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(20/11/2008 11:59:26)

Microsoft dote son PGI Dynamics NAV 2009 d'une interface à rôles

Comme attendu, le progiciel de gestion intégré pour PME Microsoft Dynamics NAV (1 800 clients en France) arrive dans sa version 2009 pourvue d'une interface adaptée aux rôles des différents utilisateurs d'une entreprise. C'est à l'occasion de sa conférence européenne Convergence (19-20/11, Copenhague) que Microsoft a annoncé sa disponibilité immédiate en France. Le PGI bénéficie de l'offre de financement à 0% annoncée la semaine dernière par l'éditeur dans le cadre d'achats allant de 15 500 euros à 775 000 euros.

Vingt-et-un rôles prédéfinis

L'interface par rôle a déjà été mise en oeuvre cette année dans Dynamics AX 2009, autre PGI de Microsoft, davantage tourné que NAV vers l'industrie et les grandes PME. C'est l'aboutissement d'une démarche menée depuis plusieurs années par les équipes de développement de l'éditeur (réparties entre les Etats-Unis et Copenhague). Des centaines d'utilisateurs ont été sollicités pour exposer la façon dont ils travaillaient afin que l'usage individuel de l'interface soit, au cas par cas, optimisé au plus près du poste occupé par la personne (commercial, comptable, préparateur de commande, employé à l'administration des ventes...). 

Vingt-et-un rôles ont été prédéfinis dans Dynamics NAV 2009. Chaque profil d'utilisateur bénéficie sur son interface (qu'il peut encore personnaliser) d'une présentation synthétique de ses tâches et d'un accès rapide aux données qui lui sont utiles, avec des indicateurs pertinents pour son métier, des fonctions contextuelles et la possibilité de communiquer avec les autres utilisateurs.
Les partenaires distributeurs de Dynamics NAV disposent de leur côté d'outils de modélisation pour formaliser les rôles.

Office, SharePoint, décisionnel et mobilité

Dans sa version 2009, le PGI a renforcé ses liens avec les autres produits de Microsoft, en particulier la bureautique Office et le portail SharePoint Server (servant à la collaboration, au stockage et à la gestion de documents, notamment), mais aussi MapPoint pour la cartographie et le middleware Biztalk Server pour l'intégration avec d'autres applications. L'accès aux outils de reporting de SQL Server Reporting Services a été généralisé et s'enrichit des fonctions décisionnelles de SQL Server Analysis Services. Enfin, comme prévu, le PGI repose sur une architecture orientée services qui s'appuie sur les technologies .Net pour s'ouvrir aux applications externes, exposer et consommer des services Web.

Quant à l'accès destiné aux utilisateurs itinérants, Dynamics Mobile, livré un peu plus tôt cette année, il fonctionne maintenant sous Windows Mobile 6.1.

A l'occasion de sa conférence européenne Convergence, Microsoft a également présenté une nouvelle version de son site communautaire (16 000 utilisateurs) destiné aux clients et partenaires des solutions Dynamics. (...)

(19/11/2008 11:39:33)

Adobe Max : AIR 1.5 s'adapte aux capacités de Flash 10

Adobe a présenté aux développeurs la première mise à jour de son client AIR depuis son lancement en février dernier : AIR 1.5, le moteur d'exécution pour applications riches déconnectées, se met au niveau des nouvelles capacités de la technologie Flash, dont la version 10 vient de sortir. AIR 1.5 bénéficie ainsi de technologies de filtres vidéo (Pixel Bender), d'effets 3D, ou d'amélioration de la qualité de la diffusion de flux vidéo. Au menu aussi, de nouvelles capacités d'affichage des polices ; présent lors de la conférence développeurs Adobe Max qui se déroule en ce moment aux Etats-Unis, le vice-président R&D du groupe New York Times a présenté une application de ces capacités dans un client de lecture électronique développé pour l'International Herald Tribune. Ce client basé sur AIR 1.5 permet de se déplacer dans les pages à l'aide des flèches du clavier, et il est capable de reformater les pages automatiquement en fonction de la taille de l'écran. Salesforce.com réclame des interfaces AIR pour ses applications Selon Adobe, la place de marché AIR compte plus de 260 applications, et le nombre d'installations du client dépasse les 25 millions. Parmi les plus populaires, Adobe cite Twhirl, un client pour le service Twitter, qui aurait été téléchargé plus de 600 000 fois. Mais comme pour FedEx (FedEx Desktop), eBay (projet San Dimas) ou SAP (projet Muse), Adobe vise en priorité des utilisations professionnelles. Steve Fisher, vice-président exécutif de Salesforce.com, était ainsi invité sur scène pour encourager les développeurs à recourir à AIR et à Flex pour concevoir de meilleures interfaces pour les applications Salesforce.com. Parmi les autres nouvelles fonctions d'Adobe Integrated Runtime, il faut aussi noter une méthode de chiffrement plus simple et plus performante pour crypter les données stockées en local, et un interpréteur de code également mis à jour, qui accélérerait l'exécution du Javascript jusqu'à 35%, indique Adobe. (...)

