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(25/01/2005 18:19:17)
France Télécom sur les rangs de l'appel d'offre pour Cesky Telecom
France Télécom a demandé un mémorandum d'information sur la privatisation totale de l'opérateur tchèque Cesky Telecomk. Les opérateurs Belgacom, Swisscom, TDC, Telefonica et Vodafone ont fait de même, ainsi que quatre fonds d'investissement.
Le gouvernement tchèque a décidé en décembre de finaliser la privatisation de Cesky Telecom en cédant les 51,1 % qu'il conserve de son capital. Il attend les offres préliminaires pour le 3 février et souhaite désigner l'acheteur d'ici la fin mars. Le gouvernement tchèque espère retirer entre 1,5 Md¤ et 2 Md¤ de l'opération. Cesky Telecom contrôle 80 % du marché local de la téléphonie fixe et 44 % du marché de la téléphonie mobile.
Parallèlement, Moody's a indiqué qu'elle envisage de relever la note de la dette à long terme de France Télécom, actuellement à Baa2, pour tenir compte de l'évolution de la situation de cette dette. En revanche, l'agence de notation précise ne pas prévoir de changer la note de la dette à court terme de l'opérateur historique. De son côté, Standard & Poor's a indiqué maintenir ses notes sur France Télécom à BBB+ pour la dette à long terme et à A-2 pour la dette à court terme. (...)
Symantec dévoile deux appliances antispam-antivirus
Symantec va proposer prochainement deux appliances de filtrage pour le courrier électronique. L'appliance série 8200 est un antispam issu de la technologie acquise avec le rachat de la société Brightmail. Sa base de données devrait être mise à jour toutes les dix minutes. En outre, le 8200 intègre les technologies d'antivirus de Symantec. La seconde série, le 8100, vise le marché de grandes entreprises - plus de 2000 utilisateurs - ou des fournisseurs d'accès à Internet : un seul serveur peut traiter jusqu'à 35 millions de messages par jour. Outre sa capacité de traitement, le 8100 dispose des mêmes atouts que le 8200 mais il est également capable d'identifier les serveurs qui envoient du spam et de leur demander de ralentir la cadence de ces envois.
Premiers prix : 1 995 $ pour la série 8200 et 4 995 $ pour la série des 8100. (...)
France Télécom absorbe Equant
France Télécom a annoncé vendredi son intention de racheter les parts des actionnaires minoritaires d'Equant pour un montant total de 564 M¤, soit un prix par action de 4,20 ¤. La décision devrait être votée lors d'une assemblée générale extraordinaire où France Télécom votera, ce qui laisse peu de suspense quant à l'aboutissement de l'opération qui débutera au plus tôt en mai prochain. Selon Jean-Charles Doineau, directeur de recherche chez Ovum, il s'agit « d'une étape de plus dans la stratégie de France Télécom pour devenir un opérateur intégré, après les rachats de Wanadoo et d'Orange ». « Cependant, nous pensons que cette opération traduit une approche globale du marché des entreprises par France Télécom, suivant la même logique que celle qui a récemment conduit British Telecom à acquérir Infonet. »
Equant n'est financièrement pas très en forme : jamais bénéficiaire, il annonce une année 2005 particulièrement difficile. France Télécom lui a réservé une facilité de crédit de 250 M$. (...)
Sun dévoile Identity auditor
Sun vient de lancer son logiciel d'audit des identités Sun Java System Identity Auditor. Celui-ci doit permettre aux entreprises de gagner en visibilité sur l'identité de leurs collaborateurs et leurs activités d'accès au système d'information. Notamment, Identity Auditor doit faciliter l'établissement de rapports de conformité avec des législations contraignantes comme la directive de régulation américaine Sarbanes-Oxley. Identity Auditor permet d'apporter la preuve des contrôles internes sur la base d'historiques des privilèges d'accès.
La tarification de Sun Java System Identity Auditor n'a pas été communiquée. (...)
L'Icann débute la bataille de l'attribution du .net
L'Icann, l'organisme en charge de réguler les suffixes régionaux, a entamé le passage en revue des candidats susceptibles de succéder à Verisign dans la gestion du nom de domaine de premier niveau, .net.
Quatre candidats sont ainsi en lice : Verisign actuellement en charge de la gestion des « .net », et également des « .com », Afilias qui gère les « .info » et les « .org », NeuLevel qui contrôle les « .biz » ainsi que les « .us », et enfin l'Allemand Denic, responsable des « .de ». Rappelons que l'Icann avait lancé un appel à candidature fin 2004.
L'organisme espère rendre son verdict en mars 2005, et finaliser le transfert du DNS au 30 juin 2005 - date de fin de contrat de Verisign. Il est à noter que le nouveau contrat porte sur une durée de 6 ans.
Selon les spécialistes, Denic et Verisign seraient de sérieux clients : l'Allemand gère depuis 10 ans quelque 8 millions de « .de », et surtout se distingue des autres candidats par son statut d'organisation à but non-lucratif. Verisign, de son côté, mise sur les performances de son infrastructure - et les 150 M$ d'investissements dépensés à la moderniser. Mais surtout, perdre ce contrat, reviendrait pour Verisign, à perdre les 26 M$ par an que lui ont rapporté les « .net ». (...)
WebEx télécommande gratuitement les PC
WebEx Communication, spécialiste de la visioconférence, lance un service gratuit de prise de contrôle à distance de PC. Baptisé MyWebExPC, le service intégrera la gamme MyWebEx de l'éditeur destinée aux particuliers et aux PME.
