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(19/06/2008 16:12:03)
Il manquerait 30 000 à 40 000 experts dans l'écosystème mondial de SAP
Il y aurait, au niveau mondial, un déficit de 30 000 à 40 000 experts dans l'écosystème SAP, selon les décomptes effectués par l'éditeur allemand lui-même. Identifié il y a plusieurs mois déjà, cette carence crée de fortes fluctuations entre l'offre et la demande de ressources et entraîne une augmentation sensible du coût des compétences les plus recherchées. Une pénurie qui, en outre, intervient à un mauvais moment pour l'éditeur, relève notre confrère CIO.com dans un article récent. Les directions stratégiques dans lesquelles SAP s'est engagé au cours des dernières années, tant au niveau des technologies que des applications, requièrent en effet des compétences encore plus pointues et plus recherchées. C'est le cas, notamment, de sa plateforme d'intégration NetWeaver, des outils de gestion des données de référence (MDM) ou des processus métiers (BPM), sans omettre les solutions décisionnelles et, bien sûr, la suite intégrée de gestion proprement dite, ERP 6.0. De surcroît, parallèlement à son activité historique centrée sur les grandes entreprises, SAP s'est investi largement sur le marché des PME, un secteur qui réclame une approche différente et des solutions distinctes. Au niveau mondial, les PME représentent un fort potentiel de croissance, mais elles exigent aussi d'aligner des ressources spécifiques pour l'exploiter. Paradoxalement, mais très logiquement, la pénurie de compétences est induite par le succès rencontré. Améliorer sa notoriété dans les universités Pour développer les compétences autour de ses outils et solutions, SAP doit en partie agir à la source. L'éditeur manque en effet d'une certaine visibilité auprès des étudiants pouvant être intéressés par les domaines qu'il couvre. Notamment par rapport à des acteurs comme IBM, Oracle ou encore Google. Selon Joe Westhuizen, vice-président de SAP responsable de la stratégie de formation, une enquête de notoriété menée auprès d'étudiants en Chine, en Allemagne et aux Etats-Unis a montré que l'éditeur européen devait renforcer ses efforts pour se faire connaître dans les universités, et ce, bien avant l'arrivée des candidats sur le marché du travail. Bien que mis en place il y a dix ans, le programme de partenariat University Alliance, qui implique actuellement 700 universités, n'a pas été suffisamment exploité. L'objectif est désormais de se faire connaître auprès des leaders de demain. Parallèlement, SAP étend sa collaboration stratégique avec ses vingt plus grands partenaires (qui réalisent près de 70% des mises en oeuvre) pour réduire les problèmes qu'ils rencontrent pour faire croître leur vivier de ressources. Enfin, l'éditeur développe ses programmes de certification, les complète avec des cours en ligne et de tarifications plus flexibles et ajoute des langues de formation comme le japonais, le coréen, le russe ou le mandarin. (...)
(19/06/2008 12:17:49)Le créateur de widgets Zoomorama lève 1 M€ pour se développer hors de France
Zoomorama vient de réaliser une deuxième levée de fonds auprès d'une dizaine de 'business angels' européens et américains. Le premier tour de table lui avait permis d'engranger 450 000 € (en avril 2007). Zoomorama propose aux particuliers, aux entreprises (notamment dans l'e-commerce) et aux photographes professionnels une application baptisée Zoomcreator. Téléchargeable gratuitement jusqu'à 2 Go de données à stocker, elle leur permet de créer des widgets et des albums photos haute résolution qu'il est ensuite possible de déporter dans un site, un blog ou un mail. Particularité de ces albums : ils sont zoomables sans déperdition de qualité, directement depuis la page consultée, et ce sans devoir ouvrir une nouvelle fenêtre. Chaque produit présenté