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(30/03/2011 11:18:48)
WWDC d'Apple entre retard de l'iPhone 5 et tickets au marché noir
La Worldwide Developers Conference (WWDC) d'Apple est l'évènement central du calendrier de tous les fanatiques du Mac. C'est la première fois qu'il affiche complet si rapidement. En 2010, la WWDC avait clos ses guichets en huit jours. En 2009, il avait fallu un mois pour écouler tous les billets. Ce succès est tel que les tickets, vendus 1599 dollars, se revendent le triple sur les sites d'enchères comme ebay (les annonces ont été depuis supprimé du site d'enchères). Il faut dire que le teasing sur cet évènement, l'avènement de l'ère Post-PC promis par Steve Jobs a de quoi interpeller. Sauf que les rumeurs pointent aussi le retard probable de la sortie de l'iPhone 5.
Depuis l'introduction de l'iPhone en 2007, Apple a sorti chaque année la nouvelle génération de son mobile en juin ou en juillet aux Etats-Unis, dans la foulée de la WWDC. Mais il se murmure que le nouvel iPhone arrivera plus tard cette année. "Cette année, nous dévoilerons le futur d'iOS et de Mac OS", a déclaré le 28 mars Philip Schiller, vice-président du marketing d'Apple, suggérant que l'accent sera mis sur les systèmes d'exploitation du Mac, de l'iPad et de l'iPhone plutôt que sur de nouvelles machines.
Cet infléchissement de la stratégie de la société n'est pas sans surprendre les observateurs, qui s'attendaient à ce qu'Apple ne dévie pas du rythme de sortie établi. La question est maintenant de savoir ce que cela signifie pour Apple et ses clients. Dan Frommer, du site Business Insider, indique que repousser la sortie de l'iPhone 5 pourrait être bénéfique pour la société autant que pour les "clients potentiels de l'iPhone, les fans d'Apple et les investisseurs" et d'ajouter "Si Apple tient à creuser l'écart sur ses poursuivants, il lui faudra tôt ou tard proposer une mise à jour assez importante pour bluffer les imitateurs", indique Dan Frommer en faisant allusion aux nombreux rivaux Android qui apparaissent chaque jour sur le marché du smartphone. "C'est peut-être pour ça qu'ils ont besoin d'autant de temps."
Attendre pour avoir un meilleur produit
Le site d'info high-tech Venture Beat est de cet avis: sortir l'iPhone 5 en août ou septembre permettrait à Apple de "profiter des avantages des nouveaux chipsets LTE, plus petits et plus efficaces". Autrement dit, l'iPhone nouvelle génération pourrait être compatible avec les réseaux 4G LTE. "L'iPhone 4 Verizon vient de sortir, en proposant l'iPhone 5 seulement quatre mois plus tard Apple se mettrait à dos des millions de clients Verizon", avance le magazine en ligne Fast Company.
"Attendre quelques mois de plus pour un nouveau mobile, ça n'a l'air de rien. Mais la gamme Apple est très restreinte, et comme c'est l'une des firmes de high-tech les plus importantes du monde, il suffit qu'un de ses produits change pour que les répercussions se fassent sentir dans tout le secteur", ajoute Fast Company.
La Worldwide Developers Conference se tiendra du 6 au 10 juin au complexe d'exposition Moscone West, à San Francisco. (...)
La contrefaçon dans la high-tech augmente
Le secteur de la high-tech, comprenant la téléphonie, les baladeurs MP3, et les logiciels, représente ainsi 34% des contrefaçons observés en 2010. Toutefois, PriceMinister fait état d'une baisse générale des tentatives de mise en vente de contrefaçon, la première depuis 3 ans. Dans le secteur de la high-tech, la téléphonie se place en tête des produits contrefaits en 2010 (31%). Suivent les logiciels (25%), le son (25%), les supports de stockage (14%) et les tablettes tactiles (4%).
Néanmoins, comme chaque année, le secteur le plus touché par la contrefaçon demeure la mode. Plus de la moitié (54%) des contrefaçons observées par PriceMinister ont concerné ce secteur en 2010, notamment en matière de vêtements, d'articles de sport, de maroquinerie et d'accessoires. Le secteur des accessoires de mode a notamment enregistré une hausse des produits contrefaits de 9% en 2010, alors que les cas de contrefaçon des vêtements et articles de sport sont restés stables.
Apple victime de son succès
Le nombre de contrefaçons détectées dans le secteur de la culture est également en hausse sur l'année, soit +23% par rapport à 2009. Le secteur, comprenant les jeux vidéo, les livres, les consoles, les CD et les DVD, a ainsi représenté 8% des contrefaçons en 2010.
Dernier point, Apple et les marques de parfums et cosmétiques demeurent les principales victimes de la contrefaçon en 2010. Suivent Microsoft, Nike, Hello Kitty, Monster Beats Studio, Sony, Nintendo et Nokia. A noter, PriceMinister fait état d'une hausse de 186% des cas de contrefaçon touchant la marque Converse.
