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(16/11/2007 17:55:18)

OpenWorld : les premières pièces de Fusion Applications

C'est sur la présentation des trois premiers produits de sa nouvelle génération d'applications, Fusion Applications, que Larry Ellison, PDG d'Oracle, a clos l'édition 2007 de sa conférence utilisateurs OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre). Il s'agit de trois offres destinées aux équipes commerciales : Oracle Sales Prospector, Oracle Sales References et Oracle Sales Tools. Les fonctions qu'elles apportent sont complémentaires aux outils de gestion de la relation client (GRC) qui existent déjà, Siebel CRM notamment. Larry Ellison les qualifie d'outils de GRC de 2ème génération, Salesforce et Siebel constituant la 1ère génération. Oracle Sales Prospector s'appuie sur du datamining pour déterminer quels sont les produits achetés par les clients afin de leur suggérer d'autres achats, en lien avec ceux qu'ils ont déjà faits. Oracle Sales References va servir à déterminer quels clients satisfaits peuvent servir de références à présenter à de nouveaux prospects. Oracle Sales Tools, enfin, s'appuie sur un concept de réseau social pour permettre le partage de présentations commerciales. Ces produits sont attendus pour le premier semestre 2008. Ces trois nouvelles solutions ont vocation à cohabiter avec l'existant, à l'instar de tous les produits à venir dans la gamme Fusion Applications. « Il y aura une longue période de cohabition (entre les anciennes applications et les nouvelles), a rappelé Larry Ellison. On ne peut pas tout changer d'un seul coup en appuyant sur un bouton. Notre priorité n°1 est d'assurer une coexistence harmonieuse et c'est ce que permet l'architecture orientée services adoptée pour Fusion Applications. » La deuxième priorité d'Oracle, d'après Larry Ellison, c'est de livrer des outils procurant aux clients un gain véritablement mesurable (selon leur demande expresse), et la troisième, d'offrir pour chaque nouvelle application le choix entre une installation interne ou un mode « on demand », c'est-à-dire en ligne et immédiatement accessible. On le voit, les toutes premières offres de Fusion Applications apportent des outils supplémentaires. Il ne s'agit pas encore des offres existantes (e-Business Suite, PeopleSoft Enterprise, JD Edwards EnterpriseOne et World) redéveloppées pour l'architecture SOA. Celles-ci arriveront petit à petit, module par module, assure Larry Ellison. Le PDG maintient la date de 2008 pour l'arrivée des premiers éléments revisités à la sauce SOA. (...)

(16/11/2007 13:42:23)

Capgemini signe son premier contrat Google Apps avec... lui-même

Capgemini montre l'exemple. L'intégrateur, premier à intégrer les Google Apps dans son offre de support, vient de signer son premier contrat reposant sur les applications bureautiques en ligne de Google. La SSII équipera elle-même son centre d'appel du Kansas de l'édition Premier (40 € par utilisateur et par an) des outils du moteur de recherche, qui compilent notamment Document, Gtalk, Gmail et Google Calendar. Lancées en février 2002 dans les jambes de Microsoft Office, les Google Apps ont pour l'heure connu un succès d'estime auprès des entreprises. Les analystes estiment pour leur part la suite Google rudimentaire et pas prête à remplacer une suite bureautique traditionnelle. Un sentiment également partagé par nos lecteurs. Depuis, pour davantage séduire le marché professionnel, Google a renforcé la sécurité de ses applications en intégrant la technologie de Postini. Dans un communiqué, Capgemini explique combien la prise en main des Google Apps est conviviale pour les 165 employés de son centre d'appel et combien son intégration aux outils de GRC (Gestion relation clients) dope la productivité. (...)

