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(06/10/2010 10:30:35)
PAC constate une légère reprise des investissements IT
Selon l'édition 2010 de l'enquête « DSI 250 » de Pierre Audoin Consultants, les budgets d'investissement des DSI pourraient connaître une certaine embellie, même si elle est très relative. En effet, 20% des répondants ont déclaré aux consultants de PAC que leur budget serait en croissance cette année. Cette bonne nouvelle est toute relative puisque la pression sur les coûts est encore une priorité pour 2/3 des répondants.
Assez logiquement, il en résulte un fort recours à la sous-traitance et, notamment, à l'off-shore. Mais la baisse brute des prix affichés est heureusement insuffisante : plus des deux tiers des répondants tiennent en premier lieu compte de la qualité du service, notamment en terme de respect des engagements, pour choisir un prestataire. De plus, des modèles émergents, comme le recours à l'Open Source ou le SaaS, commencent à prendre de plus en plus d'importance. La moitié des sondés reconnaissent ainsi utiliser des logiciels libres. Il n'est pas dit si les autres ont vraiment été voir le moindre serveur de leur SI : l'essentiel est la prise de conscience.
Par ailleurs, des produits plutôt orientés grands comptes, comme les PGI, sont clairement en train de se généraliser. (...)
La BPOS de Microsoft s'ouvre aux Office Web Apps
Sans ces applications, BPOS reste à la traîne derrière ses autres concurrents, notamment les Google Apps qui offrent par défaut des applications de productivité bureautique avec la suite collaborative et d'échange cloud. « Nous allons certainement davantage parler des Office Web Apps comme élément de la suite BPOS et des futures fonctionnalités que cela apporte », a déclaré Betsy Webb, directeur général de la division Microsoft Online Services.
Les Office Web Apps donnent accès à des versions hébergées de Word, Excel, Powerpoint et OneNote, relativement similaire à la suite connue sur PC. Considérés comme des « compagnons en ligne » par la firme de Redmond, ces services sont conçus pour permettre aux utilisateurs « d'accéder, d'afficher et de modifier » des documents via un navigateur web. À l'heure actuelle, Office Web Apps est disponible gratuitement pour les particuliers dans le cadre des services en ligne Windows Live. Elles sont aussi livrées avec la suite gratuite de communication et de collaboration Live@edu réservée à l'éducation. Les Office Web Apps, recensant environ 20 millions d'utilisateurs, sont également accessibles aux entreprises qui disposent des versions desktop d'Office ou de SharePoint 2010.
Toujours selon Betsy Webb, l'absence des Office Web Apps au sein de BPOS n'a pas eu de conséquence quant à l'adoption de la suite par les entreprises, qui inclut Exchange Online, Office SharePoint Online et Microsoft Office Live Meeting. « Le nombre de postes BPOS a plus que triplé depuis le début de l'année 2010, » a-t-elle affirmé, sans dire précisément combien de licences avaient été vendues au total. « Il y a 40 millions de postes Microsoft Online Services payés, et le BPOS en fait partie, » souligne-t-elle. La firme de Redmond a mis en avant ses gros clients convaincus par le BPOS, dont Volvo (18 000 utilisateurs), Du Pont (58 000 utilisateurs), l'Australie Spotless Group, Sunoco et Godiva.
Les analystes sous le charme
« Microsoft a créé une bonne dynamique pour favoriser l'adoption de son BPOS, mais il est loin d'être le seul, » a reconnu Michael Osterman, analyste chez Osterman Research. « De toute évidence Microsoft réussit très bien avec BPOS. L'entreprise a gagné une impressionnante clientèle et semble poursuivre dans son élan sur le secteur professionnel - gouvernement compris - et dans l'éducation, » a t-il ajouté. «Cela dit, Google gagne aussi du terrain avec ses Apps, LotusLive se porte bien, et Cisco devrait assez bien s'en tirer avec WebEx Mail quand il sera disponible», a t-il déclaré. « L'utilisation d'applications en mode Software-as-a-Service (SaaS) pour les échanges et la collaboration en environnement de travail est une friche en plein développement, et on peut s'attendre à une croissance exponentielle de ces services dans les prochaines années, même si la plupart des déploiements continuent à se faire sur site, » a-t-il expliqué. Pour Rebecca Wettemann, analyste chez Nucleus Research, « l'avantage de Microsoft, repose sur la popularité de ses interfaces et de ses outils logiciels, déjà présents dans de nombreuses entreprises, sans compter les passerelles existantes entre son Cloud et les logiciels sur site, » a-t-elle estimé. « Je pense que les entreprises qui cherchent à passer à un environnement collaboratif plus efficace considèreront l'offre mixte de Microsoft comme un vecteur de croissance, en raison aussi de son expérience dans les services collaboratifs en milieu professionnel, » a-t-elle ajouté.