Ce bilan est essentiellement basé sur l'analyse de l'ensemble des détections opérées en 2010 par la Cellule anti-contrefaçon des sites français, britannique et espagnol de PriceMinister. Depuis février 2077, l'éditeur détecte les vendeurs suspects, susceptibles d'émettre des produits contrefaits, au travers de sa cellule Anti-Contrefaçon.
Illustration: Une tablette iPad contrefaite
Crédit Photo: D.R
(...)(28/03/2011 17:09:39)Exoprise déplace Exchange dans Google Apps ou le cloud de Microsoft
Exoprise Systemes est une jeune pousse qui a été fondée cette semaine par Jason Lieblich, ex directeur technique de la division management et virtualisation de Citrix. Le dirigeant avait rejoint l'éditeur en 2006 au moment du rachat de Reflectent Software, une entreprise qu il avait également créée. Expoprise est un service web crypté qui analyse l'infrastructure d'un client de messagerie de Microsoft, notamment les schémas d'utilisation des applications des utilisateurs finaux et les dépendances de l'application, afin de déterminer si il est logique de passer à Google Apps, Gmail ou à un service de messagerie hébergé par Microsoft. L'offre intègre des assistants outils de migration qui aident à passer d'un datacenter à un service hébergé en mode Saas et qui supervisent le niveau de service (SLA) ainsi que la performance du système en continu. La plupart des entreprises du secteur IT n'ont pas beaucoup de perception sur l'utilisation de leurs systèmes existants, estime Jason Lieblich dans un billet de blog. Selon lui, qu'il s'agisse d'une entreprise de 100 personnes ou d'une société de 5 000 collaborateurs, elles ne savent pas ce qui est utilisé ni quel est le degré de sophistication lié à l'utilisation des applications et technologies.
100 dollars pour 10 boîtes aux lettes
Avec Exoprise, nous cherchons à garantir une adoption du cloud sécurisée, à l'automatiser et à l'administrer, tout en assurant une bonne gestion des environnements hybrides, précise Jason Lieblich. Le coût du service revient à 100 dollars pour un minimum de 10 boîtes aux lettres, avec une révision à la baisse de 2 dollars par boîte en cas de volume plus élevé. Deux produits sont disponibles : il s'agit de CloudReady pour Google Apps, et de CloudReady pour Microsoft BPOS. Ce dernier étant le nom actuel des outils de cloud computing constitués d'Exchange et de SharePoint. A noter que cette offre va évoluer en Office 365 plus tard cette année.
Malgré les promesses d'économiser des millions en se déplaçant dans le cloud via un clic de souris, les professionnels chevronnés savent bien que ce n'est pas si facile, indique Exoprise sur son site web D'après la start-up, les applications d'entreprise telles que Exchange sont complexes, critiques, avec des environnements dynamiques. Passer en mode cloud nécessite de la préparation, de la perception et également de la planification, juge Exoprise, en ajoutant que le plupart des projets de migration défaillants ont manqué une ou plusieurs de ces composantes essentielles.
Située à Waltham, Massachusetts, Exoprise a recueilli 1 million de dollars de financements de Fairhaven Capital Partners et d'investisseurs indépendants.
(...)
La Récap IT de la semaine : Oracle se fâche avec HP, les cyber attaques, les tablettes pullulent...
Si la date d'arrivée des premiers éléments radioactifs dans le ciel hexagonal était au centre de l'attention des scientifiques, c'est plutôt un orage qui a marqué le début de la semaine dans l'univers informatique. En effet, mardi, Oracle annonçait qu'il mettait un terme au développement de logiciels, de middleware pour l'architecture Itanium. Citant plusieurs arguments, la firme de Redwood a provoqué l'ire d'HP qui est le principal vendeur de la plateforme Itanium. Même le PDG d'Intel est venu à la rescousse de David Donatelli, vice-président d'HP, pour l'assurer du soutien du fondeur sur cette plateforme.
Les piratages de la semaine ont concerné une société spécialisée dans la sécurité, RSA, filiale de EMC. Cette dernière a averti ses clients de risques potentiels sur ses tokens SecurID. Certains se sont même interrogés sur la possible compromission de l'authentification des tokens SecurID. Autre victime d'une cyberattaque, la Commission européenne. La messagerie et l'intranet de l'institution communautaire ont été suspendus. Les spécialistes notent une apparente similitude avec les attaques qui ont touché récemment le gouvernement français. On notera également dans le domaine de la sécurité des données personnelles l'amende de 100 000 euros infligée par la CNIL à Google sur la récupération des identifiants et autres informations depuis les Google Cars ou l'application Lattitude.