(19/11/2008 10:48:17)

Le Libre se généralise dans les entreprises, selon Gartner

Seules 15% des entreprises n'utilisent pas encore de logiciels libres dans le monde, mais toutes prévoient de le faire d'ici un an. Les logiciels libres ont donc complètement investi les systèmes d'information des entreprises, tel est le résultat sans appel d'un sondage conduit par Gartner Group au début de l'été dernier auprès de quelque 300 entreprises réparties dans le monde. Pour autant, le cabinet est avare de précisions sur l'ampleur de cette présence au sein des DSI. Il garde pour ses clients les détails concrets. Il indique toutefois que, si le Libre est surtout utilisé au niveau des couches d'infrastructure, il étend son emprise aux couches applicatives. Pour l'avenir, les entreprises devraient opter pour le Libre autant dans des projets stratégiques que dans des chantiers de moindre importance. Gartner précise même que le nombre de projets Libres concernant la couche applicative est en croissance. Ces projets visent de plus en plus à remplacer une application propriétaire. Cette tendance est encore plus nette dans les domaines applicatifs qui manquent de maturité, là où l'effort de développement que réclame le Libre n'est pas plus lourd que celui pour paramétrer une application propriétaire complexe et coûteuse. Il s'agit des services à la clientèle qui regroupent le plus de projets Libres, suivi par l'intégration, la finance, l'administration et le décisionnel. Réduction des coûts et facilité de déploiement sont les moteurs de l'adoption du Libre Les motivations qui poussent à l'adoption du Libre relèvent à la fois des domaines économique et technique. Juste derrière le fameux TCO (coût total de possession), où la modicité relative des coûts de développement pèse de tout son poids, se profile la facilité d'entamer un nouveau projet avec du libre. Une souplesse renforcée par la possibilité de contourner la lourdeur des procédures internes qu'impose le choix d'un produit commercial. Gartner souligne que, malgré son adoption massive, les spécificités du logiciel libre ne sont toujours pas appréhendées comme telles par les entreprises utilisatrices. 69% d'entre elles n'ont pas développé de politique formelle pour sa gestion. Faute de pratiques rigoureuses en matière d'évaluation et de référencement, Gartner craint que les entreprises ne s'exposent à des risques d'ordre principalement juridique, un écueil encore aggravé par la profusion des licences. C'est d'ailleurs dans ce domaine que Gartner peut aider les entreprises. Ce cabinet, qui n'a rien d'une entreprise philanthropique, publie en plein tsunami économique le résumé de ce sondage qui remonte à cinq mois. Montrer les attraits du Libre et le besoin d'accompagnement qu'il réclame peut permettre d'échapper aux coupes budgétaires qui visent en priorité des postes comme le conseil. (...)

