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(19/10/2010 17:39:13)
Les jeunes entreprises innovantes fragilisées par le gouvernement ?
Le projet de loi de finances 2011, dont l'examen a débuté cette semaine à l'Assemblée Nationale, prévoit une modification du statut de la jeune entreprise innovante (JEI) qui inquiète sérieusement les acteurs de l'industrie du logiciel. L'Afdel (association française des éditeurs de logiciels) vient en particulier d'attirer l'attention sur l'article 78 de ce projet de loi qui vise à réduire les exonérations de cotisations sociales patronales accordées jusque-là aux JEI sur les postes liés à la recherche et au développement (cf encadré ci-dessous). Si cette mesure était appliquée, elle se traduirait à terme par une baisse des emplois hautement qualifiés en France, met en garde l'Afdel. D'autres organismes professionnels comme le Syndicat national du jeu vidéo tirent également la sonnette d'alarme.
Diminution progressive des exonérations
La réforme proposée dans le projet de loi prévoit « un plafond de rémunération mensuelle brute par personne fixé à 4,5 fois le salaire minimum (Smic) », ainsi qu'un « plafond annuel de cotisations éligibles par établissement fixé à trois fois le plafond annuel de la sécurité sociale, soit 103 860 euros pour 2010 ». S'y ajoute une diminution progressive des exonérations à partir de la quatrième année d'existence de la jeune entreprise, alors que celle-ci bénéficie pour l'instant du dispositif dans sa totalité jusqu'à son huitième anniversaire.
Le gouvernement estime que cette mesure permettrait de réaliser une économie budgétaire de près de 57 millions d'euros par an dès 2011. Il semble considérer que la réduction de l'exonération sera en partie compensée par la réforme du crédit d'impôt recherche (CIR) qui est intervenue début 2008. Or, les acteurs du secteur du logiciel ont constaté que le CIR profitait surtout davantage aux grands éditeurs qu'aux sociétés de petite taille. Pour ces petits éditeurs, le dispositif associé au statut JEI vient donc très utilement compléter le CIR et ce dernier ne peut en aucun cas le remplacer. « Les deux dispositifs ne peuvent être mis en concurrence », insiste l'Afdel.
Date limite de dépôt d'amendement : 5 novembre
Réduire à partir de la quatrième année d'existence d'une JEI l'exonération des cotisations sociales patronales sur les emplois liés à la R&D « procède d'une méconnaissance du cycle de vie des entreprises innovantes ». L'association rappelle qu'à ce stade, les petits éditeurs sont tout aussi fragiles qu'à leur création et toujours en quête de capitaux. L'Afdel rappelle à ce propos que le financement à l'amorçage est peu répandu en France. Pour qui doit investir beaucoup en R&D, « l'effort doit être très soutenu les dix premières années ». Et c'est aussi à partir de la 3e ou 4e année que l'entreprise commence vraiment à embaucher, ajoute l'Afdel. C'est donc à ce moment-là que l'exonération des charges sociales est le plus nécessaire.
L'Assemblée nationale se penche actuellement sur la première partie du projet de loi de finances 2011. L'examen de la deuxième partie, qui comprend l'article 78, doit s'effectuer du 2 au 15 novembre 2010. Pour déposer un amendement sur la modification du statut de la jeune entreprise innovante, la date limite est fixée au vendredi 5 novembre 2010.
Illustration : site de l'Assemblée Nationale, examen du projet de loi de finances 2011 (crédit photo D.R.)
Gartner explore les technologies en devenir
Le Gartner dresse un véritable « hit parade » des technologies les plus prometteuses, celles qui introduisent des transformations. En tête, viennent le cloud computing privé et la TV 3D à écran plat. Juste derrière, on retrouve les tablettes PC ou l'alimentation électrique sans fil. C'est du côté du grand public que les transformations sont les plus spectaculaires. Les cinq prochaines années verront l'arrivée de l'impression 3D, des robots mobiles, des ondes terahertz.
