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Recrutement

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(19/01/2011 10:16:05)

Silver Peak arrive en France et se dote d'un responsable

Eric Leblanc vient de rejoindre le fabricant d'appliances réseaux d'optimisation WAN pour les data centers au poste de responsable France et Europe du Sud. Il a désormais pour mission d'assurer le développement commercial des solutions Silver Peak en France et en Europe du Sud en créant et développant un réseau de partenaires dans ces territoires.

Eric Leblanc apporte à Silver Peak 18 ans d'expérience dans les nouvelles technologies et le management au niveau international. Avant de rejoindre le spécialiste de l'optimisation WAN pour les datacenters, il dirigeait la société Need IT qu'il avait lui-même créée. Il a précédemment occupé différents postes de direction chez Packeteer, Radware et 3Com.

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(11/01/2011 16:50:28)

GSI Conseil lance TouLeBiz.com une place de marché IT low cost

La SSII GSI Conseil lance la version bêta de TouLeBiz.com, une place de marché dédiée aux métiers de l'informatique. Celle-ci  vise à faciliter les échanges entre les différents acteurs de la high-tech. La plate-forme centralise, sur un seul et même site, plusieurs services gratuits et payants qui répondent aux besoins et attentes des candidats - particuliers, freelances -  et des recruteurs du secteur informatique. L'accès au site est entièrement gratuit. Les particuliers peuvent y déposer leur Cv, faire des demandes de stages, suivre les candidatures et sollicitations et publier des petites annonces à l'attention de professionnels. Les candidats ont également la possibilité d'enregistrer gratuitement leurs lettres types sur le portail. TouLeBiz.com permet parallèlement aux indépendants et aux entreprises d'accéder en libre service à la Cvthèque, de créer et de publier des offres de stage, de poster des offres d'emploi, de mission et également de formation. La création de catalogues de formation, de même que la publication de fiches freelances ou de fiches sociétés avec intégration aux annuaires figure également au menu.

Crédit-temps et services à la carte

Le portail propose à ses membres différents services gratuits ou payants à moindre coût. Cette politique commerciale vise à favoriser la pertinence du contenu via une notion de crédit-temps ou de services à la carte (type jeton d'accès unique aux coordonnées d'une mission) et l'accessibilité à une population actuellement pénalisées par les tarifs pratiqués (TPE, PME, Freelances). Exemple de la notion de crédit temps : une entreprise pourra  gérer elle-même la durée de publication de ses offres. Par exemple, pour 100 jours de crédit-temps achetés, elle publiera une offre pendant 100 jours, ou 5 offres pendant 20 jours ou 100 offres un jour, etc... Pour une offre publiée pendant 30 jours mais pourvue au bout de 15 jours, l'entreprise peut stopper la publication et préserver ainsi un crédit temps de 15 jours pour les mettre à profit lors de nouvelles publications. Pour les recruteurs et les freelances qui souhaitent publier des offres d'emploi et de mission, les tarifs sont de 40 euros pour 30 jours, de 60 euros pour 60 jours et de 85 euros pour 90 jours (valable six mois). La diffusion des offres et des annuaires de formation est payante, mais dès l'inscription, un crédit temps de six mois sera offert aux nouveaux membres. Le portail regroupe actuellement 250 membres et compte quelque14 000 pages vues depuis son lancement dont 30% d'entreprises.


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(10/01/2011 10:58:41)

Cognitis recrute 250 informaticiens

Cognitis France et sa filiale Vanilla (700 collaborateurs) poursuivent le rythme de leurs embauches. Après avoir intégré 150 consultants et ingénieurs IT en 2010, le groupe spécialisé sur l'ensemble des marchés du tertiaire financier table sur 250 recrutements supplémentaires d'ici la fin de l'année. L'entreprise recherche des spécialistes fonctionnels et/ou technologiques pour ses activités de cash management, de risques, de tenue de compte, d'épargne, de prévoyance et de santé.

Posséder entre 2 à 10 ans d'expertise

70% des postes à pourvoir concernent des profils de niveau expérimenté :   il s'agit de consultants en BI, MOA et QSI (qualité des systèmes d'information), d'ingénieurs d'études Java/C++/.NET, d'homologateurs/testeurs, de coordinateurs de projets et de consultants PMO (product managers office - gestion de projets de haut niveau). La SSII recrute également  des concepteurs fonctionnels et techniques, des architectes et des urbanistes, et également des chefs de projets IT et scrum.  Les candidats devront posséder entre 2 à 10 ans d'expérience et être issus d'écoles d'ingénieurs ou d'universités. Les offres sont principalement basées en Ile-de-France.  