(19/11/2008 08:20:22)

PTC affiche de bons résultats et s'ouvre les portes d'EADS

Le numéro 3 du PLM (Product Lifecycle Management), PTC se porte bien malgré la crise. Il vient de clôturer son année fiscale avec un chiffre d'affaires de 1,075 Md$ en augmentation de 14% et un bénéfice de 160 M$. Il affiche par ailleurs le meilleur trimestre de toute son histoire avec un CA de 299,5 M$ (+12%). En ces temps difficiles, on comprend que l'éditeur se soit réjoui à l'occasion de son PTC World 2008 au Stade de France le 13 novembre dernier. A l'heure où l'industrie automobile, cliente traditionnelle des logiciels de gestion du cycle de vie des produits, bat sérieusement de l'aile, l'Américain rappelle ainsi qu'il a, lui, pris la précaution de ne pas placer tous ses oeufs dans le même panier. Son CA se répartit entre les secteurs aéronautique (20%), high-tech (25%), automobile (15%), équipement industriel (20%), produits de grande consommation (10%) et sciences de la vie (10%). Pour tenir face à la crise, PTC compte aussi sur ses revenus récurrents (la maintenance représente 47% de ses revenus et les services 25%). En revanche, 42% de son CA est européen. La baisse de l'euro par rapport au dollar devient donc un handicap pour l'éditeur, qui lui imposera de revoir quelque peu ses prévisions à la baisse. « Nous espérons un premier trimestre situé entre 250 et 260 M$ avec une croissance de seulement 3 à 4% », estime Richard Harrison, président et CEO de PTC. Ce qui n'empêche pas cet adepte de la croissance externe d'envisager de nouvelles acquisitions avant la fin de l'année. PTC équipera EADS et la plupart de ses filiales Mais ses revenus ne sont pas le seul motif de satisfaction de l'entreprise. Cet été, l'éditeur a en effet raflé un imposant contrat chez EADS au nez et à la barbe de SAP, Siemens PLM (ex-UGS) et surtout Dassault Systèmes, le rival de toujours. Après les déboires de l'Airbus A380, le géant industriel a décidé d'harmoniser l'ensemble de ses environnements de PLM. Le prestigieux avion avait en effet accusé de lourds retards et pertes financières à la suite d'erreurs de conception des circuits électriques. En cause, entre autres, des systèmes de gestion des données techniques disparates et pas forcément compatibles. Aujourd'hui, pour son projet d'harmonisation Phenix, EADS a donc choisi PTC. Un coup historique à plusieurs titres [[page]]Il s'agit d'un coup historique à plusieurs titres. Pour commencer, quand on est américain comme PTC, pas facile de déloger Dassault Systèmes d'un grand compte européen. EADS reste néanmoins équipé de la CAO Catia du Français. Mais, PTC va bel et bien équiper le géant de l'aéronautique et la plupart de ses filiales, en particulier Airbus, Eurocopter et Astrium, de son SGDT (système de gestion de données techniques) collaboratif Windchill. « Nous parlons de 65 000 utilisateurs, s'enthousiasme Marc Diouane, vice-président Europe de l'Ouest pour PTC, sans oublier toute la chaîne de sous-traitance. » Dans son projet d'harmonisation, Airbus devrait en effet, au minimum, inciter ses prestataires à travailler dans les mêmes environnements que lui. « Pour chaque utilisateur Airbus, on peut en compter trois ou quatre chez les sous-traitants. » Une version de Windchill native pour Sharepoint Côté produits, PTC a rappelé la sortie de son offre de PLM en mode natif au dessus de l'environnement collaboratif Sharepoint de Microsoft, Windchill ProductPoint. Il a également présenté sa modélisation humaine numérique en 3D Pro/Engineer Manikin et ses extensions. Cet outil permet de concevoir des mannequins 3D virtuels réalistes pour effectuer, par exemple, des tests ergonomiques de produits encore à l'état de prototype numérique. Enfin, interrogé sur la nouvelle rumeur de vente de son entreprise cet été, Richard Harrison a fait une réponse aussi cinglante que surprenante : « Demandez à Bernard Charlès (NDLR : patron de Dassault Systèmes), a-t-il asséné. A ce moment-là, nous avions passé avec succès plusieurs phases de tests de l'appel d'offre EADS, alors que Dassault Systèmes, lui, n'y arrivait pas. Voyant qu'il allait perdre le marché, Bernard Charlès a glissé à des journalistes à Londres que nous étions à vendre, alors que ce n'était pas du tout fondé. » Dassault Systèmes ne souhaite pas commenter pour l'instant. Gageons qu'il n'en sera pas longtemps ainsi. C'est au tour du Français d'organiser sa grand messe annuelle, l'ECF, les 26 et 27 novembre prochains à Disneyland Paris. (...)

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