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Recrutement

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(10/12/2010 10:07:10)

Baromètre HiTechPros/CIO : un marché de l'emploi IT toujours à la baisse

Selon le Baromètre HiTechPros/CIO, la demande en compétences informatiques a baissé de 4,7% entre novembre 2009 et novembre 2010 selon ce que la place de marché a constaté. Cependant, les catégories techniques les plus demandées n'ont toujours pas changé. Les compétences les plus recherchées restent : « Nouvelles technologies » (28 % des demandes), « Systèmes, réseaux, sécurité » (27 %) et « Consulting Expertise » (14 %).

Sur une année glissante entre novembre 2009 et novembre 2010, la baisse des demandes dans la catégorie « Nouvelles technologies » (35 % à 28 % des demandes) est compensé par une hausse de la catégorie « Systèmes, réseaux, sécurité » (17 % à 27 % des demandes). Trois catégories de compétences techniques ont cependant particulièrement progressé ce mois-ci : Systèmes, réseaux, sécurité (+49,6 % ), Mainframe (+32,2 %) et Rrecette, support utilisateurs (+4,2 %). A l'inverse, trois autres sont particulièrement affectées par la crise : CRM (- 5,6 %), ERP (-21,4 %) et Nouvelles technologies (- 24 %).
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(09/12/2010 17:10:27)

Les femmes sont devenues accros des outils Internet

Les femmes sont toujours sous représentées dans le secteur informatique en Europe, et particulièrement en France. Dans l'Hexagone, la proportion de jeunes filles formées dans les écoles d'ingénieur n'augmente plus depuis cinq ans, alors qu'elle était en constante progression depuis plusieurs décennies  Microsoft a choisi de dresser un état des lieux de l'emploi des femmes dans l'IT au cours d'un débat intitulé : « Révolution numérique et emploi des femmes ». Entrepreneuses, blogueuses, spécialistes de la question des femmes, expertes de terrain, toutes s'accordent sur l'approche créative, personnelle, libératrice qu'ont les femmes du numérique. Alors Internet libère-t-il les femmes ? Le numérique permet-il de réduire les inégalités hommes/femmes dans la vie professionnelle ? Pour Isabelle Juppé (à l'extrême-droite sur la photo principale), auteur de la femme digitale, l'appropriation des outils high-tech concerne trois catégories de femmes : «On peut identifier la famille des « utilisatrices », c'est dire celles qui considèrent les produits IT comme des simplificateurs de vie compliquée, expose-t-elle. Viennent ensuite les « actrices », des femmes qui travaillent dans l'univers du numérique et qui sont créatrices de sites Internet, des scientifiques ou des informaticiennes. Puis, la catégorie « des magiciennes », qui se sont réinventées une vie professionnelle grâce aux possibilités offertes par la Toile, en créant leurs blogs ou en étant actives sur des réseaux sociaux.»

En France, 50% des internautes seraient des jeunes filles

Natacha Quester-Séméon, journaliste, productrice, vidéo blogueuse et co-administratrice de plusieurs initiatives humanistes, estime pour sa part que les nouvelles technologies sont de plus en plus présentes dans le quotidien des femmes : « La distinction hommes/femmes tend à s'estomper dans l'IT », considère t-elle. Plus de la moitié des internautes sont des jeunes filles. Elles sont 8% de plus que les garçons à  être en ligne et une grande majorité d'entre elles indique préférer investir dans un ordinateur plutôt que dans d'autres produits. » D'après Natacha Quester, les femmes seraient plus présentes que les hommes sur les réseaux sociaux (75,8%) et passeraient davantage de temps sur des sites de microblogging comme Twitter (55% de femmes contre 49% d'hommes). Les raisons de cet engouement ? Les enfants qui conduiraient une grande majorité de mamans (73%) à maîtriser les outils du web.




