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(22/03/2010 09:10:31)
Blue Coat décline son appliance Proxy SG en mode virtuel
Le ProxySG de Blue Coat arrive dans une déclinaison virtuelle pour notamment équiper des sites distants. En charge de la délivrance d'application dans le réseau (ADN), les produits de l'entreprise américaine se chargent d'optimiser les échanges sur le réseau WAN et permettent ainsi de réduire les temps de latence. « Aujourd'hui, si beaucoup d'applications sont intégrées dans un serveur central, il reste des services au niveau local comme le DHCP, le système de DNS, les serveurs d'impression ou certaines applications métiers et les besoins d'optimisation sont réels » explique Yogi Chandiramanie, directeur technique et avant-vente EMEA de BlueCoat et d'ajouter « la virtualisation de notre appliance permettra de réduire les coûts et d'assurer une meilleure flexibilité, par le paiement d'une licence ». Cela représente un coût inférieur de 20% sur le prix d'une appliance physique avec la maintenance. Alors à quel moment choisir entre l'appliance virtuelle et la physique ? « les licences pour le ProxySG virtuel se déclinent en quatre versions et vont jusqu'à 300 utilisateurs en simultanée, au-delà nous préconisons de basculer sur une structure physique » souligne le responsable. La virtualisation gère tous les modes d'optimisation, gestion du SSL, l'accélération TCP, la compression de données, etc. Elle est compatible avec l'environnement VMware, même si le constructeur regarde aussi les autres solutions comme le KVM par exemple. Cette solution sera disponible à partir du 31 mars 2010. Aujourd'hui, des versions beta sont effectives et touchent des domaines très variés « nous avons réalisé par exemple des tests dans la grande distribution pour virtualiser les données des caisses enregistreuses qui ne pouvaient pas être centralisées ». (...)
(19/03/2010 10:44:39)Haut débit mobile : Investissements mesurés pour éviter la saturation
(Source EuroTMT ) Exane BNP Paribas et Arthur D. Little viennent de publier leur étude annuelle sur les télécoms. Ils estiment que les opérateurs mobiles ne seront pas contraints de réinvestir massivement dans les réseaux pour soutenir la croissance du trafic de données. Certes ce trafic va être multiplié par 32 entre 2009 et 2015, mais le taux d'investissement des opérateurs mobiles ne devrait passer que de 10 à 12 % en 2015. L'essentiel du trafic s'écoule en effet dans les grands centres urbains, où les opérateurs peuvent l'évacuer directement sur les réseaux fixes. De plus, le standard de réseau 3G HSPA+ va diviser le coût du Go transporté par 5 par rapport à l'actuelle norme HSPA. (...)
(19/03/2010 09:32:03)Numéricâble doit s'attendre à une année 2010 difficile
(Source EuroTMT ) Si discret d'habitude sur ses chiffres financiers et commerciaux, Numéricâble a profité, lundi 15 mars, de la publication par l'Arcep de son observatoire du haut et très haut débit pour le quatrième trimestre 2009 pour s'auto-congratuler. La cause ? Le câblo-opérateur revendique une part de marché de 75,9 % dans le très haut débit avec quelque 220 000 abonnés, sur un total de 290 000 recensés en France à la fin de 2009. Une situation rien de plus normale puisque l'opérateur, qui a fortement investi dans les années passées pour rénover son réseau et implanter la fibre optique jusqu'en pieds d'immeubles (FTTB), était quasiment le seul sur ce marché. Les autres opérateurs télécoms, qui ont largement déployé l'infrastructure horizontale, attendaient en effet que l'Arcep publie le cadre définissant précisément les modalités de déploiement de la fibre dans les immeubles (au moins pour les zones très denses) pour commencer à raccorder les foyers situés dans les immeubles déjà connectés à leurs réseaux en FTTH (fibre jusqu'à l'abonné). Et les quelque 70 000 abonnés au très haut débit enregistrés par ces opérateurs correspondent