(16/11/2007 10:57:46)

Alfresco propose une utilisation professionnelle de Facebook

Alfresco propose ce qu'il nomme « la première application Facebook pour les entreprises ». L'éditeur de logiciel de gestion de contenu Open Source s'appuie sur FBML (Facebook Markup Language), le langage mis à disposition par le réseau social, et sur les API (interfaces de programmation) publiées par Facebook. Les développeurs peuvent en tirer parti, explique Alfresco, pour « partager du contenu sur Facebook, entre clients, partenaires et salariés ». La sécurité est assurée au travers d'une authentification unique. Pour Alfresco, cette intégration avec Facebook est aussi un moyen économique, et dans l'air du temps, de se bâtir une plateforme collaborative reliée à la plateforme de gestion de contenu. L'éditeur cite une étude de McKinsey disant que « 37% des grandes entreprises du secteur informatique interrogées [à l'occasion de cette étude, ndlr] se penchent actuellement sur un projet de ce type ». A l'origine, raconte John Newton, directeur technique d'Alfresco, l'application aurait dû être développée pour MySpace. Puis l'éditeur a pensé que Facebook serait plus attractif pour des utilisateurs professionnels. Certains auraient déjà exprimé leur intérêt. « Pour l'essentiel des organisations qui cherchent à être aussi ouvertes que possible, notamment des communautés religieuses et des administrations. » (...)

(14/11/2007 16:25:10)

Un guide éducatif pour faire carrière dans SAP

Comment optimiser les compétences des experts SAP ? SAP Job Board, spécialiste de recrutement high-tech en ligne, tente de répondre à la question en publiant un guide éducatif à l'attention des candidats, intitulé : « Les dix meilleurs moyens d'assurer votre carrière de technicien SAP ». Ce manuel a été réalisé en collaboration avec Ade McCormack, un consultant en nouvelles technologies, travaillant entre autres pour le quotidien britannique Financial Times. L'ouvrage reflète la préoccupation croissante des employeurs à recruter des professionnels de l'informatique, capables d'adapter leurs compétences aux changements rapides dans les nouvelles technologies. Il commence par présenter une vue d'ensemble du marché informatique actuel, associé aux connaissances spécifiques du marché des applications d'entreprise. Afin d'assurer une expertise SAP « à l'épreuve du temps » aux candidats, le guide expose dix principales recommandations : être présent sur le web (en proposant ses services), améliorer ses services en ingénierie logicielle, développer une expertise dans les technologies partenaires SAP, envisager la gestion de projet, développer ses compétences en conseil, et surveiller de près les programmes d'acquisition de SAP. Le manuel préconise également de se former à l'intégration des systèmes, de prendre connaissance des concurrents de SAP, de développer des compétences d'outils de gestion, et enfin, de devenir expert sur un secteur spécifique. Janet McCormack, responsable marketing du SAP Job Board, commente : « Il est essentiel que les candidats au marché de l'emploi SAP prennent la responsabilité de leur propre employabilité en regardant constamment vers l'avenir, et en veillant à mettre régulièrement à jour leurs connaissances afin de pouvoir répondre à l'expertise qui leur sera demandée d'ici un à trois ou cinq ans. » (...)

(14/11/2007 10:54:52)

Sopra se renforce dans le secteur bancaire avec le rachat de CIBF

Sopra Group annonce l'acquisition de la société nantaise CIBF - Compagnie d'ingénierie bancaire et financière. Cette opération permet à Sopra d'asseoir sa position européenne dans le domaine financier, ainsi que d'étoffer Evolan, sa solution applicative de crédit à la personne, de moyens de paiement et de reporting. CIBF, spécialisée dans l'édition de logiciels de gestion des flux financiers pour les secteurs bancaires et industriels, dispose en effet d'une offre de moyens de paiement fonctionnelle dans le cadre du SEPA. Le « Single Euro Payments Area » est un espace de paiement unique qui verra le jour le 28 janvier prochain et dont l'objectif est d'assurer aux entreprises que leurs paiements en euro s'effectueront aussi facilement et au même coût dans les 31 pays européens que sur leur territoire national. L'acquisition, dont le montant n'a pas été communiqué, devrait être finalisée au début de l'année 2008. CIBF prévoit de réaliser un chiffre d'affaires de 7 M€ en 2007. (...)

