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(17/04/2007 12:08:00)
Interview vidéo de Patrice Giami, Président et Directeur Général de B3G Télécom
Propos recueillis par Olivier Coredo, Rédacteur en chef de Réseaux & Télécoms (...)
(17/04/2007 10:54:00)Collaborer, anticiper, décider grâce à une gestion de portefeuille de projets performants - 21 mars 2007
Intervention d'Alain BIANCARDI, Directeur Clarity, CA ::> Comment accentuer la rentabilité des investissements informatiques des DSI, grâce à une solution de gouvernance complète ? (...)
(16/04/2007 17:52:07)E-commerce : une bonne opportunité pour les cadres
L'Apec (Association pour l'emploi des cadres) s'est intéressée à un secteur en forte expansion : le e-commerce. S'appuyant sur la Févad (Fédération des entreprises de vente à distance), l'Apec indique que les effectifs du e-commerce ont progressé de 60% depuis 2004 et représentent 15 500 emplois directs. « Et ce n'est qu'un début, puisqu'ils devraient encore grimper de près de 30% d'ici fin 2008. » Une autre indication : les sites cybermarchands sont, à plus d'un tiers, occupés par les cadres et si le recrutement bat son plein, l'Apec indique que « les demandes se concentrent sur deux fonctions. D'une part, l'informatique. Dans ce domaine, on recherche notamment des chefs de projets, des développeurs et des architectes Internet et intranet. D'autre part, dans le marketing. Les profils les plus recherchés sont ceux de responsables marketing on-line, de responsables affiliation, de responsables du recrutement client ou encore de chargés du référencement. Les business développeurs et les chefs de publicité online sont également très courtisés. » Cette multiplication de fonctions dans le domaine du e-commerce notamment grâce à l'avènement du Web 2.0, permet, dans un contexte euphorique, de conjuguer métiers traditionnels et nouvelles technologies : selon la Févad, plus de 12 milliards d'euros ont été dépensés sur le Net en 2006, représentant près de 18 millions de clients entre septembre et décembre 2006 et plus de 17 500 sites marchands actifs. Et selon toute vraisemblance, les prochains chiffres devraient continuer à tutoyer les sommets et ouvrir des opportunités à ce que l'on range sous un terme générique et parfois fourre-tout, ces « nouveaux métiers du Net. » (...)
(16/04/2007 17:51:46)Tendance à la baisse des offres d'emploi « cadres »
« Après l'emballement de février, mars paraît bien terne. Nous sommes sur un marché atone. Rien à signaler. Aucun mouvement significatif, ni sur des métiers particuliers, ni sur des secteurs d'activité», indique Wilhelm Laligant, directeur général d'Advancers Executive. Pourtant, selon le baromètre mensuel du cabinet de recrutement Advancers Executive, les offres d'emploi dans le secteur informatique ont augmenté de 6% par rapport à février 2007 - et de 30% par rapport à mars 2006. Pourquoi donc une analyse aussi sévère ? « La faiblesse du mois de mars, les vacances de Pâques en avril, les élections, les ponts de mai, et les congés payés à solder avant le 31 mai risquent de ralentir fortement l'activité du recrutement pour les mois à venir. Il n'y a qu'à regarder un calendrier pour voir les jours réellement travaillés », répond W. Laligant qui anticipe la situation à venir. Cette analyse est partagée par un autre grand acteur du recrutement. Le Monster Index de l'emploi indique en effet : « après la forte hausse de février, l'activité de recrutement en ligne a sensiblement diminué en mars, mais continue d'afficher une croissance soutenue sur les douze derniers mois. » Selon Monster, la baisse affecte la R&D et les cadres « Au cours du mois de mars, la majorité des secteurs d'activité suivis par l'Index ont enregistré une baisse du nombre d'offres d'emploi en ligne. Cette tendance affecte plus particulièrement le secteur de la recherche et du développement qui affiche la baisse la plus marquée. Le secteur de la fabrication, de la production, de la maintenance et de la réparation a également enregistré une baisse sensible », poursuit Monster, dont l'Index fait état de 111 offres dans l'informatique en mars 2007 (115 en mars 2006) et 115 en février 2007 (contre 123 en février 2006). Mais ces résultats à la baisse sont à nuancer par catégorie socio-professionnelle. Selon Monster, si la demande en cadres supérieurs a reculé dans de multiples secteurs d'activité, « on notera toutefois la progression de la demande en techniciens qualifiés dans le secteur de l'informatique et des télécommunications. Au global, l'Index de cette catégorie professionnelle ressort en hausse de 30 points sur les douze derniers mois. » Un clivage entre les pays d'Europe selon l'axe Est/Ouest Une autre inquiétude cependant : alors que les offres en France montrent un net repli, le Monster Index de l'Emploi en Europe affiche une tendance globalement positive. En mars, l'Index a gagné un point pour s'établir à 130 (il est en hausse de 13 points sur un an), enregistrant ainsi son deuxième mois consécutif de hausse après la baisse saisonnière du mois de janvier. Les performances sont contrastées d'un pays à l'autre, avec une progression aux Pays-Bas, en Suède et au Royaume-Uni. DRH Europe du Sud chez Monster, Claude Monnier souligne le clivage entre l'Europe de l'Ouest et l'Europe de l'Est. « Si l'on note une légère déflation sur les profils d'ingénieurs et d'informaticiens en Europe de l'Ouest, tous ces métiers sont recherchés en Europe de l'Est, de Roumanie jusqu'en Russie. Cette tendance, visible depuis plusieurs mois, tend à s'accentuer. L'élément clé est la géo-localisation. En effet, les investissements vont se poursuivre, mais la R&D peut se faire en dehors de l'Europe de l'Ouest. La croissance mondiale est assez forte, il est donc utile de réfléchir aux opportunités qui existent. » Inutile donc de s'affoler, même si la tendance du marché est à surveiller, en tenant compte des disparités entre les métiers et en étudiant les fluctuations des marchés de l'emploi qui tendent à complexifier les recherches et orientent les analyses conjoncturelles. « Pour les personnes en process de recrutement, il faut continuer normalement les entretiens. Pour celles en recherche active, les mois à venir vont malheureusement être assez calmes », conclut Wilhelm Laligant. (...)