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(05/01/2011 10:36:02)

Morcelé, le marché de la mobilité cherche à recruter

Le secteur de la mobilité numérique représente 47 000 emplois dans l'hexagone, hors opérateurs télécoms, selon le Syntec Informatique, qui est le syndicat de l'industrie informatique en France. Côté budgets, en 2009, les entreprises françaises ont dépensé en tout 2,2 milliards d'euros pour la mobilité numérique (hors factures de téléphone et de SMS, mais y compris les abonnements aux réseaux de données des opérateurs). Environ un tiers de ces dépenses a été consacré à l'achat d'appareils de type smartphones, terminaux durcis, PC portables etc, et un peu plus de 20% correspond aux abonnements de mobilité data des opérateurs mobiles. Le reste, c'est à dire presque un milliard d'euros a été consacré aux achats de logiciels et de services informatiques pour des applications mobiles.

L'offre de services est particulièrement émiettée. Et ce n'est pas nouveau tant les compétences nécessaires sont multiples face à l'explosion des systèmes d'exploitation et des facteurs de forme pour les terminaux (netbook, tablettes, smartphone). Le Syntec identifie pas moins de 5400 éditeurs et SSII qui travaillent dans le domaine de la mobilité pour les entreprises. Un véritable écosystème se met en place sur le territoire, avec de grands acteurs nationaux et internationaux mais aussi de petites structures qui ont développé une compétence dans le domaine de la mobilité. Notamment 10% de ces prestataires ne travaillent que dans les applications mobiles, et il s'agit principalement de petites structures de moins de 5 salariés. On trouve quelques entreprises de taille moyenne (de 10 à 30 salariés) dont la mobilité numérique est le coeur d'activité. Mais majoritairement (à 65%), les applications mobiles sont prises en charge par des entreprises pour lesquelles cette activité n'est pas majoritaire mais où elle enregistre une forte croissance. Il faut ajouter à ces acteurs les fabricants d'équipements (smartphones, ordinateurs portables, terminaux durcis, composants M2M) ainsi que les opérateurs de télécommunications.

Quelques difficultés pour trouver des compétences

Au bout du compte, les éditeurs de logiciels et les SSII emploient en tout 32 000 personnes dédiées à la mobilité numérique tandis que les entreprises utilisatrices de plus de 500 salariés emploient en tout 15 000 personnes dédiées. La très grande majorité des effectifs sont employés pour des usages B2B. On n'en trouve que 17% travaillant pour des usages B2B2C, 16% pour des usages M2M et 4% pour des utilisations B2C.

Le secteur va avoir de gros besoins dans les années à venir. Les applications mobiles ayant le vent en poupe dans les entreprises. Les éditeurs de logiciels et les SSII prévoient ainsi de recruter 11 000 collaborateurs d'ici 5 ans. Les métiers les plus porteurs seront la conception-réalisation, l'intégration-déploiement et l'assistance. Les bons profils ne sont toutefois pas légion. 24% des éditeurs et 25% des SSII ont des difficultés de recrutement principalement pour les profils conception et réalisation, et de manière moins importante pour les métiers de l'assistance, l'AMOA, l'intégration et le déploiement. Le Syntec regrette que face à ces besoins, il existe peu de formations spécifiques et peu de visibilité de la part des organismes de formation sur le futur de la mobilité numérique. Une action déterminée en direction des formations initiales et des formations continues est indispensable, demande le syndicat. 

Cette étude du Syntec a été réalisée entre les mois de janvier et mai 2010. 80 entretiens qualitatifs ont été réalisés avec des fournisseurs du secteur, des entreprises utilisatrices, des organismes institutionnels, des organismes de formation et des salariés du secteur. 300 entretiens téléphoniques ont été effectués aux mois d'avril et de mai auprès d'entreprises utilisatrices de plus de 500 salariés, des éditeurs de logiciels et des SSII.

