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(20/12/2007 17:22:40)

Harmony en version 5.0 M4, mais toujours sans accord avec Sun

Geir Magnusson a profité de la sortie de la version 5.0 Milestone 4 d'Harmony pour réitérer ses critiques à l'égard de Sun. Harmony est le projet d'implémentation par la Fondation Apache de la plateforme Java Standard Edition. Mais avant de pouvoir prétendre à ce titre, Harmony devra passer les tests de compatibilité mis au point par Sun, le TCK (Test compatibility kit). C'est là que le bât blesse. Alors que, lors de l'ouverture de Java il y a un an, Geir Magnusson estimait que cela ne remettait pas du tout en cause les travaux sur Harmony, le leader du projet est aujourd'hui remonté. « La licence que Sun offre à Apache pour le TCK [nous] empêche de distribuer notre implémentation indépendante sous licence Apache », indique-t-il. Pour lui, Sun est en contradiction avec son propre processus d'élaboration des spécifications Java (le JCP) - ce qui pousse Apache à s'opposer aux spécifications émanant de Sun lors des votes du JCP. Sun craint qu'un Java sous licence Apache ne provoque des divergences Sun a répondu de son côté qu'Apache pouvait utiliser le programme TCK de son choix, y compris l'option gratuite pour les organismes à but non lucratif. Et un porte-parole a rappelé les propos de Rich Green, vice-président Software de Sun, qui expliquait en août dernier sur son blog que Sun savait que le choix de la licence GPL lors de l'ouverture de Java pourrait poser problème... mais que c'était comme cela, et puis c'est tout. « Nous savions quand nous avons choisi la GPL et un modèle gratuit pour la technologie Java que nous ne pourrions pas satisfaire les désirs de tout le monde. C'est le cas pour le projet Harmony de la Fondation Apache. » Pour Rich Green, permettre la sortie d'une implémentation de Java sous licence Apache présente des risques de divergence, le code pouvant alors être repris et modifié et finalement devenir incompatible avec le reste du monde Java. Quoi qu'il en soit, du code Harmony est déjà dans la nature : IBM a annoncé il y a quelques jours en avoir utilisé « une quantité significative » pour son Java SDK 6, installé dans « des centaines de produits IBM ». (...)

(20/12/2007 17:22:22)

Le Forum des droits sur Internet dresse le bilan des machines à voter

Six mois après les dernières élections nationales, le Forum des droits sur l'Internet (FDI) dresse le bilan des machines à voter. Si les ordinateurs de vote ont soulevé de nombreuses critiques des défenseurs des libertés individuelles, elles ne font guère grincer des dents les communes qui les ont mises en place. Seize municipalités, sur les 78 ayant expérimenté le vote électronique lors des scrutins de la présidentielle ou des législatives, ont ainsi été interrogées par le FDI, et se déclarent globalement satisfaites. Premier enseignement, le FDI note « une satisfaction globale des collectivités. Plusieurs témoignent de leur inquiétude face à des changements concernant les machines à voter ou plus encore, face à l'hypothèse d'une remise en cause de leur utilisation, soit par un moratoire, soir par une interdiction. » Et si les communes n'entendent pas tirer un trait sur leurs machines, ce n'est certainement pour une raison pécuniaire. Les ordinateurs de vote ne répondent ainsi pas « au souci majoritaire d'allègement du coût économique d'une élection », rapporte le Forum des droits sur l'Internet. De fait, c'est le désir de modernisation du processus électoral qui a motivé les collectivités à s'équiper. Au chapitre de la fiabilité des machines, la plupart des municipalités font état de leur satisfaction : hormis quelques problèmes de branchements ou de pannes électriques, les principales difficultés rapportées s'avèrent relatives à des erreurs humaines « principalement imputables aux présidents des bureaux de votes ». Dans le même ordre d'idée, les mentions aux procès verbaux concernant l'utilisation des machines sont « le fait de quelques personnes particulièrement hostiles au vote électronique et en opposition ». Parmi les difficultés rencontrées par les collectivités, celles-ci font état du peu de coopération de l'Etat. En particulier en ce qui concerne les coûts indirects induits par l'utilisation des ordinateurs de vote, et notamment la diffusion de leur mode d'emploi. Le FDI évoque ainsi « une disparité de prise en charge par les commissions de propagande des envois des copies de planche de vote ou d'écran ». Enfin, les municipalités demandant l'appui du ministère de l'Intérieur autour de la communication publique faite sur les machines à voter pour que s'atténuent les contestations ou les doutes relatifs à leur fiabilité. Les communes « estiment apparemment que ces aspects relèvent de la compétence de l'Etat et qu'il lui revient de prendre les mesures propres à répondre aux questions liées à la sécurité, à la fiabilité et à la conformité des machines vis-à-vis des règles fondamentales du vote en démocratie. » (...)