Matthew Cain, analyste chez Gartner, fait remarquer que « le marketing de Microsoft a été particulièrement agressif pour vanter son BPOS, le faisant notamment adopter au moment du renouvellement de nombreux contrats d'entreprise». Il ajoute que « l'éditeur a profité de la forte demande en services cloud pour imposer son BPOS, ». « L'inconvénient, c'est que le BPOS est toujours basé sur la famille de produits 2007, » précise-t-il, ajoutant que Gartner s'attend à une mise à jour du BPOS vers les versions 2010 au début de 2011.
Microsoft a également rendu public le nom de nouveaux clients pour Live@edu, dont plusieurs écoles du California State University, l'Université du Montana, la Northern Kentucky University, le Collège of DuPage, la Washington University de St. Louis et l'Université d'Aston au Royaume-Uni. Au total, plus de 10 000 institutions scolaires et plus de 11 millions d'utilisateurs finaux ont accès à Live@edu, qui inclut Office Web Apps, Windows Live SkyDrive et Outlook Live.
Syntec Informatique aide les éditeurs à passer au mode locatif
Pour aider ses membres éditeurs de logiciels à migrer leur modèle économique vers la location (SaaS - Software as a Service), le comité éditeurs de Syntec informatique annonce la création d'une offre baptisée PLE (Pack Location Editeurs), A partir d'aujourd'hui, et par l'intermédiaire de ce pack, un éditeur pourra proposer l'utilisation de son logiciel moyennant une redevance, tout en percevant immédiatement le montant total de la licence. De plus, et dans la mesure où il couvre un périmètre plus large que le SaaS, le PLE peut parfaitement convenir pour des typologies différentes. « Ce pack s'adresse à tous les éditeurs qui souhaitent louer une licence », indique David Vandenborght, délégué au comité éditeurs de Syntec Informatique et d'ajouter : « sur mesure, il prend aussi bien en charge des dossiers 100% logiciels que des services relatifs à la maintenance ou au matériel ».
Création d'un contrat unique
Pour ce faire, le comité éditeurs de la fédération professionnelle a négocié pour ses adhérents auprès des banques, en partenariat avec le cabinet ASF Consulting, un package contractuel. « Nous avons demandé à une quinzaine d'établissements financiers partenaires de créer un contrat unique, de façon à ce que nos adhérents éditeurs ne se perdent pas dans les méandres des contrats financiers », souligne le délégué. Ainsi, les éditeurs ne perdront pas la main sur les contrats des refinanceurs et verront une valorisation immédiate de leur trésorerie, une disposition particulièrement intéressante pour les petites sociétés d'édition.
(...)
Truffle 100 Europe : hausse des dépenses R&D du secteur logiciel en 2009
Le chiffre d'affaires des cent premiers éditeurs européens de logiciels aura tout de même progressé de 8,4% en 2009, à 27,1 milliards d'euros, par rapport à 2008, en ne tenant compte que des revenus générés par leurs activités liées aux logiciels* (ventes de licences, maintenance, services associés). C'est ce qu'a fait apparaître la mise à jour du classement Truffle 100 Europe publiée la semaine dernière par Truffle Capital. La progression s'est pourtant opérée dans un contexte économique difficile où les numéros 1 et 3 de la liste, l'Allemand SAP (40% du Top 100 à lui seul) et le Français Dassault Systèmes, ont vu baisser leurs ventes de licences. Entre 2008 et 2009, leur chiffre d'affaires a effectivement reculé de 7,8% et 6,26%. Deuxième de la liste, le Britannique Sage a en revanche progressé, à 1,61 milliard d'euros, bien loin toutefois des 10,67 milliards d'euros du numéro 1.
