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(27/04/2011 16:37:24)
Apple va faire le ménage dans le stockage des données de localisation des iPhone
Après les dénégations de Steve Jobs « Apple ne piste personne », la firme de Cupertino est revenue sur la polémique qui a fait surface la semaine dernière juste après l'annonce des résultats trimestriels de la société. Deux chercheurs ont indiqué avoir trouvé un fichier au sein des iPhone et iPad qui stocke les données géolocalisées des utilisateurs. Ces informations sont conservées pendant 1 an et ne sont pas sécurisées. D'autres chercheurs avaient trouvé dans une moindre mesure le même comportement sur les smartphones sous Android.
Apple vient d'annoncer que la découverte des chercheurs était liée à un bug sur son OS. En conséquence, le constructeur a expliqué sur son site que dans quelques semaines, il mettra à disposition une mise à jour d'iOS. Cette évolution réduira le volume de données géolocalisées stockées, donnera la possibilité de désactiver cette sauvegarde et de supprimer cette mémoire cache quand le service de localisation est éteint. Enfin, Apple indique que dans une autre version d'iOS, ces données seront chiffrées pour garantir leur intégrité.
Nokia dégraisse et cède Symbian à Accenture
Le géant finlandais Nokia a annoncé qu'il allait externaliser ses activités logicielles Symbian à la société de conseil Accenture. 3 000 salariés affectés à Symbian seront transférés dans le cadre de ce processus, Cette annonce témoigne du détachement de Nokia pour sa plate-forme mobile au profit de l'OS Microsoft Windows Phone. Le constructeur va également fermer certains de ses sites de recherche et développement et supprimer 4 000 emplois supplémentaires d'ici la fin de l'année prochaine. Il a annoncé vouloir réduire ses coûts opérationnels d'un milliard d'euros d'ici 2013, en ayant recours à un plan de restructuration interne et à des suppressions de postes. La plupart des coupes auront lieu au Danemark, en Finlande et au Royaume-Uni.
Accenture fournira d'abord à Nokia le développement de logiciels et les services de support autour de la plate-forme mobile Symbian, et plus tard des outils et services autour de Windows Phone.
Les salariés transférés chez Accenture proviendront des filiales de Nokia en Chine, en Finlande, en Inde, au Royaume-Uni et aux États-Unis. Après être fournis à Nokia, les services liés au logiciel Symbian seront recyclés et redéployés ver d'autres activités.
Plus de 160 salariés Symbian déplacés en 2009
Les deux firmes n'ont pas indiqué si Accenture payerait pour reprendre l'activité du finlandais, ni si Nokia indemniserait Accenture pour l'avoir reprise...
Ce n'est pas la première fois qu' Accenture prend le relais du finlandais en nouant et dénouant ses relations avec Symbian. Après des années en tant qu'actionnaire minoritaire de Symbian, la société britannique ayant développé le système d'exploitation, Nokia avait finalement racheté la société en 2008, en annonçant immédiatement son intention de développer la plate-forme en Open Source. Comme Symbian était tombé en disgrâce auprès des autres fabricants de téléphone et qu'en même temps, Nokia n'avait guère besoin de cette business unit qui leur fournissait un support technique, le finlandais avait cédé ses 165 employés à Accenture en octobre 2009. Sony Ericsson a finalement abandonné le système d'exploitation pour sa gamme de produits en octobre dernier.
Nokia et Accenture devraient parvenir à un accord définitif sur le dernier transfert au cours du troisième trimestre 2011, et achever de déplacer les 3 000 salariés d'ici la fin de l'année. Accenture emploie actuellement 215 000 personnes. De son côté, Nokia comptait un effectif de 132 427 collaborateurs à la fin de 2010, selon son dernier rapport annuel.
Illustration : le siège de Nokia à Espoo. Crédit photo: D.R
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Avec Cyberprotect, SDN International marie sécurité et assurance
Les récentes affaires d'intrusion des systèmes d'information du ministère des Finances français, de la division RSA d'EMC, de la Commission européenne, de l'Agence Spatiale européenne, de WordPress et enfin de Sony, soulignent la précarité des systèmes informatiques. Spécialisé dans les solutions de télésurveillance pour la sécurité informatique des entreprises, l'éditeur SDN International a choisi de marier surveillance du réseau et assurance avec son offre Cyberprotect. Le produit qui s'adresse aux TPE-PME comme aux grandes entreprises combine prévention, assistance et assurance du réseau informatique.