pour l'essentiel aux clients participant aux tests menés depuis plusieurs mois. Mais cette communication triomphale de Numéricâble n'est pas sans risque. Tout d'abord, comme le précise le câblo-opérateur, les 220 000 abonnés ne lui appartiennent pas en totalité. Une partie est à mettre au crédit des opérateurs, tels que Darty qui utilisent ses infrastructures. De plus, le taux de conversion des abonnés de Numéricâble se révèle être assez faible. Au 30 septembre 2009, l'opérateur comptait donc 3,2 millions de prises "actives" sur un total de 4,2 millions prises reliées à son réseau FTTB (fibre optique jusqu'à l'immeuble). Cela correspondrait à un taux de conversion de l'ordre de 5,3 %. Photo : Pierre Danon, PDG de Numéricâble a fort à faire pour renforcer l'opérateur (D.R.) [[page]] En un an, malgré le réel effort commercial réalisé par la société et une amélioration significative de sa qualité de service, le nombre d'abonnés FTTB n'a cru que de 100 000. Ce qui constitue une performance plutôt décevante, compte tenu des avantages réels procurés par le très haut débit. Deuxième risque pour Numéricâble : maintenant que le cadre réglementaire est connu, les autres opérateurs télécoms annoncent la reprise des investissements dans le FTTH et comptent bien commercialiser massivement le service, au plus tard durant le second semestre. Or, selon l'Arcep, quelque 4,5 millions de foyers sont situés dans des zones où les réseaux FTTH sont déjà déployés, dont 800 000 foyers seraient d'ores et déjà éligibles au très haut débit ce qui est un quasi doublement en un an. Les opérateurs alternatifs ont tout intérêt à basculer très vite leurs abonnés DSL sur les réseaux FTTH parce qu'ils économiseront ainsi le tarif du dégroupage payé à France Télécom. Le rééquilibrage du marché pourrait se faire au détriment de Numéricâble. Surtout si le câblo-opérateur n'arrive pas à augmenter ses prises d'abonnement. Une croissance toujours modeste sur le câble Car dans le haut débit, la situation de Numéricâble paraît toujours aussi précaire : les abonnés au haut débit, grâce à des technologies autres que l'ADSL (essentiellement le câble, mais aussi le satellite et le WiMax), étaient 900 000 à la fin de 2009, selon les chiffres de l'Arcep. Cela représente une hausse de seulement 51 000 abonnés par rapport à fin 2008. A comparer à la forte croissance annuelle des accès xDSL qui s'établissait à 1,7 million de clients, pour atteindre 18,5 millions d'abonnés. Si l'année 2010 devrait voir l'arrivée de Bouygues Telecom commercialiser du très haut débit via le réseau du câblo-opérateur, l'année 2009 pourrait donc bien être la dernière année durant laquelle Numéricâble pouvait encore trouver un motif de satisfaction. (...)
(18/03/2010 09:42:00)Des serveurs pour créer un routeur 80 Gbit/s
Intel a présenté un routeur d'une capacité de 80 Gbit/s réalisé à partir de serveurs standards et d'interfaces réseaux classiques, élaboré avec des étudiants de l'université de Berkeley (Californie). "Plus simple, moins coûteux, et plus facile à reprogrammer" ce routeur serait utilisable aussi bien par les opérateurs télécoms que par les entreprises. (...)
(18/03/2010 09:39:40)Huawei s'inquièterait des possibles obstacles politiques au LTE en Europe
(Source EuroTMT ) Après des débuts tonitruants en Europe en 2008 et 2009, l'équipementier chinois Huawei semble être en panne dans le LTE. Au point que les dirigeants du groupe s'interrogeraient sur la réelle volonté des opérateurs occidentaux de faire de l'équipementier l'un de leurs fournisseurs de référence. "Si Huawei participe à quasiment tous les tests LTE menés par les opérateurs européens, il n'a plus gagné de contrat depuis celui conclu avec Telenor", raconte un spécialiste. "Et ils se demandent si les opérateurs n'ont pas déjà décidé se fournir auprès d'équipementiers européens, notamment pour des raisons politiques. " Photo : D.R. (...)