Techniquement, le contrôle s'effectue depuis un navigateur Internet, via un programme téléchargé depuis le site de l'éditeur. WebEx commercialise par ailleurs une version professionnelle plus sécurisée, au prix de 9,95 dollars par mois.
Les deux versions sont disponibles pour Windows et en anglais. WebEx indique travailler sur des versions Mac et Linux (sortie prévue à partir de mars) ainsi qu'à la traduction vers d'autres langues. (...)
Transmeta se désengage de la production de processeurs
Transmeta entamera le 31 mars prochain sa réorganisation pour se consacrer essentiellement à la commercialisation de sa propriété intellectuelle sur la conception de micro-processeurs à faible consommation électrique. Le fondeur a déjà signé des accords de licence avec Fujitsu et NEC pour sa technologie LongRun 2 de gestion de l'énergie, ainsi qu'avec un constructeur d'électronique grand public dont le nom est encore tenu secret. LongRun 2 permet notamment aux concepteurs d'une puce de modifier les tensions de seuil des transistors pour réduire les fuites de courant pendant leurs périodes d'inactivité.
Dans le cadre de sa restructuration, Transmeta prévoit de procéder à des suppressions d'emplois pour réduire ses coûts dans l'espoir de retrouver le chemin de la profitabilité. Leur nombre est encore inconnu, Transmeta ne prévoyant pas de le définir avant le 31 mars prochain, sur la base des perspectives d'activité dont il disposera alors.
Parallèlement, Transmeta assure qu'il honorera les commandes en cours pour ses processeurs Crusoe et Efficeon. Le fondeur a en outre fait appel à la société d'investissements Perseus Group pour trouver des partenaires qui lui permettent de poursuivre la production de processeurs pour ses clients actuels.
Lancé en 2000, Transmeta voulait concurrencer Intel pour la production de processeurs à faible consommation électrique pour ordinateurs portables. Un échec : en quatre ans, le fondeur à cumulé près de 600 M$ de pertes. Il n'a surtout jamais réussi à séduire des constructeurs comme Dell et HP que les piètres performances des processeurs de Transmeta ont rebuté. Conquérir des constructeurs d'ultra-portables comme Sharp et Fujitsu n'a pas suffi.
Bien que mieux placé, AMD est aussi malmené par Intel. Pour le quatrième trimestre de son exercice fiscal 2004, le n°2 mondial du marché des processeurs a publié une perte nette de 30 M$, contre un bénéfice de 43 M$, il y a un an. Parallèlement, Intel a annoncé un chiffre d'affaires en progression de 10 % sur un an à 9,6 Md$ pour un bénéfice net de 2,1 Md$. (...)
Téléphonie : les forfaits illimités gagnent le mobile
SFR propose aux directeurs informatiques et télécoms de mieux maîtriser le coût des appels que passent leurs salariés vers les téléphones fixes ou mobiles (SFR uniquement) de l'entreprise, 40 % des appels selon l'opérateur. De quoi répondre aux besoins des nomades, mais aussi de ceux qui se déplacent en permanence à l'intérieur des locaux. L'offre de « convergence absolue » prend la forme d'un forfait illimité à 15 euros qui s'ajoute aux traditionnels abonnements.
Le service permet aux utilisateurs d'interroger l'annuaire d'entreprise en envoyant un SMS et de composer des numéros abrégés pour leurs collaborateurs réguliers. SFR décline son offre en version PME. Pour 5 euros, chaque utilisateur doit choisir les trois personnes qu'il appelle le plus et pour lesquelles il souhaite se voir appliquer le forfait illimité. (...)
IBM, VeriSign et Airespace veulent amener la VoIP sur les mobiles
IBM, VeriSign et Airespace (en cours d'acquisition par Cisco) viennent de rejoindre l'équipementier VoiP Bridgeport au sein d'une alliance, dont l'objectif affiché est de simplifier l'itinérance des téléphones cellulaires entre réseaux GSM ou CDMA et réseaux IP.
L'objectif est de permettre à l'utilisateur d'un téléphone mixte GSM/Wi-Fi de basculer automatiquement sur un réseau IP (en technologie VoIP) lorsqu'il entre dans une zone de couverture Wi-Fi, au bureau ou à la maison, par exemple.
Baptisée MobileIgnite (Mobile Integrated Go-to-Market Network IP Telephony Experience), l'alliance a pour objectif d'aider les opérateurs à déployer de tels services. Elle s'appuie notamment sur des protocoles standards comme SIP. (...)
Chute brutale du bénéfice trimestriel de Lucent
Lucent Technologies vient de publier ses résultats trimestriels. Si le chiffre d'affaires est en hausse de 3 % à 2,34 Md$, le bénéfice trimestriel est en chute libre à 174 M$ contre 349 M$ un an auparavant. Néanmoins, l'équipementier américain signe ainsi son sixième trimestre bénéficiaire consécutif après pas moins de treize trimestres passés dans le rouge.
L'activité traditionnelle de solutions de réseaux intégrés décline de 18 % à 645 M$. Plus dans l'air du temps, l'activité des solutions de mobilité voit son chiffre d'affaires augmenter de 19 % à 1,15 Md$. Pour le second trimestre consécutif, Lucent annonce que la division services a généré plus d'un demi milliard de dollars de revenus - 520 M$ soit une augmentation de 12% par rapport au même trimestre de l'an passé. Cette division est soutenue par de gros contrats passés avec les sociétés Sprint, pour du sans fil, et Cingular pour premier contrat d'importance dans l'UMTS pour Lucent. (...)
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