La problématique n'est pas nouvelle. Les services Internet sont devenus courants dans les entreprises et il n'est plus question de bloquer tous les usages annexes, car les salariés trouveront toujours un moyen de les contourner. Il ne s'agit pas pour autant de ne plus rien contrôler, mais de sécuriser les accès même si un simple antivirus et un pare-feu ne suffisent plus à protéger l'entreprise. Quand certains comme Palo Alto Networks propose des solutions toujours plus sophistiquées pour analyser les paquets IP suspects et bloquer les flux sortants non autorisés, SDN propose une appliance (Cyberprotect Box) surveillant tous les logs (10 postes ou adresses IP à surveiller pour 700 euros environ) et une garantie financière en partenariat avec Nassau assurances (de 150 à 500 k€) pour couvrir les dégâts causés par un virus ou une intrusion informatiques.
Une sécurité supplémentaire
Dans les faits, Cyberprotect ne vient pas remplacer un firewall mais assure la traçabilité des flux qui permet de fournir une preuve à son assureur en cas de sinistre informatique. Des rapports sont envoyés au centre de télésurveillance de SDN qui assure une veille 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 de la sécurité informatique et en cas de menace potentielle celui-ci analyse la situation et évalue le risque en fonction de la politique sécurité de l'entreprise.
Fondée en 2005 en région Rhône-Alpes par des ingénieurs spécialisés en sécurité, Thierry Lambert et Mikael Masson, complétés par des spécialistes en assurance, SDN International emploie aujourd'hui une dizaine de personnes pour un chiffre d'affaires de 600 k€ environ.
(...)(27/04/2011 15:00:37)
L'affaire FTC/Google Buzz pourrait tuer le e-commerce
Des partisans de la protection des renseignements personnels et certains fonctionnaires de la Federal Trade Commission (FTC) mettent la pression pour que l'accord sur Buzz devienne une norme de confidentialité en ligne. Or, une disposition de l'accord proposé serait "véritablement meurtrière" pour le reste de l'industrie du e-commerce, a déclaré Steve DelBianco, directeur de NetChoice, société regroupant des associations de commerçants, des entreprises de commerce électronique et des e-consommateurs.
L'accord proposé par le régulateur américain impose à la firme de Mountain View d'obtenir « un consentement express et positif » de ses utilisateurs pour« tout partage additionnel ou complémentaire » de renseignements personnels avec des tiers, si le nouveau partage constitue un changement dans les pratiques de Google.
Si cette disposition devient un standard pour l'industrie et qu'elle est mise en application par la FTC, cela exigera de toutes les entreprises en ligne qu'elles obtiennent l'autorisation de leurs clients même en cas de modifications mineures sur la façon dont elles partagent l'information avec des partenaires ou d'autres entreprises, s'inquiète Steve DelBianco. Pour lui, face à de telles exigences, il sera difficile pour les réseaux sociaux et les sites de contenu en ligne de déployer des innovations et de rendre payant ce qui était gratuit....
Une obligation de consentement pour toutes les données
Les appels pour que la décision de la FTC devienne un standard en matière de vie privée ne peuvent pas être autorisés à produire des effets secondaires sur le reste de l'industrie, uniquement parce que Google a fait quelque chose de non approprié, s'indigne le directeur de NetChoice. Pour ce dernier, cette obligation s'appliquera à toutes les données concernant les utilisateurs, et pas uniquement à des informations personnelles identifiables. Il estime également qu'il n'existe aucune limite à ce sujet. « S'agit-il de changements importants ou matériels ? » s'interroge Steve DelBianco « Non il s'agit bien de n'importe quel type de changement ».
En mars dernier, la FTC avait reproché à Google d'avoir violé sa politique de confidentialité, au moment du lancement de Buzz, en utilisant les informations fournies pour Gmail à une autre fin. L'organisme de régulation avait donc demande à ce que la firme de Moutain View se soumette tous les deux ans à un audit indépendant de ses pratiques en matière de confidentialité et ce pendant 20 ans.