(20/12/2007 16:14:35)

SFR rachète bien NeufCegetel

La confirmation est arrivée du rachat de NeufCegetel (opérateur fixe, voix et internet, entreprises et grand public) par SFR (opérateur mobile voix et données, entreprises et grand public). Le groupe Louis-Dreyfus se retire donc des télécoms où il avait constitué NeufCegetel par croissance externe. Financièrement, SFR finance l'opération par un prêt de sa maison mère Vivendi. SFR diminuera dans les trois ans à venir son dividende pour rembourser ce prêt, de son côté Vivendi procèdera à une augmentation de capital pour assurer le prêt à SFR. SFR qui détenait déjà 40,5 % du capital de NeufCegetel reprend les 29,5% détenus par Louis-Dreyfus et lancera une Opa sur les 21,5% du flottant. Vivendi est déjà actionnaire majoritaire de Canal+ et de Vivendi Games, deux sociétés de contenus, dont il n'entend pas se défaire, sous réserve de l'avis des autorités de la concurrence européennes. (...)

(20/12/2007 16:15:13)

Creative Commons propose une option pour un usage commercial

Lorsque la clarté des licences Creative Commons a été mise en cause dans une procédure judiciaire - abandonnée au début du mois - Lawrence Lessig, PDG de Creative Commons, avait promis de rendre encore plus claire l'utilisation de ses licences. C'est désormais chose faite avec les deux additions : CC+ et CC0. Loin d'être une licence supplémentaire, le CC+ est un protocole pour permettre l'utilisation d'une autre licence (commerciale par exemple) aux côtés d'un usage normalement non commercial. Ainsi Lawrence Lessig prend l'exemple de photos mise sur Flickr avec une licence non-commerciale (donc la situation même qui a failli valoir un procès à sa compagnie) : « CC+ vous permettra de continuer à proposer votre travail au public pour un usage non commercial, mais il vous assurera aussi une façon simple d'en licencier les droits commerciaux à ceux qui voudront l'exploiter pour le profit. » CC+ peut être implanté immédiatement. Au contraire, le protocole CC0 a pour but de faire immédiatement tomber dans le domaine public l'oeuvre qu'il recouvre. Et d'assurer aux utilisateurs qu'il n'y a aucun droit intellectuel rattaché à cette oeuvre. Une version bêta de CC0 devrait être disponible dès le 15 janvier 2008. Et la compagnie annonce également Science Commons, un protocole pour rendre les bases de données scientifiques interopérables entre elles. (...)

(20/12/2007 16:01:12)

Les adolescents de plus en plus créateurs de contenu Internet

En 2007, 64% des adolescents américains sont créateurs de contenu sur le Web, d'après une étude publiée par l'institut Pew Internet, contre 57% en 2004. Cette étude, menée auprès de jeunes âgés de 12 à 17 ans, révèle par ailleurs de grandes disparités entre les filles et les garçons. Les filles privilégient les blogs (35% contre 20% pour les garçons), où elles s'épanchent sur leur vie privée, leurs sentiments... un peu comme dans un journal intime partagé. Elles sont aussi plus nombreuses à publier des photos (54% contre 40%), alors que les garçons préfèrent la vidéo (19% contre 10% chez les filles). L'enquête a également constaté que les jeunes ne se contentaient pas de produire du contenu, mais espéraient que la publication de photos, de commentaires ou de vidéos leur permettrait d'entrer en contact avec d'autres personnes, et de communiquer via Internet. 89% d'entre eux se félicitent d'ailleurs de recevoir des commentaires sur les contenus qu'ils mettent en ligne. L'enquête a également identifié une catégorie d'adolescents qu'elle qualifie de « super communicants » (28 %, en majorité des filles). Il s'agit de jeunes qui utilisent toute une panoplie d'outils pour communiquer avec leur famille ou leurs amis : portable, sms, mail, inscription à un réseau social. Elément plus inquiétant relevé par l'étude, 47 % des adolescents publient des données personnelles sur des sites publics, donc accessibles à tout le monde. Suite à une étude, l'ICO (Information Commissioner's Office, une autorité indépendante britannique équivalente de la Cnil en France) a récemment créé un site Internet pour aider la jeunesse à comprendre ses droits, mais surtout à mieux se protéger contre les dangers du Web. D'après l'ICO, « les millions de jeunes ont rarement conscience que les informations qu'ils diffusent pourraient un jour leur porter préjudice, notamment lors de la recherche d'un emploi ou d'une école ». (...)

