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(18/11/2008 12:15:14)
Adobe Max : CoCoMo rappelle la stratégie S+S de Microsoft
Adobe a entamé hier sa série de conférences utilisateurs Adobe Max à San Francisco en lançant une bêta publique de CoCoMo, une offre de services applicatifs en ligne apportant des fonctionnalités de collaboration à ajouter aux applications développées avec Flex. La technologie avait déjà été évoquée lors d'Adobe Max 2007, comme une extension de la plateforme Connect. Flex est la technologie proposée par Adobe pour bâtir des applications métier en ligne dont l'interface tourne sur le Player Flash. CoCoMo propose de son côté des services collaboratifs, de type voix sur IP, visioconférence, partage de fichiers, tableau blanc, etc. Directeur technique d'Adobe, Kevin Lynch a expliqué que cette offre entrait dans la stratégie d'Adobe visant à mêler les développements sur les postes clients et les offres applicatives en ligne, disponibles dans les nuages ('cloud computing'). « Pour nous, il devrait y avoir un équilibre entre les deux, a-t-il dit. Pas totalement sur le client, et pas totalement dans le cloud. » Un discours tenu également par le grand adversaire d'Adobe, Microsoft, qui tente d'imposer sa propre technologie de client riche Silverlight. Microsoft appelle cela le S+S, pour software plus services. Un premier cas d'utilisation Kevin Lynch a présenté un cas d'application de CoCoMo : la startup Acesis, qui a eu accès à une bêta privée, a réalisé une application permettant à des médecins répartis sur plusieurs sites distants de discuter du cas d'un patient, en partageant son dossier médical et en recourant à de la VoIP et de la visioconférence. Adobe n'a pas voulu donner de précisions sur la date de sortie ou la tarification de CoCoMo. « Je pense que vous verrez cela en 2009, a indiqué Kevin Lynch lors d'une conférence de presse à l'issue de son intervention sur scène. Nous verrons quel modèle de tarification utiliser, y compris la souscription ou le paiement à l'acte, en fonction des retours que nous aurons. » Le 'cloud computing' et les applications sociales en ligne de mire Selon Kevin Lynch, CoCoMo répond déjà à deux des trois objectifs de développement fixés par Adobe : le 'cloud computing' et les applications sociales. Le troisième concerne la prolifération des smartphones et autres appareils mobiles d'accès à Internet (MID, mobile Internet devices) pour lesquels Adobe a supprimé les versements de royalties. « Nous souhaitons offrir une expérience identique quelle que soit la taille de l'écran, du téléphone portable au PC », a expliqué Kevin Lynch. Pour l'heure, les smartphones doivent se contenter de Flash Lite - qui n'offre pas toutes les fonctionnalités du Player Flash - voire refusent tout simplement d'afficher le Flash, comme l'iPhone (malgré l'insistance d'Adobe auprès d'Apple). L'édition européenne d'Adobe Max aura lieu à Milan, début décembre. (...)
(17/11/2008 16:57:00)John Wookey dirigera la stratégie on-demand de SAP pour les grandes entreprises
SAP vient de recruter John Wookey, ancien vice-président d'Oracle, pour lui confier le développement de sa stratégie dans le domaine des offres proposées 'à la demande' aux grandes entreprises. John Wookey a été pendant douze ans chargé du développement des applications chez Oracle et notamment du très stratégique chantier Fusion Applications. Dans la catégorie 'on-demand', l'éditeur allemand propose déjà une solution hébergée de gestion de la relation client (CRM), ainsi que des offres décisionnelles en ligne issues du rachat de Business Objects. En revanche, le titre du nouveau cadre dirigeant de SAP, 'executive vice president for large enterprise on-demand', semble exclure son implication sur l'offre hébergée Business ByDesign que l'éditeur allemand destine prioritairement aux PME. C'est ce qu'a confirmé Saswato Das, porte-parole de SAP, à nos confrères d'IDG News Service. Un défi de taille, mais à la mesure de John Wookey L'arrivée de John Wookey chez SAP est saluée par de nombreux observateurs. Pour Bruce Richardson, analyste pour AMR Research, son recrutement par SAP est un ticket gagnant pour les deux parties. John Wookey apporte à l'éditeur allemand et à sa stratégie SaaS (software as a service) une solide expérience, tant technique que managériale. De leur côté, Madan Sheina et Warren Wilson, d'Ovum, notent que le nouvel embauché est bel et bien chargé de développer un nouveau segment de marché, dans une période troublée. Il s'agit d'une « tâche difficile » mais c'est le genre de défi que John Wookey a l'habitude de relever. Le nouveau vice-président de SAP a quitté Oracle en octobre 2007, laissant les rênes de Fusion Applications à Chuck Rozwat, sans que l'on connaisse vraiment les raisons de son départ. (...)
