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(29/08/2007 11:04:00)

L'analytique a tiré le marché français de la GRC en 2006

La gestion de la relation client (GRC) a fait son retour dans les projets d'investissements informatiques des entreprises françaises. C'est le constat fait par Pierre Audoin Consultants (PAC) qui prévoit un chiffre d'affaires de 1,35 Md€ sur ce marché en 2007, soit une progression de 7,2 % par rapport à 2006. L'an dernier, déjà, avec un chiffre d'affaires de 1,26 Md€, le marché français de la GRC avait enregistré une augmentation de +6,5%, jugée « honorable » par le cabinet d'études, en comparaison avec celle des autres progiciels de gestion métiers. En 2006, ce sont les projets de GRC analytique qui ont tiré le marché (+7,9 % sur ce segment), en particulier les démarches de marketing que PAC replace dans le contexte d'ouverture de certains marchés de masse (télécommunications, notamment) qui exigent de mieux connaître les clients (segmentation de la base clients pour personnaliser le message adressé, détection des comportements atypiques...). Comparativement, les dépenses liées au suivi des opportunités commerciales (GRC opérationnelle, désignée en anglais sous l'acronyme SFA, salesforce automation) ont un peu moins progressé (+5,6 %), mais ces outils sont déjà bien installés dans les entreprises. Troisième volet des applications de GRC, le service client a « crû au rythme moyen du marché », commente PAC, avec des projets misant sur les approches multicanales. Le retour sur investissement en ligne de mire Les coûts d'intégration des projets de GRC ont représenté la moitié du marché global en 2006. Le conseil a pesé 14 % du chiffre d'affaires total et les ventes de licences et la maintenance n'ont représenté que 23 %. Les 13 % restants ont été investis dans l'externalisation. PAC note que les entreprises ont tiré les leçons de l'échec de certains projets « surdimensionnés ». Il est vrai que la GRC a souvent été montrée du doigt dans les grandes entreprises au cours des années écoulées. Désormais, le retour sur investissement (RSI) est toujours évoqué dans les contrats avec les fournisseurs de solutions de GRC. En tête des éditeurs intervenant sur ce marché, en France, on trouve sans surprise Oracle, acquéreur des offres de Siebel et de PeopleSoft. Derrière lui figure SAS qui dispose d'une offre significative de GRC analytique. Vient ensuite Business Objects, porté par les projets analytiques, suivi de deux acteurs français, Cegedim (spécialiste de la GRC sur le secteur de la santé, qui vient de racheter Dendrite) et Coheris. D'ici à 2009-2010, le cabinet d'études prévoit que le rythme pris en 2007 se maintienne pour produire un chiffre d'affaires de 1,5 Md€, à la faveur d'un taux de croissance annuel de plus de 7 %. (...)

(29/08/2007 09:51:33)

GRC : Sugar 5.0, porté par la communauté Open Source

Le développement de Sugar, logiciel de gestion de la relation client (GRC) édité par SugarCRM, profite largement des apports de la communauté Open Source. Sa version 5.0, tout juste présentée en mode bêta, constitue une livraison importante. Elle s'est inspirée des idées et commentaires de plusieurs milliers de personnes, membres de la communauté ou partenaires commerciaux. Et au sein même de SugarCRM, 40 développeurs y ont travaillé pendant dix-huit mois, selon John Roberts, PDG de la société. La version définitive est prévue pour fin septembre, livrée comme d'habitude en trois éditions : l'une gratuite (désormais baptisée Sugar Community Edition et sous licence GPLv3, au lieu de la Sugar Public Licence dérivée de la Mozilla PL) et les deux autres, Professional et Enterprise, assorties d'un support technique payant. Toutes trois peuvent s'utiliser, comme avant, sur site ou en ligne. Logiciel en ligne multi-instances, modules sur mesure, client de messagerie Pour cette version 5.0, l'éditeur a redéveloppé l'architecture « on demand » de la version accessible en ligne. L'application est maintenant multi-instance et chaque client dispose de sa propre instance (auparavant, ils partageaient tous la même instance). Parmi les nouveautés liées à la plateforme figure le référentiel Module Builder qui permet de créer des modules sur mesure en associant divers objets. Les personnalisations de l'interface utilisateur sont enregistrées dans le référentiel de méta-données. Le logiciel bénéficie maintenant d'un client de messagerie Ajax (avec fonctions de recherche, de glisser-déposer, de carnets d'adresses) et de nouveaux tableaux de bord graphiques. Depuis son lancement en 2004, l'application a été téléchargée par quelque 1,2 millions utilisateurs (localisée dans plus de 75 langues). Il existe également une place de marché autour de Sugar, à l'instar de ce qui se fait dans la communauté Salesforce, éditeur de logiciels de GRC en ligne et principal concurrent de SugarCRM. Sur cet espace, Sugar Exchange, 75 fournisseurs proposent environ 260 outils complémentaires. (...)