(20/12/2007 12:37:44)

Les applications tirent le 2e trimestre d'Oracle vers le haut

Oracle continue d'impressionner la bourse par la réussite insolente de sa massive politique de croissance externe. Tous les indicateurs sont au vert. Les bons résultats affichés traduisent le fait qu'Oracle est en passe de réussir son pari d'ajouter un gros morceau de logiciels applicatifs à l'imposant gâteau de son SGBD. C'est ainsi que le CA des nouvelles licences sur les applications a progressé de 63% contre seulement 28% pour les SGBD et le middleware. Sur le deuxième trimestre, le CA généré par les nouvelles licences SGBD a représenté 66% du CA licence, le reste revenant aux applications. Il y a un an, le rapport était de 72% pour les SGBD et de 28% pour les applications. Cerise sur le gâteau, Oracle conduit sa mutation en améliorant encore sa rentabilité. (...)

(20/12/2007 12:34:45)

Le MIT alimente un supercalculateur en pédalant

Le Massachusetts Institute of Technology (MIT) a eu pendant quelques minutes le supercalculateur le plus écologique du monde. En effet, la semaine dernière, 10 étudiants ont pédalé pendant 20 minutes pour alimenter en électricité un SiCortex SC648 chargé de réaliser un calcul sur la fusion nucléaire. Cet exploit avait une triple vocation : entrer dans le livre des records Guiness, participer au concours « Innovate or Die » et mettre l'accent sur la nécessité de trouver de nouvelles énergies alternatives. Selon un porte-parole de l'institut, durant ces 20 minutes, le SiCortex a réalisé plus de calculs que tous ceux ayant eu lieu jusqu'aux années 60. (...)

(20/12/2007 12:13:31)

700 MHz : la FCC rejette les opérateurs traditionnels

L'autorité de régulation des télécoms américaine (FCC) a publié hier la liste des 96 participants retenus pour les enchères sur la bande passant des 700 Mhz. Sur les 266 candidatures soumises, seulement 96 ont en effet été retenues, les 170 restantes ayant toutefois encore la possibilité de réitérer leurs prétentions à une portion de la bande des 700 Mhz en complétant leurs dossiers avec les informations manquantes requises par la FCC. La liste des candidats peut être consultée sur le site de la FCC, mais d'ores et déjà, on peut noter de grands noms des télécoms américains parmi les prétendants refusés dont notamment AllTel, AT&T Mobility Spectrum, Chevron, Qualcomm ou encore Verizon. Chose assez étonnante d'ailleurs car ces acteurs du marché du réseau ne manquent pas d'expérience en matière de constitution de dossier de candidature. Il semble que la FCC ait préféré donner aux opérateurs régionaux et aux initiatives nouvelles. Ainsi, Vulcan Ventures, société dirigée par le co-fondateur de Microsoft Paul Allen, et Google Airwaves, filiale du géant de la recherche sur Internet, figurent déjà parmi les 96 candidats retenus au milieu d'opérateurs télécoms régionaux. (...)

(20/12/2007 12:06:54)

Des nanofils pour décupler la capacité des batteries Li-ion

Des chercheurs de l'université américaine de Stanford ont trouvé le moyen de multiplier par dix les capacités de stockage des batteries au Ion - Lithium (Li-Ion) en utilisant des nanofils de silicium. Presque plus importante encore que cette découverte révolutionnaire, Yi Cui, qui dirige l'équipe de chercheurs, affirme que sa mise en application devrait se faire rapidement. Toujours selon lui, l'avancée est d'une telle ampleur qu'elle ouvre d'immenses perspectives. Ces batteries pourraient intéresser les fabricants de véhicules électriques, voire être utilisées pour stocker l'énergie générée par des panneaux solaires. Bien que la capacité à stocker du Lithium sur des anodes en silicium est supérieure à celle du carbone, l'idée de batterie au silicium se heurtait au problème de changement de volume du silicium sous l'effet du cycle charge/décharge. A chacun de ces cycles, une partie du silicium se pulvérisait, dégradant rapidement les performances de la batterie. Cet effet pervers disparaît lorsque le silicium se présente sous la forme de nanotube. Chacun de ces nanotubes peut se gorger de Lithium au point de quadrupler de volume sans perdre de matière. Cette découverte est l'aboutissement de trente ans de recherche qui trouve leur consécration avec l'arrivée des nanotechnologies. Elles permettent d'engranger des quantités bien plus importantes de Lithium dans un maquis très dense de nanofils. Une demande de brevet a été déposée. Au bas de l'article complet de la communication officielle figurent les signatures de Yi Cui, de l'étudiant Candace Chan et de cinq autres. (...)

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