20% de femmes dans l'IT

En revanche, en Europe, comme aux Etats-Unis, l'utilisation des smartphones reste l'apanage des hommes. Les téléphones intelligents équipent 60% de garçons contre 40% de femmes.. Pourtant, même si les PC et le Net sont parvenus à  faire partie du quotidien de certaines femmes, elles restent encore largement sous-représentées dans les filières scientifiques, surtout dans la fonction informatique. « En France, les femmes qui travaillent dans l'IT ne représentent que 20% de la population active », faisait remarquer Valérie Dagand, présidente du réseau Cyberelles. A l'opposé, en Nouvelle Zélande ou en Malaise, elles représentent 50% des effectifs, car ces métiers sont considérés comme importants pour des questions de représentation culturelle. En outre la part des femmes ingénieurs dans l'Hexagone recule d'un point chaque année : «Dans l'ingénierie, le pourcentage des femmes est passé de 17,5% en 2007 à 16% dans les années 2009 et 2010 », regrette Valérie Dagand. Elles seraient également deux fois plus nombreuses que les hommes à quitter la filière informatique  Pour Valérie Dagand, les raisons de cette désaffection sont à mettre sur le compte du phénomène du « plafond de verre ».Elles seraient seulement 9% à faire partie de la population des dirigeants, soit 11%% de moins que leurs homologues masculins. En outre, il existerait peu de modèles de réussite au féminin dans la population des ingénieures.

«Dans la filière informatique, les aspects éducation et formation doivent impérativement être renforcés », a insisté  Isabelle Juppé. La transmission du savoir est particulièrement  importante. Les outils du numérique sont devenus de plus en plus complexes ». Pour cette dernière, le secteur de la formation high-tech pourrait d'ailleurs être un champ possible d'emploi pour les jeunes femmes en recherche d'emploi.

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(08/12/2010 15:37:45)

Akka embauche une centaine de stagiaires en CDI

AkkaTechnologies est en pleine dynamique de recrutement. La société d'ingénierie et de conseil en technologies (5 527 personnes dans le monde, dont 5 000 en France), qui a réalisé 1 000 embauches au cours des 9 et 11 premiers mois de 2010, entend étoffer ses équipes de 1 500 nouveaux collaborateurs en 2011. « Nous recherchons essentiellement des ingénieurs issus des grandes écoles ou des universités, précise Thomas Hénaut, directeur du recrutement. 40% des postes concernent des candidats expérimentés ayant entre 3 à 8 ans d'expérience,  30% des offres s'adressent à des jeunes diplômés (possédant de zéro à 2 ans d'expertise), la part restante vise des seniors ayant 8 ans d'expérience. » A l'instar d'autres acteurs de l'IT,  l'entreprise peine à trouver certaines spécialités  : « Les ingénieurs d'études et développement Java/J2EE, .Net  et C Sharp sont toujours difficiles à trouver, précise-t-il. Le constat est similaire pour les compétences électroniques en temps réel et systèmes embarqués, de même que pour les consultants technico-fonctionnels spécialistes d'ERP comme SAP BW. Sur ces profils, la situation est proche de celle rencontrée dans les années 1998 à 2001. »


300 jeunes ingénieurs ont répondu présent

En plus d'emmener tous les ans une trentaine d'étudiants de grandes écoles d'ingénieurs (comme Centrale Paris et Lyon, l'Ensta, l'Isae, l'Insa, ou les Arts et Métiers) sur les pistes de ski de Serre-Chevalier dans le cadre de son concours Challenge, la SSII a lancé sa première opération de recrutement à destination de stagiaires : plus de 100 offres leur ont été proposées en France et à l'international au cours de trois soirées organisées à Paris, Lyon et Toulouse les 23, 25 et 30  novembre derniers. Le concept semble avoir séduit puisque plus de  300 étudiants de grandes écoles d'ingénieurs ont répondu présent à l'invitation.  « Les stages à pourvoir sont de tout type, précise le directeur du recrutement. Nous proposons aux jeunes candidats d'assumer des fonctions techniques au sein de nos centres de services, sur des prestations nécessitant des obligations forfaitaires ». Des missions plus fonctionnelles et des postes d'ingénieurs d'affaires juniors leur sont également ouverts. Au final, 90% des stages se soldent par des embauches en CDI.

