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(11/02/2010 14:53:32)

TechDays 2010 : Orange Business Services distribuera Microsoft Online Services sur son cloud (MAJ)

Les opérateurs télécoms sont en mode offensif sur les services collaboratifs en ligne à destination des entreprises. Pendant les derniers TechDays (du 8 au 10 février), Orange Business Services a ainsi dévoilé un accord de distribution portant sur la suite Microsoft Online Services en version standard. Cette dernière comprend plusieurs outils comme Exchange Online (messagerie), Office Communications OnLine (bureautique), SharePoint Online (portail collaboratif) et Office Live Meeting Online (Webconferencing). Cette offre vient compléter la gamme actuelle de l'opérateur, baptisée « Business Together with Microsoft ». Dans un premier temps, cette suite sera distribuée auprès des grands comptes et des grands entreprises(à partir de 150 utilisateurs), mais Jean Pierre Savi, directeur marketing opérationnel IT d'Orange Business Services nous a indiqué qu'« une offre couplée accès et suite collaborative à destination des PME sera disponible à la fin de l'année 2010 » L'accord signé s'étend à la France, mais également à l'international sur 21 pays avec une extension prévue. Stratégiquement, Orange Business Services conforte sa volonté de devenir un acteur majeur du cloud computing à travers son expertise d'opérateur de réseaux, mais également d'intégrateur de services. Cette démarche guide aussi Orange Business Services dans son ambition de devenir un « guichet unique » auprès des entreprises pour les problématiques de clouds privés et publics. On notera que Orange Business Services prévoit d'enrichir l'offre Microsoft Online Services avec des services complémentaires tels que l'archivage des données, l'optimisation et l'accélération du réseau ou encore le portail utilisateur pour les grands comptes. Le périmètre de distribution devrait être étendu vers les PME prochainement. (...)

(11/02/2010 11:39:07)

Oracle lance son tour du monde du cloud

Ce world tour est en décalage avec les critiques faites publiquement par Larry Ellison à propos du cloud, qu'il considère comme un habillage et un mélange de technologies existantes. Lors d'un récent webcast dans lequel des cadres de l'entreprise s'exprimaient sur la manière dont la société envisage d'utiliser les éléments acquis avec le rachat de Sun Microsystems, certains ont déclaré que l'objectif principal d'Oracle serait d'aider ses clients à construire des cloud privés. En 2008, Ellison avait lui-même déclaré, non sans ironie, qu'Oracle ferait dorénavant des publicités sur le cloud. « Si la couleur orange est la nouvelle couleur à la mode, nous allons faire des blouses oranges. Et je ne vais pas m'opposer à cela, » avait-il déclaré. « Peut-être que nous en ferons une pub. Je ne vois d'ailleurs pas ce que nous ferions de plus pour le cloud computing que de changer les mots de certaines de nos publicités... » Oracle serait donc cloud natif... Mais la tournée de démonstration va apparemment tenter d'aller plus loin en détaillant de manière approfondie ce qu'Oracle va précisément faire en matière de cloud, une appellation malmenée et utilisée à grande échelle, depuis la virtualisation, jusqu'aux infrastructures informatiques modulaires comme celles vendues par Amazon Web Services, et aux services SaaS (Software as a Service). Au minimum, ces conférences viendront «dissiper le brouillard» entourant le sujet, à mesure que les « experts d'Oracle » clarifieront la manière dont les entreprises peuvent profiter du « cloud». Parmi les sujets abordés, les participants pourront récolter des conseils sur l'élaboration d'un cloud privé, apprendre comment transférer des environnements informatiques actuels vers une structure équivalente de type cloud, et comment utiliser les options de cloud publics comme les AWS. « Oracle doit simplement satisfaire une demande en cloud public, tant les forces du marché vont dans cette direction, » a déclaré China Martens du cabinet d'analystes 451 Group. « Mais l'une des questions à laquelle la compagnie doit faire face, est de savoir comment elle va inclure dans ses plans les technologies Sun, et ce travail n'est probablement pas achevé, » a t-elle ajouté. L'entreprise a déjà fait clairement savoir qu'elle n'avait pas de proposition immédiate à faire à Amazon, dans la mesure où l'entreprise avait abandonné les projets de Sun pour créer un service de cloud public. Selon China Martens, Oracle a le temps de formuler sa réponse. « Quoi que dise Larry Ellison, cela va se passer en plusieurs actes. Parfois aussi, Ellison dit juste ce qui lui passe par la tête. Et Oracle doit faire marche arrière et tout reformuler. C'est ce qu'ils font, lentement et soigneusement, » dit-elle. «Oracle peut avancer selon son propre rythme, mais l'entreprise doit toutefois montrer qu'elle est à l'écoute du marché et qu'elle n'est pas isolée dans sa bulle. » (...)

