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(16/09/2010 16:50:45)

La suite BI d'Actuate en route vers le cloud

Voilà déjà six ans que l'éditeur de solutions décisionnelles Actuate a créé son projet Open Source basé sur Eclipse. Celui-ci rassemble des outils de reporting et de visualisation de données pour bâtir des applications web en Java et J2EE. Selon Actuate, le nombre de développeurs travaillant avec ces technologies, en particulier avec le logiciel BIRT design, aurait maintenant dépassé les 750 000.

La suite intégrée ActuateOne que l'éditeur s'apprête à livrer s'appuie sur cet environnement de conception qui peut récupérer des données provenant de sources disparates (bases relationnelles, XML, web services, applications, fichiers plats, documents, flux d'impression, cubes multidimensionnels, datawarehouses...). Elle inclut les versions 11 des produits qu'Actuate a développés au-dessus de BIRT (Business Intelligence Reporting Tools), ainsi que la dernière mise à jour du serveur de rapports, iServer, qui supporte des déploiements en volume et qui peut s'installer en interne ou dans le cloud.

Analyse en mémoire pour l'utilisateur métier

La suite ActuateOne servira à générer du reporting ad-hoc, créer des tableaux de bord interactifs et effectuer des analyses en mémoire. Elle inclut les logiciels BIRT 360 et BIRT Data Analyzer, le premier mettant entre les mains des utilisateurs les outils pour constituer des tableaux de bord sans recourir aux équipes informatiques. Le logiciel utilise notamment Google Gadget, ce qui permet aussi aux éditeurs indépendants de créer des applications mashup.
L'outil OLAP Data Analyzer apporte de son côté la puissance de l'analyse croisée à travers une interface intuitive conçue pour faciliter l'exploration et la découverte d'informations.

Actuate BIRT Data Analyzer
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Les utilisateurs peuvent aussi créer de petites applications (widgets) AIR en Flash pour visualiser des données, et exporter sous forme de fonctions Excel des champs calculés et des données agrégées. Ils produiront également des documents Word, PowerPoint, PDF et XML.

Optimiser le traitement en réaffectant les instances

La suite ActuateOne s'appuie sur le serveur de rapports BIRT iServer pour gérer les déploiements, en interne et sur des clouds, privés ou publics, ou encore dans des environnements de cloud hybrides. La version 11 du serveur intègre des capacités d'évolutivité (baptisées Elastic Clustering) permettant de réassigner, ajouter ou supprimer une image 'stateless' de BIRT iServer, de façon dynamique et automatique au sein d'un cluster sans interrompre les traitements. Tous les paramètres de l'image sont configurés de façon externe, afin que l'instance mise en place prenne en charge un rôle prédéfini dans le cluster. La consommation des ressources s'en trouvera optimisée. Actuate cite en exemple un cluster optimisé pour un traitement en volume pendant la nuit tandis qu'il se concentrera, pendant la journée, à l'analyse des données en temps réel en mémoire pour l'alimentation des tableaux de bord.

L'éditeur souligne que l'architecture de BIRT iServer 11 supporte les déploiements multitenants et que des outils permettent aux clients de reconfigurer leurs environnements à tout moment au fur et à mesure de l'évolution de leurs besoins pour supporter tout type d'environnement virtualisé. Les capacités d'administration couvrent les déploiements en mode SaaS, PaaS, interne multi-tenant ou sur des systèmes départementaux multiples.

Plusieurs modes de tarification sont associés à la suite ActuateOne, facturée à l'utilisateur nommé ou sur la base d'un nombre illimité d'utilisateurs par CPU. D'autres modèles de licences, par 'unité de travail', sont également prévus pour les environnements de cloud.

(...)

(16/09/2010 14:50:21)

IBM s'offre le spécialiste des risques OpenPages

Le logiciel d'OpenPages effectue le traitement de données relatives à la conformité et à la gestion des risques - y compris le risque opérationnel, la performance financière, les risques informatiques et les audits internes - afin de livrer une photographie d'ensemble de l'entreprise, notamment pour faire apparaître le niveau éventuel d'exposition de l'entreprise et la façon dont les risques pourraient influencer les performances futures. Cette solution peut mettre en évidence les incohérences entre les risques engagés et les objectifs de performances envisagés. Par exemple, un fabricant qui s'est fixé pour objectif de réaliser des recettes très ambitieuses sur un marché émergent peut se trouver en non-conformité avec les règlements régionaux ou avec les dépassements de coûts associés à une activité d'affaires menée sur un territoire éloigné. "Le logiciel OpenPages permet dans ce cas d'avoir une vue d'ensemble sur les opportunités et les risques liés à un projet d'expansion," a déclaré IBM.

