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(18/01/2007 16:41:57)

Ventes de PC en 2006 : HP et Dell au coude à coude

L'année 2006 aura été celle de HP. Après avoir ravi la première place mondiale des vendeurs de PC à Dell au troisième trimestre, le californien récidive sur les trois derniers mois de l'année. Résultat : sur les douze derniers mois, HP détient autant de parts de marché que son concurrent texan et, surtout, affiche une dynamique de croissance nettement supérieure. Selon Gartner, les ventes de PC dans le monde ont progressé de 9,5% en 2006, avec 239 millions de machines ayant trouvé acquéreur. Presque un camouflet pour les constructeurs, qui avaient enregistré une croissance de 16% l'année précédente. Le constat est d'autant plus âpre pour les fabricants que ces derniers n'ont pas été en mesure d'augmenter les revenus de leurs ventes. Ainsi, le marché des PC a généré un chiffre d'affaires de 201,1 Md$ en 2006, soit à peu près autant qu'en 2005. Une stabilité à mettre sur le compte de la guerre des prix acharnée que se livrent les constructeurs pour augmenter leurs parts de marché. Le ralentissement de la croissance des ventes s'explique également par la mutation du marché, symbolisée par la montée de la concurrence des produits électroniques destinés aux consommateurs : « sur le marché grand public, l'industrie du PC se bat pour conserver ses parts face aux produits électroniques comme les consoles de jeu et les télévisions à écran plat ». Dell peine, même aux Etats-Unis HP et Dell se partagent la première position, en termes de quantités écoulées. Les deux constructeurs finissent l'année avec une part de marché de 15,9%. Si les deux performances semblent équivalentes, elles cachent une nette différence : en 2006, Dell n'a augmenté ses ventes que de 3,5% alors que HP a bondi de 19,2%. Sur le seul dernier trimestre, HP progresse de 24% alors que Dell s'effondre et perd 8,7%. Pire : le constructeur texan signe une énorme contre-performance sur son propre terrain - les Etats-Unis - en voyant le volume de ses ventes reculer de 17,3% au cours des trois derniers mois. Lenovo, repreneur des PC IBM en 2005, conforte sa troisième place mondiale avec 7% des ventes mondiales et un rythme de croissance légèrement supérieur à celui du marché (+10,9%). Acer s'illustre toujours comme le constructeur le plus dynamique. Il profite d'un engouement pour les ordinateurs portables qui ne retombe pas et signe une progression de 37% par rapport à 2005. Enfin, Toshiba fait son apparition dans le top 5, en chassant du même coup Fujitsu-Siemens. Si 2006 n'est pas un grand crû aux yeux des constructeurs (avec tout de même une croissance moyenne de presque 10% ), 2007 ne devrait guère les contenter davantage. Gartner table en effet sur une progression de leurs ventes de 9,9% et, surtout, sur des revenus de 201,3 Md$. Soit sensiblement autant qu'en 2005. (...)

(17/01/2007 16:20:23)

Le « back door de la NSA » dans Vista fait sourire Bloor Research

Nigel Stanley, du cabinet Bloor Research, s'amuse de la rumeur d'un back door de la NSA (National Security Agency) implanté dans Vista. Goguenard, il compare volontiers le tumulte ambiant à la passion qu'éprouvent quelques allumés pour la zone 51, elle aussi alimentée par la théorie du complot (concernant cette fois les extra-terrestres). Selon lui, il ne saurait exister d'accord secret entre Microsoft et la NSA. Il cite ainsi certains bruits de couloir indiquant que le code malicieux a été introduit en dépit de l'accord de l'éditeur : « ça ne fait aucun doute, ironise-t-il, que des personnages inquiétants errent la nuit dans les halls de Microsoft et pénètrent par effraction dans les salles des serveurs ». Nigel Stanley estime ensuite que le complot, pour être viable, ne tolère aucune fuite et le silence de tous. Des centaines de personnes ont travaillé sur Vista et il paraît improbable qu'aucune d'entre-elles n'ait rapporté le moindre fait suspect, dit-il. On apprenait la semaine dernière que la NSA, l'agence de renseignements américaine, avait prêté main forte à Microsoft pour la sécurisation de Windows Vista. L'agence a ainsi aidé le géant du logiciel à vérifier que son système d'exploitation ne présente pas de faille et satisfait aux exigences du DoD (le ministère de la Défense), d'après le porte-parole de la NSA. Ce type de collaboration ne serait pas une première : Microsoft aurait précédemment reçu l'appui de la NSA pour améliorer la sécurité de Windows XP et 2000. A la suite de cette information, de nombreuses voix se sont élevées pour s'inquiéter de la collusion entre l'éditeur et l'agence gouvernementale. D'autant que Microsoft a refusé que ses dirigeants soient interrogés à ce sujet. Très vite, les théories alarmistes ont fusé avec, toujours, l'idée sous-jacente d'un complot orchestré par le riche groupe américain et les barbouzes. « Une alarme résonne quand l'agence d'espionnage travaille avec le premier développeur de systèmes d'exploitation du secteur privé », martèle ainsi Marc Rotenberg, le directeur de l'Epic (Electronic Privacy Information Center). La crainte la plus partagée concerne l'implantation d'un « back door » (trappe ouvrant la voie à un logiciel espion) dans le code de Vista. Si la NSA s'en défend bec et ongles - en rappelant que sa mission consiste notamment à protéger l'information et qu'elle n'a pas développé de code pour Vista - la rumeur est lancée et se répand à grand pas. (...)