(11/02/2010 11:38:49)

Le CFTL veut promouvoir un test logiciel de qualité

Le CFTL (le Comité Français des Tests Logiciels) organise le 30 mars 2010 à Paris la deuxième édition de la Journée Française des Tests Logiciels. 200 spécialistes y sont attendus pour assister à des conférences sur l'organisation et le management des tests mais aussi à des retours d'expériences. Selon le CFTL, le coût du développement d'un logiciel se compose pour 30 à 50% du coût des tests. Une certification à trois étages Le CFTL, créé en 2004, est le chapitre français de l'ISTQB (International Software Testing Qualification Board). Ce dernier est présent dans 47 pays et a certifié 130 000 spécialistes du test logiciel. Le CFTL en a, pour sa part, certifié 740 en France au niveau « fondation » (la base) dont 140 sont ensuite parvenus au niveau « avancé ». Le niveau « expert », troisième et dernier, est en cours de définition. Le niveau « avancé » requiert cinq ans d'expérience dans le test et la réussite à trois modules distincts : le management des tests, les tests fonctionnels et les tests techniques (sécurité, maniabilité, maintenabilité, performance, résistance au stress...). Les accréditations réalisées par les différents chapitres de l'ISTQB sont similaires et donc valides sur le plan international. Le CFTL accrédite aussi les formations délivrées par des centres qui, en revanche, ne sont pas autorisés à faire passer les accréditations. En France, il y a aujourd'hui cinq centres accrédités au niveau « fondation » : Knowledge Department, EGL, Ps.testware, Acial et Kereval. Seul le premier est accrédité au niveau « avancé ». Il est par contre autorisé de s'auto-former pour passer en « candidat libre » les examens d'accréditation. A l'inverse, Bernard Homès, président du CFTL, déplore : « il n'y a pas (ou très peu) de formation aux tests de logiciels dans les écoles d'ingénieurs en France. » 190 sociétés ont appuyé des démarches de formation et de certification de leur personnel (Air France-KLM, SNCF, HSBC, MMA, Société Générale...) dont une vingtaines d'éditeurs de logiciels et de SSII. Le test des logiciels : une valeur ajoutée sur le marché de l'off-shore Si les tests de logiciels servent à améliorer la qualité de ces derniers, ils peuvent aussi constituer une valeur ajoutée sur le marché... de l'off-shore. C'est ainsi que pour se distinguer d'acteurs bien implantés, notamment l'Inde, des pays plus proches du David que du Goliath en informatique mettent en place des politiques nationales de formation et de certification de leurs spécialistes du développement. C'est notamment le cas de la Malaisie et de l'Egypte selon le CFTL. Les Malaisiens étant formés par des Français, la Malaisie sera d'ailleurs l'invitée d'honneur de la deuxième édition de la Journée Française des Tests Logiciels. (...)