(17/11/2008 17:50:23)Exchange et SharePoint officiellement utilisables en ligne
Microsoft devrait lancer aujourd'hui les versions finalisées d'Exchange Online et SharePoint Online, après 8 mois de bêta. Les deux services en ligne, qui font partie de la suite Microsoft Online Services, seront disponibles individuellement aux Etats-Unis. Le service de messagerie sera facturé 10 $ par utilisateur et par mois, et le portail de collaboration 7,25 $ par utilisateur et par mois. Des prix à comparer avec celui de la suite complète, qui comprend aussi les offres de communications unifiées (Office Communications Online) et de webconférence (Office Live Meeting Online), pour 15 $ par utilisateur et par mois. Les offres Office Communications Online et Office Live Meeting Online devraient être commercialisées aussi de façon individuelle au début de l'année prochaine, au tarif, respectivement, de 2,50 et 4,50 $ par utilisateur et par mois. L'offre sera disponible en France début 2009 La déclinaison pour la France de cette offre en ligne est attendue pour le début 2009. L'éditeur, qui n'avait pas envie de se mettre son écosystème à dos en proposant lui-même des services en ligne, a déjà entamé des négociations avec des SSII qui proposeront l'offre aux entreprises, les revenus étant répartis entre Microsoft et ses partenaires. Certains d'entre eux pourraient d'ailleurs héberger eux-mêmes l'offre. La dernière grande offensive de Microsoft dans les services en ligne reste toutefois le lancement d'Azure, son offre de 'cloud computing'. (...)
(14/11/2008 14:28:45)Microsoft lance le financement à 0 % pour ses offres de CRM et d'ERP
« En temps de crise en particulier, une bonne utilisation des systèmes d'information peut aider les entreprises à rester performantes. Microsoft voit cette crise comme une opportunité de changement pour les PME, mais aussi un frein à l'investissement », reconnaît Caroline Keene, directrice marketing solutions Microsoft Dynamics France, pour justifier le nouveau plan de financement à 0 % de l'éditeur. Celui-ci prévoit en effet d'étaler le paiement pour l'achat d'un progiciel de gestion intégré (ERP) ou d'une solution de gestion de la relation client (CRM) de Microsoft sur 36 mois sans frais, pour tout achat effectué entre le 19 novembre prochain et le 20 mars 2009. A partir de 15 000 euros Pour en bénéficier, la valeur de l'achat doit être comprise entre 15 500 et 775 000 euros. Cela donc tant les petites que les grandes PME. Deuxièmement, cette offre ne s'adresse qu'à des nouveaux clients. On ne pourra donc pas en profiter pour remettre à niveau son ERP ou son application de CRM si ceux-ci sont déjà fournis par Microsoft. « En revanche, un client ERP peut en profiter pour se doter d'une solution de CRM, ou l'inverse, » précise Caroline Keene. Enfin, il faudra que l'organisme de financement interne Microsoft Financing accepte le dossier. Selon Caroline Keene, celui-ci serait plus souple qu'un organisme de crédit classique ou qu'une banque : « Nous pouvons accepter des crédits basés à 100 % sur des actifs intangibles comme des logiciels ». Si cette offre de financement est commune à 12 pays, Microsoft France n'exclut pas de proposer d'autres solutions de financement pour d'autres de ses produits à ses clients si la crise perdure. (...)
