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Recrutement
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(20/01/2009 10:11:19)
L'Aquitaine peine à trouver ses informaticiens
L'Adeiso, association regroupant plus d'une centaine d'entreprises et de DSI de la région Aquitaine a mené une enquête sur les besoins en recrutement de ses membres. Il manque actuellement sur la région une cinquantaine de postes d'informaticiens de haut niveau : techniciens Java/J2EE, .net « Le phénomène de pénurie existe depuis janvier 2007 et persiste » note Jean-François Esnaud, vice-président de l'Adeiso. Des réflexions ont donc été menées avec la Chambre de commerce de Bordeaux pour identifier les raisons de cette tension. Sur le diagnostic, les éléments sont multiples. Les informaticiens se mettent un peu moins facilement sur le marché en temps de crise. Le nombre de jeunes formés dans la région s'avère insuffisant, malgré la présence d'une école, l'Enseirb et d'un Miage (Méthodes Informatiques Appliquées à la Gestion des Entreprises). Eux-mêmes n'ont pas assez de candidats pour former davantage d'informaticiens et d'électroniciens. Peut être que les formations financières et commerciales, mieux valorisées, on également attiré davantage de candidats ces dernières années. Enfin, la région reconnue pour son cadrer de vie l'est moins pour son potentiel en matière de NTIC. Jean-François Esnaud, par ailleurs directeur commercial pour le secteur Aquitaine de Capgemini Ouest, souligne par exemple que cette SSII, en Aquitaine, gère avec 250 techniciens les allocations chômage pour toute la France pour le compte du nouveau pôle emploi. Ce type d'exemple abonde mais est mal valorisé. (...)
(19/01/2009 11:39:23)Baromètre semestriel HiTechPros : l'impact visible de la crise
HiTechPros tient un baromètre de l'offre et de la demande en prestations informatiques liées à sa place de marché électronique. Le baromètre du dernier semestre 2008 montre l'impact déjà clair de la crise économique. L'écart entre l'offre de compétences et la demande se creuse toujours plus et les tarifs n'évoluent pas dans le bon sens pour les prestataires. L'offre est ainsi jusqu'à quatre fois supérieure à la demande et les tarifs des prestataires reviennent aux montants de mi-2005 ! « Sur un an, le tarif moyen des prestations a chuté de 1,46% » indique-t-on chez HiTechPros. Du point de vue sectoriel, la répartition de la demande en compétences informatiques ne subit pas de bouleversements sur un an à deux remarques près : les secteurs industriels voient leur poids se réduire légèrement au profit du secteur des médias et de la communication. Mais la quantité de prestations chute. Tous les secteurs sont donc plus ou moins frappés de manière similaire. Pour 2009, les DSI n'attendent pas une variation des effectifs informatiques trop importantes : 63% des DSI s'attendent à une stabilité des effectifs au premier semestre 2009 et 70% au second semestre. Une augmentation des effectifs est même envisagée pour 22% des DSI au premier semestre contre 15% au second. (...)
(15/01/2009 16:07:09)Google supprime une centaine de postes de sa division recrutement
Google a décidé de lever une partie du voile sur le nombre de sous-traitants qu'il compte remercier. Le géant des moteurs de recherche vient en effet d'indiquer qu'il allait mettre fin à la majorité des contrats passés avec ses fournisseurs de services de recrutement. Selon le billet posté sur le blog officiel de Google, Laszlo Bock, vice-président de l'activité "People Operations" de la firme de Moutain View précisait : « Google continue de recruter, mais à un rythme moins soutenu, compte tenu du climat économique actuel. Ce ralentissement des embauches nous a conduit à réduire la quasi totalité des contrats passés avec les prestataires qui nous fournissaient des services liés au recrutement ». L'entreprise a décidé d'aller plus loin en réduisant la taille de sa division recrutement, décision qui se soldera par la suppression d'une centaine de postes aux RH. Dans son billet, le vice-président de Google reconnaît que ce soudain changement d'orientation sera très difficile pour les personnes concernées, et il espère qu'elles pourront se reclasser au sein de l'entreprise : « Les salariés qui travaillent aux recrutements ont aidé à bâtir cette entreprise, grâce à l'embauche de nouveaux collaborateurs, et nous leur sommes extrêmement reconnaissants pour tout ce qu'ils ont fait ». Pas sûr que la centaine de salariés concernés par ces suppressions de postes soient sensibles à un tel gage de reconnaissance. (...)