Du fait du recul subi par SAP et Dassault Systèmes, le Top 3 du Truffle 100 Europe n'a pesé que 50% du Top 100 en 2009, quand il grimpait à 55% l'année précédente. A noter, tout de même, l'arrivée du Britannique Autonomy à la cinquième place. Ce spécialiste des solutions de recherche a plus que doublé son envergure, en passant de 362 à 820 M€ de chiffre d'affaires, avec le rachat d'Interwoven (solutions de gestion de contenus).
Le secteur reste assez concentré sur son Top 10
Néanmoins, la concentration du secteur reste de mise puisque les dix premiers éditeurs européens ont représenté à eux seuls 65% du total, contre 67% en 2008. Quant au Top 50, son poids reste inchangé : les cinquante premiers éditeurs génèrent toujours 91% du chiffre d'affaires total. A noter qu'en 2009, 47 sociétés ont engrangé un chiffre d'affaires supérieur à 100 millions d'euros, soit six de plus que l'année d'avant.
Le Top 100 comporte 72 acteurs réalisant plus de 50 M€, les 28 autres affichant entre 27,5 M€ (le 100e du classement est le Français Esker qui développe des solutions de dématérialisation) et 47,6 M€ (encore, un Français, Lectra, spécialisé dans les logiciels de conception et de gestion de la fabrication de produits à base de textile - mode, ameublement, automobile, aéronautique...).
En 2009, les bénéfices réalisés par ce Top 100 n'auront augmenté que de 2,7%, à 3,7 milliards d'euros, par rapport à 2008.
Il faut attirer les étudiants vers l'industrie du logiciel
Sur fond de crise économique, les acteurs de l'industrie européenne du logiciel ont malgré tout augmenté leurs investissements en R&D, d'un peu plus de 5%, à 3,829 milliards d'euros. Le Top 100 a également porté à 54 000 le nombre d'employés en R&D à l'oeuvre dans ses rangs en 2009 (contre 52 000 en 2008). Toutefois, pris un par un, les éditeurs ont évolué différemment. Ainsi, les chiffres publiés par Truffle Capital font apparaître une réduction de l'effectif R&D de SAP : 15 547 personnes en 2008 contre 14 813 seulement en 2009. Même constat pour Sage qui est passé de 2 314 personnes à 2 248 en un an. Par contre, Dassault Systèmes, malgré la baisse de son CA, a ajouté cent personnes à son effectif R&D, l'amenant à 3 600 personnes en 2009.
Karl-Heinz Streibich, PDG de l'éditeur allemand Software AG, a souligné l'importance de promouvoir auprès des étudiants de deuxième et troisième cycle le dynamisme de ce secteur. Sa société figure à la quatrième place du Truffle 100 Europe, avec un CA de 847,4 M€ en 2009 (mais qui a d'ores et déjà passé la barre du milliard d'euros avec le rachat d'IDS Scheer). Le dirigeant aimerait que l'industrie du logiciel figure comme « un premier choix » parmi les jeunes gens les plus versés dans l'innovation. Pour lui, ce domaine d'activité est un élément essentiel de l'avenir économique européen. Outre Rhin, la région Rhin-Main-Neckar abrite d'ailleurs la plus importante densité d'éditeurs (plus de 5 000 sociétés impliqués dans le logiciel) avec un chiffre d'affaires de 12,5 milliards d'euros. La région Paris Ile-de-France est la deuxième, devant Londres qui arrive en troisième position (En savoir plus : http://www.truffle100.com/2009/software-clusters-in-europe.php).
(*) En incluant les autres activités (services d'intégration par exemple pour Sopra Group), le chiffre d'affaires total de ces cent sociétés s'est élevé à 37,24 milliards d'euros en 2009, contre 31 milliards d'euros en 2008.
Le CXP sort une étude sur les ERP pour les organisations commerciales
Le Centre d'expertise des progiciels (CXP) annonce la sortie d'une étude sur les ERP qui cible les entreprises commerciales. Outre le noyau de base d'un ERP, ce rapport aborde l'analyse des processus et des fonctions commerciales. Il passe en revue l'offre logicielle adaptée à ce type d'organisation, avec l'objectif de guider les responsables informatiques et chefs de projets dans le choix du produit en fonction de leurs besoins (solutions verticales, utilisation du produit à la demande...). L'étude définit les points clés de différenciation des offres en présentant une typologie de celles-ci.