(16/04/2007 17:40:54)Ubuntu triple ses possibilités de virtualisation
Plus populaire pour ses capacités sur le poste de travail, la distribution Linux de Canonical, Ubuntu, est aussi compétente dans le monde des serveurs. C'est du moins ce que veut rappeler son promoteur quelques jours avant la sortie de sa version 7.04, baptisé Feisty Fawn. Pour cela, les capacités de virtualisation de cette nouvelle version ont été mises en avant. « La virtualisation s'impose dans les salles de serveurs, et nous avons fait de son ajout l'une des priorités de notre dernière version explique Jane Silber, directrice des opérations de Canonical. Nos utilisateurs veulent du choix et une facilité d'utilisation. En conséquence, qu'il serve d'hôte ou de système d'exploitation hébergé, Ubuntu 7.04 supportera les outils de virtualisation commerciaux comme VMWare, et les projets Open Source comme Xen et KVM (Kernel-based Virtual Machine). » Pour supporter les outils de VMWare, Feisty Fawn va s'appuyer sur paravirt-orps, un projet Open Source jusqu'ici négligé des distributions mieux implantées sur le marché des serveurs. Celles-ci, telles Red Hat Enterprise Linux ou Suse Linux Enterprise Server de Novell, lui préfèrent en effet Xen. Selon Mark Shuttleworth, directeur exécutif de Canonical, Xen nécessite l'implantation d'un noyau dédié à son usage, contrairement à paravirt-orps ou KVM qui peuvent se contenter d'un même noyau : « Cela rend difficile de travailler avec Xen. J'espère que dans la prochaine version, les développeurs de Xen s'impliqueront. » De plus, grâce à KVM, Ubuntu peut tirer parti des aides matérielles à la virtualisation AMD-V et Intel VT. Cette nouvelle version d'Ubuntu n'offrira un support complet que pendant 18 mois. Pour profiter d'un support de cinq ans similaire à celui de la version actuelle, il faudra attendre octobre et le lancement de la version 8.04. A noter que depuis un an, Ubuntu supporte l'architecture Sparc des serveurs Sun. (...)
