corrélation entre le contrat de travail et le contrat de mission., et qu'il n'y a également pas de logique à limiter dans le temps le contrat de travail, car cela laisserait de nombreux seniors sans solution d'emploi après 3 ans. Rappelons que le portage salarial présente de nombreux avantages pour les informaticiens en phase de recherche d'emploi, de reconversion ou de réflexion quant à la création d'une entreprise ou d'une activité indépendante. Ce dispositif permet en effet de travailler de manière autonome sans perdre les bénéfices du salariat (assurance chômage, couverture maladie, retraite...). (...)
(01/02/2008 12:19:49)Terry Semel quitte définitivement Yahoo
Déjà évincé en juin dernier de son poste de PDG (au profit de Jerry Yang), Terry Semel quitte définitivement Yahoo. Il y exerçait depuis sept mois la fonction de président du conseil d'administration. Roy Bostock, autre membre du conseil, prendra sa succession. Terry Semel était à la tête de Yahoo depuis six ans. Il a contribué à la popularisation du site (qui est passé de 170 à 500 millions d'utilisateurs), mais les investisseurs lui reprochent deux erreurs fatales : d'une part son manque de réactivité face à l'arrivée en force du mastodonte Google sur le marché de la publicité en ligne, et d'autre part de ne pas avoir anticipé l'émergence de réseaux sociaux comme Facebook ou MySpace. L'année 2008 s'annonce définitivement morose pour Yahoo. La société a publié mardi dernier des résultats décevants, avec un bénéfice net en forte baisse sur le quatrième trimestre 2007 (en recul de 23,5%, à 206 M$) et sur l'ensemble de l'année (-12,5%). L'actuel PDG de Yahoo, Jerry Yang, a par ailleurs confirmé la mise en place d'un vaste projet de restructuration. Ce plan prévoit la suppression de 1 000 postes dans le monde (sur un effectif total de 14 300), soit 7% de la masse salariale. (...)
(01/02/2008 12:13:54)Wall Street déçu par le solide exercice 2007 de Google
Résultats exercice 2007 Chiffre d'affaires : 16,6 Md$ (+56%) Bénéfice net : 4,2 Md$ (+37%) Résultats 4e trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 4,82 Md$ (+51%) Bénéfice net : 1,21 Md$ (+19%) En dépit des craintes d'un ralentissement de sa croissance dans le contexte d'incertitudes planant sur l'économie mondiale, le mastodonte Google continue d'afficher des résultats en forte croissance, reflétant un solide exercice 2007. Le chiffre d'affaires du géant s'envole ainsi de 56% par rapport à 2006, et atteint 16,6 Md$. Le bénéfice net, à 4,2 Md$, bondit quant à lui de 37%. Pour le seul 4e trimestre, les croissances annoncées s'avèrent également honorables : CA et résultat net progressent respectivement de 51% et 19%, à 4,82 Md$ et 1,21 Md$. Le spécialiste de la publicité en ligne continue de voir croître la part de ses revenus réalisés en dehors des Etats-Unis (48% du CA contre 44% un an plus tôt) : « le marché international est encore naissant, avec un potentiel énorme », a expliqué Eric Schmidt, le président de Google. Même aux USA, pourtant frappés de plein fouet par les conséquences de la crise des subprimes, le groupe de Mountain View se porte comme un charme, selon les commentaires d'Eric Schmidt, qui reste cependant prudent : « nous n'avons observé aucun impact négatif d'une future récession, nous verrons bien ce qui va advenir. » En dépit des croissances à deux chiffres du CA et des bénéfices, Wall Street a tiqué à l'annonce de ces résultats. Les observateurs escomptaient en effet un bénéfice par action de 4,47 $ (contre 4,43 $ annoncé par Google) et tablaient sur un CA légèrement supérieur à celui réalisé. En conséquence, le cours de l'action Google dévisse, perdant jusqu'à 10% sur le Nasdaq. (...)
(01/02/2008 11:13:12)Neteven reçoit le trophée de l'innovation de l'ASP Forum 2008
Le Trophée de l'innovation ASP 2008 vient d'être attribué à l'éditeur français Neteven pour sa solution de commerce électronique Even Marketplaces. Cette jeune société, soutenue par l'Oséo, a été créée en 2005 par d'anciens collaborateurs d'eBay. Elle a développé une application de gestion centralisée destinée aux entreprises souhaitant développer une activité de vente en ligne sur les sites d'achat/vente tels que eBay, Amazon, PriceMinister ou Alapage. C'est la troisième édition de ce trophée, organisé et décerné par l'ASP Forum, une association qui regroupe une trentaine d'acteurs de l'hébergement d'applications (éditeurs, intégrateurs, opérateurs télécoms, hébergeurs, cabinets de conseil...). Neteven a été choisi parmi une sélection de six sociétés (retenues sur vingt-quatre dossiers déposés), parmi lesquelles figuraient aussi CertEurope, Projectplace, Qualys, Voluntis, Sidetrade. Les trophées 2008 de l'ASP Forum comportaient cette année un autre prix portant sur la « qualité de service ». Trois entreprises ont été distinguées, dans trois catégories : Oodrive, pour les éditeurs, Atos Origin pour les sociétés de services, et Europaxion pour les agences de marketing. (...)
