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(19/12/2007 15:29:07)

Google à nouveau condamné pour contrefaçon

Google vient d'être condamné pour la énième fois par le Tribunal de Grande Instance de Paris pour « contrefaçon de marque » et publicité mensongère, au profit de Belle Literie, qui est à la fois un label et une marque. Le moteur de recherche devra verser 80 000 € (dommages et intérêts et frais de justice compris) au Syndicat de la Literie. Motif invoqué : Google a autorisé des annonceurs à placer des publicités Adwords sur le label « Belle Literie », une marque déposée par le Syndicat en 1972. Concrètement, lorsqu'un internaute saisit ces mots sur Google, le moteur de recherche le renvoie automatiquement vers des sites concurrents, non autorisés à utiliser ce label comme lien commercial. Dans son jugement, le TGI a reconnu que la marque Belle Literie « jouissait d'une notoriété certaine, et que la requête belle literie utilisée comme mot clé dans le moteur de recherche risquait de créer une confusion auprès du consommateur ». Remise en cause du système des Adwords Le montant des indemnités reversées au Syndicat de la Literie peut paraître dérisoire, comparé aux revenus astronomiques générés par le moteur de recherche pantagruélique (plus de 4 Md$ de chiffre d'affaires au troisième trimestre 2007, 1 Md$ de bénéfices). Mais cette nouvelle condamnation pointe encore une fois du doigt le système de positionnement au mot-clé de Google Adwords. En juin 2006, le moteur de recherche était en effet contraint par le tribunal de Paris de verser plus de 300 000 euros à Vuitton pour des raisons similaires. Google avait vendu à des tiers des mots clés associant la marque Vuitton à des termes comme « contrefaçon », « fake » ou autre « réplica ». Conséquence, les vendeurs d'objets de contrefaçon bénéficiaient « à l'oeil » d'une devanture accessible à partir d'une simple requête tapée sur Google. En août 2006, c'était au tour du Gifam (Groupement interprofessionnel des fabricants d'appareils d'équipements ménagers) de porter plainte. Le Gifam a obtenu gain de cause et perçu 30 000 €, plus 10 000 € pour chacune des 28 sociétés composant le groupe. A l'époque, le géant américain avait, avec un brin d'hypocrisie, estimé que ce procès constituait « une solution extrême, car il existe des moyens techniques, pour limiter l'usage des noms de marques. La procédure n'est pas automatisée. Il suffit de demander conseil à Google ». Actuellement, d'autres marques, comme Axa ou Eurochallenges, mènent le même combat contre ce système de liens commerciaux sponsorisés. Autre affaire concernant Google, la cour d'appel de Paris vient de condamner le moteur de recherche à verser 15 000 € de dommages et intérêts à Benetton pour ne pas avoir fermé un blog qu'il jugeait illicite. Ce blog, tenu par une prétendue photographe, encourageait les jeunes filles à envoyer des photos en tenue légère, pour de prétendues illustrations de catalogues de maillots de bain et de lingerie. Ce même blog était également hébergé par Microsoft, qui s'est immédiatement plié à la demande de Benetton, alors que Google a préféré en laisser la décision finale à la justice. La cour a tranché, en estimant que c'était à l'hébergeur « d'apprécier si un contenu comprenait un caractère illicite ». Le cas échéant, il se doit de le supprimer. (...)

(19/12/2007 13:29:08)

L'Etudiant ouvre un blog « éducatif »pour les étudiants et leurs parents

Actualités du système éducatif français, questions relatives à l'orientation scolaire des élèves, commentaires ou conseils se rapportant au monde de l'éducation : le blog Conseilsdeclasse, lancé à l'initiative du groupe L'étudiant, apporte les réponses aux nombreuses questions que se posent les élèves et les étudiants, mais également à leurs parents et à tous les professionnels du secteur de l'éducation et de la formation. Bruno Magliulo, inspecteur d'académie honoraire et spécialiste des questions sur l'orientation scolaire et le système éducatif en France, anime ce blog, qui couvre deux grandes catégories de problèmes : tout ce qui concerne l'orientation scolaire d'une part (du collège à la fin de l'enseignement supérieur, en France et à l'étranger), et les questions concernant l'actualité du système éducatif d'autre part : réforme de la formation professionnelle, système des trois grades LMD (licence, master, doctorat), actualités sur les différentes filières, professionnelles, technologiques ou de l'enseignement supérieur. Les parents et élèves ont champ libre pour s'exprimer et réagir en publiant leurs commentaires, que ce soit pour manifester leur désaccord ou leur approbation, sur des questions éducatives, exprimer un point de vue complémentaire, apporter un témoignage, ou poser une question. Conseilsdeclasse.s'engage à prendre en compte leurs contributions, et dans la mesure du possible, à répondre à leurs questions. En savoir plus Le blog Conseilsdeclasse (...)