Une étude récente menée au niveau international par la firme d'Armonk  auprès de 1 900 directeurs financiers et de hauts responsables financiers a montré que deux entreprises sur trois avaient dû faire face à des événements présentant des risques significatifs au cours des trois dernières années. Les personnes ayant répondu au sondage ont indiqué que la gestion du risque était devenue une priorité dans 93% des cas depuis 2005.

Les produits OpenPages s'intégreront au portefeuille de logiciels spécialisés dans l'analyse décisionnelle d'IBM. Au cours des quatre dernières années, Big Blue a investi plus de 11 milliards de dollars dans son logiciel d'audit des entreprises et dans les services associés, des secteurs qui ont connu une croissance de 14 % en terme de revenus au second trimestre de 2010. IBM a déjà acquis plusieurs sociétés impliquées dans ce domaine, dont Cognos, Coremetrics, Guardium et Unica. "Un risque imprévu peut se traduire en pertes sur le compte de résultat d'une entreprise et peut nuire à sa réputation," a déclaré dans un communiqué Rob Ashe, directeur général, de l'activité analytique chez IBM. OpenPages compte plus de 200 clients, parmi lesquels Allianz, Barclays, Carnival Corporation, Duke Energy et SunTrust.

(...)

(16/09/2010 14:39:45)

T-Systems inaugure son Innovation Center à Munich

L'Innovation Center inauguré à Munich le 13 septembre dernier par T-Systems était l'occasion pour l'entreprise de présenter certains des projets déjà entamé au sein de ce centre de R&D, en partenariat avec l'Université Ludwig Maximilian de Munich. Mais avant de faire la démonstration de ces prototypes, la filiale de Deutsch Telekom a tenu à insister sur le rôle exact de ce centre de recherche. Le but est en effet de faire intervenir les sociétés clientes dès le début, et de les rapprocher au plus près du processus de conception des prototypes afin qu'ils puissent voir chaque étape, et que ces technologies soient plus rapidement viables que dans leur cycle de développement classique. C'est, en somme, un lieu de test impliquant le client, les partenaires du centre, les étudiants et T-Systems où chacune des parties peut proposer ses idées et les expérimenter dans un environnement directement observable.

Un datacenter à consommation optimisée

Parmi les projets présentés, on trouve le Datacenter 2020, installé deux ans auparavant en partenariat avec Intel, et qui, durant cette période, a été l'objet de très nombreux ajustements en vue d'améliorer son PUE, ou efficacité énergétique. Via un plafond modulant l'espace occupé par le datacenter, et d'autres paramètres comme les serveurs en eux-même et la circulation des airs chauds et froids, les chercheurs envisagent d'arriver prochainement à un PUE de 1,4, soit 30% de moins que les datacenters classiques. Pour ce faire, ils préconisent d'utiliser moins de ressources matérielles de sauvegarde, et de faire plus confiance à l'infrastructure. C'est par ailleurs parce que ce projet était présent sur les lieux qu'il a été décidé de choisir Munich pour construire l'Innovation Center autour de celui-ci, pour le combiner aux futurs programmes mis en place. T-Systems avait aussi déjà investi 2,5 millions d'euros dans ce datacenter, argument qui a peut-être joué.



Une pile à combustible géante

Mais l'élément le plus intéressant provient certainement de l'alimentation de ce centre de calcul. Outre la connexion classique au réseau électrique national, une pile à combustible de grande envergure et placée en appoint à la structure de l'entreprise fournit à la fois l'énergie dont a besoin le datacenter via des réactions chimiques, mais transforme aussi la chaleur dégagée en eau froide via un réfrigérateur d'absorption pour le refroidissement du 2020. Potentiellement, même si ce n'était pas le cas durant la visite, la chaleur dégagée peut être partiellement redirigée avant sa transformation en eau et servir à chauffer les bureaux de l'entreprise dans laquelle la pile à combustible a été installée. Pour l'heure, il a un facteur d'efficacité de 47%, et produit 250 kW d'énergie électrique (pour 238 kW utiles), et 180 kW d'énergie thermique. Le seul problème, de l'aveu même des chercheurs, c'est qu'en cas de panne, il faut au minimum trois jours pour tout remettre en place. Mais ce système de production autonome d'énergie déjà utilisé dans l'industrie aérospatiale a une durée de vie allant de 15 à 20 ans, durée après laquelle il faut remplacer la matrice d'électrolyte située entre l'anode et la cathode. A noter que l'usagée sera recyclée pour rester dans l'optique « green », précise le Dr Rainer Weidmann, responsable du développement de la pile. Durant ses six mois de mise en service néanmoins, aucune panne n'a encore été détectée, la stabilité étant relativement acquise étant donné que le système se base sur une réaction chimique.