Une obligation qui aura peu d'impact sur Google
L'accord imposé par la FTC devrait avoir peu d'impact sur Google, qui tire une grande partie de ses recettes publicitaires sur ses fonctions de recherche et d'affichage, juge Steve DelBianco. « Google n'a pas besoin de partager quoi que ce soit avec des tiers », affirme ce dernier. « La firme est si grande qu'elle peut dicter ses conditions à des parties tierces .» Le dirigeant considère également que la plupart des autres entreprises de commerce électronique proposent des services qui partagent des données non sensibles avec des tiers. Le facteur décisif ici, est que le reste de l'industrie en ligne va se trouver en situation encore plus difficile pour pouvoir rivaliser avec Google, si le règlement s'appliquant à Buzz vaut pour le reste de l'industrie, redoute ce denier.
Google n'est pas un membre de NetChoice. Ce dernier regroupe des acteurs comme AOL, eBay, Oracle et Yahoo.
De leur côté, Jeffrey Cheste, partisan de la vie privée et Katie Ratte, avocate au sein de la Division vie privée et protection de l'identité à la FTC, ont minimisé les préoccupations de Steve DelBianco.
Le point de l'accord que la FTC souhaite normaliser porte sur le respect par Google de la mise en oeuvre d'une politique de confidentialité complète, explique Katie Ratte. De plus, le point portant sur le consentement met l'accent sur le partage des informations par Google qui est contraire à la politique de confidentialité de l'entreprise, a t-elle ajouté. Pour la juriste, l'accord empêchera Google d'apporter des modifications rétroactives à sa politique de partage des données, politique qui est similaire aux accords sur la vie privée conclus par la FTC.
Pas d'obligation de consentement pour des changements mineurs
Cette disposition est un peu plus limitée que la lecture que Steve DelBianco en a fait, précise Katie Ratte. D'après l'avocate, si le partage des informations avec des tiers est réalisé d'une manière cohérente en fonction de ce qui a déjà été divulgué au consommateur, il n'y aura pas besoin d'exiger la permission de ces derniers.
Les défenseurs de la confidentialité font pression pour des changements se rapportant à cet accord et ils espèrent qu'une version plus stricte de celui-ci deviendra un standard de l'industrie, a déclaré Jeffrey Chester, directeur du Center for Digital Democracy. Toutefois, ce dernier ne voit pas les spécialistes de la confidentialité obliger les sites Web à obtenir l'autorisation de consentement chaque fois qu'ils font des changements routiniers, tels que la maintenance des comptes.
« Je pense que ce dont nous parlons est le processus même de la révision du profil des consommateurs lié au marketing», conclut Jeffrey Chester. « C'est là où je veux en venir, sur l'incorporation et l'utilisation continue des données des utilisateurs à des fins de marketing ciblé. Chaque fois qu'une entreprise vendra des données, rendra des informations disponibles à la vente ou intégrera des informations supplémentaires sur ses utilisateurs, elles devront obtenir leur permission. »
Illustration : Steve DelBianco, directeur de NetChoice. Crédit photo : Netchoice
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Sony incapable de protéger ses abonnés PlayStation contre un piratage massif
Sony a expliqué sur son blog que son service en ligne PlayStation Network était en maintenance. Cette fermeture a comme origine une intrusion comme l'indique les réponses du constructeur japonais dans la FAQ sur le site officiel de la Playstation « Nous avons découvert qu'entre le 17 et le 19 avril 2011, une intrusion illégale et non autorisée à eu lieu dans notre réseau. » En clair un ou des pirates ont réussi à s'introduire sur le site en ligne et ont eu accès aux informations personnelles de près de 77 millions d'abonnés.