(18/03/2010 09:39:25)John Chambers : Cisco n'a pas voulu concurrencer IBM et HP
Votre objectif de devenir la compagnie numéro un dans l'IT entraîne une présence sur des marchés très différents. Les gens vous connaissent comme société dans les réseaux, mais vous avez également une ambition qui va à l'encontre d'acteurs comme HP et IBM. Ce sont des choses très différentes non ? Nous sommes un des acteurs les plus importants aussi bien sur le plan de l'architecture réseau, que dans le domaine de la communication au sens large. Et sur ces points, nous travaillons concomitamment sur la technologie et le commercial. La position de leader a été acquise en enregistrant des très bons résultats sur des marchés en phase de croissance. Même les critiques les plus acerbes, peuvent le reconnaître. Il faut également constater que la première génération de nos concurrents comme SynOptics, Wellfleet, 3Com, Cabletron, n'existent plus et la même chose pourrait nous arriver si nous ne nous adaptons pas aux évolutions du marché. De plus, nous sommes des paranoïaques en imaginant que nous pourrions être à la traîne. Enfin, quand nous avons commencé dans le marché des fournisseurs de services, plusieurs personnes nous ont indiqué notre absence de compréhension des acteurs. La légitimité était du côté de nos concurrents, Nortel, Lucent, Alcatel, Siemens, Ericsson. Nous avons donc pensé comment devenir numéro un sur ce marché et maintenant, nous le sommes. Pour ce faire, la direction prise reposait sur l'architecture à la différence de nos concurrents. Lors du dernier Mobile World Congress à Barcelone, si vous posiez la question quel est votre partenaire le plus efficace en matière d'architecture et pour la distribution des services, nous sommes cités dans la majorité des cas. Une chose impensable il y a encore 5 ou 6 ans. Dans le domaine des datacenters, je n'ai pas voulu entrer en concurrence avec IBM et HP. J'aurais préféré établir un partenariat avec les deux. Mais nous avons décidé, il y a 5 ans maintenant, d'aller vers la virtualisation, et les partenariats envisagés, entraînaient un trop grand partage de notre technologie. Cela revêtait une importance stratégique pour nous, car la question n'est pas de transformer le marché. Je ne m'intéresse pas aux serveurs, je regarde la virtualisation, où vous devez savoir où sont les processeurs, où les informations sont stockées et où résident les applications. Le réseau devient une commodité. Nous avons donc suivi les attentes du marché en nous concentrant sur cette transition et non sur nos concurrents. [[page]] Quel est votre position sur le cloud et pourquoi certaines grandes compagnies n'y vont pas ? Il ne s'agit pas simplement de la question d'y aller. La problématique repose sur la virtualisation et sur le rôle que va jouer le réseau dans tout cela. Nous pensons que le réseau est une pièce centrale et non le datacenter ou le terminal de l'utilisateur final. Il existe plusieurs dispositifs pour recevoir tout type de contenu aussi bien à travers des réseaux sans fils ou filaires à la maison, sur un smartphone Apple, Microsoft ou IBM. De plus, le marché ne se fait plus sur la voix, ni sur la donnée, mais sur la vidéo. Maintenant, nous pouvons dire que c'est une grande période. Mais souvenez-vous, nous avions expliqué il y a quelque temps que la vision devait être globale, voix, vidéo et données. Cette décision a été prise il y a 15 ans et nous avons commencé à construire nos architectures dans cette optique. Comment voyez-vous le déploiement des offres de clouds publics et privés au sein des entreprises ? Peut-on les fédérer ? La perspective sur les clouds privés et