Illustration : Thomas Hénaut, directeur du recrutement d'Akka Technologies


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(07/12/2010 17:40:39)

Etude Ipsos/Microsoft : les femmes restent sous équipées en outils informatiques

Les femmes ont-elles une relation particulière aux technologies numériques ? Microsoft et l'institut de sondage Ipsos se sont penchés sur la question en se basant sur les résultats d'une étude intitulée « le numérique, facteur de réduction de l'inégalité professionnelle hommes/femmes ». Cette enquête a été menée auprès de 500 femmes actives. « La typologie des usages numériques a éé effectuée sur quatre grande familles de femmes, a indiqué Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos à l'occasion d'un point presse. « Tout d'abord, les femmes numériques (61% de l'échantillon), très attirées par la technologie et disponibles dans leur travail : 100% d'entre elles disposent par ou pour leur travail d'au moins un outil numérique, dont 95% qui ont accès à un ordinateur. » Le responsable de l'institut de sondage a également indiqué que plus de la moitié d'entre elles (56%) ont suivi une formation IT. Elles sont souvent titulaires d'un CDI à temps plein. En outre , 65% de ces « femmes numériques »  travaillent dans un bureau ou en télétravail et 78% ont un niveau Bac et supérieur. Plus souvent entrepreneuses, cadres ou cadres supérieures, elles viennent le plus souvent de l'agglomération parisienne.

Une situation professionnelle améliorée via l'IT

A l'opposé,  91% de la population des femmes dites  « techno-sceptiques » (17% des sondées), ne pensent pas qu'utiliser davantage le numérique pourrait leur permettre d'améliorer leur situation professionnelle. 69% ne possèdent aucun outil IT et près de 90% n'ont jamais suivi de formation informatique. Près de la moitié de ces femmes travaillent à temps partiel, dont 43% en temps de travail subi.

Quant à la classe des personnes dites techno-défavorisées (12% du panel), elles sont nombreuses (62%) à estimer que le recours aux équipements IT leur permettrait d'améliorer leur situation au travail. 72% ont une formation initiale de niveau inférieur au égal au bac. 74% n'ont pas été formées à l'high-tech et 40% ne possèdent aucun équipement par ou pour leur entreprise. Enfin, un peu plus d'une femme « techno-demandeuse » sur deux (56%) souhaiterait s'appuyer davantage sur du matériel numérique pour améliorer sa situation au travail. Elles sont  81% à exprimer le besoin de mieux savoir les manier. Actuellement en recherche d'un emploi et souvent mères de famille, 53% d'entre elles estiment probable qu'un employeur considère qu'elles sont moins disponibles que leurs collègues hommes. Ce sentiment d'indisponibilité prédomine chez toutes les personnes interrogées :  quatre sur dix indiquent se sentir moins disponibles que leurs collègues hommes, un facteur à mettre sur le compte des enfants ( pour 56% des sondées). Des progrès sont également à faire concernant le taux d'équipement à destination de la population féminine : si 72% des femmes possèdent un PC et logiciel de traitement de texte, elles ne sont qu'un peu plus de la moitié à disposer d'une messagerie électronique personnelle. En outre, seules un peu plus d'un tiers (37%) disposent d'un accès  Webmail sécurisé. Enfin, elles sont encore moins nombreuses (9%) à être pourvues d'un smartphone.

Illustration : Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos. Crédit photo: Ipsos

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(06/12/2010 11:10:58)

Spécialiste des TIC, Christiane Féral-Schuhl devient bâtonnier de Paris

Les élections au bâtonnat de Paris ont été remportées par Christiane Féral-Schuhl, pour nouvelle bâtonnier, et son colistier Yvon Martinet, comme vice-bâtonnier. Christiane Féral-Schuhl est la deuxième femme de toute l'histoire de cette institution à être élue, les femmes étant rares au niveau national dans les différents barreaux. Surtout, c'est la première spécialiste des TIC à être ainsi distinguée. Alors que la profession d'avocat est amenée à toujours plus dématérialiser, y compris dans ses relations avec les administrations de la Justice, ce point n'est pas neutre.

Christiane Féral-Schuhl collabore régulièrement avec les titres du groupe IT News Info depuis de nombreuses années, notamment via des interventions en conférences, des tribunes et des avis d'expert. Nous l'avions reçue en interview vidéo pour la sortie de la cinquième édition deCyberdroit (photo ci-dessus), la Bible du droit de l'informatique. La sixième édition de ce livre vient d'ailleurs de sortir.