(10/02/2010 14:18:14)

La Cour des comptes pointe le retard dans la dématérialisation des feuilles de soins

Le rapport 2010 de la Cour des Comptes pointe qu'il reste encore des gisements d'économies grâce à la dématérialisation à réaliser à la sécurité sociale. Pour la Cour des Comptes, le dispositif SESAM Vitale n'a pas encore atteint son plein potentiel. L'assurance maladie a encore reçu 150 millions de feuilles de soins papier en 2009, ce qui représente une dépense évitable de 200 millions d'euros par an. Un satisfecit est cependant accordé à la CNAM TS. Plus de 1,1 milliard de feuilles de soins sont traitées de façon électronique chaque année contre 330 millions en 2001 et 904 millions en 2005. Leur nombre continue de progresser de 3,8 % sur les neuf premiers mois cumulés de 2009. Le remboursement des soins est assuré en quelques jours sans autres formalités ni coûts d'affranchissement. Selon la CNAMTS, le traitement d'une feuille de soins électronique ne coûte que 0,27 € en moyenne, contre 1,74 € pour une feuille de soins papier reçue par la Poste. Il en résulte une économie de 1,5 milliard environ par an (hors dépenses informatiques spécifiques, dont le montant total ne peut être isolé). Les professionnels libéraux trainent encore des pieds Ceci dit, pourquoi 150 millions de feuilles de papier circulent encore ? La Cour répond que si les assurés doivent être incités à ne pas oublier leur carte Vitale et les services informatiques à améliorer encore leur fiabilité, ce sont surtout les professionnels libéraux de santé qui sont en cause. En 2008-2009, pas moins de 41% des spécialistes, 27% des généralistes, 24% des dentistes, 22% des infirmiers et 20% des masseurs kinésithérapeutes n'émettaient en effet encore aucune feuille de soins électronique. La solution ? Mettre à l'amende ces personnels de santé encore réfractaires selon la Cour. Elle rappelle que c'est donc bien tardivement que l'article 53 de la loi du 21 juillet 2009, dite « Hôpitaux, patients, santé, territoires », a prévu la mise en oeuvre, qui aurait dû intervenir au 1er janvier 2010, d'une contribution à la charge des professionnels de santé refusant la délivrance de feuilles électroniques. Cette contribution serait de nature à optimiser l'usage du système SESAM Vitale, mais à condition qu'elle soit fortement dissuasive. La Cour refuse de considérer comme valables les excuses avancées telles que les problèmes pratiques évoqués par certains professionnels (utilisation d'un lecteur portable de carte Vitale en cas de soins à domicile, professionnels de santé trop âgés pour s'informatiser, assurés ne disposant pas de carte Vitale). Ces points ne sont plus de nature à empêcher la généralisation de la carte Vitale affirme la Cour qui veut que la contribution devienne effective sans plus tarder. [[page]] Un parc applicatif hétérogène et inégale Par ailleurs, la Cour réagit à la CNAMTS qui déclare que 99,99% des télé-transmissions sont réussies. La Cour indique que ce taux ne comprend pas les situations où la télé-transmission n'a pu être mise en oeuvre. Quant au solde très faible de 0,01%, il représente cent mille tentatives d'envoi échouant encore chaque année. Ces échecs résultent d'incompatibilités ponctuelles comme de l'hétérogénéité des postes de travail des professionnels. L'ancienneté de certains de leurs logiciels comme la qualité inégale des mises à jour et de la maintenance qui leur incombent sont à l'origine de nombreux dysfonctionnements. Ces logiciels font certes l'objet d'une validation initiale sous la responsabilité de l'agent comptable de la CNAMTS, mais leurs évolutions et mises à jour sont rarement testées. La Cour rappelle qu'il existe un nombre élevé d'éditeurs (plus de 150) et de logiciels médicaux (plus de 300). De tout cela résultent des anomalies techniques et des risques de captation de données confidentielles. Avec plusieurs années de retard, la définition d'une nouvelle configuration de référence est maintenant en bonne voie. Des temps de réponse plus rapides devraient apporter des gains de temps. Pourquoi les médecins sont-ils réfractaires ? La Cour rappelle les enseignements d'une étude à base d'entretiens réalisée en 2007 pour la caisse primaire d'assurance maladie de Paris auprès de 16 médecins peu ou prou réfractaires à SESAM Vitale. Elle avait confirmé que l'on peut les classer en : - « insoumis / révoltés», qui affichent une franche hostilité vis à vis d'un système qu'ils perçoivent comme allant à l'encontre de leur éthique médicale ; - « conservateurs / traditionalistes », qui refusent l'informatique et tout changement dans leur culture «papier et oral», avec la peur d'une technique non maîtrisée et du «virtuel» ; - « prudents», qui, très «experts» avec leur système et leurs logiciels informatiques très performants, refusent d'être déstabilisés par une télétransmission risquant d'entraîner un remaniement, voire un renouvellement, de leurs outils actuels ; - « calculateurs », qui ne veulent pas investir dans un système qui (selon eux) ne leur offre ni avantages, ni bénéfices - mise en avant d'une raison économique qui peut cacher des motivations plus obscures ; - « débordés », qui n'ont pas de temps à consacrer à l'installation du système de télétransmission ou à sa maintenance (RV à prendre, choix du matériel, hotline...). (...)