publics au sein de l'entreprise doit aboutir in fine à un système de confédération, complétement transparent pour les utilisateurs finaux, les responsables informatiques et autres. Le réseau est au coeur de tout cela. C'est notre démarche quand nous développons des partenariats avec VMware ou EMC et encore plus récemment avec NetApp, en réfléchissant sur des standards ouverts sur ce type de sujet. Nos meilleurs partenaires dans le cloud seront les fournisseurs de services, car ils devront faire vivre leurs tuyaux et éviter que leur réseau ne soit qu'une commodité. La valeur reviendrait alors aux sociétés périphériques ou aux créateurs de contenus. Il me semble que nous avons une opportunité commune. [[page]] Quel sera le plus grand marché au sein des clouds ? Dans un premier temps le marché le plus important sera représenté par le cloud public. Sur le long terme, le privé et la combinaison de ce que l'on appelle la fédération des clouds. Nonobstant, nous développons nos propres clouds et nous nous interfacerons avec d'autres. Vos concurrents mettent en avant que vos solutions sont propriétaires, que répondez-vous ? Les premiers contrats contenaient beaucoup de technologies propriétaires. Nous sommes maintenant devenus une société avec des standards ouverts. Internet est ouvert à tous les terminaux et contenus. Quand nous avons intégré le marché de la téléprésence, nous disposions d'une forte part de marché sur le haut de gamme (64%). Nous avons proposé une norme ouverte et disponible pour l'ensemble des concurrents. A ce que je sache, nous n'avons pas de système d'exploitation propriétaire qui fonctionne sur nos produits. Internet doit être l'interface unique sur des différents terminaux. Cela nous permet d'aller plus vite sur le marché et de protèger nos clients qui ne seront pas bloqués par un OS, un terminal ou un datacenter. Quelle est votre réaction à la critique de l'existence d'une Cisco Tax ? Ce n'est pas très honnête de dire cela. Les clients n'ont pas de problème avec notre politique premium, car si vous ne faites pas ce type de produit, vous ne développez pas de nouveaux produits et ne protégez donc pas les investissements. Est-ce que je crois à la mise en place d'une consolidation industrielle rapide ? Absolument. Est-ce que je crois qu'une part de vos prises de décisions décisives est basée sur notre capacité à innover, à nous adapter au sein d'un marché en pleine évolution à travers des produits qui travaillent ensemble, dans une architecture ouverte ? Oui. Est-ce que les clients doivent payer un tarif premium pour cela ? Oui. Même si je soutiens qu'il ne s'agit pas d'une tarification premium. (...)
(16/03/2010 10:09:50)Filiales de Bouygues, Axione fusionne avec Exprimm
Dans la galaxie Bouygues, on connaît Bouygues Télécom, l'opérateur mobiles et maintenant fixe. Une autre filiale du groupe, plus précisément de Bouygues Construction, agit également dans les télécoms. Mais cette fois sur les réseaux et au plan local : ETDE. Cette dernière vient de fusionner deux de ses filiales : Axione et Exprimm Télécoms. Axione est un opérateur de réseaux publics, tourné vers les collectivités locales. Il a dernièrement remporté les réseaux du Finistère et des Hautes Pyrénées et opère celui de Drôme-Ardèche. Exprimm agit dans la construction des réseaux : travaux, mise en service, maintenance, toujours au plan local. Les deux sociétés fusionnent sous le nom d'Axione. ETDE et Axione ont créé il ya un an une autre société complémentaire : Axione Infrastructures qui s'occupe de financements des PPP (partenariats publics privés), toujours dans le domaine des réseaux d'initiative publique. (...)