(28/08/2007 15:11:05)

L'Inde, stratégique pour la croissance de SAP

En un an, SAP a doublé le nombre de ses clients en Inde, passant de 1 000 à 2 000 entreprises depuis août 2006, alors qu'il lui avait fallu neuf ans pour atteindre son millième client dans ce pays. C'est ce qu'indique l'éditeur allemand, numéro un mondial sur le marché des PGI (progiciels de gestion intégrés) après la toute première visite en Inde de sa direction au grand complet, illustrant l'importance croissante du pays pour l'éditeur, tant comme marché que comme site de développement de sa technologie et d'implantation de centre de services. Henning Kagermann, PDG de SAP, cite en exemple l'accélération de sa croissance indienne pour illustrer la capacité de sa société à parvenir à l'objectif annoncé de 100 000 clients en 2010, d'une part en ciblant davantage les PME, très dynamiques sur le territoire indien, et d'autre part en développant de façon très offensive son implantation sur les marchés émergents (en Inde et en Chine notamment). SAP réitère son intention, annoncée en 2006, d'investir 1 Md$ en Inde d'ici 2010. Une partie de ces fonds seront consacrés au renforcement de ses laboratoires de recherche et développement et de ses centres de services et de support, l'Inde représentant maintenant une plaque tournante stratégique pour SAP dans ce domaine, avec un centre à Bangalore (ouvert en 1998) et un autre à Gurgaon (inauguré en 2006). Ce dernier fournit à l'éditeur et à ses clients internationaux une gamme complète de services sur de multiples catégories de produits. Henning Kagermann précise que les laboratoires indiens de SAP sont les plus importants centres de R&D et de support pour l'éditeur hors d'Allemagne. (...)

(28/08/2007 12:35:43)

Microsoft prévoit son gestionnaire de configuration pour novembre

Le successeur de Systems Management Server 2003 est prêt et il arrivera en novembre prochain. Désormais baptisé System Center Configuration Manager 2007 (SCCM 2007), il est déjà disponible en téléchargement pour les abonnés Technet. Ce logiciel s'inscrit dans le plan à plus grande envergure de Microsoft : le Dynamic Systems Initiative (DSI), qui vise à avoir une plateforme d'administration commune pour tous les produits Microsoft. La version du SCCM disponible sur Technet présente déjà des points intéressants, comme la possibilité de démarrer et réparer à distance un PC éteint, ou l'installation d'une quarantaine forçant les PC nouvellement installés sur le réseau à mettre complètement à jour leurs systèmes pour avoir accès au réseau. (...)

(28/08/2007 08:53:52)