Des voitures connectées

Outre ces solutions vertes, l'Innovation Center se diversifie dans la nature des projets entamés. L'un de ceux qui ont été présentés concernait les voitures connectés. A travers une simulation des systèmes GPS opérée par l'application Ubisense et des voitures téléguidées par un iPad et surmontées d'un smartphone, il a été fait la démonstration d'un système anti-collision capable de détecter la proximité d'autres voitures, mais aussi la signalisation. Par cette détection, les petites voitures étaient en mesure de s'arrêter de leur propre chef, connectées au système les informant du danger imminent. Dans un entretien, Horst Leonberger, responsable de ce projet chez Deutsch Telekom, précise vouloir aller plus loin, et outre les systèmes d'avertissements et de sécurité routière, il veut aussi connecter la voiture à Internet pour accéder à tout même sur la route. Il affirme par ailleurs être en partenariat avec BMW sur ce projet, et être en discussion avec Volvo, Peugeot et Renault.



Mobilité et interconnexion

Enfin, à travers d'ateliers, ont aussi été présentées des solutions de mobilité et d'interconnexion. Au niveau de la mobilité, un projet d'application SAP CRM pour smartphones (Blackberry, iPhone et Windows Mobile pour le moment, mais prévue pour Android) rend possible l'accès à certaines fonctionnalités de la solution classique. Développé avec Sybase, ce projet peut synchroniser les informations avec les serveurs de l'entreprise et a pour but de faire entrer l'entreprise de plus en plus dans la mobilité. En terme d'interconnexion, le projet Unified Communication & Collaboration (UCC) met en place un datacenter capable de traduire les principaux langages des réseaux locaux d'une entreprise filialisée, même si chacune des sections utilise un réseau local différent, que l'une soit équipée de Cisco ou l'autre d'Alcatel par exemple. Via une interface logicielle quelque peu similaire à Windows Live Messenger de ce datacenter de traduction, elles pourront communiquer de personne à personne. A noter la compatibilité avec les terminaux mobiles pour les employés en déplacement. Enfin, dans un autre registre, le projet de compteurs intelligents testés à Friedrichshafen (« T-City », ville d'implémentation des projets de T-Systems pour une ville connectée) veut mettre en réseau, à l'instar de l'initiative française, la consommation électrique, mais ici, inclure aussi celle de l'eau et du gaz pour relier les distributeurs aux clients en temps réel.



Illustration : Reinhard Clemens, PDG de T-Systems
Crédit Photo : D.R.

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(15/09/2010 15:00:25)

SAP livre dix solutions analytiques conçues avec ses clients

L'éditeur allemand SAP se fait fort de co-innover main dans la main avec ses clients et ses partenaires. C'est un sujet sur lequel le spécialiste des applications d'entreprise insiste beaucoup depuis quelques années. Et plus encore ces derniers mois. Touché l'an dernier par la crise économique, il lui faut mettre les bouchées doubles pour prouver sa capacité d'innovation. Bill McDermott, co-PDG du groupe, a rappelé cette volonté hier, lors d'une présentation retransmise en direct depuis la conférence DEMO Fall 2010 (Santa Clara, 13-15 septembre). L'éditeur y annonçait dix applications analytiques spécifiquement adaptées à six secteurs d'activité : la santé, la distribution de détail, les télécommunications, la banque, les produits de grande consommation et le secteur public. Chacune de ces solutions apporte quelques centaines d'indicateurs clés de performance (KPI), élaborés en collaboration avec les clients de SAP sur chaque secteur. Destiné aux chaînes de boutiques spécialisées, le produit porte par exemple sur l'analyse les ventes ; celui s'adressant aux banques couvre le suivi du risque client en entreprise.