(02/02/2010 14:46:22)

SAP propose la bêta publique de son outil collaboratif 12Sprints

L'objectif de l'éditeur est de proposer une « salle d'opérations » virtuelle ('war room') permettant aux collaborateurs d'une entreprise de résoudre des problèmes en temps réel, en mode collaboratif. Les utilisateurs disposent d'une série d'outils méthodologiques permettant d'établir « le pour et le contre » et de déterminer les options stratégiques les mieux adaptées à la situation. La matrice SWOT, par exemple, sert à lister les éléments positifs et négatifs, en distinguant ceux qui sont internes et ceux qui sont externes à l'entreprise.


« Dans l'entreprise, on peut se sentir frustré d'être obligé d'utiliser certains outils », explique David Meyer, vice-president senior responsable des technologies émergentes pour SAP BusinessObjects. Selon lui, 12Sprints offre une approche totalement différente. « Nous voulons donner aux gens la possibilité de faire le meilleur travail possible quelle que soit la façon dont ils s'y prennent ». Cela implique qu'il soit possible de récupérer des données venant d'applications SAP, mais aussi de solutions de collaboration concurrentes telles que la plateforme Google Wave ou Microsoft SharePoint, et jusqu'à la feuille de calcul qui se trouve sur le poste de travail de l'utilisateur. SAP parie aussi que les clients vont vouloir intégrer 12Sprints avec ses logiciels décisionnels 'on-demand' [venant de BO], pour effectuer des analyses en ligne.

Les développeurs proposent des clients sous iPhone et Android


La disponibilité générale de 12Sprints, qui sera alors renommé, devrait intervenir peu de temps après le lancement de la bêta publique, selon David Meyer qui précise toutefois que, d'une certaine façon, la phase 'bêta' ne devrait jamais être close. SAP prévoit en effet de livrer des mises à jour mensuelles et certaines fonctions seront toujours en mode bêta, explique le responsable des technologies émergentes. SAP recueille des conseils venant des testeurs et l'outil facilite à ses utilisateurs l'ajout de suggestions en leur permettant aussi de noter les propositions faites par les autres. « L'idée générale, c'est d'apprendre en utilisant », conclut David Meyer. Il rapporte que les premiers pas de l'application ont suscité un vif intérêt. Un récent concours d'idées lancé auprès des développeurs a fait remonter de nombreuses propositions, souvent étonnantes, allant de clients sous iPhone et Android jusqu'à des intégrations poussées avec les ERP.

A l'autre bout de la chaîne, SAP travaille aussi sur des composants classiques, à installer en interne ('on-premise'), de 12Sprints qui permettraient aux utilisateurs d'interroger de façon sécurisée leurs différentes bases ou entrepôts de données au sein de leur entreprise. David Meyer n'a pas souhaité indiquer de date de disponibilité pour ces composants. (...)

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