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(18/12/2007 17:59:58)

La dépense IT de la distribution augmentera de 6,7% en 2008

En 2007, la dépense informatique des acteurs français du commerce et de la distribution a augmenté de 5,5%, à 4,74 milliards d'euros, selon le baromètre que viennent de diffuser IDC France et Microsoft. Ce faisant, elle a cette année progressé davantage que la dépense informatique professionnelle globale (+3,55%), alors que la distribution a longtemps investi moins que les autres secteurs dans son système d'information. D'ailleurs, en dépit de son augmentation, la dépense IT ne représente que 0,4% du chiffre d'affaires de la distribution, quand le secteur du transport y consacre 0,6%, l'industrie 1,4% et le secteur des services aux personnes, 1,6%. La hausse des investissements est tirée à la fois par les contraintes réglementaires qui s'imposent au secteur et entraînent la mise en place de nouveaux outils, et par la stagnation des profits (en dépit de l'augmentation du chiffre d'affaires), ce qui pousse la grande distribution à renforcer son efficacité opérationnelle et à réduire ses coûts. En 2008, IDC prévoit une progression globale de 6,7% de cette dépense informatique, et plus encore sur trois domaines clés : d'une part, l'équipement des magasins et les outils de gestion de la relation client, d'autre part, la gestion de la chaîne logistique (afin d'optimiser les relations avec les fournisseurs et de mieux gérer les stocks) et, enfin, les applications de pilotage prévisionnel qui, rappelle Alain Pétrissans, directeur études et conseil d'IDC France, « nécessiteront un gros travail de mise en cohérence des données issues de différentes bases ». + 8,7 % en 2008 sur les outils de pilotage En 2007, ces trois domaines clés ont pesé 53,3 %, soit 2,5 Md€ des 4,74 Md€ investis par la distribution dans les solutions informatiques : 1,13 Md€ consacrés aux solutions exploitées dans les magasins (23,9% du total), 822 M€ (17,3 %) pour l'optimisation de la chaîne logistique et 570 M€ (11,8 %) pour les outils de pilotage prévisionnel. L'an prochain, IDC France prévoit, sur ces postes, des progressions respectives de +7,8%, +7,4% et jusqu'à +8,7% pour les solutions de pilotage. En 2007, les 2,2 Md€ restants (46,7% du total) ont été dépensés dans les applications et l'équipement du back-office (progiciels de comptabilité, de gestion des ressources humaines, serveurs, PC, périphériques...). Pour ce premier baromètre de la distribution, IDC France a mené une cinquantaine d'interviews auprès des directions métiers des grands groupes de distribution français. A l'échelle européenne, le cabinet d'études a également créé un centre de recherche spécifique, Global Retail Insights, pour suivre les évolutions importantes qui s'opèrent actuellement sur ce marché autour de l'outil informatique. Des mouvements qui intéressent beaucoup de fournisseurs, tant Microsoft, Oracle, SAP ou Sage, que des acteurs locaux bien implantés dans le monde de la distribution, comme Generix ou Cegid. (...)

(18/12/2007 17:46:28)

Accord entre la SFLC et Xterasys autour de la BusyBox

Le SFLC (Software Freedom Law Center) vient d'annoncer qu'il était parvenu à un accord avec Xterasys qu'il accusait de violer les termes de la licence libre GPL pour la suite d'utilitaires BusyBox. Le SFLC, qui a également touché des dommages-intérêts au montant confidentiel, a annoncé que le fabriquant d'équipements réseau Xterasys allait mettre à disposition le code source de BusyBox. Xterasys s'est même engagé à nommer un responsable chargé de s'assurer qu'à l'avenir l'esprit et la lettre de la licence GPL seront respectés. Cette BusyBox est au coeur d'autres procédures pour les mêmes raisons. Celle contre Monsoon a connu la même issue que celle contre Xterasys. En revanche, les procès contre High-Gain Antennas et Verizon Communications sont toujours en cours. (...)

(18/12/2007 17:43:23)

Adobe clôt l'exercice 2007 en fanfare

4e trimestre 2007 (clôture le 30 novembre) Chiffre d'affaires : 911 M$ (+33%) Bénéfices nets : 222 M$ (+21,3%) Exercice 2007 Chiffre d'affaires : 3,15 Md$ (+22,6%) Bénéfices nets : 723,8 M$ (+43%) Adobe achève son année fiscale sur un dernier trimestre en fanfare. Selon l'éditeur, l'excellence des résultats - qui dépassent les prévisions des analystes - démontre le succès de la Creative Suite 3 et de ses nombreuses déclinaisons auprès des développeurs. Au terme de cette année fiscale, la bonne santé d'Adobe montre que l'inventeur du format PDF a bien réussi sa mutation de l'écrit vers Internet. Le rachat de Macromedia (Flash Player) en 2005 est en particulier, une réussite. Si l'on considère les logiciels structurants et leur écosystème, on peut dire que, désormais, Adobe occupe une place stratégique dans l'univers du online. Là, il pèse suffisamment lourd pour résister aux produits de Microsoft et, dans une moindre mesure, à la galaxie Java. Adobe est aussi un pavé dans la mare du logiciel libre qui avait pourtant fait du Web son terrain de prédilection. (...)

