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(10/10/2005 17:58:21)

Google se lance dans le lobbying

Le tentaculaire moteur de recherche Google vient d'ouvrir un bureau à Washington DC, où se prennent nombre de décisions politiques aux Etats-Unis, afin d'y constituer un groupe de pression et d'y défendre ses intérêts.
« Notre mission à Washington se résume à ceci : défendre Internet en tant que plateforme libre et ouverte sur l'information, la communication et l'innovation », précise Andrew McLaughlin, l'avocat conseil du moteur de recherche.
Le groupe a recruté l'avocat Alan Davidson, ancien directeur adjoint du Centre pour la démocratie et la technologie, un groupe de pression chargé de promouvoir les libertés individuelles et les droits de l'Homme sur le web.
Google insiste sur les trois missions que son nouveau bureau sera chargé de mener à bien : assurer la neutralité d'Internet, prêter une attention de tous les instants à la question du copyright et de son usage loyal, et la fiabilité des intermédiaires. Au-delà de ces formules légèrement absconses, on ne doute pas de la volonté du mastodonte d'exercer son influence sur les processus décisionnels du législateur.
Une initiative qui tombe à pic au moment où l'hégémonique groupe subit de violentes critiques et des plaintes relatives à son projet de numérisation Google Print et à l'interprétation afférente du concept de copyright.
Google entre également en concurrence avec les opérateurs télécoms et les fournisseurs d'accès Internet en proposant un accès gratuit au web aux habitants de San Francisco via une liaison Wi-Fi. Le Congrès se prépare à réviser la législation relative aux télécommunications, une occasion idéale pour mettre en oeuvre des démarches de lobbying. (...)

(18/10/2005 17:04:24)

Lyon Infocité publie le « Guide de la mobilité »

Lyon Infocité, l'association des professionnels du secteur des T.I.C. de la région lyonnaise, vient de publier le « Guide de la mobilité », a priori destiné aux entreprises rhône-alpines, mais utile à toutes les PME, quelle que soit leur appartenance géographique. Très simple et didactique, ce guide téléchargeable couvre l'ensemble des métiers de la mobilité et présente les apports de la mobilité pour les professionnels, illustré par des exemples d'application. (...)

(10/10/2005 17:30:32)

Virtualisation : IBM affine ses outils tandis que Microsoft revoit ses licences

IBM a dévoilé aujourd'hui une série de mises à jour pour ses outils de virtualisation de stockage et d'infrastructure. La société a tout d'abord annoncé un nouveau système de virtualisation de bandes, le Virtualization Engine TS7510, compatible avec les systèmes Unix et Windows. Big Blue, un des pionniers de la virtualisation de bandes, limitait jusqu'alors, la compatibilité de ses systèmes aux seuls mainframes. Le TS7510 peut archiver jusqu'à 46 To de données en configuration deux noeuds. L'équipement devrait être disponible commercialement le 28 octobre prochain à partir de 175 000$ en version un noeud avec 5 To de capacité.

Big Blue devrait aussi prochainement mettre à jour son appliance de virtualisation de SAN, TotalStorage SAN Volume Controller. La version 3.1 de l'équipement est attendue pour la mi-novembre et devrait être proposée à partir de 43 000 $ pour une configuration de base. Selon IBM, elle devrait supporter quatre fois plus de serveurs connectés que la mouture antérieure et ses performances seront environ 50% supérieures. L'une des nouveautés de TotalStorage SVC 3.1 sera la possibilité pour les utilisateurs d'utiliser les services de copies natifs de leurs baies. Jusqu'alors, l'utilisation du SVC supposait d'utiliser les services de copies intégrés à l'appliance.

Le 26 octobre, IBM devrait aussi lancer la version 5.1 d'IBM Director pour les serveurs xSeries et BladeCenter (une version pour serveurs iSeries, pSeries System z9 et zSeries est également prévue avant la fin de l'année) .

Microsoft clarifie son modèle de licences pour les environnements virtuels

Microsoft a de son côté annoncé une clarification de ses programmes de licence pour les environnements virtualisés. Désormais, les grands logiciels d'infrastructure de l'éditeur comme Exchange, SQL Server ou BizTalk Server seront facturés par processeur virtualisé en environnement Virtual Server ou VMWare. Jusqu'alors, Microsoft facturait ses logiciels au nombre de processeurs physiques, y compris pour les environnements virtualisés.

Ce nouveau modèle sera avantageux dans certains cas, mais pourrait s'avérer pénalisant dans d'autres. Si une société fait tourner 6 instances systèmes virtualisées sur un serveur quadri processeur, et qu'elle installe Biztalk Server sur ces six instances, elle paiera six licences contre quatre actuellement. La facturation n'est en effet pas plafonnée en fonction du nombre de processeurs physiques de la machine.