par un site de vente en ligne peut ainsi être examiné sous toutes ses coutures par l'internaute. Les clichés peuvent également être enrichis de textes, de vidéos, de liens hypertextes ou encore de documents PDF. Grâce à la levée de fonds, Zoomorama compte se développer sur trois axes. La société souhaite s'agrandir à l'international, à savoir aux Etat-Unis, en Amérique du sud, en Russie et en Asie. Elle est déjà présente au Viet-Nam. Fort de la confiance de ses investisseurs individuels, Zoomorama espère également convaincre d'autres investisseurs plus institutionnels, comme l'Oséo ou de grands capitaux-risqueurs. Côté technologie, Zoomorama devrait proposer au mois de juillet un service en ligne ne demandant pas à l'internaute de télécharger l'application, l'opération se faisant directement sur le site. Un service gratuit... jusqu'à un certain point [[page]] Le modèle économique de Zoomorama repose sur deux sources de revenus. Le site héberge gratuitement les photos sur ses serveurs jusqu'à 2 Go (150 Mo par album). Au-delà de cette quantité, les entreprises ou les particuliers ont la possibilité d'opter pour un abonnement annuel de 30 à 45 €, qui leur donne accès à un espace de stockage allant jusqu'à 5 Go. Pour les sociétés très gourmandes en images, Zoomorama propose une facturation liée à la consommation de bande passante. « Ce type de contrat se fait au cas par cas, en fonction du trafic et des besoins du site. En général nous appliquons un tarif de 1 euro pour 1000 clics », précise Anne-Céline Jeanneau, directrice de la communication chez Zoomorama. La société propose également des packages au forfait, pour des démonstrations sur un salon par exemple. Elle compte parmi ses clients Paris-Match, le Nouvel Observateur ou encore Channel. Pour le moment, Zoomorama ne s'est pas encore attaqué au marché de la publicité en ligne, mais il s'agit d'un projet « à moyen terme », confie Anne-Céline Jeanneau. Elle précise encore : « Les possibilités de notre application sont déclinables sur ce secteur. On peut par exemple imaginer d'incruster sur une page Web une publicité créée avec notre technologie, donc zoomable à volonté, sans devoir ouvrir une nouvelle page. » Zoomorama a été sélectionnée en avril dernier par le magazine économique Red Herring, qui récompense chaque année les 100 start-up les plus innovantes au niveau mondial. La société française a également fait partie des 30 finalistes du concours Web 3 qui s'est déroulé en décembre 2007. Créée en août 2005 par Franklin Servan Schreiber (ancien directeur des recherches en interfaces chez Sony US), Zoomorama emploie sept personnes et devrait recruter des développeurs au courant de l'année 2008. Son siège social est situé à Neuilly-sur-Seine (92). Rappelons que Microsoft a aussi récemment lancé une technologie de zoom à volonté dans les images, Deep Zoom. (...)
(19/06/2008 11:50:41)Dassault Systèmes : « La France et l'Europe doivent se préoccuper de la propriété intellectuelle dans l'économie du virtuel »
Concevoir un nouveau produit en exploitant des objets 3D conçus en ligne par d'autres, comme souhaite le proposer l'éditeur de PLM Dassault Systèmes, pose un problème évident de propriété intellectuelle. « Ni l'Europe, ni la France ne font la moindre proposition quant à la propriété intellectuelle dans l'économie du virtuel, s'agace cependant Bernard Charlès, PDG de Dassault Systèmes. C'est capital, car aujourd'hui, en matière de gestion des conflits en justice, c'est le vide sidéral. C'est une question qui devrait être débattue à l'OMC (Organisation mondiale du comemrce). Les Etats-Unis et le Japon réfléchissent, eux, et nous risquons de devoir faire avec. En ce qui nous concerne, pour la création de contenus 3D avec notre outil pour tous 3DVia, nous avons par exemple choisi la CPL (Common Public Licensing) de l'Open Source. » (...)