(16/04/2007 17:35:18)Les machines à voter n'ont pas de base légale, selon les juristes
A moins d'une semaine du premier tour de l'élection présidentielle, la polémique enfle autour des machines à voter. La dernière salve vient d'être tirée par la plateforme citoyenne Betapolitique : la modification du logiciel embarqué dans les machines de vote implique qu'il faudrait considérer avoir affaire à de nouveaux instruments. Dès lors, ces machines ne rentreraient plus dans le cadre des arrêtés, signés en 2005, les agréant. Betapolitique se base sur des constatations simples menées sur des machines de test lors de démonstrations. Les firmwares embarqués apparaissent comme ayant été créés le 11 janvier 2007, alors que les décrets validant l'usage des trois types de machines installées en France datent de 2005. « On n'est plus en présence de machines électro-mécaniques qui font des trous dans une feuille, mais d'ordinateurs de vote », remarque Nicolas Barcet, de Betapolitique. Dès lors, la modification du logiciel équivaut à utiliser une nouvelle machine : « des lignes de code anodines peuvent tout changer », poursuit-il. « C'est comme si on change la version de Windows installée sur un ordinateur : on n'a plus le même ordinateur », résume l'avocat Jean-Baptiste Soufron. Aucune possibilité de vérification Roberto Di Cosmo, professeur d'informatique à l'Université Paris VII, va plus loin : « permettre de changer le logiciel, c'est permettre de tricher ». Si l'universitaire ne remet pas en cause la bonne foi de l'Etat et ne suspecte personne de vouloir utiliser les machines à voter à son avantage, il stigmatise l'approche dogmatique ayant conduit à l'implantation de ces appareils dans les bureaux de vote. Selon lui, tout découle d'une volonté de modernité : parce qu'il est de bon ton de paraître moderne, il faut introduire le vote électronique. Fût-ce au mépris des principes scientifiques les plus élémentaires : « en science, l'un des critères les plus importants est la vérifiabilité, ou la répétabilité, explique Roberto Di Cosmo. En ce qui concerne les ordinateurs de vote, on a bien fait des expériences de vote électronique et il a été attesté que tout s'est bien passé. Mais que signifie que « tout s'est bien passé » alors qu'on n'a pas le moyen de vérifier que les votes enregistrés correspondent bien aux choix faits par les électeurs. Le seul test effectivement réalisé est en réalité sociologique, il mesure le niveau de satisfaction des participants ». [[page]] Au-delà du problème posé par le firmware embarqué dans les machines, c'est toute la légitimité de la procédure d'homologation qui soulève de nombreuses questions. Pour qu'une machine soit agréée, elle doit être validée par un bureau d'expertise (Veritas ou Ceten Apave) au regard d'une liste de critères définie par le ministère de l'Intérieur. Or « la liste de critères est longue mais la sécurité informatique a été largement oubliée », souligne Pierre Muller, animateur du site ordinateurs-de-vote.org. Et ce dernier de donner un exemple édifiant : le critère 45 prévoit que les programmes doivent être stockés sous forme inaltérable, mais les machines iVotronic, d'ES&S, permettent une mise à jour du firmware. Le caractère inaltérable est donc inexistant. « Pourquoi un sujet aussi sensible que les ordinateurs de vote est délégué par l'Etat à des bureaux extérieurs », s'interroge Roberto Di Cosmo. C'est d'autant plus inexplicable que les rapports d'expertise ne sont pas publics. Des recours recevables, sauf si de nouveaux arrêtés sont publiés Les citoyens ne restent pas insensibles à ces arguments et ont déposé plusieurs recours devant la justice administrative. Dans cet esprit, le site Betapolitique met en ligne un formulaire de requête en référé liberté qu'il suffit de remplir, d'imprimer et de déposer dans son tribunal administratif. L'idée est de contester la décision des municipalités ayant autorisé l'utilisation des machines à voter. « Une cinquantaine de recours en référé liberté ont déjà été déposés pour la seule ville d'Issy-les-Moulineaux, précise Jean-Baptiste Soufron. Demain (le 18 avril, NDLR), un dépôt collectif aura lieu au tribunal administratif de Versailles ». Des recours dont le but est « de faire réagir et de créer de la jurisprudence », considère Jean-Baptiste Soufron. Mais, en plus, « qui ont de bonnes chances d'aboutir », selon Gilles Guglielmi, professeur de droit public à l'Université Paris 2. « Si les machines ne sont pas celles qui ont été agréées, c'est comme si elles ne sont pas agréées du tout », précise-t-il. Le ministère de l'Intérieur pourrait toutefois avoir pris la mesure du risque judiciaire en publiant discrètement, le 12 avril, un nouvel arrêté d'agrément pour la machine de la société Nedap, la plus fréquemment implantée en France. « Dès lors, on devrait voir d'autres agréments fleurir dans les prochains jours, estime Gilles Guglielmi. Cependant, personne ne peut dire que ces éventuels agréments correspondent aux logiciels installés dans les machines : elles sont scellées et la puce qui renferme le code est protégée par le secret industriel ; il est donc impossible de savoir ce qu'il y a dedans ». Au-delà de la non conformité des machines aux arrêtés d'agrément, il reste un autre recours aux opposants. Alors que le code électoral prévoit, dans son article 57-1, que toute les machines fonctionnent sur deux clés uniques et différentes, « aucun modèle ne remplit cette obligation et tous permettent le dépouillement avec une seule clé », souligne Gilles Guglielmi. Il ne s'agit pas, en soulignant les incongruités des ordinateurs de vote, de choisir le camp des technophobes mais plutôt de pointer du doigt « le passage d'un mécanisme de vote contrôlable par chaque individu quelque soit son niveau intellectuel ou social à un mécanisme opaque et invérifiable, même par des experts, comme l'explique Nicolas Barcet. Plus les citoyens entoureront cette démarche et plus on encouragera nos gouvernants à avoir une réflexion philosophique sur l'intérêt des machines ». Le ministère de l'Intérieur n'a pas répondu aux demandes d'explication du mondeinformatique.fr. Sur le même sujet : -Issy troque ses urnes contre des machines à voter -Le Conseil constitutionnel rappelle la conformité des machines à voter -Des failles dans des machines à voter électroniques européennes -Et consultez notre dossier spécial Présidentielles : les idées des candidats face à ceux qui font l'IT (...)
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