(15/03/2010 16:11:54)Internet mobile, la hausse du trafic de données préoccupe les opérateurs
(Source EuroTMT ) Aux Etats-Unis, le président d'AT&T indiquait que 40 % de la bande passante dédiée aux données était utilisée par les possesseurs d'iPhone, alors que ces derniers ne représentent que 3 % du parc d'abonnés. Cette demande en bande passante augmenterait actuellement, toujours selon AT&T, de 5000 % par an ! Ce chiffre est difficilement vérifiable, mais il donne l'ampleur du phénomène. Un phénomène qui s'est traduit par de sérieux dysfonctionnements du réseau britannique d'O2, notamment à Londres, en décembre dernier. Des investissements indispensables pour accompagner l'évolution des usages Ce contexte préoccupe également Michel Combes, le directeur général de Vodafone pour l'Europe. Chez cet opérateur mobile, 70 % du trafic est issu des données alors que les possesseurs de smartphones ne représentent que 20 % de sa base d'abonnés. En conséquence de quoi, Vodafone assure avoir investi plus de 10 milliards d'euros en Europe pour soutenir l'explosion du trafic de données sur ses réseaux. Ceci dit, Frank Esser, PDG de SFR, pense que c'est surtout la vidéo qui poserait réellement problème. « Le trafic vidéo va être multiplié par dix dans les cinq ans qui viennent » estimait Frank Esser, lors de la conférence DigiWorld de l'Idate fin 2009, à rapprocher d'un trafic de données ayant quadruplé, l'an dernier, chez SFR. Mais le plus structurant dans ce phénomène réside dans la déconnexion entre la consommation de bande passante et le chiffre d'affaires généré par une base d'abonnés encore très minoritaire. Ceci se déroulant dans un contexte où les revenus générés par la voix sont en déclin. Photo : Michel Combes, le directeur général de Vodafone pour l'Europe. [[page]] « La croissance dans l'univers des données mobiles est de 2 % en valeur au troisième trimestre 2009. Elle ne compense pas la chute de la voix qui de - 8 %, toujours en valeur » constate un opérateur européen de tout premier plan. Et ce dernier de pronostiquer que cette tendance n'est pas prête de s'inverser. De fait, tous les opérateurs s'interrogent sur la manière de contourner un problème d'autant plus aigu que les forfaits « données » illimités ont largement contribué à faire décoller les usages et qu'une faible proportion de leur base d'abonnés est, pour l'instant, réellement concernée. Alors quelles sont les solutions possibles ? Les équipementiers poussent vers la 4ème génération mobile avec le LTE (Long Term Evolution) qui doit permettre, outre des débits quasiment décuplés, de réduire significativement le coût du Mo transporté. Quant au canadien Research in Motion (RIM), fort du succès de son offre Blackberry, il assure, études à l'appui, que son terminal est nettement moins gourmand en bande passante que n'importe quel autre smartphone. Autant d'affirmations, certes de bonne guerre, mais qui ne règlent rien au problème. En réalité, les opérateurs réfléchissent tous, de manière plus ou moins explicite, à différencier leurs offres selon les usages et le débit offert. Renégociations difficiles entre opérateurs et constructeurs de mobiles C'est notamment le cas de Michel Combes de Vodafone qui milite pour la création d'un nouvel écosystème quant à la ventilation des recettes entre la voix et les données cellulaires. Ces dernières ne procurent que quelques euros de revenu supplémentaire par abonné et par mois. L'une des pistes avancées par les opérateurs réside dans une forme de gestion du trafic, en fonction du type d'application ou du niveau d'encombrement du réseau - sachant qu'ils sont tout à fait aptes distinguer la nature des différents flux échangés - et du niveau d'abonnement souscrit ! Il est vrai qu'il y a urgence à réviser le modèle économique actuel. Si l'on en croit Mary Meeker, l'analyste vedette de Morgan Stanley, pour qui la progression des échanges de données cellulaires s'annonce exponentielle. Et cette dernière de rappeler que sur le même laps de temps, Apple a vendu 50 millions d'iPhone alors que AOL avait conquis seulement 7 millions d'abonnés et Netscape avait été téléchargé par 11 millions de personnes. (...)
(15/03/2010 10:58:44)Le marché du stockage en réseau résiste à la crise
Selon le cabinet Context, les ventes de produits de stockage ont progressé de 32% en France sur une période couvrant les deux derniers trimestre de 2009 et le début 2010. Sur le marché Allemand, la hausse a atteint 25% et seulement 1% au Royaume-Uni. Le marché britannique a subit une chute des ventes de produits de sauvegarde sur bande. A l'inverse, ce type de solutions rencontre toujours un franc succès en France et Outre-Rhin où elles ont représenté 30% des ventes. Au chapitre des produits en plus forte croissance, les commutateurs fibre channel arrivent en tête. Les ventes de baies de disques et d'adaptateurs de bus hôte (HBA) ont également enregistré de forts taux de progression. Ce qui tend à montrer une hausse global des ventes pour l'industrie du SAN. Brocade, IBM et HP en sont les trois principaux fournisseurs. Ils ont vu leurs ventes progresser de 30% en France, en Allemagne et au Royaume-Uni lors du dernier semestre 2009. Crédits photo Storagetek (...)
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