(19/12/2007 11:42:50)

Un standard commun pour les serveurs lames serait en discussion

Vieux serpent de mer, l'idée d'un standard commun pour les serveurs lames refait surface, suite à une petite phrase de Bernhard Brandwitte, responsable marketing Europe de Fujitsu Siemens : « Les principaux fournisseurs de blades sont en cours de discussion afin de trouver des façons de standardiser l'écosystème pour les blades. » Aujourd'hui, les serveurs sous forme de lames viennent s'enficher dans un châssis fourni par le même constructeur. Et tous ne garantissent pas la compatibilité de toutes leurs lames avec tous leurs châssis. C'est justement un aspect qui fait peur à certaines DSI : opter pour une infrastructure serveur sous forme de blades signifie qu'on doit acquérir un châssis auprès d'un constructeur, puis rester dépendant de ce constructeur pour les lames et les éléments complémentaires qu'on viendra enficher dans le châssis. Un standard annulerait ce lien unique avec son fournisseur et permettrait de faire jouer la concurrence. D'ores et déjà, certains font des efforts. IBM par exemple, qui fêtait il y a quelques jours les 5 ans de sa gamme Blade Servers, indiquait ainsi que toutes ses lames sont compatibles avec tous ses châssis. Et le constructeur a dès le début publié ses spécifications sur blade.org afin d'attirer le maximum de partenaires, fabricants de commutateurs pour les réseaux et le stockage. Un beau geste qui le sert, puisque IBM peut ainsi revendre ces switches. Comme l'expliquait Nicolas Mahé, chef de produits serveurs lames, « ce qui coûte cher dans une infrastructure blade, ce n'est pas le châssis, ce sont les switches qu'on peut mettre à l'intérieur ». Bien que le responsable de Fujitsu Siemens ait indiqué que les discussions duraient déjà depuis plus d'un an, les principaux vendeurs de serveurs lames, HP et IBM, se refusent, eux, à tout commentaire sur le sujet. Un de leurs arguments habituels est que mixer des lames au sein d'un châssis risque d'entraîner de la confusion, chacun se targuant d'offrir la meilleure intégration possible. (...)

(19/12/2007 11:16:36)

AMD baisse le prix de ses Phenom

Après avoir dû reconnaître que le Phenom avait bien été victime d'un bug, AMD veut redorer le blason de son processeur quatre coeurs en en diminuant les tarifs. Dans quelques jours la version 9500 de la puce devrait ainsi passer sous la barre des 200 € tandis que le modèle 9600 devrait se négocier aux environs de 210 €. A partir du 7 janvier, une seconde vague de baisse des prix devrait être annoncée par le fondeur. Elle concernera cette fois-ci ses gammes de processeurs simple coeur et double coeur. (...)

(19/12/2007 11:02:34)

Intel veut marier le FCoE et Linux

Intel vient de lancer un logiciel Open Source destiné aux développeurs souhaitant créer et tester des offres de Fibre Channel over Ethernet (FCoE) sur des systèmes Linux. Une démarche qui devrait conduire, selon Intel, à simplifier le travail des administrateurs sur les SAN. Le FCoE est une déclinaison du Fibre Channel en cours d'élaboration destinée à adapter l'interface de stockage aux réseaux Ethernet, plus économiques. Soutenu par des grands noms de l'industrie IT, dont Brocade, Cisco, ou autre EMC, il devrait être ratifié par l'Ansi (American national standards institute) à la mi-2008, selon Intel. Le fondeur indique que son outil Open Source a pour finalité de permettre à la communauté Linux de bâtir une pile applicative pouvant être facilement intégrée aux distributions Linux. L'OS, explique encore Intel, « est un peu derrière [Microsoft] pour un usage dédié au stockage » dans les centres de données. Le couplage du FCoE et de Linux autoriserait les administrateurs à simplifier la gestion des datacenters en combinant des infrastructures de stockage local et de SAN au sein d'un même système à 10 Gbit/s. (...)

(19/12/2007 09:13:32)

Les acteurs de la VoIP s'emportent contre le projet européen de régulation des télécoms

Le projet de la Commission européenne de revisiter la régulation des télécoms sur le Vieux continent irrite les acteurs de la VoIP. Au-delà du projet de créer un régulateur européen ou de pouvoir démanteler les opérateurs historiques, c'est l'obligation qui pourrait être faite aux services de téléphonie sur le Web de garantir un accès au 112, le numéro d'urgence commun à l'ensemble de l'UE, qui fait l'objet de leurs récriminations. Microsoft, Google, Skype, Intel, Rebtel, et iBasis viennent ainsi de d'associer au sein de la VON (Voice over the Net) Coalition Europe pour mieux faire entendre leur message. Selon eux, l'obligation de garantir l'usage du 112 est prématurée si elle concerne tous les fournisseurs de services de VoIP, léserait à la fois les industriels et les consommateurs en « nuisant aux innovations importantes pour les personnes handicapées, freinant la concurrence, et limitant l'accès à des solutions de communications innovantes où il n'y a pas lieu de mettre en place le 112 ». De fait, explique, l'association, la VoIP n'est pas appelée à remplacer les services de téléphonie traditionnelle installés dans les domiciles et les entreprises. « Si l'on soumet automatiquement cette nouvelle technologie aux règles classiques de régulation, les utilisateurs particuliers et professionnels pourraient passer à côté des services, de l'offre, des prix et des fonctionnalités » qu'elle permet. (...)

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