(01/02/2008 10:45:06)Premières assises du développement de SI durables
Le Marriott des Champs-Elysées a accueilli hier les premières Assises des systèmes d'information durables. Initiée par Pierre Bonnet, Dominique Vauquier et Jean-Michel Detavernier, auteurs de l'ouvrage « Le système d'information durable », la communauté Sustainable IT Architecture (S-IT-A) vise à réfléchir aux moyens et aux étapes de refondre les systèmes d'information pour les rendre à la fois agiles et pérennes. Plus de deux cents personnes ont répondu à l'appel, décideurs en entreprise, consultants et éditeurs. (LeMondeInformatique.fr avait lui aussi choisi de s'associer à cet événement.) Les membres de S-IT-A ont pu exposer leur vision de l'évolution des SI, vers une architecture orientée services (SOA) étendue. En effet, si les SOA sont explicitement citées comme l'architecture de référence, S-IT-A distingue plusieurs étapes dans l'application de ses concepts (voir l'illustration). De la SOA de surface à la SOA de refonte Le premier niveau serait la SOA de surface, autrement dit l'ajout de technologies estampillées SOA au-dessus de l'existant. Pour Pierre Bonnet, directeur du conseil chez Orchestra Networks, il s'agit d'une étape nécessaire pour une évolution progressive, mais pas durable. Des témoignages utilisateurs ont confirmé cette vision des choses : à plus ou moins long terme, il faut envisager une refonte. Mais pour que cette SOA de refonte ne soit pas chaotique, les promoteurs de S-IT-A préconisent la mise en oeuvre d'« une chaîne d'agilité » (ACMS, Agility chain management system), extériorisant les données de référence dans un MDM (Master data management), les règles métier dans un BRMS (Business rules management system) et les processus dans un BPMS (Business process management system). Plusieurs éditeurs du secteur, sponsors de cette communauté qui prend à rebrousse-poil le discours des éditeurs majeurs du secteur, étaient là pour confirmer cette vision. Ilog, fournisseur d'un outil de BRMS et cofondateur de cette communauté, a expliqué notamment [[page]] qu'il faut identifier les règles susceptibles d'évoluer le plus rapidement, voire d'être gérées directement par les gens du métier, et choisir d'extérioriser celles-ci pour « créer des points de flexibilité ». Mais quelle que soit l'importance des ces technologies, a insisté de son côté Mario Moreno, responsable qualité et méthodes chez Generali Assurances, le plus important est de gérer le changement du sein de l'entreprise, en sensibilisant et en formant les gens. Autre élément essentiel selon lui, il faut mettre en place une gouvernance opérationnelle, et s'appuyer sur un cadre méthodologique rigoureux, « tel que Praxeme ; d'ailleurs je n'en connais pas d'autre à ce niveau ». Pour lui, la modélisation sémantique en amont, préconisée par Praxeme, la méthode publique initiée par Dominique Vauquier, est essentielle. D'abord pour guider les investissements en SOA dans les métiers qui en ont besoin, et ensuite pour éviter de se retrouver avec des systèmes jetables car mal conçus au départ. Obtenir des financements pour refondre l'architecture Les autres témoignages utilisateurs ont aussi mis en évidence des menaces qui guettent les projets SOA, en-dehors des « SOA de surface ». Pour Jean-Pierre Latour, qui travaille sur le portail de la sécurité sociale belge, il faut par exemple faire attention à n'introduire de la flexibilité que là où c'est nécessaire, car ces technologies offrant de l'agilité augmentent les coûts de développement, induisent de la fragilité de par leur complexité, et posent éventuellement des problèmes de performance. Autre question abordée lors de cette conférence, la façon d'obtenir des financements, ou au minimum du soutien, de la part de sa direction générale pour des projets de refonte qui, dans un premier temps pour la plupart, n'apportent rien en termes de fonctionnalités. De la même façon qu'il est impossible de déterminer une stratégie unique pour commencer un projet SOA, ce type de relation avec la direction générale dépend trop du contexte pour qu'on puisse établir une tactique gagnante à tous les coups. Restent quelques exemples. Ainsi, Jean-Michel Detavernier, DSI adjoint de SMABTP, a financé ses nouveaux projets grâce aux économies réalisées avec la suppression des anciens systèmes. Jean-Pierre Latour a lancé un fonds de roulement qui sert à financer des développements réutilisables, et s'alimente en facturant des équipes projet réutilisant des composants existants. (...)
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