(18/12/2007 17:21:53)

Rencontres agiles : la preuve par l'exemple

Les Rencontres agiles 2007, événement dont LeMondeInformatique.fr était partenaire, ont réuni une centaine de participants environ ce mardi matin à Paris-La Défense. De nombreux intervenants, utilisateurs et consultants, ont démontré comment les méthodes agiles, Scrum et XP en tête, pouvaient assurer la réussite d'un projet de développement... à certaines conditions. « Il faut le voir pour le croire » était quasiment une phrase clé ce matin, comme Didier Girard (de Sfeir) et Bernard Notarianni (Octo Technology) l'avaient dit en organisant cet événement. Des représentants de Vidal et de M6 ont exposé la façon dont les méthodes agiles leur ont permis de répondre en très peu de temps - quelques semaines - à des requêtes de leur direction fonctionnelle. L'application des méthodes agiles a agi à deux niveaux. D'une part en responsabilisant les maîtrises d'ouvrage, qui ont dû hiérarchiser leurs demandes, d'autre part en augmentant l'efficacité des équipes de développement, grâce aux réunions quotidiennes, au pilotage par les tests, et aux itérations fréquentes (puisqu'à la fin de chaque itération, un projet doit pouvoir être mis en production). En revanche, comme l'a souligné le DSI adjoint de M6, même si pour certains développeurs il est dur de revenir aux méthodes traditionnelles après avoir goûté aux méthodes agiles, celles-ci n'ont pas vocation à intervenir dans tous les projets. Pour lui, les méthodes agiles sont la réponse si les projets disposent d'équipes réduites, ont des contraintes fortes en termes de délai, et peuvent voir leur budget et leurs exigences remis en cause. Les méthodes agiles applicables aussi en offshore Même si la grande majorité des interventions a montré que les méthodes agiles sont a priori l'apanage de petites équipes rassemblées en un lieu unique, Guillaume Bodet, de la SSII Xebia, a démontré que Scrum et XP pouvaient s'adapter à l'offshore. Xebia a raté son premier projet de développement en collaboration avec des développeurs indiens, mais en compte depuis six réussis, et trois sont en cours. Quelques adaptations et outils de télécommunication sont bien sûr nécessaires, pour jouer avec le décalage horaire et la distance. Mais il faut aussi « investir pour lever les obstacles ». Il est important par exemple de financer des voyages pour que les développeurs puissent se rencontrer régulièrement et travailler ensemble physiquement. Quant à savoir si les méthodes agiles doivent s'adapter à l'entreprise ou l'inverse, le débat n'est pas tranché. Laurent Bossavit, consultant indépendant et président de XP France, a ainsi rappelé que si la méthode est adoptée en bloc, « le choc culturel est maximal », et donc le risque d'échec aussi. Il préconise certains aménagements, avec une limite toutefois : « Les pratiques qui exigent le plus d'effort sont souvent rejetées, alors que c'est le plus critique. » On citera par exemple le pilotage par les tests, toujours très contraignant, mais gage d'un code plus propre sans phase de recette interminable... ou inexistante. Claude Aubry, consultant indépendant, indiquait de son côté qu'il fallait s'adapter au contexte de l'organisation, tout en disant qu'il se montrait plus ferme, dans son rôle de « coach agile », avec l'expérience. « Dans les premiers projets, j'avais tendance à ne pas brusquer, maintenant je pense qu'il est mieux d'être ferme sur le vocabulaire, pour bien montrer qu'il y a une rupture, que les choses changent. » (...)

(18/12/2007 16:53:36)