Mesurer la qualité du service apporté aux patients

Lors de la présentation, l'éditeur a choisi de détailler les capacités de l'offre SAP BusinessObjects Quality Management for Healthcare (illustration ci-dessus). Destinée aux hôpitaux, celle-ci permet d'agréger et d'afficher les mesures recueillies sur les soins et services apportés aux patients. Les indicateurs proposés ont été mis au point avec l'aide de centaines d'établissements de santé, a expliqué Keith Costello, directeur général de l'activité Solutions analytiques chez SAP. Selon lui, les dix solutions métiers lancées hier par SAP ont été conçues pour se déployer en quelques semaines (à partir de huit semaines, avance l'éditeur) ou quelques mois (et pas en plusieurs années, a-t-il promis - sic). L'ensemble des éléments techniques nécessaires à leur mise en oeuvre sont inclus. « Tout ce dont le client a besoin est dans la boîte ! », selon Keith Costello. Il considère aussi que ces solutions s'abordent avec une formation réduite et s'exploitent facilement. Elles s'appuient par ailleurs sur une architecture qui permettra aux entreprises d'en étendre ultérieurement les fonctionnalités, avec l'aide des partenaires.

Enfin, ces solutions ne s'adressent pas uniquement à la base installée de SAP, a ajouté le responsable des offres analytiques. « Les entreprises entendent tirer le maximum de leurs investissements informatiques ; nos applications fonctionnent indépendamment des systèmes utilisés. »

L'iPad, nouveau sésame vers la mobilité

En préambule, armé de la tablette numérique d'Apple, Bill McDermott avait montré comment un dirigeant pouvait lui-même, en temps réel, explorer ses données gérées sur le terrain et, le cas échéant, transmettre des instructions à ses équipes dans la foulée. Et ce, sans se préoccuper du volume de données auquel il accède ainsi depuis son iPad. « 100 millions d'enregistrements traités en quelques dixièmes de seconde, a souligné le co-PDG à Santa Clara.
Bill McDermott montrant un iPad
Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Bill McDermott a rappelé qu'avec son co-PDG Jim Hagemann Snabe, ils étaient déterminés à doubler le marché ciblé par SAP en s'imposant sur l'un des segments qui se développe le plus vite : celui de l'analyse en mémoire en temps réel déclinée dans des offres décisionnelles « On Demand », accessibles depuis tout poste de travail, smartphone ou tablette. Rappelons que SAP prépare avec Sybase, racheté au printemps, une plateforme mobile ouverte qui doit permettre d'accéder à n'importe quelle application de gestion depuis la plupart des terminaux mobiles. Sa livraison est prévue pour 2011.

Illustration : SAP BusinessObjects Quality Management for Healthcare (...)

(15/09/2010 11:20:25)

Lefebvre Software finalise l'acquisition d'Arcole et s'oriente vers le SaaS

Le long et difficile feuilleton Arcole (composé de deux progiciels : Arcole Finance   et Arcole RH) prend fin. En 2008, leur propriétaire, Ares, scindait l'activité en deux : édition d'un côté, intégration de l'autre. La première allait à la société De Gamma, la deuxième restait chez Ares. Après moult épisodes, l'éditeur Lefebvre Software reprend les deux progiciels et les deux activités.

Il  y a un an, Viviane Ribeiro, Pdg de Lefebvre Software indiquait s'orienter vers une croissance externe sur son coeur d'activité, les finances et la RH pour le mid market. Mission accomplie. Ce rachat représente 7 à 8 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires supplémentaire pour Lefebvre Software, portant son CA annuel à 40 ME sur l'année 2010. 65 salariés rejoignent le groupe, ils sont répartis, suivant leurs fonctions dans les différents départements de l'éditeur : commercial, consultants, R&D.  Cette acquisition représente aussi une ouverture technologique vers Oracle et Unix.

Lefebvre Software va poursuivre son développement

L'intégration d'Arcole étant réalisée, Lefebvre Software va poursuivre ses projets de développement. L'éditeur a préparé plusieurs versions de ses produits full web et full java. Surtout, il souhaite, enclencher la vitesse supérieure à l'international. Présent en Espagne (depuis le rachat d'ASGroupe qui lui a amené une filiale sur place) par des filiales en Italie, en Belgique et au Royaume-Uni, Lefebvre Software souhaite doubler rapidement les 10% de son chiffre d'affaires réalisés en dehors de l'hexagone. Il compte déjà des versions de ses produits finances disponibles pour 15 pays et dans 8 langues.

Quant aux résultats financiers, l'année 2010 n'a pas encore rendu son verdict. Le 1er semestre a été « flat », ni en croissance ni en régression. Le 3ème trimestre serait en croissance, le 4ème est traditionnellement fort. Viviane Ribeiro se félicite d'appartenir à une entreprise à capital familial à 90%. « On y est bien, par les temps actuels de telles sociétés sont plus sereines. Elles traversent la crise en échappant au « court-termisme », et peuvent aussi prendre des paris sur l'avenir ».