Autant que par ses capacités propres, une technologie est valable par son usage souligne le Gartner. De nouveaux styles d'interaction entrent en jeu, offrant aux entreprises l'opportunité d'innover dans la manière dont l'information et les transactions sont livrées aux clients et aux salariés. Ce qui inclut la reconnaissance des gestes et des interfaces utilisateur.
La réalité augmentée est un sujet chaud
Le cabinet met également l'accent sur la réalité augmentée. Les technologies innovantes et le web migrent de l'univers professionnel vers la vie personnelle. Cette réalité augmentée est un sujet chaud dans l'espace mobile, avec des plate-formes et des services sur iPhone et Android. Ils représentent la prochaine génération. D'autres éléments, tels que la 4G standard, évoluent plus lentement mais joueront un rôle clé.
De plus en plus de décision seront pilotées par les données, leur variété et leur quantité explosent. La possibilité de les analyser à partir de nouvelles sources (informations de localisation ou médias sociaux) progresse fortement. L'analyse sociale, l'analyse prédictive et celle des sentiments entrent également en ligne de compte.
Le cloud computing dégage un intérêt croissant. Même s'il pourrait être bientôt confronté à ses premières désillusions côté utilisateurs, prévient Jackie Fenn qui a piloté l'étude. Mais le Gartner se propose justement, à travers cette étude, non pas de faire rêver, mais de bien montrer comment évolue une technologie émergente, de l'enthousiasme aux premières désillusions. Mme Fenn veut avant tout maîtriser les effets de mode, faire adopter l'innovation au bon moment.
Interfaces hommes-machines : Microsoft voit large avec Kinect
« Un chirurgien en salle d'opération pourrait déplacer ses mains au-dessus d'un écran et mettre à jour les informations concernant un patient sans quitter l'environnement stérile. Ou encore, avec des capteurs reproduisant les gestes, une personne pourrait jouer à un jeu de société avec un adversaire situé à distance », a ainsi expliqué Craig Mundie, directeur recherche et stratégie chez Microsoft lors d'une conférence au MIT. « Les avancées technologiques en matière de capteurs et d'affichage vont changer la façon dont les individus interagissent avec les ordinateurs et vont entrainer la création de systèmes où les gestes suffiront pour diriger des machines », a t-il ajouté.
« En priorité, Microsoft envisage d'utiliser ces technologies d'interface virtuelle homme-machine dans l'univers du jeu, » a annoncé le directeur de recherche. Distribué en novembre prochain dans le monde entier et destiné à la Xbox 360, Kinect sera le premier système HUI (Human User Interface) de Microsoft pour contrôler les jeux par les mouvements et par la voix. « L'idée est d'éliminer les manettes de jeu et de les remplacer par un système virtuel permettant de jouer tout à fait normalement », a-t-il dit.
Une technologie popularisée par Nintendo
C'est en 2006 que Nintendo, avec sa console de jeu Wii, a popularisé le concept du jeu contrôlé par le mouvement. La télécommande sans fil permet de jouer à des jeux et de réaliser des actions sur un écran comme frapper une balle de baseball ou lancer une boule de bowling. Au cours des quatre dernières années, Nintendo a réussi à considérablement améliorer la précision de son système.
Microsoft travaille également sur les avatars, et a imaginé un individu virtuel avec lequel il serait possible d'interagir pour « stimuler l'expérience sociale », a-t-il déclaré. Celui-ci a voulu également montrer que la technologie 3D, que chaque acteur des nouvelles technologies est en train d'ajouter à ses produits, s'accordait bien avec les interfaces virtuelles. C'est ainsi que certains participants dotés de lunettes 3D ont « joué » à acheter des produits virtuellement, les prenant, les regardant, et les plaçant éventuellement dans un caddie. Il a également montré comment, dans une émission de télévision en 3D, les téléspectateurs pouvaient participer à l'intrigue. Il a aussi testé des commandes vocales pour contrôler et interagir avec un ordinateur. «Prédire si des jeux ou des émissions de télévision de ce type seront adaptées aux interfaces virtuelles est difficile à dire, mais la technologie est là », a insisté Craig Mundie.