Avec son viewer gratuit, BO veut propager le format de Crystal Reports

Depuis la mi-août, Business Objects propose de télécharger un logiciel de visualisation gratuit pour consulter et explorer des rapports créés avec Crystal Reports, diffusés dans leur format natif (.rpt). En général, lorsqu'un créateur de rapports Crystal diffuse un document, il s'agit d'un rapport statique que l'on peut visualiser et imprimer tel quel. Outre la possibilité d'ouvrir le fichier sans l'application d'origine, Crystal Reports Viewer XI permet au destinataire du rapport Crystal d'explorer les données qu'il contient et de constituer seul de nouvelles présentations, sans faire appel au créateur du rapport. Il s'agit d'un logiciel certainement attendu par une partie des utilisateurs de Crystal Reports puisqu'on peut déjà trouver, dans la sphère des développeurs, des outils servant à visualiser les fichiers produits par ce logiciel de création de rapports, très répandu. En revanche, dans les espaces de discussion sur le Web, d'autres utilisateurs jugent inutiles ce visualiseur de rapports qui ne permet pas de rafraîchir les données. Quoi qu'il en soit, pour Business Objects, ce lancement a sans doute une plus large portée. « Il me semble qu'avec cet outil de visualisation, on assiste à une nouvelle étape du combat entre Microsoft et Business Objects, estime de son côté Philippe Nieuwbourg, fondateur de Decideo, un site spécialisé sur l'actualité des solutions décisionnelles. La réussite d'un logiciel ne dépend aujourd'hui plus tant de ses fonctions que de la diffusion de son format. Il suffit de regarder les grandes manoeuvres autour du format "XML" de la nouvelle suite Microsoft Office pour comprendre que le format d'un document est plus stratégique que les fonctions du logiciel qui a servi à le créer. » Et de rappeler l'exemple d'Adobe, qui a su imposer son format PDF en diffusant gratuitement son outil de visualisation (Adobe Reader), tout en réalisant un chiffre d'affaire important avec Adobe Acrobat. « Microsoft a parfaitement compris cela et sa percée dans le décisionnel va probablement l'amener à tenter d'imposer par la pratique ses propres formats, considère encore Philippe Nieuwbourg. Business Objects doit également tenter d'imposer son format ou au moins permettre à plusieurs formats de se développer en parallèle. Cette annonce me semble donc plus une question de format qu'une question d'outil. » (...)

(27/08/2007 10:06:11)

Gestion de la performance : les rachats remodèlent le marché

Le marché des suites applicatives destinées à gérer la performance économique d'une entreprise (CPM, corporate performance management) a été sensiblement remodelé par les acquisitions qui se sont opérées sur ce secteur au printemps dernier. A la faveur d'une étude, tout juste sortie par le cabinet d'études Gartner, les éditeurs Oracle et Business Objects annoncent être désormais premier et troisième sur ce marché grâce aux rachats qu'ils ont respectivement effectués, Hyperion pour l'un, Cartesis pour l'autre (*). Or, l'étude de Gartner porte sur 2006, année pour laquelle le cabinet évalue à 1,5 Md$ le marché des applications de CPM, en progression de 20,2 % par rapport à l'année précédente. Oracle et Business Objects ont donc réévalué leur nouvelle position en tenant compte de la part de marché de leurs acquisitions respectives. En 2006, Hyperion était en tête, avec 20,3 % de parts de marché correspondant à un chiffre d'affaires de 315 M$ dans le domaine du CPM. Suivait Cognos avec 8,8 % (137 M$), SAP avec 8,1 % (125,7 M$) et Oracle avec 7,7 % (119,8 M$). Désormais, Oracle dit totaliser 28 % de parts de marché et Business Objects 8,9 %. Entre les deux, SAP, fort du rachat d'Outlooksoft, s'octroie 10,9 % de parts. Gartner inclut dans le CPM les processus utilisés pour gérer la performance d'une entreprise (budgétisation, planification, prévisions financières), les méthodologies associées (comme la balanced scorecard ou la gestion par la valeur) et les métriques utilisés pour mesurer la performance en fonction des objectifs stratégiques et opérationnels. Les logiciels de consolidation financière et statutaires font partie des outils du CPM, ainsi que les applications analytiques apportées par les solutions décisionnelles, avec leurs outils d'analyse multidimensionnelle, de reporting et de tableaux de bord. (*) En 2005 et 2006, BO avait également racheté SRC Software et ALG Software, deux éditeurs spécialisés sur le CPM. (...)