Toujours dans le même souci de transparence, Sony précise « nous pensons qu'une personne non autorisée à eu accès aux: nom, adresse (ville, pays, code postal), adresse email, date de naissance, mot de passe et login PlayStation Network/Qriocity, et l'ID. Il est aussi possible que vos informations de profils soient touchées, incluant l'historique de vos achats, les quatre derniers chiffres de votre carte de crédit, sa date d'expiration et l'adresse de facturation. Si vous possédez des comptes secondaires, les mêmes données sont concernées. Si vous avez fourni vos données de carte bancaire au travers du PlayStation Network ou des services Qriocity, il est possible que votre numéro de carte bancaire (excluant le code de sécurité) et sa date d'expiration soient concernés. »
Face à ces risques de fraudes ou d'usurpation d'identité et même si Sony affirme ne pas avoir eu écho pour l'instant d'une mauvaise utilisation des données volées, le constructeur a décidé de fermer le site depuis le 20 avril dernier et a diligenté une enquête via une société spécialisée dans le domaine de la sécurité pour connaître la faille utilisée par les pirates. Bien que le japonais affirme « avoir pris des mesures pour renforcer l'infrastructure de son réseau en reconstruisant son système pour fournir une meilleure protection des données personnelles », les services PSN et Qriocity resteront fermés jusqu'à la résolution de l'enquête et la sécurisation des infrastructures.
La sécurité des services en ligne en question
Après le plantage du cloud d'Amazon la semaine dernière, cette affaire du piratage des services en ligne de Sony pose la question de la sécurité et la fiabilité de la dématérialisation des échanges. Pour Xavier Garcia, directeur commercial de Clearswift « depuis un peu plus d'un an, nous assistons au développement d'attaques ciblées qui sont capables de contourner les protections des antivirus, comme l'a montré l'attaque sur le ministère des Finances en France. » Le dirigeant pointe également du doigt les faiblesses de recourir à des sociétés tiers pour s'occuper du stockage des données bancaires « il existe un standard PCI pour contrôler les risques sur ces données sensibles, l'outsourcing de ces flux par une société qui n'est pas une banque peut-être problématique ». Pour éviter ces fuites de données, il n'est pas nécessaire de renforcer la protection a posteriori « la plupart des signatures d'attaques ne sont pas repérées par l'antivirus », il faut se focaliser sur les flux sortant et contrôler que les paquets qui sortent ne contiennent pas des données sensibles » conclut Xavier Garcia.
Crédit photo D.R.
Le Conseil National du Numérique installé par Nicolas Sarkozy
Après la nomination des 18 membres par décret en Conseil des Ministres (cf encadré), le Président de la République a officiellement installé le Conseil National du Numérique. Dans son discours, il a défini le rôle et les moyens du CNN « donner son avis et formuler des recommandations sur tout projet réglementaire ou législatif qui a un impact sur les acteurs de l'Internet ». Il n'y aura pas de sujets tabous à souligner le chef de l'Etat, de la taxe Google au dumping fiscal. Le dialogue doit permettre d'éviter les malentendus ou les erreurs. Il a pris deux exemples, Hadopi qui selon lui « n'est pas une fin en soi, mais un moyen » de respecter le droit de propriété intellectuelle des créateurs. Il se déclare « prêt à une discussion sur Hadopi 3 ». L'autre exemple est la politique de suppression de certaines niches fiscales qui ont eu un impact sur certaines aides pour les entreprises innovantes.
Réponses aux critiques et internationalisation du CNN
Nicolas Sarkozy a répondu aux critiques naissantes sur la composition du CNN, « on nous a reproché qu'il n'y avait pas de représentants des consommateurs ou des gens du contenu, ils sont déjà représentés. Le CNN donne un éclairage du monde professionnel ». Les associations de consommateurs et des ayants droits se sont émues de ne pas faire partie du Conseil et ont rebaptisé le CNN en « Medef du Numérique ».
Concernant la direction du Conseil, les membres comme convenus éliront leur président. Le chef de l'Etat a confirmé par ailleurs que l'Internet serait au menu du sommet du G8 à la fin du mois de mai prochain. En amont, il réunira le 24 et 25 mai à Paris les acteurs de l'Internet pour un forum pré G8 pour nourrir la réflexion des chefs d'Etats réunis à Deauville.
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Avec la Precision R5500, Dell propose un accès distant sur une workstation en rack
Station de travail en rack, « la Precision R5500 effectue le rendu et restitue les pixels aux PC clients sur un réseau, » a déclaré Don Maynard, chef de produit senior pour les workstations chez Dell. Les graphiques sont transmis en 2D ou en 3D au client léger FX100 de Dell, lequel s'appuie sur le protocole graphique à distance PC-over-IP (Protocole Internet). Mais ils peuvent aussi passer par le logiciel View VMware pour être livrés à des ordinateurs de bureaux et des portables classiques. « Cette nouvelle fonctionnalité permet d'augmenter les ressources informatiques en apportant une puissance de traitement supplémentaire, » a indiqué Don Maynard.