(17/01/2007 12:38:22)

Résultats Intel : comme AMD, les indicateurs dans le rouge

Résultats 2006 Chiffre d'affaires : 35,4 Md$ (-9%) Bénéfice net : 5 Md$ (-42%) En dépit de résultats en baisse au quatrième trimestre et sur l'ensemble de l'année, les chiffres publiés par Intel n'ont pas affolé les observateurs. Le fondeur a bouclé le dernier trimestre sur un chiffre d'affaires en baisse de 5%, à 9,7 Md$, et un bénéfice net de 1,5 Md$, qui s'effondre de 39% sur un an. Si ces valeurs ne sont guère reluisantes, elles sont toutefois supérieures aux estimations des analystes. Il en va de même pour les résultats annuels. Intel publie des revenus de 35,4 Md$, en baisse de 9%, et un bénéfice en berne de 42%, à 5 Md$. Là encore, ces chiffres s'avèrent supérieurs aux attentes des observateurs. Ces mauvais résultats (encore, qu'au vu du bénéfice, il soit permis de relativiser) s'expliquent par le poids de la réorganisation initiée au début de l'exercice, qui a notamment conduit à la cession de sa division Xscale à Marvell et à 10 500 suppressions de postes. Surtout, le fabricant pâtit de la guerre des prix qui l'oppose à AMD, lequel a également publié des résultats en nette régression. Ainsi, en dépit d'un volume de ventes record, les tarifs pratiqués ont été trop bas pour accélérer la croissance. Les résultats seront meilleurs en 2007, promet le PDG Paul Otellini. Intel devrait ainsi profiter du passage de l'ensemble de ses lignes de production à la technologie de gravure en 65 nm, de l'installation des processeurs quadri-coeurs dans davantage de produits et du lancement de Santa-Rosa, une nouvelle plate-forme pour PC portable. Si les propos se veulent rassurants, Intel ne prévoit cependant pas d'améliorer sa marge brute au cours de l'exercice 2007. Le groupe table ainsi sur une marge de 49% au premier trimestre et 50% pour l'ensemble de l'année, soit globalement autant qu'en 2006. Rappelons qu'en 2005, le fondeur réalisait une marge supérieure à 60%. (...)

(15/01/2007 17:40:06)

Fraude aux stock options : la justice américaine fait d'Apple sa priorité

La justice américaine s'intéresse aux stock options antidatées distribuées par Apple à ses dirigeants, dont Steve jobs. Un procureur californien vient ainsi d'ouvrir une enquête qui, selon une source proche du dossier, pourrait mettre à mal la position du patron du groupe. Après s'être envolé suite à la présentation de l'iPhone, le titre Apple a perdu 2% dans la foulée de cette information. Les déclarations d'Al Gore, qui a dirigé l'enquête interne sur les pratiques suspectes, mettant hors de cause Steve Jobs et lui réitérant toute la confiance du conseil d'administration, n'ont pas semblé rassurer les observateurs. Selon le Wall Street Journal, la SEC (le gendarme de la Bourse américaine), qui mène également son enquête, aurait fait d'Apple une de ses principales priorités. Elle n'aurait en particulier pas apprécié que le groupe s'appuie sur une réunion du conseil d'administration pour justifier l'allocation de 7,5 M$ de titres à Steve Jobs en 2001. Une réunion qui n'a, en réalité, jamais eu lieu. Toujours selon le WSJ, c'est la juriste d'Apple, Wendy Howell, démissionnaire le mois dernier, qui aurait rédigé les faux documents permettant la distribution des stock options. L'avocat de Wendy Howell a toutefois précisé que sa cliente n'avait fait que suivre les instructions des dirigeants. (...)

(15/01/2007 17:23:03)

HP : un détective privé plaide coupable

La première condamnation dans l'affaire d'espionnage orchestrée par HP devrait être prononcée le 20 juin. Elle ne concernera toutefois pas l'un des pontes impliqués dans le scandale mais un second couteau, Bryan Wagner. Ce détective privé de 29 ans vient en effet de plaider coupable devant la justice californienne et reconnaît donc les accusations de vol d'identité et d'association de malfaiteurs. « Mr Wagner a admis la duperie et la fraude dont il a fait usage en falsifiant son identité pour recueillir les enregistrements téléphoniques [d'individus] sans leur autorisation », indique le porte-parole du bureau du procureur. Bryan Wagner a accepté en outre de collaborer avec les services d'enquête chargés de faire la lumière sur le déroulement des événements chez HP en 2005 et 2006. Afin d'identifier les auteurs de fuites issues du conseil d'administration, HP a engagé des détectives privés, dont l'agence Security Outsourcing Solutions, de Boston. Celle-ci s'est tournée vers l'agence floridienne Action Research qui a recruté Bryan Wagner pour mettre la main sur des enregistrements téléphoniques concernant les auteurs présumés des fuites. Dans l'histoire, c'est lui le dupe, estime son avocat, Stephen Nataril : « Je pense que les détectives qui lui ont demandé d'obtenir ces informations savaient que cela était illégal [...]. Ils lui ont donné l'assurance que tout était OK, que les juristes de l'agence suivaient l'affaire ». A la différence de Bryan Wagner, Patricia Dunn et Kevin Hunsaker (respectivement l'ancienne présidente du conseil d'administration et l'ex responsable de l'éthique, tous deux également poursuivis) ont plaidé non coupable. (...)

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