(19/06/2008 11:51:54)Dassault Systèmes veut se frotter aussi au grand public
Il fut un temps où la conférence annuelle des développeurs de Dassault Systèmes, le Devcon, ressemblait à une conférence développeurs. Les démonstrations de CAO et leur lot de structures filaires, toutes plus réjouissantes les unes que les autres, se succédaient. Mais voilà, tout a bien changé. Pour son Devcon version 2008, on aurait pu se croire au lancement d'un produit Nintendo. L'animateur a bavardé avec son avatar 3D en balade sur grand écran, en temps réel, dans le futur siège social de Dassault Systèmes à Vélizy, lui-aussi virtuel. Un peu plus tard, Martijn Steinrucke, 'concept designer' chez le numéro un mondial du jeu vidéo Electronic Arts (Sims, Spore) est arrivé sur scène. Une télécommande de Wii (Wiimote) dans chaque main, il s'est mis à manipuler un petit personnage du genre monstre gentil affiché à l'écran, à le faire chanter, danser... Mais où sont passés la CAO et le PLM? Mais où sont donc passés la CAO et le PLM (Product lifecycle management) ? Quel lien avec la conception automobile ou aéronautique ? Quel lien avec le PLM dans le textile ou la pharmacie ? Les équipes de Dassault Systèmes auraient-elles perdu tout sens commun ? Difficile à savoir... Entre deux aventures virtuelles, elles ont tout de même présenté leur V6 aux développeurs. Juste V6, sans plus aucune marque devant. Cette nouvelle version se décline au travers des désormais habituelles gammes Catia (CAO), Enovia (collaboration), Simulia (simulation) et Delmia (production virtuelle), auxquelles s'ajoute 3DVia destiné à des utilisateurs lambda. A noter que pour enrichir Simulia, Dassault Systèmes a annoncé l'acquisition pour environ 40 M$ d'Engineous Software, spécialisé dans l'automatisation des processus de simulation. La V6 propose la toute nouvelle interface de navigation, collaborative et en 3D, annoncée en janvier. Sur l'écran, les produits conçus chez les industriels sont décomposés étape par étape sur des plateaux tournants, tous accessibles par différents utilisateurs géographiquement distants. La collaboration permet aussi au bureau d'étude de travailler avec les designers, voire même les membres du marketing, toujours au travers de l'interface 3D. Enfin, si l'ensemble des outils restera disponible par le biais de licences classiques, la V6 misera aussi sur le SaaS (Software as a Service). Dassault Systèmes prêt à lancer une console de jeu ? [[page]] Visionnaire ou à la limite de la folie, l'entreprise a, en tout cas, fait un choix audacieux : celui de la conception en 3D, en temps réel, pourquoi pas avec une manette de jeu, dans les bureaux d'étude de l'industrie. La fracture culturelle pourrait être imposante. Pourtant, l'éditeur ne veut pas en rester là. Il aimerait désormais se frotter aussi au grand public. 3DVia et sa communauté en ligne où tout un chacun peut développer et partager des objets 3D, jouent le rôle de poste d'observation de cette nouvelle cible. Bernard Charlès en est convaincu, ce sont les consommateurs qui concevront les produits de demain (à condition néanmoins de s'occuper de la propriété intellectuelle). Et son entreprise peut leur mettre des outils 3D entre les mains dès aujourd'hui. Pour lui, il s'agit de bâtir des communautés virtuelles, des réseaux sociaux du design 3D. Mais, ce n'est pas tout. « En collaborant avec cet écosystème du design 3D, à l'aide de nos logiciels, je pourrais aujourd'hui concevoir un périphérique électronique, alors que je suis éditeur de logiciel, assure Bernard Charlès, PDG de Dassault Systèmes, avant d'ajouter : d'ailleurs, nous allons le faire ! » Même s'il n'a pas voulu donner davantage de précisions, il ne dément pas que l'objet pourrait appartenir au monde du jeu et en tout cas, être destiné à tous, et non uniquement à un public professionnel. Pourquoi pas une Wiimote signée DS ? (...)
