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(12/03/2010 16:08:20)

Des vidéoconférences plus souples avec Vidyo

Crée fin 2005 par un ancien cadre de Radvison, Vidyo propose un système de visioconférence fonctionnant sur les postes de travail Windows, Linux et MacOS X (VidyoDesktop). Exploitant le protocole H.264/SVC (Scalable Video Coding) pour réduire le temps de latence, Vidyo repose sur une architecture client/serveur avec d'un côté des PC ou des Mac et de l'autre un serveur dédié sous Linux (VidyoOne à 7000 €). L'encodage et le décodage logiciel se fait sur l'ordinateur ce qui nécessite donc une machine équipée d'un processeur récent (double coeur minimum) pour afficher une qualité proche de la SD (480 x 360 pixels). « La résolution de la vidéo peut toutefois varier en fonction de l'état du réseau et de la charge du processeur », nous précise Bruno Delamarre, directeur de la filiale France & Benelux. Parmi les points forts de la solution proposée par Vidyo, citons la possibilité de créer une salle de réunion virtuelle sans réservation préalable. Un plug-in est même disponible pour Outlook pour inviter des participants, en mode SaaS, à une réunion virtuelle sur Vidyo. Plusieurs systèmes peuvent accéder à une conférence vidéo : PC de bureau, système de visioconférence HD maison (VidyoRoom HD-220 avec double écran) et même très bientôt des terminaux mobiles. Au dernier CES de Las Vegas, Paul Otellini, le PDG d'Intel, avait présenté lors de son keynote un smartphone LG équipé d'une puce Moorestown se connectant à une plate-forme Vidyo pour entamer une vidéoconférence. [[page]] Avec des budgets voyage en baisse dans toutes les entreprises, on aurait pu penser que la vidéoconférence exploserait en 2009. Ce n'est pas vraiment le cas selon Bruno Delamarre qui estime le marché annuel à 30 000 systèmes vendus en 2009 dont 15 à 17 000 en renouvellement. La faute au ROI qui ne serait pas assez rapide et aux mauvais souvenirs que beaucoup gardent à la sortie d'une conf call épuisante où chacun hurlait pour se faire entendre de ses correspondants. Avec les casques micros USB et les web cam HD de différents partenaires (Logitech notamment) utilisés par la solution de Vidyo, ces problèmes de communication sont en partie résolues. Et le ROI est beaucoup plus rapide avec des solutions bien moins chères que celles proposées par les grands noms du secteur : compter 6500 € chez Vidyo environ pour une solution HD avec double écrans contre 20 000 € chez Tandberg par exemple. Le serveur Vidyo One est capable de gérer jusqu'à 25 utilisateurs multipoints et permet d'organiser une réunion avec 5 personnes. Pour la licence point à point, compter 22 euros par poste. (...)

(11/03/2010 11:56:25)