Sur le même sujet :

- Le 30 mars 2010 : Lefebvre Software a doublé ses ventes de logiciels en 2009 (...)

(14/09/2010 15:11:57)

Les utilisateurs de l'ERP Sage X3 se réunissent

« Après le succès de la première rencontre de mars, nous avons concentré nos ressources sur le lancement administratif de l'association, indique Sébastien Levrot, président du club des utilisateurs de l'ERP Sage X3, sur son site. Nous allons maintenant pouvoir développer l'ensemble des outils qui nous permettrons de mieux maîtriser notre système d'information ». 

Le 21 septembre, le club X3 abordera différents thèmes centrés principalement sur l'expérience métier. Des entreprises utilisatrices de l'ERP Sage X3 (acquis par le rachat d'Adonix en 2005) présenteront les méthodes de travail et leurs bonnes pratiques. Un expert de Sage présentera les apports de la V6 sur la problématique multi-dossier/multi-législation.

Les changements induits par la norme SEPA

L'actualité des prochains mois a également conduit l'association à s'intéresser à la norme bancaire SEPA (Single Euro Payments Area) qui remplacera bientôt les normes actuelles. L'un des membres fera un point sur son utilisation, tandis qu'un intervenant extérieur exposera les changements induits par cette évolution. Sage doit fournir des correctifs pour les entreprises qui évoluent en version 150 et 160, mais rien n'est prévu pour les utilisateurs de versions antérieures pour le moment, rappelle Sébastien Levrot. Des solutions spécifiques seront donc proposées à cette occasion.

Egalement au programme de la journée, la présentation, par l'un des participants, de la fonction de workflow telle qu'il l'utilise dans son entreprise. Pour participer à cette journée, il suffit d'être membre du club ou d'y adhérer (www.clubx3.fr).

Selon le président du Club X3,  le nombre des membres de l'association a régulièrement progressé, les demandes de renseignements affluent et le site internet compterait entre 4 000 et 5 000 visiteurs uniques par mois.

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(13/09/2010 14:31:10)

Informatica : bientôt racheté par Oracle ?

Lors d'un sondage réalisé au cours des deux derniers mois par le cabinet Software Advice, l'entreprise Informatica arrive en tête dans les réponses à la question "Quelle pourrait être le prochain achat d'Oracle ?" avec 178 citations, suivie de près par Teradata qui récolte 175 voix, et VMware qui totalise 143 votes. Un sondage similaire réalisé par Dennis Moore sur un blog réputé pour ses articles abordant les questions de logiciels d'entreprise, donne une "majorité écrasante" à Informatica. Le sondage, toujours ouvert, a récolté 250 réponses.

Avec ses 500,7 millions de dollars US de bénéfices déclarés en 2009 et une capitalisation boursière qui atteignait 3,2 milliards en fin de semaine dernière, l'un des plus importants et derniers vendeurs indépendants en intégration de données de l'industrie ne serait pas une acquisition de second plan pour Oracle. Pour l'instant, ni l'éditeur de Redwood Shores, ni Informatica n'ont commenté ces spéculations qui ont régulièrement alimenté les rumeurs ces dernières années. D'ailleurs, d'autres observateurs de l'industrie ont minimisé les résultats de ces sondages. Pour Rob Karel, analyste chez Forrester Research, il existe trop de chevauchements entre les portefeuilles produits de ces vendeurs. En outre, "l'acquisition d'Informatica serait", selon lui, "un aveu d'échec de la part d'Oracle, signant l'abandon de la voie de l'intégration de données prise en 2006 après le rachat de Sunopsis, et la perte sèche des investissements consacrés à l'intégration d'Oracle Data Integrator dans leur portefeuille middleware", a-t-il estimé.

Qui d'autre peut acquérir Informatica ?

"Mais il serait imprudent de nier le fait qu'Oracle pourrait acheter Informatica", a-t-il ajouté. "D'une part, Oracle est l'une des rares entreprises capables de payer plusieurs milliards de dollars pour acquérir Informatica, et d'autre part, beaucoup de leurs bases de données existantes et d'applications clients sont standardisées sur Informatica", a-t-il commenté. "Même si cet achat suppose de nombreux équilibrages de portefeuilles et implique des choix difficiles pour résoudre le chevauchement des produits, la question n'est pas hors sujet", a-t-il précisé. "Oracle pourrait très bien acquérir Informatica, autant pour sa base installée que pour la mettre hors de portée d'autres prétendants", a ajouté Rob Karel.