(18/06/2008 09:27:13)Adobe ajoute à LiveCycle la gestion de contenus d'Alfresco
Dans une mise à jour, prévue pour juillet, Adobe apporte de nouveaux composants à LiveCycle Enterprise Suite (ES). Cette suite de logiciels sert à créer des workflows documentaires complets circulant de façon sécurisée dans l'entreprise et au-delà du pare-feu. L'un des apports notables de cet « Upgrade 1 » réside dans l'ajout de services de gestion de contenus issus de l'offre Open Source de l'éditeur Alfresco. Ils permettront de créer et de gérer des contenus qui seront insérés dans les processus de circulation de documents générés avec LiveCycle ES. Rappelons qu'en décembre dernier, Adobe avait mis en Open Source certains outils d'échange de messages utilisés dans la brique Data Services de LiveCycle ES. Le développement rapide d'applications et l'intégration de données 2D et 3D L'Upgrade 1 dispose aussi de composants destinés au développement rapide d'applications Internet exploitant des contenus. Il apporte par ailleurs une intéressante fonction de conversion de fichiers 2D et 3D au format PDF. Un moyen de visionner ces données graphiques avec le lecteur gratuit Adobe Reader sans disposer de l'application ayant servi à les créer (plus de 40 formats sont supportés au total). L'an dernier, Adobe avait inclus le support de la technologie Flex dans sa suite LiveCycle ES. Un apport destiné à développer des interfaces plus attractives -en exploitant la technologie Flash- et surtout plus interactives pour les applications destinées à récupérer des données auprès de multiples destinataires. (...)
(17/06/2008 11:18:20)Update décline son logiciel de CRM pour l'iPhone en français
L'éditeur autrichien Update (42 clients en France) est parmi les premiers à fournir une version iPhone de son logiciel de gestion de la relation client (CRM). L'offre, déjà adoptée par les directions générales ou commerciales de plusieurs de ses clients outre-Rhin, est livrée en français et convient aussi à l'iPodTouch d'Apple. Ses premiers adoptants sont des utilisateurs déjà convertis aux smartphones (des Blackberry généralement), l'accès en ligne permis par ces terminaux réduisant les contraintes de synchronisation répétées avec le PC (contrairement aux assistants numériques). Composée d'un produit serveur et d'un logiciel client, l'offre update.seven Touch s'utilise donc en mode connecté en donnant accès à toutes les fonctions de l'application de CRM d'Update : gestion des contacts et des rendez-vous, contrats de services, rapports d'intervention, etc. Hors connexion, le mode d'utilisation est toutefois plus restreint. L'utilisateur se contente, pour l'instant, de consulter ses rapports de visite et, éventuellement, de les remplir par le biais de cases à cocher si l'application le prévoit. La tarification pour l'offre update.seven Touch est fixée à 5 000 euros pour la partie serveur et à 350 euros par utilisateur. Update compte 1 300 clients dans le monde, principalement en Europe (5% seulement aux Etats-Unis). Son offre de CRM est verticalisée pour six secteurs d'activité : le BTP, le secteur industriel (machines outils), les médias, la pharmacie, les fournisseurs de la grande distribution et le secteur financier. En France, son logiciel est utilisé par les laboratoires Boehringer, les industriels Cryostar, De Dietrich Thermique ou encore Karcher. (...)
(13/06/2008 17:06:04)Progiforum : l'éditeur confirmé côtoie le challenger
Progiforum est un des rendez-vous annuels établis entre éditeurs de logiciels de gestion, directeurs financiers et directions métiers. Pour les fournisseurs, il se situe à un moment clé dans la phase de vente d'un projet. « De nombreux contrats se signent en décembre pour un démarrage planifié en janvier », rappelle Paul Meireis, de l'intégrateur Business Services, accueilli sur l'espace partenaires de l'éditeur Cegid. L'édition 2008 du salon s'est insérée dans un sur-ensemble appelé SI Gestion, qui comprenait aussi les espaces CréditClients, RH Expo et Externaliser. Sous-titrée « vers l'entreprise 2.0 », la manifestation a injecté une dose de blogs, Wikis et mash-up dans ses conférences, en réservant toutefois l'essentiel aux problématiques de gestion classiques. Chez plusieurs éditeurs, on notait l'avancée du 'Software as a Service' (certains, comme e-Paye, étant exclusivement spécialisés sur