De nouveaux usages à venir
Microsoft prévoit en tout cas de s'intéresser aux apports de la technologie virtuelle homme-machine et de créer des systèmes en conséquence, comme c'est le cas par exemple en matière d'actions récurrentes, comme l'écriture d'une signature. « Nous étudions quelles types d'applications peuvent émerger de son utilisation », a t-il déclaré. Un autre système montré par Craig Mundie combine les images d'une caméra infrarouge et d'une caméra classique pour établir la "carte du squelette" d'une personne, plus des microphones pour les commandes audio. Dans le cas du système Kinect, les données sont envoyées à la Xbox 360 pour être traitées. « Nous n'avons pas intégré le processeur dans le système virtuel pour éviter d'en augmenter le prix », a précisé Craig Mundie. Pour l'instant Microsoft n'envisage pas d'adosser ses systèmes au cloud computing pour prendre en charge le traitement des données recueillies par les systèmes HUI. « La plupart des interactions virtuelles seront calculées localement » a-t-il préconisé, ajoutant que dans l'avenir, il pense plutôt à un couple « client et cloud pris comme une entité unique. Les entreprises et les utilisateurs ne veulent pas payer pour la bande passante utilisée pour transmettre des données pour le traitement à distance et les problèmes de latence liés au cloud computing laissent penser qu'une bonne interaction est peu probable » a déclaré Craig Mundie. « Les êtres humains sont très sensibles à la latence. »
Crédit photo : D.R.
SAP montre un prototype mêlant BI et réalité augmentée sur iPhone et iPad
Un nouveau prototype vient de sortir du Centre d'Innovation de SAP BusinessObjects, dirigé par Alexis Naïbo. Cette fois-ci, c'est une application de réalité augmentée que les équipes de Levallois-Perret viennent de soumettre aux commentaires des utilisateurs. En s'appuyant sur la plateforme en ligne BI OnDemand pour stocker les données, elle permet d'afficher sur un plan, une carte satellite ou une photo, des points d'intérêt géolocalisés auxquelles on associera des informations issues de ses outils de BI ou d'un simple fichier Excel.
Depuis quelques jours, on peut télécharger cette application pour la tester avec ses propres jeux de données. Elle s'intègre avec le logiciel de requête Explorer décliné pour l'iPhone et donc, utilisable aussi sur l'iPad. « Les prototypes sont là pour montrer un concept et recueillir les réactions des utilisateurs, rappelle Alexis Naïbo. L'objectif est d'avoir le plus de feed-back possible. » L'application pourra sortir dans un an ou un peu plus. D'ici là, elle peut avoir sensiblement évolué par rapport au prototype initial, notamment en fonction de l'avancée des technologies mobiles.
A terme, les points d'intérêt pourraient être des puces RFID
On démarre avec un jeu de données et des points d'intérêt. Ces derniers peuvent représenter des magasins, des sites industriels ou toute autre entité que l'on peut placer sur une carte. A chaque point d'intérêt, on associe une icône personnalisable et des informations. Des filtres peuvent s'appliquer, en fonction de la distance, de l'importance des éléments représentés, etc. Sur le terrain, l'utilisateur s'appuiera sur le GPS et le compas de son smartphone pour afficher les données qui l'intéressent suivant l'endroit où il se trouve. En déplaçant son iPhone devant lui, il affichera les informations correspondant aux sites vers lesquels il pointe. A partir de chaque vue, on peut accéder à l'interface du logiciel Explorer pour consulter en détail les données disponibles.
Cliquer sur l'image pour l'agrandir
« Si on se projette dans trois ou quatre ans, imagine Alexis Naïbo, on peut imaginer un exemple où les points d'intérêt seront, dans un magasin, des produits équipés de puces RFID sur lesquels on affichera les informations associées ».
