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Recrutement

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(11/09/2008 09:14:53)
Euriware recrute 50 spécialistes de l'informatique industrielle
La SSII Euriware recrutera cinquante informaticiens d'ici la fin de l'année pour accompagner son développement sur le marché de l'informatique industrielle, en France et à l'international. Les postes à pourvoir sont de haut niveau puisqu'il s'agit de directeurs de projets, de responsables d'unité, de directeurs d'affaires, de consultants et d'ingénieurs d'affaires spécialisés. Outre les seuls métiers liés directement aux automatismes industriels, Euriware recherche des spécialistes des systèmes d'information industriels. Ceux-ci regroupent aussi bien le pilotage des procédés industriels, la gestion des opérations de production (GPAO) ou encore de la gestion de la maintenance des installations (GMAO) que les ERP, le supply chain management (SCM), l'Enterprise Content Management (ECM et surtout le product lifecycle management (PLM). Une cinquantaine d'embauches en informatique industrielle, soit 25% du nouvel effectif 2008 Les nouvelles recrues interviendront sur des missions de conseil en management du système d'information, d'assistance à maîtrise d'ouvrage sur les phases d'intégration des solutions d'informatique industrielle et technique pour le compte d'acteurs de l'industrie, de la défense et de l'énergie, et sur des contrats d'intégration de systèmes. Deux tiers des postes à pourvoir visent les profils expérimentés, le pourcentage restant est ouvert aux jeunes diplômés de niveau Bac+4/5, ingénieurs grandes écoles ou universitaires. Euriware table sur 500 recrutements sur l'ensemble de l'année 2008. Il lui reste 200 personnes à embaucher sur l'effectif 2008 prévu, dont 25 % en informatique industrielle. (...)
(10/09/2008 17:24:11)Et si la condamnation d'Arena faisait jurisprudence dans les SSII
Une délocalisation ne justifie pas toujours des suppressions de postes. Une question sensible en France, surtout dans le secteur informatique, et plus précisément dans les SSII Mais rare est la jurisprudence sur le sujet, par manque d'informations sur le mécanisme, la durée, le coût et les risques d'un éventuel procès. Or, le conseil des prud'hommes de Libourne (Gironde) vient de rendre une décision intéressante dans un tout autre secteur qui pourrait présager d'une évolution dans le secteur des services informatiques. La société Arena, qui a décidé de délocaliser son activité en Chine pour augmenter ses marges, vient d'être condamnée à verser 4,8 millions d'euros de dommages et intérêts à 91 ex-salariés, soit 50.000 euros chacun, pour licenciement économique abusif. Difficultés économiques, mutations technologiques, sauvegarde de la compétitivité La condamnation d'Arena pourrait-elle faire jurisprudence pour les salariés des services informatiques ? Selon le juge, en fermant son activité française pour la sous-traiter en Chine, l'industriel du textile cherchait à augmenter ses marges et non à les « rétablir » comme il l'avait affirmé. « Cette circonstance ne saurait à elle seule constituer un motif économique de licenciement suffisant », précise le jugement. Pour Philippe Lejard, l'un des avocats des ex salariés d'Arena, le licenciement économique n'est valable que si la suppression de poste est justifiée par des difficultés économiques présentes ou à venir, des mutations technologiques ou la sauvegarde la compétitivité de l'entreprise. «Le fait d'augmenter ses dividendes peut constituer une amélioration de la compétitivité, mais pas une sauvegarde, assure l'homme de loi. Pour une entreprise qui délocalise, faire fabriquer à moindre coût dans l'unique but d'augmenter sa profitabilité, n'est pas défendable. En revanche, celle-ci pourra faire valoir que l'augmentation de ses marges a pour but de la rendre concurrentielle par rapport aux prix et d' accroître ses investissements au titre de la R&D. » Les entreprises l'ont bien compris, d'après l'avocat. : « elles cherchent à contourner ces difficultés en privilégiant les départ volontaires en lieu et place d'un Plan de sauvegarde de l'emploi. » (...)
(05/09/2008 12:05:14)Prosodie recrute 200 collaborateurs, surtout dans les métiers techniques
Le rythme des embauches ne ralentit pas dans l' informatique et concerne également les télécoms. Ainsi, l'opérateur de services en ligne Prosodie (900 collaborateurs en France et à l'international) envisage de recruter près de 200 collaborateurs d'ici la fin de l'année, à Paris et en région. L'Hexagone recrute principalement dans les métiers techniques (développement logiciel, gestion produits, exploitation, administration système/réseaux/sécurité, etc.), mais aussi les filières de la vente et du marketing (ingénieurs commerciaux, responsables d'offres, consultants avant-vente, ...), le management de projets, ainsi que les fonctions support (finance, juridique, ...). Des places à prendre pour les juniors et les stagiaires Les offres s'adressent principalement à des profils de formation Bac +4/5 avec 3 à 5 ans d'expérience. Certaines sont également ouvertes à des profils plus juniors. Prosodie accueille aussi des stagiaires et des étudiants ayant opté pour des formations en alternance, dans une perspective d'embauche à l'issue de leur formation. Bien que ces emplois soient majoritairement basés en région parisienne, ils visent également à renforcer les implantations de province. Les places à pourvoir en région sont essentiellement à dominante technique. (...)