les prestations en ligne), mais sans généralisation. Cegid, bien engagé sur ce créneau, arborait le slogan 'On demand' sur son stand. Depuis quelques mois, le Lyonnais renforce sa plateforme d'hébergement et diversifie ses approches d'applications en ligne : logiciels métiers (mode, commerces spécialisés), eWS pour les experts-comptables, RH Sourcing et, désormais, Cegid Business Line pour les TPE. OpenERP à la demande Sur le terrain du 'On demand', notons aussi l'arrivée de Tiny, éditeur du PGI en Open Source OpenERP, en recherche de partenaires, avec un produit désormais doté « de fonctions d'analyse OLAP, d'un workflow, d'un portail et d'une gestion documentaire », précisait Alain Van de Werve, chef de projet chez Tiny. Quant à Apsylis, éditeur d'un PGI adapté aux sociétés de services, il propose son offre en ligne depuis un an déjà. Pas de version « à la demande » pour MS Dynamics AX, mais une présentation de la toute nouvelle version 2009 par Ad Ultima, l'un des intégrateurs du PGI de Microsoft pour grosses PME (un autre PGI, MS Dynamics NAV s'adresse aux plus petites, présenté sur le salon par Viseo). Parmi les nouveautés d'AX 2009, notamment, les menus par types d'utilisateurs avec, décrit Patrick Girard, directeur commercial d'Ad Ultima, « une trentaine de rôles livrés avec leurs propres indicateurs-clés de performances ». Microsoft, lui, ne disposait d'aucun stand sur le salon cette année. Solutions métiers chez Oracle, Qualiac bientôt sur System i [[page]] Sur le salon, Sage poussait ERP X3, son offre destinée aux entreprises de taille moyenne, disponible en deux versions, l'une 100% paramétrée, l'autre évolutive. Qualiac mettait l'accent sur la maîtrise de la chaîne des dépenses et l'élaboration budgétaire, mais il annonçait aussi un intéressant partenariat avec Consultencia. Outre la livraison de solutions intégrées, cet accord conduira en effet au portage de l'offre Qualiac sur les serveurs System i (ex AS/400) d'IBM. [mise à jour] Quant à Oracle, il a présenté ses solutions Oracle Accelerate, des offres métiers conçues par les intégrateurs de ses progiciels intégrés JD Edwards, PeopleSoft et E-Business Suite. Oracle France a ainsi certifié onze solutions Accelerate avec neuf de ses partenaires français, e-frontech, PharmaSol, Business At Work, Starlog, PeopleNow, whitehouse, logica, i-Orga et IBM. Jeeves et Qliktech Au milieu des acteurs confirmés des PGI, on trouve encore des acteurs récemment arrivés sur le marché français, mais qui ont su trouver leur place et ne craignent pas de s'y affirmer. C'est le cas de Jeeves qui tenait cette année son 2ème Progiforum. L'éditeur suédois vise les PME réalisant de 10 à 100 M€ de chiffre d'affaires. « Nous allons franchir le seuil des cent entreprises utilisant Jeeves en France [4 000 clients dans le monde]», indiquait hier sur le salon Ludovic Lagneau, directeur commercial de la filiale française. Celle-ci compte à ce jour 22 intégrateurs, dont Ambassage Package, présent sur le salon avec une offre verticale pour les PME de la chimie (il vient de signer avec Oenobiol). Notons que les fonctions décisionnelles de Jeeves sont celles de son compatriote suédois Qliktech, qui a ouvert l'été dernier sa filiale française et qui se trouvait également sur Progiforum. Hors de la sphère gestion, Qliktech note « un vif intérêt du secteur de la santé » pour son logiciel d'analyse QlikView, selon sa directrice marketing Gaud Prat. Progiforum ralliera le Seca en 2009 Parmi les acteurs du décisionnel, signalons la présence notable de Report One, dont le stand de belle taille s'offrait aux visiteurs dès l'entrée, éditeur des solutions MyReport très prisées des PME. Plus généralement, tous les éditeurs de PGI ont inclus des fonctions décisionnelles dans leur offre et les présentent, à juste titre, comme un élément stratégique du pilotage d'entreprise. L'an prochain, les visiteurs de Progiforum devraient pouvoir étendre leur vision du marché, au-delà des PGI, en accédant aux offres de gestion de la relation client (CRM) et aux solutions de centres d'appels. Le salon des logiciels de gestion doit en effet faire cause commune avec le Seca. Christophe Dery, DG de Tarsus, qui organise les deux manifestations, indique qu'ils s'installeront côte à côte, en mars 2009 à Paris Expo. (...)
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