(13/11/2008 17:57:13)Syntec Informatique en héraut de l'industrie du logiciel à Bruxelles
Syntec Informatique se hisse d'emblée à l'échelle de l'Europe, en s'associant à huit autres associations IT européennes, pour présenter à Bruxelles ses propositions destinées à développer l'industrie du logiciel. Ensemble, les neuf organisations professionnelles représentent plus de 80% des entreprises du logiciel en Europe. Leur prise de position commune, remise à la Commissaire Viviane Reding le 24 octobre dernier, vient d'être communiquée publiquement aujourd'hui par Pascal Rialland et Gérard Claverie, co-présidents du Comité Editeurs de Syntec Informatique. L'Europe reste très largement importatrice sur le marché du logiciel, alors même que celui-ci est reconnu comme un facteur clé de l'innovation, dans le sillage de la stratégie de Lisbonne visant à faire de l'UE l'économie la plus compétitive du monde à l'horizon 2010. Cette initiative du Comité Editeurs de Syntec Informatique s'inscrit parallèlement à de nombreuses autres démarches en faveur des TIC, des éditeurs et des PME, principalement le plan France Numérique 2012 du Gouvernement. La chambre professionnelle française et ses homologues européens ont pris le parti de centrer leurs propositions sur trois axes majeurs sur lesquels, selon eux, l'intervention de Bruxelles pourrait « faire une vraie différence » pour l'industrie du logiciel. En préambule, les co-signataires rappellent que le secteur est et restera toujours très fragmenté, même s'il se consolide, et qu'il est en passe de modifier sensiblement son modèle avec le développement du logiciel fourni comme un service (mode SaaS). Former des compétences dans tous les domaines Leur première série de propositions vise à relever « le défi des compétences » qui ne concerne pas uniquement les compétences techniques. Il y a bien sûr un déficit d'étudiants attirés par les matières scientifiques et le Syntec Informatique reconnaît que ramener les jeunes vers ces filières est un processus à long terme. Mais il faut aussi développer l'ensemble des talents requis sur la chaîne complète de l'innovation, c'est-à-dire en incluant les profils qui, au-delà de la conception et du développement du logiciel, travaillent à la mise sur le marché des produits. Sur le même axe, Syntec Informatique demande à l'UE de soutenir la création d'un réseau européen d'expertise logicielle par les groupements nationaux existants. Ce qui permettrait aux éditeurs de partager leur expertise tant sur l'ingénierie logicielle que sur la recherche de marchés, notamment transfrontaliers. Les associations professionnelles aimeraient aussi que l'on puisse retenir en Europe et attirer vers le logiciel les talents des nouveaux Etats membres qui, sinon, pourraient être tentés de traverser l'Atlantique. Etendre le crédit d'impôt à l'innovation au sens large [[page]] Etendre le crédit d'impôt à l'innovation au sens large La deuxième série de propositions s'attache à définir un cadre. « La stratégie de Lisbonne prévoit de s'appuyer sur l'innovation mais elle ne la définit pas », remarque Gérard Claverie en invitant à considérer l'innovation au sens large. La prise de position de Syntec Informatique suggère de créer une définition européenne unique des entreprises innovantes qui ne serait pas anglée uniquement sur la R&D. Cette définition pourrait, comme pour les Gazelles en France, prendre en compte la notion de croissance rapide de l'entreprise. Le logiciel demande en effet des capitaux et des aides jusqu'à sa mise sur le marché et pas uniquement dans sa phase R&D. Le cadre qu'appellent de leurs voeux le Syntec Informatique et ses co-signataires devrait conduire à établir des principes directeurs communs pour stimuler l'innovation et la croissance dans les Etats membres, notamment au niveau des mesures fiscales. « Il faut absolument que les crédits d'impôt pour la recherche s'étendent à l'innovation », argumente Pascal Rialland, en comparant, sur une échelle de 1 à 100 l'effort consacré à la création (1) et celui que nécessite la constitution d'un réseau de distribution (100) pour commercialiser les produits. Les associations professionnelles entendent aussi régler le problème du piratage des logiciels. Adapter aux éditeurs les mécanismes de financement de la R&D Enfin, la troisième série de propositions porte sur le financement de l'innovation et des éditeurs. Il s'agit d'identifier et de promouvoir les mécanismes de financement nationaux et d'adapter aux éditeurs de logiciels les mécanismes européens de financement de la R&D. Il est suggéré, aussi, de créer un fonds européen du logiciel afin d'encourager les fonds de capital-risque à investir dans les PME à forte croissance. (...)
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