Précisons une particularité des élections au Bâtonnat : le nouvel élu ne prend toutes ses fonctions qu'au bout d'un an afin de se préparer à remplir son rôle aux côtés de son prédécesseur.


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(02/12/2010 15:52:49)

Micropole favorise l'embauche en CDI de stagiaires

La société de services informatiques Micropole (1 200 collaborateurs) a décidé de favoriser l'embauche de stagiaires. La SSII, qui a déjà réalisé 300 recrutements en 2010, intègre chaque année une soixantaine d'étudiants en stage de pré-embauche pour des postes de consultants juniors. Le taux de transformation de ces stages en CDI avoisine les 85%. Pour la DRH, l'intégration des étudiants est prise très au sérieux. « Nous sommes pleinement conscients que ces jeunes sont avant tout des stagiaires, indique Nathalie Choux, directrice des ressources humaines. Nous passons donc beaucoup de temps à compléter leurs connaissances théoriques  Notre institut de formation se charge de les accompagner durant leur intégration dans l'entreprise, et ils sont également soutenus tout au long de leur parcours par des experts. »
Chez Micropole, le stage se découpe en deux phases. La première, qui dure trois mois, est une période de montée en compétences et de transformation des acquis scolaires : c'est l'adaptation au milieu professionnel. Durant la seconde partie le stagiaire est intégré dans les équipes de travail au même niveau que les autres collaborateurs, en continuant à être suivi par un responsable pour tous les aspects relatifs à son stage : rédaction du rapport, présence lors des soutenances
Pour l'aider à trouver des candidats, le groupe a choisi de se rapprocher des écoles et des universités. « Nous travaillons en étroite collaboration avec des équipes pédagogiques sur des modules spécifiques, précise Nathalie Choux, Nous intervenons également sur de la réalisation de projets à partir de la 3ème et de la  4ème année du cursus universitaire » La SSII accueille des élèves d'écoles d'ingénieurs, telles l'UTC, l'Eisti ou l'Esme Sudria mais aussi d'universités, comme l'Institut Galilée université Paris XIII Villetaneuse. L'objectif de ces stages porte sur  l'acquisition des méthodes agiles (Scrum, Kanban, méthodes internes...) et de compétences techniques se rapportant aux nouvelles technologies (Java/J2EE, .Net, etc.)

Une formation assurée tout au long du stage

Côté candidats, le constat semble positif. Alexandre Bourgneuf, embauché depuis un an en CDI comme consultant MDM  (Master data management - gestion des données de référence), après avoir obtenu un Master en ingénierie informatique à Paris VII Diderot, raconte :  «Après avoir passé des entretiens dans les grosses sociétés informatiques du marché, j'ai préféré intégrer une entreprise à taille humaine. J'ai aussitôt  travaillé sur le MDM, un domaine que je ne connaissais pas, mais cela ne m'a pas posé de problèmes car j'ai été formé dès la première semaine sur ses différents concepts ». Pour ce jeune universitaire, l'accompagnement a su faire la différence :
« Mon chef de projet m'a coaché tout au long de mon stage. Il m'a appris ses méthodes de travail et également à écouter pour mieux comprendre les besoins des clients, En outre, j'ai pu rejoindre l'équipe de développement non pas en tant que stagiaire mais comme développeur, avec des responsabilités qui ont été crescendo. » Actuellement en mission chez un client comme responsable de l'application MDM, ce consultant junior est en relation avec la maîtrise d'ouvrage qui lui demande de faire du développement en fonction de ses spécifications. Il souhaite progresser dans son métier pour mieux conseiller ses clients et évoluer, à terme, vers du pilotage d'équipes.