Tablettes encore et toujours
Comment passer sous silence la sortie ce vendredi de l'iPad 2. Après un teasing en début de semaine pour dire que la tablette d'Apple serait vendue en France à un prix de départ de 489 euros en version WiFi. Cette dernière étant 10 euros moins cher que l'iPad 1, mais la version 3G est par contre un peu plus chère. Les opérateurs SFR et Orange proposent eux aussi la fameuse tablette à des prix attractifs subventionnés avec un abonnement data sur 12 ou 24 mois.
De tablettes, il en a beaucoup été question lors du CTIA Wireless de Las Vegas. Samsung, RIM ont rivalisé d'annonces pour faire oublier le concurrent de Cupertino. Malgré cela, les yeux se tournent déjà vers les rumeurs qui entourent l'iPhone 5, coque en métal, écran 4 pouces, etc.
Ces différentes annonces ont presque occulté d'autres évènements, comme le 5ème anniversaire de Twitter ou le succès de téléchargement de Firefox 4.
Mise à jour de Java : Un antivirus McAfee presque imposé
Les utilisateurs de Windows installant la dernière mise à jour de sécurité de Java peuvent se retrouver avec un peu plus de sécurité que ce qu'ils ont demandé. Du moins, c'est le risque qu'ils prennent, s'ils ne prêtent pas une attention particulière au processus d'installation. En effet, depuis le mois dernier, Oracle livre en bundle avec ses mises à jour de Java pour le système d'exploitation Windows l'outil d'analyse Security Scan Plus de McAfee. Le logiciel est installé par défaut, de sorte que, si l'utilisateur ne décoche pas la case d'installation de McAfee au moment de la mise à jour, celui-ci sera téléchargé en même temps.
Un antivirus gourmand en mémoire vive
Security Scan Plus scanne le PC pour voir s'il dispose d'un logiciel antivirus et d'un pare-feu et vérifie également les numéros de version des logiciels de sécurité. Le programme ouvre des fenêtres pop-up et il est un peu plus visible - à la manière de la Toolbar de Yahoo! - que dans le bundle de l'update précédent de Java, livré aux États-Unis. Selon le territoire concerné, Oracle associe différents produits avec Java, si bien que tous les utilisateurs de Windows ne se retrouvent pas forcément à installer Security Scan Plus lors de la mise à jour de Java. Une fois téléchargé, le logiciel de McAfee invite l'utilisateur à accepter les conditions de licences du logiciel sur une base quotidienne avant d'achever l'installation. L'utilisateur peut annuler cette invite, mais il n'y a aucun moyen de se soustraire aux termes de la licence. Finalement, pour supprimer le logiciel, l'utilisateur doit passer par la fonction « Désinstaller un programme » de Windows.
Des utilisateurs mécontents
Depuis qu'Oracle a commencé son opération avec McAfee, filiale d'Intel, un certain nombre d'utilisateurs ont installé le logiciel par inadvertance. Oracle a même posté une FAQ intitulée « Qu'est-ce que Security Scan Plus » sur son site Internet Java.com pour expliquer ce que faisait le logiciel. Certains utilisateurs sont mécontents. L'un d'entre eux a même posté un message sur un forum d'Intel après avoir constaté un ralentissement du PC d'un membre de sa famille depuis quelques semaines, visiblement à la suite d'une mise à jour de Java. « Ma belle-fille m'a demandé pourquoi son ordinateur était si lent. Et, bien sûr, McAfee AV était installé, » écrit-il. « Sérieusement, cette chose pompe toute la vitalité du système. » Security Scan Plus pèse 1 Mo en téléchargement, « mais il utilise 4 Mo de mémoire pour être exécuté, » a indiqué un porte-parole de McAfee. Mais l'antivirus a aussi un autre moyen de s'introduire sur un ordinateur PC. « Certains utilisateurs se sont plaints que le logiciel était téléchargé pendant la mise à jour d'Adobe Reader, et cela peut arriver lors du téléchargement via le centre de téléchargement d'Adobe, » a déclaré un porte-parole d'Adobe.
McAfee a justifié son choix d'installer Security Scan par défaut. « Nous estimons qu'il est préférable d'être protégé que pas du tout, c'est pourquoi cette option est cochée par défaut, » a déclaré une porte-parole de McAfee. « Étonnamment, beaucoup d'utilisateurs ont des ordinateurs équipés de logiciels de sécurité obsolètes ou non sécurisés tout court. » Selon StopBadware.org, une association qui surveille les éditeurs de logiciels, McAfee et Oracle pourraient faire un effort pour mieux informer les utilisateurs de l'installation, mais, en tout état de cause, le logiciel de scan n'est certainement pas un programme malveillant. « Il semble qu'il dérange plutôt, mais il n'a pas l'air méchant, » a déclaré le directeur exécutif de StopBadware, Maxim Weinstein. « Même si ce type d'installation ne doit pas se faire de manière sournoise, ce serait bien que l'utilisateur ait un choix un peu plus clair. »
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