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(27/12/2010 12:44:07)

Moins d'informaticiens inscrits au chômage en novembre 2010

Sur un nombre d'inscrits à Pôle Emploi en hausse de 2% sur un an dans la catégorie A (personnes sans emploi*) et de 0,8% par rapport à octobre dernier, on note à l'inverse une légère baisse, dans le classement par métiers, pour les professions liés aux systèmes d'information et de télécommunication. Entre octobre 2010 et novembre, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits pour ces métiers est passé de 27 100 à 26 500 personnes en France métropolitaine, dans la catégorie A. Il y a un an, fin novembre 2009, ce groupe comptait 28 500 personnes.

En ajoutant à ces demandeurs d'emploi les personnes inscrites dans les catégories B et C, c'est-à-dire celles ayant exercé une activité réduite sur la période, la Dares (**) a comptabilisé, en France métropolitaine, 32 900 demandeurs d'emploi en novembre 2010, contre 33 400 le mois précédent, sur les métiers liés aux systèmes d'information et de télécommunication. Fin novembre 2009, ce groupe comptait 33 900 personnes.

Il s'agit de données brutes, non corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables.

NB : Rappelons que la Dares a réorganisé sa classification métiers au début de cette année, faisant passer les professions de l'informatique dans la catégorie « métiers des systèmes d'information et de télécommunication » et reclassant au passage une partie des postes sur d'autres métiers. Ce nouveau décompte avait fait baisser le nombre d'inscrits assimilés jusqu'alors aux métiers de l'informatique

(*) 2 698 100 personnes inscrites à Pôle Emploi fin novembre 2010 en France métropolitaine dans la catégorie A qui recense les personnes sans emploi n'ayant exercé aucune activité dans le mois.
(**) La Dares (Direction de l'Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques, Ministère du travail, de la solidarité et de la fonction publique) indique qu'au total, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle Emploi de catégories A, B (ayant eu une activité d'au plus 78 heures au cours du mois) et C (ayant eu une activité de plus de 78 heures dans le mois) s'établit à 4 019 000 fin novembre en France métropolitaine (4 272 200 en incluant les DOM).

Source : Séries mensuelles nationales brutes de la Dares.

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(21/12/2010 12:27:14)

Smile recherche près de 200 spécialistes Open Source

Avis aux passionnés du web et des logiciels libres.   L'intégrateur français de solutions Open Source Smile (430 collaborateurs en France et à l'international) cherche à recruter 180 informaticiens en 2011. Les profils recherchés sont majoritairement des ingénieurs confirmés et environ 25 % de juniors. Les postes proposés ciblent principalement des ingénieurs d'études et développement, des experts techniques, des chefs de projet, des consultants et des ingénieurs d'affaires.

Plus de 60 postes ouverts aux stagiaires

Ils se situent au siège de la société à Paris, également en région (à Lyon, Nantes, Bordeaux, Montpellier) de même qu'à l'international (Amsterdam, Barcelone, Genève, Casablanca ou Kiev). Après leur intégration dans l'entreprise, les candidats pourront bénéficier de plus de 3 200 heures de formation et passer des certifications internes ou externes. Plus de 60 stages de fin d'étude, préludes à des embauches définitives, leur seront parallèlement offerts.

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(20/12/2010 14:52:13)

Bilan emploi 2010 : Une reprise de l'emploi IT en demi-teinte

Après une année 2009 exécrable, le marché de l'emploi informatique semble avoir retrouvé quelques couleurs. L'an dernier, les embauches de cadres dans la fonction informatique avaient baissé de 24%,  contredisant les prévisions des recruteurs qui escomptaient une hausse sur ces postes au début de l'année. Dans le même temps, environ 30 000 professionnels de l'informatique étaient inscrits au chômage, sur une population évaluée à 500 000 informaticiens en France. Malgré tout, cette année, la profession a mieux résisté que d'autres domaines. L'enquête besoins en main d'oeuvre (BMO) 2010 publiée au printemps dernier par Pôle emploi dénombrait pas moins de 48 564 projets de recrutement IT dans l'Hexagone. De son côté, la note trimestrielle de conjoncture du marché de l'emploi des cadres diffusée fin octobre 2010 par l'Apec indiquait que neuf entreprises sur dix avaient recruté des informaticiens au troisième trimestre 2010, contre huit sur dix au troisième trimestre 2009.