« Il y a eu des débats internes à ce sujet », explique Zane Adam, l'un des directeurs marketing du groupe serveur de Microsoft, tout en ajoutant que dans la pratique, il est peu probable qu'un client découpe aussi finement un serveur pour des applications critiques. Les nouvelles conditions de licence entreront en vigueur le 1er décembre. Une autre modification de licence devrait en revanche être bien accueillie par les utilisateurs. A partir de la version R2 de Windows Enterprise Server, la licence de l'OS autorisera l'installation de 4 instances virtuelles de la même licence sur le même système, en plus de la licence de l'OS hôte. Jusqu'alors, il fallait payer une licence pour chaque instance virtuelle.

Cette modification a aussi pour but non désintéressé d'encourager les clients à préférer la version entreprise de l'OS à la version Standard, actuellement la plus populaire de toutes les versions de Windows. (...)

(10/10/2005 18:06:44)

Capgemini débarque Pierre Danon

Pierre Danon n'est plus directeur général adjoint de Capgemini. Après seulement six mois passés dans le groupe, Danon a été remercié par la direction. Il paye sa candidature à la présidence d'Accor, qui a échoué en raison de la volonté de Gérard Pélisson, le cofondateur du groupe hôtelier avec Paul Dubrule, de voir son neveu Gilles lui succéder. La pression exercée par Pélisson et Dubrule a conduit au retrait de trois institutions financières du processus de recrutement. BNP Paribas, la Société Générale et la Caisse des Dépôts, qui soutenaient la candidature de Pierre Danon, ont ainsi préféré jeter l'éponge, hypothéquant du même coup les chances de succès de leur poulain.
Comble de malchance pour l'ambitieux Danon, ses appétences hôtelières se sont ébruitées et furent bientôt reprises par la presse. C'était, dès lors, son maintien au sein de Capgemini qui devenait incertain. Le 9 octobre, la direction du groupe officialisait la rumeur : Pierre Danon ne fait plus partie de la société, « en dépit du souhait exprimé par ce dernier de poursuivre sa mission. »

Capgemini explique que « les conditions nécessaires à son maintien à un poste d'autorité dans le groupe ne pourront plus être réunies ». Danon, de son côté, déplore le manque de confidentialité ayant entouré cette affaire. (...)

(10/10/2005 17:33:58)

Oracle se paie Innobase

Oracle annonce le rachat de la petite société Innobase, développeur open source finlandais spécialiste des bases de données, pour un montant non-communiqué. La société de Larry Ellison signe ici son onzième rachat en un an, quelques semaines après s'être offert les outils de gestion logistique de G-Log.

Innobase est principalement connu de la communauté des développeurs open source pour avoir développé InnoDB (sous licence GPL), gestionnaire de tables pour MySQL, capable d'optimiser et accélérer les performances d'une base renfermant un important volume de données. En outre, InnoDB est distribué avec MySQL. Un partenariat qu'Oracle prévoit par ailleurs de re-négocier.

L'éditeur confirme toutefois poursuivre les développements d'InnoBD. (...)

(10/10/2005 17:32:49)

HP : Hurd rencontre des syndicalistes européens pour sortir de la crise

Le dialogue s'installe chez HP, quelques semaines après l'annonce d'un plan massif de restructuration, entre les représentants du personnel et la direction.
Mark Hurd, le PDG du groupe, a ainsi reçu trois syndicalistes européens le 6 octobre dernier à Düsseldorf, dont Christophe Hagenmuller pour la France. Membre de la CGC-CFE, celui-ci nous a narré un entretien commençant dans une atmosphère glaciale. « C'est vous qui créez tout ce bruit et mettez HP dans l'embarras » a ainsi déclaré Hurd aux syndicalistes en début de réunion. L'entrevue a cependant pris une allure plus cordiale par la suite, Hurd reconnaissant l'imperfection de la communication de son groupe lors de l'annonce du plan de suppression de postes (1240 pour la France). Il a également admis la maladresse consistant à présenter ce plan sans rien proposer en contre-partie, admettant même qu'il était difficile pour les salariés de rester motivés face à une avalanche de mauvaises nouvelles.
Au-delà du nombre de postes supprimés, dont le nombre définitif pour la France reste incertain - il devrait être revu à la baisse d'après plusieurs sources - les représentants des syndicats européens ont affirmé au PDG qu'ils souhaitaient voir mise en place une véritable stratégie de groupe s'appuyant sur des investissements. Hurd a abondé dans le sens des syndicalistes, leur indiquant qu'il étudiait les possibilités d'investissement en Europe de l'Ouest, notamment en R&D.
Si la situation est toujours officiellement bloquée, de petites avancées laissent entrevoir quelque espoir d'assister à des ajustements. Au terme de la réunion tenue à Düsseldorf, Mark Hurd, « qui s'attendait à rencontrer des casseurs, a finalement été surpris par notre volonté et notre comportement, raconte Christophe Hagenmuller. Nous sommes un peu rassurés ». (...)