Analyse des processus de commandes et gestion des référentiels
Le rapport du CXP a choisi de faire un zoom sur les fonctions proposées pour l'administration des ventes : analyse des process « order to cash » (processus de commande), gestion des référentiels. Il détaille les offres d'éditeurs tels qu'Agresso, Divalto, Generix Group, Lawson, Microsoft (Dynamix AX et Dynamix NAV), Oracle (E-Business Suite), Ordirope, Qualiac, et Sage. Une étude sur les ERP s'appliquant aux entreprises du monde de l'industrie sera disponible prochainement.
ESDI étend le SaaS à la ToIP
Depuis six ans, ESDI propose des ERP et du CRM (gestion des notes de frais par exemple) en mode Saas. Ce mode de distribution représente d'ailleurs le tiers de son chiffre d'affaires annuel (12 millions d'euros en 2009). « Nous réalisons du Saas de bout en bout, c'est ce qui fait notre force sur le marché » souligne Thierry Vonfelt, directeur cette activité chez ESDI. La société propose en effet non seulement l'accès à une plate-forme mais aussi un centre d'exploitation et un centre d'appels pour le client final.
Dans ce cadre, ESDI lance une nouvelle possibilité de travailler en Saas : la téléphonie. Il le fait avec Completel pour l'accès réseaux. Le but étant de supprimer tout investissement matériel dans l'entreprise et de louer les fonctions liées à la téléphonie. Les entreprises gagneront en souplesse pour le pilotage de leurs télécoms. La ToIP apportant en plus la gratuité des communications inter-sites (quand l'entreprise dispose d'agences par exemple), des gains sur la gestion de la téléphonie et sa maintenance. L'intégration prend de 2 à 6 semaines, suivant l'accès au réseau téléphonique.
ESDI est co-fondateur du Forum Saas au sein du club alliances d'IBM.
Microsoft propose des tableaux de bord pour rassurer ses clients BPOS
Avec ces outils, les clients BPOS peuvent plus facilement vérifier les performances et la disponibilité des applications de la suite, notamment dans le cas d'une défaillance des centres de calcul de Microsoft. "Nous franchissons aujourd'hui une étape dans notre prestation puisque le Microsoft Online Service Health Dashboard livre des informations rapides, précises et ciblées sur l'état du service BPOS," a écrit Morgan Cole, un officiel de Microsoft, dans un blog. L'annonce faite mardi arrive environ trois semaines après que l'éditeur de Redmond ait présenté ses excuses pour plusieurs pannes ayant affecté l'accès aux applications BPOS fin août et début septembre. La suite BPOS Standard, qui comprend Exchange Online, Office SharePoint Online, Office Communications Online et Office Live Meeting, hébergée par Microsoft et vendue par des partenaires, est fournie avec une garantie de disponibilité théorique de 99,9 %.
La démarche de Microsoft suit celle d'autres vendeurs de solutions logicielles hébergées, comme Salesforce.com et Google, qui offrent déjà des tableaux de bord d'état pour leurs applications. Avec une différence cependant : le tableau de bord Trust de Salesforce.com et le tableau de bord Google Apps Status sont accessibles en ligne pour tous les utilisateurs, alors que les trois dashboard BPOS de Microsoft - disponibles pour les régions Amérique, Asie-Pacifique, Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) - ne sont accessibles qu'aux clients possédant un identifiant de connexion.
Une demande des clients
Sur son blog, Morgan Cole a expliqué que la principale raison pour laquelle Microsoft avait lancé ces tableaux de bord BPOS reposait sur une demande générale de la part de ses clients de disposer de davantage de'informations quant à la disponibilité des applications hébergées. Cela semble en effet une préoccupation partagée par l'ensemble des responsables informatiques dont les entreprises ont adopté la solution du logiciel hébergé par les vendeurs. Car, lorsque les applications deviennent indisponibles en raison de problèmes au niveau des datacenters des vendeurs, les responsables informatiques se trouvent confrontés aux plaintes des utilisateurs finaux avec peu ou pas de moyen de remédier à la situation.
Le fait d'être informés de la gravité, de l'étendue et de la nature de l'interruption de service, et de disposer d'estimations sur le temps que prendra la remise en route, permet aux administrateurs de relayer l'information à leurs utilisateurs finaux et de les tenir informer au fur et à mesure de l'avancée des opérations de maintenance. Même si la question de la performance et de la disponibilité reste pour les clients des vendeurs d'applications hébergées une préoccupation importante, le modèle de provisionnement continue à gagner en popularité. Il a l'avantage de libérer les services informatiques des contraintes de la maintenance et de réduire les dépenses en matériel pour les entreprises.