Pour tester l'application, il est possible d'utiliser la version gratuite du logiciel de requête Explorer, accessible sur la plateforme BI OnDemand, avec un fichier Excel comportant jusqu'à 100 000 lignes.
Cliquer sur l'image pour l'agrandir
Illustrations - crédit photo : SAP
Le prix Nobel de physique au coeur des futurs transistors et écrans tactiles
Le prix Nobel de physique 2010 revient cette année à André Geim et Konstantin Novoselov, deux chercheurs d'origine russe, pour leurs « expériences inédites sur le graphène, matériau à deux dimensions ». Derrière cette distinction, explique l'Académie royale des Sciences de Suède, se trouve une fine lamelle de carbone ordinaire, épaisse d'un atome. A l'échelle atomique, sa structure en nid d'abeille est constituée d'atomes de carbone.
Les deux scientifiques ont montré que sous une forme effilée, le graphène disposait de propriétés exceptionnelles qui trouvent leur origine dans le monde de la physique quantique. Ce matériau est aussi performant que le cuivre pour conduire l'électricité et plus efficace que tout autre matériel connu comme conducteur de chaleur. Presque transparent, il est pourtant si dense que même un atome d'hélium ne peut le traverser. Il est également 200 fois plus résistant que l'acier. Ainsi, le carbone qui à la base de toute vie connue sur terre, nous surprend encore une fois, poursuit le communiqué du jury de Stockholm.
Adapté à la fabrication d'écrans tactiles
Dès lors, une large variété d'applications pratiques apparaissent possibles, notamment dans le domaine électronique. On s'attend ainsi que les transistors conçus à partir de graphène soient sensiblement plus rapides que les transistors actuels basés sur le silicium. Sa transparence et ses qualités de conduction rendent par ailleurs ce matériau adapté à la fabrication d'écrans tactiles transparents.
La publication de la découverte du graphène par les deux scientifiques remonte à 2004. André Geim (51 ans), citoyen néerlandais, et Konstantin Novoselov (36 ans), russo-britannique, travaillent ensemble depuis longtemps. Ils ont démarré leur carrière en tant que physiciens, en Russie et sont actuellement tous deux professeurs à l'Université de Manchester (Grande-Bretagne).
Illustration : à gauche, André Geim, à droite, Konstantin Novoselov (crédit photo : D.R.)
Le multi-threading arrive sur les puces ARM
ARM, qui conçoit des architectures processeurs, vend ensuite ses licences aux fabricants de puces. On retrouve notamment les puces à base d'ARM dans la plupart des smartphones commercialisés dans le monde. L'entreprise qui souhaite pénétrer de nouveaux secteurs, notamment ceux des serveurs, des réseaux et des télécommunications, cherche à booster les performances de ses processeurs. Le multi-threading permet d'exécuter plusieurs lignes d'instructions simultanées sur le coeur d'un processeur unique pour stimuler les performances des applications. Les calculs peuvent ainsi être répartis entre plusieurs lignes pour accélérer les opérations et obtenir plus rapidement les résultats.
« ARM n'a pas d'autre choix que de passer au multi-threading, surtout depuis qu'elle intègre de plus en plus de coeurs dans ses processeurs et qu'elle pénètre des environnements comme celui des serveurs, où les ordinateurs doivent exécuter beaucoup plus d'opérations, » explique Jack Gold, analyste chez J. Gold Associates. « Bien sûr, elle doit aussi faire en sorte que les différents systèmes d'exploitation tirent pleinement parti du multi-threading, mais je pense que cela se fera facilement, » a-t-il ajouté. « Les capacités multi-threading permettent de mieux gérer les architectures à coeurs multiples et sont bien adaptées aux environnements virtualisés, » estime-t-il. « Enfin, ARM doit rester compétitif. Intel offre le multi-threading. ARM doit donc l'ajouter, » a-t-il encore déclaré. En effet, les processeurs Intel pour ordinateurs de bureau et PC portables utilisent déjà le multi-threading ; IBM et Oracle/Sun ont également inclus des capacités multi-threading dans leurs processeurs.
