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Recrutement

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(02/12/2008 12:34:09)

Linagora annonce plus d'une centaine de recrutements pour 2009

La crise économique actuelle ne semble pas avoir d'effet sur l'emploi des professionnels de l'Open Source. Ainsi, après avoir recruté un peu plus d'une centaine de nouveaux collaborateurs en 2008, Linagora annonce un plan de recrutement quasi équivalent pour l'année 2009. La SSLL a en effet décidé d'ouvrir 120 postes dans l'Open Source à Paris et également en région, dans des domaines diversifiés : administrateurs systèmes et réseaux (Paris), développeurs Drupal (Paris), développeurs PHP (Paris et Toulouse), ingénieurs développement J2EE (Paris), intégrateurs OBM (Paris et Toulouse), responsables d'agence (Lyon), et ingénieurs commerciaux (Toulouse). La société compte actuellement plus de 160 personnes, en France (Paris, Lyon, Toulouse et Marseille), en Belgique et aux Etats-Unis. (...)

(02/12/2008 11:01:31)

Open World Forum : Les métiers de l'Open Source privilégient l'expérience

Le Forum mondial du Libre (Open World Forum) se tient jusqu'à ce soir à Paris, à la Maison de la Chimie. En une quarantaine de sessions réparties sur une dizaine de « cheminements » thématiques (sécurité, éducation, qualité, offres...), la manifestation a cherché à couvrir l'ensemble des domaines du logiciel libre. Si le public est essentiellement français, il faut mentionner la forte présence de délégations étrangères, notamment en provenance d'Inde ou du Brésil. La session d'ouverture, hier, a été consacrée à la problématique des ressources humaines dans le domaine des logiciels libres, avec notamment la question de la formation et de la reconnaissance des compétences acquises. Selon Cyril Pierre de Geyer, de Anaska Formation, les prestations de formation en logiciels libres croissent ces derniers temps de près de 30% par an. Mais les disparités sont fortes : les formations autour du « poste de travail » (OpenOffice, Thunderbird...) sont en déconfiture, les produits ne nécessitant aucune formation particulière lors d'une migration depuis des produits propriétaires ; celles dédiées aux infrastructures sont presque stables, en légère croissance, marque d'une maturité du créneau ; à l'inverse, la formation aux progiciels et surtout au décisionnel sont en pleine explosion. Pour Rodolphe Quiédeville, du site emploi Lolix, les demandes en compétences se recentrent d'ailleurs sur les progiciels et délaissent les langages (Java notamment). L'expérience prime toujours sur les diplômes L'une des particularités du domaine des logiciels libres est la grande place donnée à l'expérience par rapport aux diplômes. Le meilleur moyen d'être reconnu et d'obtenir des missions ou un emploi autour des logiciels libres semble être, aussi bien en Europe qu'en Inde ou au Brésil selon les différents intervenants, d'intervenir dans des développements communautaires. Les diplômes ne sont pas un sésame. Cette situation en devient presque un handicap car développer correctement un logiciel suppose d'avoir de bonnes bases théoriques (algorithmique...). D'un autre côté, l'enseignement en informatique en général et en logiciel libre en particulier est globalement déficient. Jean-Pierre Archambault, enseignant et chargé de mission à l'Education Nationale, a ainsi regretté qu'on puisse être ingénieur sans avoir de réelle formation en informatique au delà des basiques de la bureautique et qu'il n'existe peu ou pas de formation aux questions relatives à la propriété intellectuelle et aux modèles économiques. Mais il est vrai que rien n'est fait pour faciliter l'enseignement précoce en informatique, notamment au lycée (même s'il y a, dans les cartons, un projet de module informatique dans les lycées pour la rentrée 2009) : il n'existe ainsi aucun corps d'enseignants certifiés ou agrégés en informatique dans l'Education Nationale. (...)

(01/12/2008 14:35:08)

Lancement en France de Worketer.com, un réseau social destiné aux informaticiens

Plébiscités aux Etats-Unis, les réseaux sociaux commencent à s'intégrer dans le paysage français du recrutement. Dernier en date, le site de mise en relation professionnelle Worketer.com vient d'être lancé à destination de la communauté des freelances et des ingénieurs de l'IT. «Cette plateforme permet aux informaticiens d'indiquer l'ensemble de leurs compétences en les sélectionnant dans une liste, expose Simon Lamellière, co-fondateur du site. Ainsi, une entreprise pourra effectuer des recherches extrêmement précises sur un panel de compétences bien ciblé et lancer une requête en s'appuyant sur un maximum de critères de choix (région, compétences, etc). » Mise en relation, messagerie privée, sauvegarde et classement de profils Worketer.com permet également à ses utilisateurs (qu'ils soient candidats, consultants ou recruteurs) d'échanger via les fonctions classiques des réseaux sociaux : mise en relation, messagerie privée, sauvegarde et classement de profils, etc. En version bêta, la plateforme aurait déjà été rejointe par plus de 600 professionnels en quelques semaines, dont une centaine de recruteurs IT, d'après ses fondateurs. Libre d'accès pour les entreprises (annonceurs) et pour les candidats, Worketer.com est disponible, pour l'heure, en version française. Des traductions du site en anglais et en espagnol sont attendues pour le début du mois de janvier 2009. (...)