(...)(29/09/2010 13:55:13)Un PGI pour les PMI chez Wavesoft
Outre le fait qu'elle apporte une trentaine de fonctions supplémentaires aux différents modules(*) qui exploitent sa BDD centrale, Wavesoft V14 se décline pour la première fois dans une version pour les Petites et Moyennes Industrie de 10 à 100 personnes.« L'arrivée d'un module production dans notre gamme nous permet d'entrer dans l'atelier », résume Eric Orenes, le directeur commercial de Wavesoft.
Tel qu'il a été conçu, ce module permet aux utilisateurs de procéder à quatre types d'opérations métiers : la gestion des données techniques (nomenclatures, gammes de fabrications...) ; le calcul des besoins selon les règles MRPII (Management Ressource Planning) ; le calcul et la simulation des prix de revient ; le suivi des temps et des productions réels dans l'atelier.
Un outil métier adapté à la prospection commerciale
Jusqu'ici, Wavesoft évoluait sur les marchés du négoce et des services. Mais le potentiel du segment de l'industrie l'a incité à faire évoluer son offre. « Ce marché est ciblé par une population très atomisée de petits éditeurs. Ils proposent en général des outils développés il y a 15 a 20 ans avec une vision surtout technique des choses », indique Eric Orenes. Or, selon ce dernier, les petites industries ont également besoin d'un outil métier qui leur permet aussi d'organiser la prospection de nouveaux clients comme le font communément les entreprises du négoce.
Pour l'éditeur, le lancement d'un produit adapté n'est que le premier pas vers sa prise de position en tant qu'éditeur pour les PMI. Misant exclusivement sur une approche indirecte, la société doit encore recruter de nouveaux partenaires connaissant les métiers de l'industrie. « Nous ambitionnons de travailler avec 30 partenaires répondant à ce profil sur la période 2010-2011 », indique Eric Orenes.
L
(*)CRM, gestion commerciale, gestion comptable, module point de vente, décisionnel, télétransmission bancaires, automate de transfert entre le back office et les sites marchands. (...)
Sortie de crise en vue chez l'éditeur Infor
Infor réunit ses partenaires distributeurs EMEA à Annecy ce 29 septembre. 370 d'entre eux seront au rendez-vous, contre 250 l'an passé (la conférence se tenait à Milan). Tous les pays de la zone (qui va de la Scandinavie à l'Afrique du sud, de l'Irlande à la Russie) sont représentés. Thème principal : la croissance. « Nous avons traversé ces dix huit derniers mois sans trop de dommages, nous explique Jean-Philippe Pommel, vice président channel et alliances EMEA de Infor, nous voulons maintenant, atteindre 15% de croissance, une croissance agressive ».
Ces 15% seront possibles avec deux boosters : l'accord signé avec Microsoft et l'extension géographique de l'éditeur et de son channel. L'accord avec Microsoft, signé début juillet, entre pleinement en application pour les partenaires. Ils vont pouvoir distribuer les produits Microsoft intégrés dans les solutions d'Infor : SharePoint 2010, Silverlight, SQL Server, Single-On service, Windows Server.
Trois pays émergents ciblés
Quant à l'extension géographique, elle porte sur les pays émergents, avant tout l'Afrique du sud, le moyen Orient avec Bahrein, la Russie. Eux permettront d'arriver aux 15%de croissance prévus, les pays comme la France, l'Allemagne, la Grande-Bretagne étant plus en retrait.
Côté produits, Infor va insister auprès de ses partenaires sur le Saas et l'ERP pour PME. Le Saas s'ouvre aux partenaires avec deux premiers produits ; la gestion d'actifs (enterprise asset management) et la gestion des frais (expensive management). Le cloud d'Infor s'appuyant sur la plate forme Azur de Microsoft.
L'offre ERP, elle, est centrée sur les entreprises réalisant entre 5 et 20 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel, avec Visual ERP. Infor donne ainsi à ses partenaires la possibilité de s'adresser à des PME de plus petite taille. Cet ERP offre aussi un axe de recrutement à Infor.
Illustration : Infor EAM Business Edition, crédit D.R. (...)
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