(24/08/2007 10:17:36)

Ingres lance son offre décisionnelle basée sur Icebreaker

Ingres vient de lancer son offre décisionnelle Icebreaker BI Appliance. L'originalité de la solution réside dans le regroupement d'une base de données (Ingres 2006), d'un système d'exploitation (Rpath Linux) et de la suite décisionnelle en Open Source de JasperSoft (outils de reporting, fonctions d'analyse multidimensionnelle et tableaux de bord). La forte intégration entre ces trois composantes amène Ingres à qualifier son offre « d'appliance », même si celle-ci n'inclut pas de matériel (le mot appliance s'utilise habituellement pour désigner des solutions associant matériel et logiciel, et exclusivement destinées à une application bien spécifique). L'éditeur étudie néanmoins la possibilité de fournir Icebreaker BI avec un serveur, si ses clients le réclament. Il a déjà réalisé des tests avec IBM, HP, Dell et Sun. D'autres appliances décisionnelles, incluant cette fois le matériel, ont déjà été lancées depuis le début de l'année. IBM, par exemple, s'est associé avec Business Objects pour proposer une offre de ce type. De son côté, Cognos a proposé Cognos Now, une solution de tableaux de bord commercialisée à la fois sous la forme d'un package matériel/logiciel et en mode hébergé, comme un service en ligne (modèle SaaS, software as a service). 45 000 $ par an pour un ou deux processeurs Ingres propose sa solution Icebreaker BI Appliance d'Ingres à 45 000 $ par an pour un ou deux processeurs, dans une configuration pouvant gérer jusqu'à 2 To de données, ce qui conviendra à des PME, ainsi qu'aux départements de plus grandes entreprises. Les logiciels sont livrés en version anglaise mais les utilisateurs hexagonaux pourront obtenir un support en français. L'assistance de premier et deuxième niveau est assurée par Ingres. Jaspersoft prendra en charge les questions plus complexes sur le décisionnel. (...)

(23/08/2007 12:14:00)

SAP va présenter A1S le 19 septembre à New-York

L'éditeur SAP a choisi la date du 19 septembre pour en dire plus sur A1S, l'application de gestion à la demande qu'il prépare en ce moment pour les PME. Une offre dont il a déjà beaucoup parlé depuis le début de l'année, sans jamais en faire l'annonce officielle. La présentation aura lieu au Theatre Nokia de Times Square, à New-York, en présence d'Henning Kagermann, PDG de SAP, et de Léo Apotheker, PDG délégué. Tout près d'eux se tiendront Peter Zencke, membre du conseil d'administration de SAP, qui dirige les activités de recherche, et Hans-Peter Klaey, président de la division PME, ainsi que d'autres responsables. Cette fois-ci, les clients et partenaires auront droit à des démonstrations de l'application en ligne. Certains d'entre eux seront même mis à contribution pour apporter leur témoignage. Une offre proposée « comme un service » Rappelons que A1S est une offre totalement nouvelle, basée sur l'infrastructure middleware NetWeaver de l'éditeur et prévue pour début 2008. Il s'agit de la troisième solution constituée pour les PME par le fournisseur allemand, après les progiciels SAP Business One et SAP All-in-One. Cette offre, qui sera proposée « comme un service hébergé », se prépare sur fond de marché SaaS (software as a service) en plein développement. Gartner vient tout juste d'estimer une progression de 21 % sur le secteur des applications d'entreprise en ligne pour 2007. A grands traits, au cours des derniers mois, SAP a décrit à plusieurs reprises A1S comme une suite de processus de gestion accessibles en ligne (incluant des fonctions pour la vente, la comptabilité/finance et les achats) qu'il hébergera lui-même dans ses centres de données. Mais l'éditeur a été plus avare de renseignements sur sa conception technique, son prix ou encore son nom. Interrogé sur le choix de la date (19 septembre) pour la présentation de A1S, un porte-parole de SAP a indiqué qu'il avait fallu prendre en compte les disponibilités des différents participants. Pourtant, hasard du calendrier ou non, ce jour coïncide avec la dernière journée de Dreamforce (à San Francisco), la conférence annuelle de l'éditeur Salesforce. L'emblématique acteur du modèle SaaS (software as a service) et l'un de ses plus ardents promoteurs constitue aussi l'un des principaux concurrents de SAP sur les offres hébergées de gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM), aux côtés de Microsoft Dynamics Live CRM, notamment. (...)

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