(28/11/2008 09:16:28)

Les tops et les flops du recrutement vus par trois spécialistes RH

La déferlante des nouveaux outils du Web 2.0 - réseaux sociaux, salons virtuels, blogs RH, vidéos - a entraîné un profond bouleversement des techniques de recrutement. C'est sur ce thème que trois spécialistes du recrutement - l'éditeur Taleo, l'agence RH TMPNeo et le moteur de recherche d'offres d'emploi Wanajob - ont débattu à Paris hier matin, 27 novembre, lors d'une conférence de presse intitulée « Les nouvelles pratiques des recruteurs ou l'art de réinventer son métier ». Premier enseignement : aux Etats-Unis, les réseaux communautaires (sites, cooptation) seraient devenus le principal vecteur d'approche utilisé par les entreprises pour trouver des candidats potentiels. Les flops : CV vidéo, sites d'emploi/mobilité, blogs RH et « viviers » Pour les trois experts, les réseaux sociaux, la vidéo et le monde virtuel de Second Life sont considérés comme les plus performants. A l'inverse, ils n'ont pas hésité à utiliser le terme de flop pour qualifier les CV vidéo, les sites d'emploi (jobboards)accessibles via la téléphonie mobile, les blogs RH et les « viviers » de candidatures. « Le principal problème du CV vidéo, c'est qu'il est fortement consommateur de temps, a souligné Thomas Delorme, responsable de la stratégie interactive chez TMPNeo. D'autant qu'au final, les contenus sont souvent d'un niveau qui frise le pathétique. » Le constat n'est guère meilleur s'agissant des blogs RH : « Ce type d'outil était considéré comme un must, voire une révélation, par les entreprises, rappelait Stéphane Labrouche, PDG de Wanajob. Encore fallait-il veiller à les alimenter et à assurer leur mise à jour régulière pour asseoir leur crédibilité, ce qui n'a pas été fait ». En outre, un blog d'entreprise ne doit pas se contenter de faire passer des messages dictés par la maison mère. « En tant que plateforme d'échanges, il doit s'ouvrir à la communauté et abandonner le contrôle sur son contenu, en acceptant les critiques et les commentaires des internautes », estimait également le PDG de Wanajob. Les bases de données (viviers) de CV ont également essuyé des critiques assez sévères de la part des trois interlocuteurs : « Les viviers de candidatures se contentent de fonctionner comme de simples composteurs de CV ! regrettait le responsable de la stratégie interactive de TMPNeo. La plupart du temps, les CV stockés dans les bases de données ne sont plus mis à jour par les recruteurs, qui se contentent de les numériser et de les archiver. » Les candidatures papiers résistent toujours [[page]] Malgré tout, certains bons vieux outils font encore partie des habitudes des recruteurs, comme des candidats. En 2008, une étude de Robert Half montrait que 42% des entreprises - tous pays confondus - préféraient recruter des candidatures papier. En France, ils n'étaient que 47 % à recruter sur format électronique ! Cette tendance se vérifie également dans notre dernier sondage flash : d'après les résultats de notre enquête, 44% des candidats indiquaient préférer la voie classique des petites annonces pour chercher un emploi. être visible sur les moteurs de recherche En 2009, les recruteurs devraient continuer à développer le sourcing et rechercher les candidats sur plusieurs plateformes avec des outils différents. Le défi des entreprises consistera également à être visibles dans les moteurs de recherche. D'après le PDG de Wanajob, les entreprises devront maîtriser les règles du référencement pour figurer dans les deux premières pages de Google de manière à assurer leur visibilité auprès des candidats potentiels. Crise oblige, Stéphane Labrouche pense que les employeurs auront également tendance à miser sur la mobilité interne. (...)