Oracle France taille de nouveau dans ses effectifs

Quelques semaines après la fusion juridique avec le spécialiste du décisionnel Hyperion, Oracle France annonce un nouveau plan de sauvegarde de l'emploi (PSE). L'annonce de 36 suppressions de postes vient en effet d'être soumise au CE par la direction de l'éditeur de bases de données, rapporte la CFDT. Comme à l'été 2006, ce sont les services de back-office qui seront les plus touchés dans l'Hexagone, avec des réductions de postes intervenant dans les départements gestion des contrats (-75%), ressources humaines(-50%), et marketing (-50%). Contactée par Lemondeinformatique.fr, la direction d'Oracle confirme le déploiement d'un PSE dans sa filiale française. Du côté des syndicats, ces suppressions d'emplois sont la conséquence de la politique de rachats menée avec frénésie par Oracle. « A chaque acquisition, se dessine une nouvelle structure qui donne lieu à des réductions d'effectifs supplémentaires, commente Franck Pramotton délégué syndical CFDT. Cela s'est vérifié en 2006, lors du rachat de Siebel par Oracle [2 000 suppressions de postes dans le monde, NDLR] et également en janvier 2005, à l'occasion de l'acquisition, par l'éditeur, de Peoplesoft [5 000 postes supprimés dans le monde, NDLR] Pour l'heure, nous attendons que la direction de la filiale française propose des mesures de reclassement à destination de ses salariés. » Selon le délégué syndical, les réductions d'effectifs sont aussi le résultat de la centralisation progressive des fonctions marketing et administratives dans plusieurs pays d'Europe (la DAF européenne se concentre à Bucarest et à Dublin), des mesures prises par l'éditeur pour rationaliser ses coûts. (...)

(18/12/2007 16:08:46)

Démission du PDG de Gateway

ED Coleman, le PDG de Gateway, vient d'annoncer qu'il démissionnerait de son poste fin janvier. Gateway, spécialiste du PC aux Etats-Unis, a été racheté par le Taiwanais Acer en octobre pour 710 M$. Coleman avait notamment géré la phase de transition et d'intégration entre les deux sociétés. Il ne participera à sa conclusion. Rudi Schmidleithner, patron de la division Pan-America d'Acer prendra les rênes de Gateway. Dans un communiqué, Acer remercie Coleman pour sa contribution au rachat, tout en ajoutant que lui seul a décidé de partir. Sans invoquer de raison. (...)

(18/12/2007 16:07:09)

Les applications Open Source à la traîne par rapport à Linux

Hormis Linux, les 2500 entreprises européennes et américaines interrogées par Forrester Research implémentent relativement peu d'applications Open Source dans leurs systèmes d'information, même si elles s'y intéressent fortement d'un point de vue tactique. Les analystes Michael Gould, John Rumer et David D'Silva notent ainsi que « l'Open Source n'a pas une grande priorité parmi les initiatives de stratégie logicielle à venir. Elle apparaît plus comme une tactique pour atteindre des objectifs prioritaires. » Comme l'implantation de stratégies collaboratives reconnue prioritaire par 49% des sondés, d'architecture orientée services (SOA) ou de technologies Web 2.0, ces deux derniers points étant une priorité pour 44% des sondés. A titre de comparaison, seules 23% des entreprises ont reconnu qu'installer plus de logiciels Open Source était critique, pour 41% d'entre elle, ce n'est même pas à leur agenda. Parmi les freins à l'adoption de produits Open Source, les sondés citent principalement la sécurité (à 88%) et le support technique (à 79%). « Si l'Open Source veut s'imposer comme un outil tactique important, son écosystème doit répondre à ces inquiétudes », concluent les analystes de Forrester Research. D'autant que la part de l'Open Source pourrait être plus importante en entreprise que ne l'estiment les utilisateurs. De nombreux éditeurs commerciaux utilisent des briques Open Source dans leur produit sans le mentionner très clairement. « Si vous utilisez Java, il y a des chances pour que quelque part dans votre plateforme il y ait de l'Open Source », rappellent-ils. (...)

(18/12/2007 12:41:23)

En Europe, les femmes sont peu représentées dans la IT

L'emploi IT serait-il un domaine surtout réservé aux hommes ? C'est en tout cas la tendance relevée par l'Observatoire des inégalités, qui s'est appuyé sur les résultats d'une enquête Eurostat sur les forces de travail. Ainsi, dans l'ensemble des pays de l'Union, la proportion des hommes employés à des postes informatiques est quatre fois plus élevée que celle des femmes : en 2006, 2,6% des hommes actifs dans les 25 pays de l'Union étaient employés à un poste informatique, contre seulement 0,7% de femmes. L'écart qui subsiste entre les hommes et les femmes employés dans la IT se vérifie dans tous les pays de l'Union. En Grèce, où le nombre d'hommes informaticiens est plus faible qu'ailleurs, la proportion s'élève pourtant à un peu plus de deux hommes pour une femme. Aux Pays-Bas, où à l'inverse, le taux d'hommes informaticiens est l'un des plus élevé d'Europe, l'écart est de six hommes informaticiens employés pour une femme seulement. La France se situe dans la moyenne européenne avec une proportion de 3,7 hommes travaillant dans la IT, contre une femme. Le facteur âge n'est pas pour arranger le tableau : les jeunes générations comptent davantage d'employés dans le secteur informatique, mais l'écart hommes / femmes est des plus significatifs : en Europe, on compte 3,5 % d'hommes informaticiens de moins de 40 ans, contre 0, 8 de femmes de la même génération. (...)

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