(10/10/2005 17:59:39)

EMC abandonne sa gamme de NAS sous Windows

EMC a annoncé l'abandon de sa gamme de passerelles NAS Netwin, basées sur le système d'exploitation Windows Storage Server de Microsoft. EMC avait annoncé les premiers Netwin 200 en avril 2003 et avait complété sa gamme avec le modèle 110 en mai 2005. Selon le constructeur, l'arrêt de la gamme est lié aux faibles ventes enregistrées par le constructeur.

Le lancement des Netwin avait surpris les observateurs d'EMC. Tout d'abord le constructeur dispose de son propre OS NAS, baptisé DART, dont il a toujours vanté la supériorité. L'adoption de Windows Storage Server venait donc brouiller le message d'EMC. Ensuite, Le principal partenaire de d'EMC, Dell, dispose à son catalogue de passerelles NAS Windows bien moins coûteuse que celles d'EMC. Nombre d'observateurs se demandaient pourquoi le géant du stockage n'avait tout simplement pas repris à son catalogue les systèmes Powervault de Dell. Dans la pratique c'est ce qui risque d'arriver avec l'abandon des Netwin. A compter du mois de novembre, EMC va commencer à revendre les produits NAS d'entrée de gamme de l'un de ses partenaires Select, vraisemblablement Dell.

Les clients devraient au passage profiter d'une singulière baisse de prix. Alors qu'un NAS Windows d'entrée de gamme coûtait 6100 $ chez EMC, l'appliance NAS Powervault 745N de Dell est vendue à partir de 1799$. (...)

(10/10/2005 17:36:26)

IBM renonce à ses accusations à l'encontre de SCO

Coup de théâtre dans le procès d'IBM contre SCO : Big Blue renonce à ses accusations. En août 2003, IBM a engagé des poursuites à l'encontre de SCO, l'accusant d'utiliser indûment des brevets lui appartenant dans quatre de ses logiciels. Les poursuites avaient pour objet de contrer SCO : au mois de mars précédent, SCO avait attaqué IBM en justice pour viol des termes de sa licence Unix, en transférant à Linux des technologies liées à Unix.
IBM explique l'abandon des poursuites par des raisons pécuniaires. Big Blue aurait fait ses calculs et estimerait que le procès et ses suites - verdict prévu en février 2007 - coûteraient bien trop cher par rapport au gain espéré. Pour autant, IBM reste sur ses positions en clamant que SCO utilise des brevets sans autorisation. De son côté, SCO estime que la rétractation d'IBM met fin à une grotesque farce et va lui permettre de se concentrer sur ses autres affaires. (...)

(10/10/2005 18:00:25)

Nokia sécurise ses mobiles avec les outils de Symantec et repousse le lancement de sa tablette Linux

Nokia a signé un accord avec Symantec pour intégrer sa technologie de sécurité dans ses futurs téléphones mobiles Series 60. Symantec Mobile Security fournira des services de protection antivirus mais aussi de firewall pour les futurs terminaux series 60 sous Symbian OS. Le logiciel peut être mis à jour "over the air".

Le premier téléphone utilisant le système sera le N70, un téléphone qui sort actuellement des lignes de production du constructeur. Selon Nokia, le logiciel n'équipera toutefois pas tous les combinés Series 60. "Nous prendrons la décision au cas par cas" a ainsi expliqué Eija-Riitta Huovinen, en charge des communications pour la division plates-formes de Nokia.

Il est à noter séparément que le géant finlandais a annoncé le report du lacement de sa tablette Internet 770, une mini-tablette Wi-FI et Bluetooth sous Linux, qui devait à l'origine sortir au mois de septembre. Nokia a annoncé qu'il souhaitait peaufiner le logiciel de la tablette avant de la mettre sur le marché. L'appareil incorpore une suite complète d'outils de communication, des fonctions avancées de lecture multimédia et se connecte à Internet au travers du réseau Wi-Fi ou d'une liaison Bluetooth avec un téléphone mobile. (...)

(10/10/2005 17:38:42)

AOL et Microsoft auraient repris leurs discussions

Selon le Wall Street Journal, Time Warner et Microsoft ont repris leurs discussions dans le but de nouer une alliance entre leurs divisions Internet, America Online et MSN. L'un des objectifs des négociations est d'étudier comment combiner les technologies de recherche de Microsoft avec le contenu web d'AOL. La fusion des activités de fournisseur d'accès à Internet ne serait pas à l'ordre du jour. (AOL dispose de 20,7 millions d'abonnés contre 2,7 pour MSN). Séparément, AOL mènerait aussi des discussions avec d'autres partenaires potentiels.

Google est aujourd'hui le partenaire exclusif d'AOL pour la partie moteur de recherche. Cette activité et l'activité de publicité ciblée auraient rapporté 300 M$ à AOL l'an passé, mais AOL aimerait contrôler en direct sa relation avec les annonceurs, alors que Google contrôle aujourd'hui cette relation. Selon le WSJ, Richard Parsons, le CEO Time Warner aurait récemment déclaré que la firme n'a pas nécessairement vocation à contrôler 100% du capital d'AOL, mais qu'elle souhaite conserver le contrôle de la société. (...)

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