(24/11/2008 12:16:20)

Tribune libre : utiliser les conversations numériques pour trouver le bon employeur

Comment se faire une bonne idée des conditions de travail dans une entreprise, en-dehors du discours officiel de l'employeur ? En utilisant à bon escient Internet et ses multiples possibilités de conversations numériques, répondent Luc Bretones et Stéphane Dieutre, dans une tribune libre publiée dans notre Blog Experts. Ce que les auteurs ont nommé, dans une tribune précédente, « troisième âge conversationnel » s'applique aussi au recrutement : le buzz numérique permet désormais de se faire une idée très précise de ce que les collaborateurs d'une entreprise vivent en son sein. Dans le même ordre d'idées, on rappellera que les nouveaux forums LeMondeInformatique.fr contiennent des centaines de témoignages sur les conditions de travail dans les SSII et les entreprises utilisatrices. (...)

(19/11/2008 14:54:27)

L'Apec prudente sur les intentions d'embauche des entreprises européennes dans l'informatique

Malgré les mauvaises nouvelles qui se sont accumulées depuis le début de l'année 2008 dans plusieurs pays de la zone euro, les perspectives d'évolution de l'emploi ITvarient fortement selon les pays. C'est ce que montre la dernière enquête sur l'emploi des cadres menée en juin dernier par l'Apec auprès de huit pays européens (Allemagne, Belgique, Espagne, France, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni). En France, les informaticiens pourraient représenter trois embauches sur dix L'étude montre qu'en Espagne, au Royaume-Uni et en Italie, pays dans lequel le marché de l'emploi cadre s'avère figé, les intentions d'embauches pour la période 2008-2009 ne sont pas très élevées dans l'informatique. A l'inverse, la France et la Belgique semblent davantage épargnées du fait d'un secteur industriel encore porteur. Ainsi, dans l'Hexagone, les ingénieurs et les cadres informaticiens pourraient représenter trois embauches sur dix, soit le taux le plus élevé des huit pays étudiés par l'Apec. A l'inverse de la France et de la Belgique, où 23% des recrutements concerneront les informaticiens, les intentions d'embauches dans cette filière sont beaucoup plus mesurées en Espagne (4% seulement), en Allemagne (6%), ainsi qu'en Grande-Bretagne et en Italie (9%). En France, en Allemagne et en Espagne, les postes relatifs aux études et R&D devraient également rester des priorités en termes d'intentions d'embauche. Au final, la part des recrutements d'informaticiens entre 2008 et 2009 devrait progresser de deux points, et celle des cadres des études et de la R&D, gagner un point. Mais cet optimisme apparent doit être néanmoins relativisé, estime l'Apec : l'association pour l'emploi des cadres considère que, depuis le recueil de ces prévisions, la conjoncture a continué à se dégrader rapidement, et que les besoins exprimés alors par les entreprises risquent d'être revus à la baisse. (...)

(18/11/2008 14:55:06)

Infosys, confiant sur ses commandes, table sur 25 000 embauches cette année

La SSII indienne Infosys joue la carte de l'optimisme, en dépit du contexte économique actuel. Selon le site Timesofindia, Kris Gopalkrishnan, l'un de ses fondateurs, a en effet déclaré dimanche dernier, à l'occasion d'un Forum économique mondial, que le groupe n'avait souffert d'aucune baisse de ses prix, en dépit de la crise financière. Même si le PDG de la SSII estime que le ralentissement touche tout le monde et pas uniquement le secteur de l'IT, cela ne l'empêche pas d'être confiant sur son carnet de commandes, ni sur ses perspectives de recrutement. Signature de nouveaux contrats au cours du deuxième trimestre «Nous continuons à embaucher. Nous allons recruter 25 000 collaborateurs sur l'année, a indiqué le PDG d'Infosys. Nous avons signé avec nombre de nouveaux clients au cours du deuxième trimestre et nous sommes donc confiants sur les opportunités du marché des services informatiques ». Le directeur d'Infosys estime que l'industrie des services informatiques va sortir renforcée après la crise « parce que le modèle de prestation global, et le secteur des services IT en particulier, ont atteint une envergure, une maturité et une force certaines ». Nilekani Nandan, co-fondateur d'Infosys, considère pour sa part que la croissance du secteur des technologies de l'information sera ralentie en Inde, conséquence d'une crise sans précédent à laquelle l'économie mondiale est confrontée, mais que la confiance sera bientôt de retour. En octobre dernier, Infosys avait toutefois revu à la baisse ses prévisions de ventes pour l'exercice 2008-2009, avec un chiffre d'affaires estimé à 4,8 Md$, soit une croissance inférieure à 15%. A la même époque, la société indienne décidait de se retirer définitivement de la course au rachat de la SSII britannique Axon, spécialiste du monde SAP. (...)

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