Le Forum Open-IPVidéo aura son propre laboratoire

Dans quelques jours, le Forum OpenIPVidéo va annoncer le lancement de son propre Laboratoire. Il aura pour but de vérifier l'interopérabilité dans les faits des matériels et logiciels proposés par ses membres. Les premiers tests auront lieu d'ici l'été prochain, permettant de démontrer l'interopérabilité des différentes offres entre elles et de les certifier sur ce critère. Cette certification, délivrée par le Forum, s'ajoutera aux standards en place, délivrés par Onvif aux Etats-Unis ou l'Afnor en France. Si les tests sont opérés par le laboratoire du Forum, les certifications seront délivrées par des organismes extérieurs indépendants. Le Laboratoire d'interopérabilité repose, dans un premier temps sur les ressources des membres du Forum. Dans un deuxième temps, ce laboratoire sera permanent avec des ressources en propre. « Sa création est notre principal challenge » nous explique Gary Goldenberg-Korn, Président du Forum. Fédérer toute la filière de la vidéosurveillance Présenté lors des Assises de la Sécurité au mois de novembre dernier, le Forum OpenIPVidéo veut fédérer toute la filière de la vidéosurveillance : constructeurs de caméras, éditeurs de logiciels, intégrateurs et installateurs, bureaux d'études. Chacun de ces secteurs doit avoir au moins trois membres au Forum. Il compte actuellement une trentaine de membres et en espère une cinquantaine d'ici fin 2010, précisément pour assoir la notion d'interopérabilité. Le grossiste ACTN par exemple vient de le rejoindre. La vidéosurveillance est un marché qui a le vent en poupe, la crise n'a pas atteint le secteur, que ce soit dans des installations en entreprises, dans les collectivités ou même chez les particuliers. Les offres ne manquent pas, mais elles ne sont pas forcément compatibles. Le Forum a pour but d'inciter tout le secteur à se rendre compatible. Pour bien profiter de son essor. Les utilisateurs bénéficieront d'ailleurs d'un référentiel d'installation des systèmes de vidéo surveillance. Ces utilisateurs vont d'ailleurs pouvoir rejoindre le Forum.
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(10/03/2010 15:54:55)

Cisco dévoile son routeur CRS-3 qui laisse sceptique son principal concurrent

Lors d'une conférence de presse, Cisco a expliqué que son routeur Carrier Routing System 3(CRS-3) apporte en transmission une capacité de trafic 12 fois plus élevée que celle des systèmes concurrents les plus performants. « Il aura fallu 3 ans à Cisco pour faire cette mise à niveau, » a indiqué, John Chambers, le PDG de Cisco. L'excitation dont l'entreprise a fait preuve lors de l'annonce de son système qui va, selon elle, « Changer l'Internet », a donné lieu à beaucoup de spéculations en ce qui concerne ses projets de développement, jusqu'à même évoquer l'hypothèse de voir l'entreprise déployer un réseau propriétaire à large bande. Ce que Cisco a effectivement annoncé, c'est que son routeur CRS-3 triple la capacité de son prédécesseur, le CRS-1 pour atteindre un maximum de 322 Tbps (terabits par seconde). Pour illustrer sa performance, Cisco indique que le CRS-3 permettrait de télécharger toute la collection imprimée de la Bibliothèque du Congrès en un peu plus d'une seconde, ou encore que toute la Chine pourrait effectuer un appel vidéo au même moment, ou bien que n'importe quel film pourrait être diffusé en flux continu en moins de quatre minutes. « Le rôle de l'Internet évolue définitivement. Il transforme notre relation au travail et à la famille,» a déclaré John Chambers. « C'est pourquoi notre annonce ne concerne par que le CRS-3. Il s'agit de l'avenir de l'Internet. » Le CRS-3 a également été conçu pour protéger le trafic des 5 000 CRS-1S déjà déployés dans le monde, dont l'investissement cumulé réalisé par Cisco atteint les 1,6 milliards de dollars. AT & T, qui est impliqué dans le transport de la moitié du trafic de données aux États-Unis, a récemment testé avec succès le système Cisco CRS-3 sur un backbone 100 Gigabits alimentant en direct son réseau entre la Nouvelle-Orléans et Miami. « La vidéo a grimpé de 80% sur le backbone AT & T, et les connexions mobiles à haut débit de 5000%, » a expliqué Keith Cambron, président et CEO d'AT & T Labs. « Nous avons besoin de la technologie 100 Gigabits en production au cours des prochaines années,» a déclaré Keith Cambron, ajoutant qu'AT & T a réalisé de nombreuses liaisons 40 Gigabits depuis 2008. «Nous sommes sûrs de pouvoir aller vers un réseau disposant de backbones à 100G. » [[page]] Juniper, un concurrent de Cisco, estime même qu'AT & T pourrait déjà le faire aujourd'hui avec ses routeurs. « Nous souhaitons la bienvenue à Cisco dans le club des 100 Gigabits [NDLR : par slot, ou par emplacement de carte réseau], » a déclaré Luc Ceuppenf, vice-président du marketing produit chez Juniper. «Cela ramène le système à hauteur ou légèrement au-dessus du T1600 existant chez Juniper, si vous considérez exclusivement la capacité des slots. » D'après Luc Ceuppenf, d'ici à ce que les CSR-3 arrivent sur le marché, Juniper aura déjà ou sera sur le point de livrer un système à 250 Gigabits par slot. « Nous pensons toujours que nous avons une génération d'avance par rapport à la capacité de base d'un système de commutation à châssis unique, dit-il. Quant au fait que le CRS-3 atteindrait 12 fois la capacité de son concurrent le plus proche - en l'occurrence le T1600 de Juniper - Ceuppenf pense que Cisco « se cache derrière les grands nombres. » «Ils comptent le multi châssis dans l'équation, dit-il. « C'est comme leur 92 Tbps avec le CRS-1. Ils affirment qu'ils peuvent interconnecter 70 ou 80 de ces machines afin de créer un noeud de 322 Tbps, qui est effectivement 12 fois plus gros qu'un T1600 multi châssis. Mais ils n'ont jamais réussi à livrer le 92 Tbps promis. Au plus, ont-ils atteint le 5 Tbps avec un système CRS-1 sur huit châssis, » a déclaré Luc Ceuppenf, qui juge par ailleurs l'effet d'annonce du CRS-3 « anticipée.» « Nous contestons aussi cette affirmation que cela change fondamentalement la façon dont les gens utilisent l'Internet», a t-il ajouté. Cisco qui teste son CRS-3 sur le terrain espère qu'il sera disponible au troisième trimestre de cette année. Son prix de départ indiqué par Cisco est de 90.000 dollars pièce. (...)