35 000 embauches d'informaticiens réalisées en 2010

L'organisme tablait également sur des prévisions de recrutements en hausse de 4 point, précisant, par ailleurs, que 69% des entreprises IT ayant embauché au troisième trimestre indiquaient avoir engagé des jeunes diplômés. Même son de cloche pour Syntec numérique. La fédération professionnelle des éditeurs, SSII et sociétés de conseil en technologies confirmait également la retour progressif à la normale sur le front de l'emploi high-tech. Sous l'effet du redémarrage de l'activité et de la reprise du turnover 35 000 recrutements d'informaticiens (dont 26 000 cadres IT) étaient attendus d'ici la fin de l'année pour un total de 3 000 à 5 000 créations nettes d'emploi. La projection sur 2011 laissait apparaître une prévision de 3% de hausse pour l'industrie des logiciels et systèmes et une croissance montant à 4% pour les éditeurs, et de  1 à 1,5 % pour les SSII.
Pourtant, le chômage et la précarité touchent toujours les  informaticiens : d'abord  les jeunes ingénieurs, dont le taux d'emploi a fortement reculé en 2010, avec seulement 70% des diplômés de 2009 en poste, soit une baisse de 10 points par rapport à ceux de la promotion 2008 et de 21 points par rapport à ceux de 2007. Ensuite, les victimes des plans de  licenciements, conséquence de projets de réorganisations suite à d'importants rachats, comme celui de Sun par Oracle.

Crédit photo: D.R
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(20/12/2010 11:28:54)

Apple recrute des développeurs spécialisés cartographie et navigation

Les annonces précisent qu'Apple souhaite embaucher quatre (ou plus) personnes pour son équipe de développeurs iOS qui ont une expérience en développement de logiciel de navigation. Les recrues pourront ainsi « nous aider à construire à partir de rien les meilleurs plates-formes hébergées au monde sur une grande échelle ». Les postes sont situés dans la vallée de Santa Clara. La firme de Cupertino recherche des personnes avec plus de trois ans d'expérience « en développement de haut niveau sur des systèmes logiciels reconnus. » C'est un plus si elles ont « une connaissance approfondie de la géométrie algorithmique ou la théorie des graphes. »

L'application par défaut pour les cartes sur iOS a été créée par Google depuis le lancement du premier iPhone en 2007. Maintenant que l'éditeur de Mountain View est devenu un concurrent sérieux dans le monde du système d'exploitation mobile, Apple cherche à minimiser sa dépendance envers les services de Google.

Une démarche déjà engagée


Les offres d'emplois ne sont pas le premier signe qu'Apple s'intéresse au marché de cartographie. Elle avait ainsi abandonné, au profit de sa propre base de données, les informations de localisation de Skyhook et Google lors du lancement de l'IOS 3.2 sur l'iPAD. Elle a également acquis en juillet dernier Poly9, société de logiciel de cartographie et Placebase en juillet 2009. Cette dernière était en concurrence avec Google Maps en proposant des outils de personnalisation, comme le moyen d'ajouter des données sur les cartes.

En novembre 2009, Apple avait proposé un emploi à quelqu'un qui pourrait aider à « travailler, repenser la façon dont les utilisateurs utilisent Maps ». Il semble qu'avec les nouveaux recrutements, le développeur en question verra son équipe s'étoffer.


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(13/12/2010 16:40:43)

Enquête Rennes Atalante : l'emploi IT a progressé de 2,23% en un an

2010 a été marquée par une reprise de la croissance des emplois dans les entreprises technologiques*  d'Ille-et-Vilaine. C'est ce qui ressort de l'enquête 2010 menée par la technopole Rennes Atalante auprès de 294 sociétés qui s'y sont implantées. L'étude montre que plus d'un millier d'emplois (1 082) ont été créés par ces entreprises entre octobre 2009 et octobre 2010. Pendant cette même période, 569 emplois ont également été supprimés. Au final, les entreprises de Rennes Atalante ont pu générer un solde positif de 513 nouveaux postes en 2010 ( contre 39 en 2009), soit une croissance de l'emploi de 3,07 % (contre 0,24 % en 2009). Le secteur des technologies de l'information qui représente 76 % des emplois des entreprises interrogées a connu une progression de 2,23 % (soit + 283 emplois).