1er marché visé : le réseau
Kumaran Siva a déclaré que l'adoption du multi-threading dépendra du marché pour lequel ARM conçoit des processeurs. « Le premier secteur concerné pourrait être celui des réseaux, » a-t-il dit. « Nous cherchons actuellement à voir comment ce segment pourrait bénéficier de l'usage du multi-threading», a-t-il ajouté. « Le multi-threading pourrait notamment aider les processeurs réseau - responsables du traitement des données circulant sur le réseau - à concentrer les données plus rapidement et à réaliser un travail d'adressage mémoire plus efficace entre les applications, » a-t-il expliqué.
Celui-ci a refusé de dire si le multi-threading serait élargi aux processeurs pour appareils mobiles. Ceux-ci ont rarement besoin du multi-threading, et la plupart des téléphones mobiles font tourner leurs applications en thread unique ou incluent éventuellement plusieurs coeurs afin d'exécuter des tâches simultanément.
Une migration difficile
Pour l'instant, ARM n'a pas encore validé le support du multi-threading dans le coeur du processeur Cortex-A15 annoncé en septembre, lequel serait cinq fois plus rapide que ses prédécesseurs. Selon Kumaran Siva, « les avantages ne justifient pas le coût. » Le passage d'une architecture mono-thread à une conception multi-thread a également des conséquences lourdes sur le développement logiciel. "De notre point de vue, sur le plan du développement des logiciels et de la maintenance, le multi-threading implique beaucoup de contraintes. Il est difficile par exemple de faire migrer un code conçu pour une microarchitecture multi-thread," a-t-il déclaré. Celui-ci n'a pas donné de date de sortie pour ces futurs processeurs.
(...)(30/09/2010 17:36:42)Pascal Guitton devient directeur de la recherche de l'INRIA
Michel Cosnard, patron de l'INRIA, nomme Pascal Guitton au poste de directeur de la recherche à compter du 1er octobre 2010. Auprès de la direction générale, et plus particulièrement du délégué général à la recherche et au transfert pour l'innovation, Pascal Guitton aura pour mission de définir et de mettre en oeuvre la politique de recherche de l'Institut dans le cadre de son plan stratégique. Il sera chargé de superviser l'ensemble des processus de création, d'évaluation et de coopération des équipes projets. Il organisera également l'animation scientifique et assurera la coordination avec les établissements de recherche et d'enseignement supérieur. Enfin il participera à la mise en oeuvre de la politique de l'Institut en matière de formation par la recherche et la diffusion de la culture scientifique.
Assurer le suivi des activités de formation menées au sein de l'Institut
Professeur d'informatique à l'Université Bordeaux I depuis 1992, Pascal Guitton était, depuis 2003, responsable de l'équipe-projet IPARLA (programme commun de l'INRIA avec l'Université Bordeaux I et le CNRS - LaBRI) spécialisée dans la visualisation et la manipulation de données complexes pour des utilisateurs mobiles. Depuis 2006, il était chargé de la mission « Jeunes chercheurs » au sein de la direction de la recherche de l'Institut. Il a également assuré le suivi des activités de formation relatives à la recherche et menées au sein de l'Institut : insertion professionnelle des docteurs, relations avec les écoles doctorales. Titulaire d'une thèse sur la validation des protocoles de communication, il s'est ensuite intéressé à l'informatique graphique, à la réalité virtuelle et à l'interaction 3D. Il est, par ailleurs, président et membre fondateur de l'Association française de réalité virtuelle qui regroupe des acteurs académiques et industriels.
Illustration : Pascal Guitton, directeur de la recherche de l'INRIA Crédit photo : Kaksonen/INRIA
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