Photo : Nathalie Choux, DRH de Micropole. Crédit photo : Jim Wallace,

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(30/11/2010 17:20:24)

Le Ministère des Finances recrute des informaticiens

Pour répondre aux enjeux de la réforme de la modernisation de l'Etat. le secteur public continue de recruter des informaticiens. Deux concours sont organisés dans ce but par la direction générale des finances publiques. Le premier porte sur les embauches par voie interne et externe de 70 contrôleurs des impôts (catégorie B). Ces derniers seront affectés au traitement de l'information en tant que programmeurs. Les candidats au concours externe devront être titulaires d'un baccalauréat ou d'un diplôme classé au moins au niveau IV (brevet de technicien ou professionnel). Les postulants au concours externes seront fonctionnaires ou agents non titulaires de l'Etat. Les épreuves auront lieu les 15, 16 et 17 mars 2011. La date limite de retrait des dossiers d'inscription a été arrêtée au 20 janvier prochain.

Un diplôme sanctionnant un deuxième cycle

Le second concours organisé par le ministère conduira au
recrutement d'une vingtaine d'inspecteurs des impôts (de catégorie A)  programmeurs en système d'exploitation. Les candidats au concours externe devront posséder un diplôme national sanctionnant un deuxième cycle de l'enseignement supérieur ou un diplôme titre classé au moins au niveau II (c'est à dire de formation de niveau égal ou supérieur à celui des écoles d'ingénieurs ou de la licence). Les écrits se dérouleront les 22 et 23 mars 2011. Les  dossiers d'inscription devront être retirés avant le 10 février 2011.

Illsutration: siège du Ministère du Budget. Crédit photo: Ministère du Budget
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(30/11/2010 12:56:53)

TRSB table sur 200 embauches en 2011

La société de services informatiques TRSB (550 collaborateurs en France) poursuit le rythme de ses recrutements. Après avoir réalisé un peu plus de 200 embauches en 2010, le groupe, qui table sur un volume similaire pour l'année prochaine, organise une soirée spéciale le 9 décembre prochain à Paris. Cet évènement donnera aux candidats la possibilité d'échanger autour des expertises métiers que la SSII entend développer, dans les secteurs  banque/assurance/finance, énergie/média/transport, industrie et distribution.

40% de postes à pourvoir en région

La plupart des offres sont localisées sur Paris et sa région, mais des opportunités de postes (40%) concernent également la province (Rhônes-Alpes, PACA, Languedoc-Roussillon). La palette des profils recherchés est variée : il s'agit d'ingénieurs systèmes en environnements Unix/Windows et Microsoft, de spécialistes en messagerie et groupware sur Domino/Exchange, d'administrateurs bases de données Oracle,  d'ingénieurs de production et d'exploitation, d'experts réseaux et télécom, de chefs de projets systèmes et réseaux, et également de responsables d'équipe. 
TRSB a enregistré un chiffre d'affaires de 17,1 M€ au cours du premier trimestre, en hausse de 53% par rapport à la même période un an plus tôt, dont 22,5%  de croissance organique.

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(29/11/2010 11:11:59)

Zijob rend le recrutement accessible à tous

Positionné sur le marché des cadres et des non cadres, le portail Zijob est né d'un constat simple : recruter sur Internet coûte cher et n'est pas accessible à l'ensemble des acteurs, en particulier les entreprises de petite taille. De quelques centaines  à plus d'un millier d'euros, c'est le prix proposé aujourd'hui par les acteurs de l'emploi sur Internet pour poster une offre. Outre la publication d'annonces à partir d'un euro (par jour et par offre), ce site low-cost donne aux entreprises la possibilité de consulter une CVthèque pour la même somme. Un recruteur peut ainsi visualiser la base de CV de Zijob avec achat de CV à l'unité à moindre coût. Pas besoin d'abonnement ou de relation avec un commercial, tout se fait en ligne en un clic.

700 postes à pourvoir en informatique et télécoms

Des services comme la réception (par email) et la gestion des candidatures, l'ajout de logo et la publication des annonces sur Twitter et Facebook sont proposés gratuitement. Zijob regroupe 15 000 postes dans plus de 700 métiers du secteur privé et public, de même que 19 000 CV. Le service  possède une rubrique informatique et télécoms dans laquelle plus de 700 offres sont répertoriées. De leur côté, les candidats ont la possibilité de consulter rapidement la liste des postes situés à coté de chez eux grâce à des fonctions de recherche localisée.


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