(14/01/2009 12:45:11)La fonction publique continue de recruter des informaticiens
Crise oblige, les campagnes de recrutement, auparavant massives, ont tendance à se raréfier dans les entreprises informatiques du privé. En revanche, le secteur public, lui continue de recruter, pour répondre aux enjeux de la réforme de la modernisation de l'Etat. C'est le cas du ministère de l'Intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales, qui annonce l'ouverture, pour 2009, de ses concours d'ingénieur des systèmes d'information et de communication. Plus d'une centaine de postes à pourvoir aux Finances Les candidats devront retirer leurs formulaires d'inscription avant le 27 février pour participer aux épreuves, dont la date a été arrêtée au 6 avril. Ils pourront s'inscrire en se connectant sur le site Internet du ministère de l'intérieur, ou bien par voie postale. Le nombre de postes ouverts pour chacun des concours sera fixé par arrêté, ultérieurement. Autre concours pour les informaticiens qui souhaitent intégrer la fonction publique, celui de la direction générale des finances, qui cherche à recruter un peu plus d'une centaine d'informaticiens, des analystes et des programmeurs. La date de retrait des candidatures a été fixée entre le 22 janvier et le 11 février, selon les catégories professionnelles recherchées. (...)
(13/01/2009 17:06:28)Syntec Informatique prépare son plan d'action pour doper l'industrie du logiciel
C'est le 20 janvier prochain que la commissaire européenne à la Société de l'information Viviane Reding doit recevoir à Bruxelles les différents contributeurs lui ayant transmis des propositions pour développer l'industrie du logiciel en Europe. Parmi eux, le Comité Editeurs de Syntec Informatique, co-présidé par Pascal Rialland (DG de SAP France) et Gérard Claverie (vice-président du conseil de surveillance de Générix), qui a remis le 12 novembre dernier à la commissaire une prise de position commune avec huit autres associations professionnelles IT européennes. Entre-temps, chacune de ces organisations a travaillé localement pour bâtir un plan d'action afin d'avancer concrètement au niveau de chaque pays, dans la droite ligne des propositions faites à Bruxelles. Dans ce cadre, le Comité Editeurs du Syntec Informatique devrait restituer, fin février ou début mars, un premier niveau de plan d'action détaillé répartissant les actions à mener en quatre axes, sous le sigle i3C : Innovation, Client, Croissance et Consolidation. " Le rapport Besson a formalisé qu'il y a création de croissance lorsqu'on investit dans les nouvelles technologies, mais sans mettre suffisamment l'accent sur l'industrie du logiciel ", rappelle Pascal Rialland. D'où l'importance, pour le syndicat professionnel, de renforcer les initiatives propres à doper ce marché sur lequel évoluent une multitude de petits acteurs. Un statut pour les éditeurs et l'extension du crédit innovation En tout premier lieu, dans le domaine de l'innovation, primordial s'il en est, le Comité Editeurs maintient son souhait que soit établi un véritable statut pour les sociétés d'édition de logiciels, dans l'esprit de ce qu'il avait déjà proposé en janvier 2008 dans le rapport réalisé avec le Medef (" Faire de la France un leader de l'économie numérique "). De même, le Syntec Informatique réitère son intérêt pour la création d'un fonds commun de placement (les SOFICIEL) qui permettrait de déduire fiscalement les investissements réalisés dans les sociétés d'édition de logiciels, au même titre que les SOFICA aident à financer l'industrie cinématographique et audiovisuelle. " Cela me paraît simple à mettre en place et pourrait aider bon nombre de création d'entreprises ", juge Pascal Rialland. Il souligne aussi tout l'intérêt d'étendre l'assiette du crédit innovation, au-delà du coût de l'invention, à l'ensemble du coût de développement, ce qui inclut ainsi la réalisation et le test d'un logiciel prêt à la commercialisation (un coût environ dix fois supérieur à celui de la stricte invention). Communiquer sur les travaux de recherche publics " Nous souhaitons aussi que les pouvoirs publics communiquent sur les