Reprise des embauches dans les SSII

Très dépendantes de la conjoncture économique, les SSII de Rennes Atalante ont pu bénéficier du redémarrage de l'économie. Elles sont au nombre de 50 dans l'enquête emploi de la technopole rennaise et emploient près de 5 000 salariés. En 2010, 96 postes supplémentaires ont été comptabilisés dans le secteur des services informatiques. Pourtant, malgré une année 2009 diffIcile, les SSII rennaises avaient vu leurs effectifs progresser de 1,43 %, croissance qui s'est finalement établie à 4,15 % en 2010. Si France Telecom et ses filiales font partie des plus gros employeurs IT de la technopole, plusieurs SSII de plus de 300 salariés sont également représentées : parmi celles-ci  figurent SII, Capgemini Télécom Média & Défense, Alten Ouest et Atos Origin. Présente depuis la fin des années 70 sur  le pôle Rennes Atalante, la division TMD de Capgemini regroupe actuellement plus de 445 collaborateurs qui sont organisés soit en équipe dédiée à un projet, soit en centre de services client. L'entreprise entend recruter 120 collaborateurs en 2011, des jeunes diplômés issus d' école d'Ingénieurs ou  d'universités (Bac+3 à Bac+5) et également des profils  confirmés justifiant d'une 1ère expérience en développement, architecture ou en conduite de projets informatiques.

Depuis octobre 2009, le réseau de la technopole Rennes Atalante compte 41 entreprises technologiques  supplémentaires : 33 sont des créations pures et 8 sont des établissements de sociétés dont le siège est situé en France. 80 % de ces structures travaillent dans le secteur des technologie de l'information. Elles sont le reflet des pôles de compétences forts du territoire, à savoir les technologies logicielles et celles de l'image (vidéo, 3D, TV), le multimédia, les réseaux de communication ou encore la sécurité des systèmes d'information. En outre, l'arrivée en force des smartphones et de terminaux mobiles a permis la création de nouvelles entreprises spécialisées dans le développement  d'applications innovantes.

* Les entreprises technologiques de Rennes Atalante sont spécialisées dans les technologies de l'information, et également dans les secteurs de la santé, de la biodiversité, de l'agroalimentaire et de l'environnement.

Illustration : vue aérienne du site de Rennes Atalante Beaulieu. Crédit photo : TDF

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(10/12/2010 12:32:33)

Catalyz : Un salon d'emploi virtuel destiné aux ingénieurs

Lancé en partenariat avec l'Apec, le réseau social des grandes écoles Weavlink, HEC Paris et l'Insa de Lyon, le Forum Catalyz est un salon virtuel totalement gratuit pour les postulants. Pendant 5 jours, du 13 au 17 décembre 2010, les ingénieurs (étudiants, jeunes diplômés, ou professionnels expérimentés) pourront rencontrer plus d'une vingtaine d'entreprises du secteur de la high-tech en ligne. Ils auront la possibilité de chatter avec ces dernières et ainsi découvrir leurs métiers, stages et offres d'emplois, sans avoir besoin de se déplacer. Ce salon reproduira en ligne l'environnement d'un salon de recrutement, l'interactivité en plus, et les inconvénients en moins :  accessible 24h/24, en France comme à l'international, il présente l'avantage d'abolir les contraintes géographiques. L'intérêt pour les candidats globe-trotters ? Echanger depuis l'étranger pour trouver un stage plus simplement ou décrocher un job.

Une plus grande réactivité pour postuler rapidement

Le processus de recrutement pourra commencer lors de chats et se poursuivre avec un contact physique peu de temps après. En outre, l'intégration des réseaux sociaux à tous les niveaux du salon (sur les stands, les offres...) autorisera le partage d'informations. Seront présents des acteurs de l'informatique comme Accenture, Alten, Amaris, Atos Worldline, Gemalto, IBM, Logica, Sogeti, ou encore Solucom. Ils seront virtuellement présents pour présenter  5 700 offres IT et un peu plus de 3 700 stages à destination des ingénieurs.. Des postes d'informaticiens seront également à pourvoir dans des entreprises telles que GDF-SUEZ, PSA Peugeot Citroën, EDF, Faurecia, Procter & Gamble, Thalès, ou encore le groupe Eiffage.
Plus d'une centaine de chats seront programmés dans le cadre de cette opération. Les postulants pourront discuter en ligne avec IBM France, le 13 décembre, de 10 heures à midi et de 14 heures à 16heures sur ses offres de stage  De son côté, Alten ouvrira le dialogue, le même jour, de 13 heures à 14 heures sur les possibilités de carrière pour les ingénieurs. Le 14 décembre, Sogeti chattera avec ses futures recrues sur les opportunités et les perspectives d'emploi en région. Un test de carrière en ligne permettra également aux visiteurs de connaître les entreprises qui correspondront le mieux à leur attentes.

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