(13/11/2007 11:39:29)

OpenWorld : applications composites et virtualisation de serveurs

Pas moins de 42 000 personnes se sont enregistrées cette année pour participer à OpenWorld, la conférence utilisateurs qu'Oracle tient à San Francisco, du 11 au 15 novembre. Pour l'occasion, l'éditeur n'a pas hésité à couper à la circulation automobile une portion de la très passante rue Howard, qui jouxte le Moscone Center, afin d'y planter d'immenses tentes. Lundi matin, devant un auditoire de quelque 8 000 participants, le président Charles Phillips a dévoilé les premières annonces, principalement concentrées sur l'intégration entre applications et sur la toute prochaine disponibilité d'une offre de virtualisation de serveurs. Baptisée Oracle VM, celle-ci exploite une partie de la technologie Open Source de Xen. Téléchargeable gratuitement à partir du 14 novembre, Oracle VM est destinée à agréger les différentes ressources informatiques disponibles. Le produit fonctionne avec une grande partie de l'offre applicative d'Oracle : les progiciels de gestion intégrés E-Business Suite versions 11.5.10 et 12, PeopleSoft Enterprise 9 .0, Oracle Siebel CRM 8, ainsi que l'offre décisionnelle Hyperion 9.3.1. Cette solution de virtualisation s'utilisera avec les bases de données version 10.2.0.3 et 11.1, le serveur d'application maison (v.10gR2 et R3), ainsi qu'avec la console d'administration Oracle Enterprise Manager. Elle s'accompagne d'une offre de support annuelle 24x7 tarifée à 499 $ jusqu'à deux processeurs et à 999 $ pour un nombre illimité de processeurs. Quant aux annonces portant sur l'intégration, elles étendent aux partenaires la portée de AIA (Application Integration Architecture), ensemble d'outils pour constituer des applications composites qu'Oracle a annoncé en avril dernier. Rappelons qu'AIA fournit des packs de processus prêts à l'emploi conçus pour relier entre eux des modules fonctionnels du catalogue d'Oracle et, même, d'offres tiers. L'éditeur a également présenté des packs de processus pré-établis destinés à faciliter l'intégration entre des applicatifs Oracle et SAP pour les entreprises exploitant les deux offres. Parmi les packs déjà disponibles figurent « Siebel CRM to SAP », « Agile PLM to SAP », « Hyperion to SAP », « Oracle Utilities to SAP » (pour les fournisseurs d'énergie) et, enfin, « Oracle communications Billing and Revenus Management to SAP », destiné aux opérateurs de télécommunications utilisant l'offre de facturation d'Oracle. Larry Ellison célèbre les trente ans d'Oracle La veille, c'est Larry Ellison lui-même, co-fondateur d'Oracle en 1977, qui a ouvert l'édition 2007 d'OpenWorld. Pour les trente ans de sa société, il a relaté par le menu, facétieusement, les multiples péripéties qui ont émaillé sa création. La soirée était dédiée à Bob Miner, autre co-fondateur (avec Ed Oates et Bruce Scott), mort en 1994. Larry Ellison a expliqué comment il avait fait le siège du domicile de Bob Miner, pendant des jours, afin de le convaincre de fonder une structure pour développer un logiciel commandé par Precision Instruments. Un premier contrat, signé à un tarif trop bas par les novices qu'ils étaient alors. La base de données fut ensuite conçue à l'occasion d'un contrat avec la CIA, première occasion de mettre un costume pour les nouveaux entrepreneurs ou « au moins, des pantalons », a plaisanté Larry Ellison. Le fondateur a aussi narré les doutes de Bob Miner sur la nécessité d'embaucher un commercial ou encore le recrutement, au poste de directeur financier, du livreur de pizzas qui les sustentaient lors des longues soirées de travail. (...)