(03/09/2008 16:56:20)La capacité à manager du DSI doit primer sur son niveau technique
Le rôle des directeurs des systèmes d'information (DSI) doit évoluer vers davantage de management et moins de technologie. Or, justement, les DSI manquent cruellement de ces capacités à manager. Tel est, en tous cas, la principale conclusion d'une étude britannique menée par le spécialiste du recrutement Hays IT auprès d'une centaine de DSI outre-Manche. Pour un peu plus de la moitié des recruteurs (54%) interrogés, la plupart des candidats s'avèrent par exemple, incapables de communiquer avec des non-techniciens. Pour 40% des employeurs, trouver un DSI alliant technique et esprit de stratège relève du défi. 48% des répondants disent privilégier les capacités à manager par rapport aux compétences techniques. Et près d'un recruteur sur deux préfèrera s'entourer d'un DSI qui manque de technique, pourvu qu'il sache manager. Seules 6% des entreprises estiment que la technicité suffit. (...)
(03/09/2008 11:47:26)Viveris mise sur la cooptation pour recruter ses ingénieurs
Pour son recrutement, la société de conseil Viveris Technologies mise sur le parrainage et encourage ses salariés à activer leurs réseaux. Pour 2008, elle s'est fixé des objectifs de 150 embauches et souhaite attirer davantage de candidats. Dans cette entreprise de taille moyenne (450 collaborateurs en 2007), le parrainage génère 15% des recrutements : des ingénieurs de haut niveau en développement objets, en système temps réel ou en systèmes embarqués. De plus, Viveris encourage la cooptation en offrant à chaque parrain une prime de 500 € après validation de la période d'essai du nouvel embauché. Un concours trimestriel de parrainage Et parce que toutes les candidatures ne débouchent pas nécessairement sur une embauche, le groupe a lancé un concours trimestriel de parrainage. Conçu selon un barème de points, il récompense les parrains les plus actifs qui ont proposé des profils de qualité, mais dont le recrutement n'a pas forcément été finalisé. Viveris Technologies ne laisse pas de côté pour autant, les méthodes classiques de recrutement. La société de conseil continue de publier des annonces sur des sites d'emploi et d'instaurer des relations privilégiées avec les grandes écoles d'ingénieurs. (...)
(27/08/2008 16:12:14)Xerox relance ses écoles de ventes
« Nos concessionnaires et nos partenaires doivent faire face à un déficit de bons commerciaux et c'est notre rôle de les aider, sachant que la formule des écoles de ventes Xerox a déjà fait ses preuves », explique Nathalie Taieb, Directrice de Xerox Office France. La première promotion comptera une centaine de futurs vendeurs, de niveau bac+2, répartis dans des villes comme Lyon, Montpellier, Nantes, Toulouse ou Paris. Cette formation de un an compte 450 heures, dont 110 seront dispensées par des partenaires agréés Xerox. Dans un premier temps, les étudiants seront accueillis en alternance par le réseau des 104 concessionnaires Xerox, mais la formule pourra par la suite être étendue aux partenaires du constructeur. Dans cette perspective, le nombre d'étudiants devrait passer de 100 à 200 dès la deuxième année. Comme c'était le cas auparavant, les apprentis vendeurs sont sélectionnés par Xerox et « pré-embauchés » par les concessionnaires candidats. « Cette initiative nous permet également de revaloriser les métiers de la vente et de démontrer qu'ils offrent d'importantes opportunités de carrière », ajoute Nathalie Taieb. (...)
(27/08/2008 16:07:44)Le Syntec table sur 207 000 embauches d'informaticiens entre 2005 et 2015
Syntec Informatique et Pasc@line, association créée il y a deux ans par la chambre professionnelle des SSII et éditeurs de logiciels, qui réunit une soixantaine d'écoles formant aux métiers des nouvelles technologies, a publié aujourd'hui les résultats d'une étude sur l'emploi et la formation. L'un des nombreux enseignements de cette enquête, menée dans l'Hexagone en collaboration avec le Cefi (Centre d'étude sur les formations d'ingénieurs), montre qu'une grande majorité d'informaticiens sont actuellement employés dans le secteur des logiciels et services. Principale raison : le recours croissant à l'externalisation. Ainsi, on compte 170 000 ingénieurs et cadres informaticiens dans les SSII et chez les éditeurs de logiciels, contre 115 000 seulement dans les entreprises utilisatrices (spécialité télécom exclue), soit un peu moins de 50% du total. Ces chiffres confirment les tendances identifiées par Syntec l'an dernier.