travaux des centres de recherche publics qui travaillent parfois dans des domaines proches de l'édition de logiciels, poursuit le co-président du Comité Editeurs. Par ailleurs, Syntec Informatique aimerait se rapprocher des pôles de compétitivité pour développer avec eux une approche collaborative et faciliter les synergies avec nos adhérents. " La valeur réside dans ce qui est développé, et non dans le 'business model' [[page]] Toujours dans le domaine de l'innovation, inventaire sera dressé des différents modèles économiques qui existent dans l'industrie du logiciel (Open Source, SaaS, droit d'usage...) en prenant garde à souligner que l'innovation ne réside pas dans le " business model ", mais dans la plateforme développée et dans la " réponse métier " que le logiciel apporte aux clients qui, seuls, déboucheront sur un revenu récurrent et la génération d'un cash-flow positif. Enfin, dans le cadre du financement de l'innovation, le Syntec Informatique va répertorier les aides disponibles pour indiquer à ses adhérents les mieux adaptées à leur situation. Approfondir les relations avec Ubifrance et avec le Cigref Dans le domaine de l'accès aux clients, deuxième rubrique du plan d'action du Comité Editeurs, l'une des premières initiatives consistera à approfondir les relations avec Ubifrance, l'agence française pour le développement international. Après avoir développé son activité sur le territoire national, un éditeur cherche à l'étendre dans les pays de l'Union européenne et dans les pays francophones. Or il s'agit d'une aventure rien moins qu'évidente (voir par exemple la tribune de Julien Victor, d'Effisoft, dans notre blog Experts) dans laquelle Syntec Informatique peut accompagner fort utilement les PME innovantes qu'il compte parmi ses adhérents. " Nous allons également travailler avec le Cigref avec lequel nous avions déjà une charte ", ajoute Pascal Rialland. Le Cigref, club informatique des grandes entreprises françaises, est présidé par Bruno Menard, vice-président IT groupe de Sanofi-Aventis depuis novembre dernier. Des outils pour aider à attribuer une valeur au système d'information [[page]] Le troisième point du plan d'action concerne la croissance. Il est ici question de valoriser le système d'information des clients et de montrer comment celui-ci peut apporter de la croissance aux entreprises. " Dans ce domaine, nous comptons nous rapprocher de l'Observatoire de l'immatériel ", précise Pascal Rialland. Le co-président du Comité Editeurs reconnaît ici une frustration. " Les entreprises apportent une valeur tangible à leur marque, mais elles ne sont pas capables d'attribuer une valeur à leur système d'information ", regrette-t-il. Une méthodologie et des indicateurs vont donc être mis au point pour aider les clients à valoriser leur SI, notamment face à leur banquier ou à des acquéreurs. Favoriser l'apprentissage et la formation en informatique " Nous entendons aussi mettre l'accent sur l'importance du capital humain en renforçant nos relations avec l'association Pascaline ", complète Pascal Rialland. Créée à l'initiative du syndicat professionnel, Pascaline regroupe 61 écoles et entreprises autour de la promotion des métiers de l'informatique. " Nous utiliserons l'interface unique du Syntec Informatique pour favoriser l'apprentissage et la formation en alternance qui permettent de former et de pré-recruter. " Protéger la propriété intellectuelle Enfin, le quatrième point du plan d'action concerne la consolidation. Ce thème recouvre principalement la protection de la propriété intellectuelle, capitale pour les éditeurs de logiciels. " En trois ans, j'ai constaté une évolution ennuyeuse, alerte Pascal Rialland. Il faut être vigilant sur ce terrain et communiquer. Attention, notamment, aux dépassements d'usage sur les logiciels. Je suis inquiet pour les petits éditeurs. Pour vivre dans ce métier, il faut apporter de la valeur ajoutée et faire respecter son modèle. " Enfin, une réflexion est également menée sur les moyens à mettre en oeuvre pour apporter un peu d'air aux éditeurs au niveau de leur trésorerie et de leurs capacités de financement. (...)