La technologie d'accès à distance pourrait permettre de réduire le déploiement de postes de travail multiples et de centraliser les applications d'ingénierie et les applications graphiques en un seul endroit. « La station de travail est destinée aux entreprises impliquées dans des projets de conception ou de création de contenu, » a déclaré le chef de produit. Cette solution peut également s'avérer pertinente dans des industries verticales comme l'exploitation minière et les soins de santé.
Davantage de puissance graphique sur le réseau
« Dell propose déjà des serveurs équipés de processeurs graphiques, mais la station de travail présente des caractéristiques spécifiques bien adaptées aux PC clients, » a ajouté Don Maynard. Celle-ci tourne sous des systèmes d'exploitation client comme Windows 7, sur lequel on peut exécuter des applications d'ingénierie de type AutoCAD. La station de travail peut également fournir davantage de puissance de traitement pour effectuer les tâches graphiques spécifiques de ces applications. « La qualité des images délivrées à distance dépend de la complexité des graphiques et de la bande passante, » explique Don Maynard. Il peut y avoir une certaine latence si les graphiques sont complexes, ou si le PC se trouve loin de la station de travail.
En marge de ces capacités d'accès à distance, le Precision R5500 peut également faire office d'ordinateur de bureau haut de gamme capable de faire tourner des applications scientifiques et graphiques complexes. Le rack double socket intègre des processeurs Xeon d'Intel, et peut accueillir jusqu'à 12 coeurs. Il supporte jusqu'à 192 Go de RAM et possède des emplacements pour intégrer plusieurs unités de stockage. En option, Il peut être équipé de cartes graphiques Nvidia. La Precision R5500 sera disponible aux États-Unis et dans la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique), à partir du 3 mai, puis dans la zone Asie-Pacifique et au Japon, à partir du 10 mai. Son prix démarre à 2029,83€ HT.
Deux autres stations de travail nomades
Dell a également annoncé des stations de travail Precision portables, comme alternatives à la version desktop. Ces stations, du nom de DM4600 et DM6600 (voir ci-dessous), sont équipées respectivement d'écrans de 15,6 et 17,3 pouces et intègrent les derniers processeurs Core i5 et i7 d'Intel. Ces versions nomades supportent jusqu'à 32 Go de RAM et sont proposées avec un disque dur de 750 Go ou un disque SSD de 256 Go. Ceux-ci pourront recevoir en option des circuits graphiques AMD ou Nvidia. Côté connectique, les portables Precision présentent plusieurs connecteurs USB 3.0/2.0 et plusieurs ports d'affichage pour connecter différents écrans. Le prix de base du DM4600 est de 1 209,05€ HT, contre 1 805,71€ HT pour le DM6600. Ces deux modèles seront disponibles dans le monde entier à partir du 10 mai.
Le channel place Distributique.com en tête des sites d'informations du secteur
Une fois n'est pas coutume, nous allons donner dans l'autosatisfaction en vous informant que notre publication soeur, Distributique.com, a été placée en première position devant tous les autres sites web de ce secteur dans le cadre de l'étude Regards Croisés 2011 menée par l'agence de communication Aressy. Les 344 revendeurs informatiques, grossistes et fournisseurs (fabricants et éditeurs) interrogés ont en effet placé Distributique.com en tête de liste de leurs sites web éditoriaux préférés. Ce résultat valide le choix d'une ligne éditoriale sans concession visant à vous informer sur votre industrie telle qu'elle est.
Aujourd'hui, vous êtes près de 12 000 à recevoir chaque jour la newsletter de Distributique.com, soit 23% de plus qu'en janvier 2010. La fréquentation mensuelle du site atteint quant à elle 87 000 visites et 170 000 pages vues (mars 2011). Ces chiffres sont certifiés par l'OJD (Office de la Justification de la Diffusion). Distributique.com est d'ailleurs le seul site de la presse channel en France à bénéficier de ce tampon.
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