Une croissance proche de 4% et 149 000 créations d'emploi nettes
L'étude s'est également appuyée sur les projections de la Dares (Direction de l'animation et de la recherche des études et des statistiques du ministère du travail), de 2005 à l'horizon 2015. Elle aboutit, dans ses prévisions, à un taux de croissance du secteur de 3,9% qui donnera lieu à 149 000 créations nettes d'emploi, et un besoin d'embauche de 207 000 informaticiens sur la période 2005-2015. Ces estimations renvoient à un postulat de moindre croissance des besoins de la spécialité, par rapport à la période 1990-2005. Elles constituent néanmoins une estimation a minima, car même si le taux d'investissement devait baisser, le taux d'externalisation de la part des entreprises utilisatrices s'inscrit plutôt à la hausse, alors qu'il a été considéré comme constant dans l'étude.
En bref, le marché de l'emploi des informaticiens a retrouvé depuis deux ans, et pour une période probablement assez longue, une dynamique largement positive que les évolutions technologiques devraient contribuer à prolonger, sous réserve bien sûr des conditions économiques favorisant l'investissement, conclut le rapport.
Projections de l'emploi informatique entre 2005 et 2015
Source : Syntec / Dares (...)
Cognitis recrute 200 informaticiens dans la banque et la finance
Cognitis Group, société de services informatiques spécialiste du secteur bancaire, vient d'annoncer le recrutement de 200 consultants et ingénieurs. Ces nouvelles embauches devraient lui permettre de couvrir toutes les activités de la banque et de la finance. Elles répondent à l'acquisition, le 1er juillet dernier, du groupe Phirst, l'un des spécialiste de la gestion d'actifs et des marchés de capitaux. Un vaste éventail de profils associés au métier bancaire La palette des profils recherchés est vaste et couvre toutes les activités du monde de la banque et de la finance : architectes et urbanistes des systèmes d'information (SI), concepteurs techniques,consultants en qualification des SI, consultants maîtrise d'oeuvre et maîtrise d'ouvrage (en informatique décisionnelle, banque/finance, banque/assurancemodélisation de processus ),coordinateurs de projets, homologateurs, testeurs, recetteurs, intégrateurs, ingénieurs d'études J2EE et .net, ingénieur d'études et développement grands systèmes. Des certifications seront offertes aux développeurs, concepteurs et architectes en nouvelles technologies. (...)
(22/08/2008 16:01:26)La start-up Ekkyo récolte 500 000 € de capitaux privés grâce à la loi TEPA
La ministre de l'Économie, du Travail et de l'Emploi, Christine Lagarde, a choisi Ekkyo, une start-up spécialisée dans le développement de technologies médicales à base de RFID et d'informatique embarquée, pour célébrer le premier anniversaire de sa loi Travail, emploi, et pouvoir d'achat (TEPA). En se rendant hier, jeudi 21 août, dans cette jeune entreprise située à Meyreuil (Bouches-du-Rhône), la ministre souhaitait illustrer les bénéfices concrets de cette loi pour les PME. La loi Finance 2008, couplée à la capacité de développement de l'entreprise, a ainsi permis à Ekkyo de réunir cette année 500 000 euros de financement de capitaux privés, dont 240 000 € au titre de la déduction ISF. La loi permet en effet aux contribuables soumis à l'Impôt de solidarité sur la fortune de bénéficier d'une réduction d'impôt s'ils investissent dans des entreprises innovantes (75% de leur investissement est déductible du paiement de leur impôt dans la limite de 50 k€ par an). Le pôle de compétitivité francilien System@tic par exemple, a décidé en juillet lui de faire profiter de cette mesure ses membres PME. En outre, le statut de jeune entreprise innovante (JEI) d'Ekkyo et les avantages associés, notamment l'élévation du plafond du crédit d'impôt recherche (CIR), ont permis à la start-up, née en 2006, de passer le cap critique des premières années de développement. Cela a entraîné un réel effet de levier sur l'embauche de nouveaux chercheurs. L'entreprise, qui comptait six emplois seulement lors de son démarrage, passera à une dizaine de personnes au 1er septembre et même quinze d'ici la fin de l'année. Des capitaux risqueurs plus que frileux L'aventure se termine bien, mais avant cela, le PDG d'Ekkyo, Alain Cornil a néanmoins dû jouer des coudes pour récolter des fonds. «J'ai démarré la recherche d'investisseurs en septembre dernier, au moment de la crise des 'subprimes', puis l'effondrement du marché boursier a suivi, raconte t-il. Ces nouvelles ont été très mal digérées par les sociétés de capital risque qui rechignaient à investir. Du coup, c'est en faisant valoir la déduction ISF, l'une des mesures phares de la loi TEPA, que nous avons réussi à attirer des investisseurs privés et à réunir les fonds nécessaires. » Ainsi, la nouvelle politique de développement économique de l'état aura permis à la start-up de programmer la commercialisation de son premier laser à main, dès le 1er Octobre 2008. Ekkyo entend poursuivre sur la même voie et envisage prochainement de tirer parti des avantages liés à la défiscalisation des heures supplémantaires, autre disposition de la loi Tepa. (...)
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