(13/01/2009 14:22:37)Index Freelance : les spécialistes d'Oracle et de SAP prennent la tête du classement
Sur les premières semaines de 2009, le top 10 des compétences les plus demandées sur des missions ponctuelles subit quelques changements majeurs sur l'index du site Freelance.com qui propose aux entreprises les services d'informaticiens en freelance. Pour la première fois depuis mai 2008, les indépendants spécialistes d'Oracle prennent la tête du classement. ex-aequo avec les consultants en environnement SAP. Du coup, les compétences Unix (analystes, consultants et administrateurs) reculent de la première à la troisième place du palmarès. Autre modification notable en ce début d'année : la sortie du tableau des développeurs Java, victimes d'une forte chute en novembre dernier.
Freelance.com note également l'arrivée de quatre nouvelles compétences dans son classement : il s'agit des développeurs spécialistes de Microsoft.Net, des consultants et des chefs de projet maîtrisant IBM MVS, des développeurs WinDev et des chefs de projets en environnement IBM AS/400.
La place de marché relève aussi l'entrée en fin de liste des professionnels de DB2 (utilisant le langage SQL) avec une recherche de profils tournée vers le consulting.
(...)
Tod Nielsen quitte Borland pour assurer la direction des opérations de VMware
Tod Nielsen quitte la présidence et la direction générale de Borland Software pour VMware où il va occuper le nouveau poste de COO (Chief Operating Officer, directeur général des opérations). Agé de 43 ans, il rapportera directement à Paul Maritz, le patron de VMware avec qui il a travaillé chez Microsoft où il passa une douzaine d'années. Il était chez Borland depuis 2005. Auparavant, Tod Nielsen avait été embauché pour des périodes qui excèdent à peine un an, chez Oracle et BEA Systems. La création du poste de COO devrait permettre à Paul Maritz de se concentrer sur la stratégie à moyen terme et les évolutions technologiques du spécialiste de la virtualisation. Du côté de Borland Software, devenu éditeur de systèmes de gestion du cycle de vie (ALM, Application Lifecycle Management), on annonce aussi le départ de Peter Morowski, senior vice president en charge de la recherche et du développement, ainsi qu'une réduction de 15% des effectifs, soit 130 postes supprimés. Après avoir apuré le coût de ces départs, estimé entre 2,5 et 3,5 M$, l'éditeur table sur une réduction de ses charges annuelles de l'ordre (...)
(07/01/2009 12:50:33)Itesoft maintient ses recrutements
Actuellement, les annonces de plans sociaux se multiplient dans les entreprises du secteur informatique, laissant peu de place aux campagnes de recrutement. Crise économique ou pas, l'éditeur Itesoft a pourtant décidé de maintenir le rythme de ses embauches pour accompagner son développement à l'international. Renforcer les équipes de l'activité salle de courrier dématérialisée Le spécialiste des solutions de capture, de traitement et de gestion automatiques de documents recrutera une quarantaine de nouveaux collaborateurs dans l'année : des chef de projet et des ingénieurs développeurs pour soutenir les activités des départements Professional Services de l'éditeur, des ingénieurs commerciaux pour sa division ventes, et également des ingénieurs support. Les postes seront basés pour la plupart au siège de l'entreprise situé à Aimargues (Gard) et environ un tiers concerne le bureau parisien situé à Nanterre (Hauts-de-Seine). Ces embauches devraient permettre à Itesoft de se renforcer sur des segments de marché tels celui de la salle courrier dématérialisée. Il y a quelques mois, l'éditeur décrochait, avec Capgemini et Documentum, le projet de dématérialisation complète du courrier entrant à la CNAM-TS, , et publiait un chiffre d'affaires en hausse de 18% sur les neuf premiers mois de l'année 2008, à quelque 14,1 M€. (...)
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