(09/11/2007 17:43:25)

L'adoption du SaaS court-circuite les DSI, selon Gartner

Les trois quarts des applications dites « SaaS », c'est-à-dire fournies comme un service sur Internet, ont été achetées par les directions opérationnelles plutôt que par les directions informatiques, a alerté Ben Pring, vice-président recherche de Gartner, à l'occasion du Symposium ITxpo 2007, organisé par le cabinet d'analyse à Cannes (4-8 novembre). Ben Pring y a exhorté les directeurs informatiques à s'impliquer dans la décision d'achat des solutions SaaS. « De toutes façons, le SaaS entre dans vos entreprises que cela vous plaise ou non », a-t-il mis en garde. Si le modèle SaaS a gagné du crédit, c'est notamment parce qu'il attaquait le traditionnel modèle client/serveur. « Il y a quelques vérités gênantes dans notre industrie », a asséné Ben Pring, en qualifiant notamment de « coupable secret du secteur informatique » le nombre important de logiciels achetés par les entreprises, mais inutilisés. Selon lui, par exemple, 65% des licences de logiciels Siebel vendues avant qu'Oracle ne rachète l'éditeur « n'ont jamais été exploitées » dans les grandes structures. Ben Pring rappelle aussi la disproportion du ratio 1/10 indiquant que pour un dollar dépensé dans l'achat des licences, les entreprises en dépensaient dix dans la mise en oeuvre de l'application. Le mode SaaS a apporté un autre choix dans ce monde de « dysfonctionnement profitable », estime l'analyste de Gartner. Et « Salesforce.com a fourni la preuve que ce concept fonctionnait ». Miser sur une plateforme pour recueillir les vrais bénéfices du SaaS Tout en rappelant les nombreux atouts du mode SaaS (la flexibilité, le coût limité aux seules fonctions que l'on utilise, l'absence de maintenance, le déploiement rapide...), il rappelle aussi que la médaille a un revers. Les licences ne constituent plus un actif et les directeurs informatiques ont moins de contrôle sur les applications. Les problématiques de sécurité et les relations avec le fournisseur de l'application peuvent aussi poser des problèmes, de même que l'intégration avec le système d'information interne qui « continuera à être très compliqué », pronostique Ben Pring. Bien que l'on en sache encore peu sur les implications à long terme du modèle SaaS, cette formule peut finalement s'avérer plus coûteuse dans le temps que le modèle traditionnel, comme peut l'être le leasing d'une voiture comparé à son achat. Mais le constat que, quoi qu'il puisse advenir, les entreprises se mettent effectivement au SaaS rend essentielle l'implication des responsables informatiques dans la décision. Leur expertise est nécessaire pour retenir une solution SaaS qui combine à la fois une interface conviviale avec une infrastructure sous-jacente « très robuste et très industrielle », juge Ben Pring. Enfin, l'analyste du Gartner pense que les décideurs doivent miser sur une plateforme SaaS plutôt que sur des applications indépendantes. L'objectif étant là de faciliter l'ajout d'applications fournies par d'autres éditeurs en engageant le minimum d'intégration. « C'est en misant sur une plateforme que l'on récoltera les véritables bénéfices du modèle SaaS », conclut-il. (...)

(09/11/2007 12:21:37)

Grèves SNCF : des navettes vers les 9 salons du Cnit (ERP, BI, Demat, Sisqual...)

Du 13 au 15 novembre, des navettes sont mises en place pour que les visiteurs puissent se rendre, malgré les grèves de transport, sur les neuf salons qui se tiennent au Cnit : ERP, Solutions e-achats, MVI-CRM, Solutions BI, Solutions Finances, Solutions Demat, Solutions Finances, Système Serveurs & Applications, ainsi que Sysqual et Virtual Forum. Dès le mardi soir, à partir de 18 heures, trois départs de cars sont prévus vers Paris et deux autres vers la banlieue Ouest (près de 65 % des visiteurs enregistrés viennent de la Capitale et des Hauts de Seine). Le matin des jours suivants, deux navettes sont prévues au départ de Saint-Germain en laye et d'Issy-les-Moulineaux, à partir de 8 heures, et trois autres sur Paris, à Denfert-Rochereau, au Châtelet et à Opéra Saint-Lazare, à partir de 8 h 30. Le site Web "J'y vais quand même malgré la grève.com" a été ouvert pour fournir des détails sur les différents trajets. (...)

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