L'achat d'un intégrateur aurait plus de sens

Un autre observateur, Adrian Merv de IT Market Strategy, est du même avis. "Informatica est une cible idéale pour de nombreuses entreprises, mais le niveau de chevauchement avec l'activité d'Oracle laisse à penser que cette acquisition viserait plus à éliminer un concurrent sur le terrain qu'a  prendre une position stratégique," a-t-il souligné. "Je pense que le prochain mouvement d'Oracle se situera dans le domaine du hardware, et non du software", a-t-il ajouté. En effet, "cela ferait plus de sens pour Oracle d'aller chercher un fournisseur réseaux comme Juniper Networks ou un intégrateur systèmes, depuis que l'acquisition de Sun Microsystems l'a poussé sur le marché du hardware", a déclaré Ray Wang, analyste chez Altimeter Group.

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(13/09/2010 10:02:21)

Microsoft met Dynamics CRM 2011 en bêta dans le cloud

L'une des particularités du logiciel Dynamics CRM 2011, actuellement disponible en version bêta, réside dans son mode de diffusion. Accessible en ligne de plusieurs façons, à la fois hébergé sur les datacenters de l'éditeur ou par le biais de ses partenaires locaux (notamment en France), il pourra également être installé de façon classique par les clients, en interne, sur leurs propres serveurs. Toutefois, Microsoft a résolument décidé de privilégier la version « cloud » de l'offre en la mettant à disposition dès la fin de l'année, sous le nom de Dynamics CRM Online. Le produit à installer dans les entreprises n'arrivera qu'au premier trimestre de l'année prochaine. « Cloud first ! », souligne Sophie Jacquet, chef de produit Dynamics CRM chez Microsoft France. Il est vrai que les utilisateurs américains exploitent déjà CRM Online depuis deux ans.
Rappelons que le périmètre fonctionnel de cette solution couvre tout le spectre de la gestion de la relation client : le suivi des opportunités commerciales, la gestion des actions de marketing et le service client.

Deux versions bêta identiques

Depuis hier, ce sont en fait deux versions bêta (identiques) de Dynamics CRM 2011 qui sont proposées : l'une se télécharge pour s'installer en interne et l'autre est accessible en ligne. Hébergée par Microsoft, la deuxième s'intègre à l'offre Online Services qui est gérée sur le datacenter irlandais de Dublin. Elle s'ajoute ainsi aux services BPOS (Business Productivity Online Standard*) déjà disponibles qui regroupent Exchange Online, Office Communications Online (messagerie  instantanée, texte, voix et vidéo), Office Live Meeting et SharePoint Online (portail collaboratif).

Les entreprises qui souhaitent tester la bêta « Online » doivent être réactives. Pour des questions de montée en charge, Microsoft a défini des quotas d'utilisateurs par grandes zones géographiques. Aucun quota en revanche sur la bêta téléchargeable.

400 logiciels en sus sur Dynamics Marketplace

Sur le plan fonctionnel, comme les autres solutions de la gamme Dynamics, l'offre CRM 2011 capitalise sur la connaissance des interfaces de la suite Office (le ruban contextuel) et du client de messagerie Outlook. L'accès au logiciel se personnalise pour chaque utilisateur, en particulier suivant son rôle dans l'entreprise. Les capacités d'intégration avec SharePoint permettent d'accéder à des fonctions de gestion de documents et à des outils de collaboration.

Microsoft rappelle aussi qu'il doit ouvrir ce mois-ci, en version bêta également, son service Dynamics Marketplace offrant un catalogue de logiciels en ligne complémentaires à ses solutions de gestion. Ce catalogue doit rassembler les références d'environ 400 applications, génériques ou spécialisées sur un secteur d'activité, qui ont été développées par des partenaires ou des éditeurs indépendants. Un peu à la manière d'AppExchange, de Salesforce.com, ce service permettra aux utilisateurs cherchant à ajouter certaines fonctions à Dynamics CRM, de vérifier s'il n'existerait pas déjà des applications répondant à leurs besoins et de les télécharger le cas échéant.

Dynamics Marketplace
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*L'ensemble des services BPOS est accessible à partir de 8,52 euros par mois par utilisateur.

Illustration : Dynamics CRM 2011 (crédit : Microsoft)
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