(10/03/2010 15:09:18)

Tribune de Jean-Marc Boursat, Devoteam : Cloud computing, attention à la sécurité

Le cloud computing ou l'informatique dans les nuages est un concept porteur en 2010. L'avenir de cette plate-forme est encore incertain pour certains, mais de nombreuses entreprises utilisent ou souhaitent utiliser des services Cloud ou du moins les technologies sous-jacentes. De ce fait, des RSSI, confrontés aux choix de leur entreprise, se posent (ou devraient se poser) la question : quelles sont les avantages et les inconvénients d'un point de vue sécurité du cloud omputing pour une entreprise ? En termes de disponibilité du service, un service cloud est souvent présenté comme une solution rapide à mettre en oeuvre, et ajustable aux besoins de l'entreprise. L'informatique traditionnelle nécessitait une étude de dimensionnement et un suivi précis des ressources pour anticiper les évolutions nécessaires et dans certains cas, la mise en place de solutions de partage de charge. Dans le cas du cloud computing, le fournisseur de services effectue ce travail pour le client. Ce dernier peut donc croire que le risque d'indisponibilité du service est transféré chez son fournisseur, mais ce raisonnement a une faille : la disponibilité du service dépend aussi (surtout) de la disponibilité du réseau d'accès. L'abandon d'une application hébergée en interne au profit d'un service cloud impacte le réseau d'entreprise. L'usage des ressources réseau doit donc être analysé en phase pilote pour anticiper les évolutions de bande passante en fonction des prévisions d'utilisation du service cloud. Cette analyse doit être complétée par une vérification du système de partage de charge du fournisseur de service surtout si l'accès passe par un proxy présentant l'ensemble des utilisateurs de l'entreprise comme un seul. Pour poursuivre la lecture de la tribune de Jean-Marc Boursat de Devoteam BU Sécurité, rendez-vous sur notre Blog Experts LeMondeInformatique.fr (...)

(10/03/2010 10:04:21)

De 6 à 10 millions d'utilisateurs Wimax dans le monde

Le nouveau standard intitulé 802.16m, remplacera le 802.16e, et devrait accroître les débits montant et descendant. On parle de 170 Mbit/s dans le sens descendant et de 90 Mbit/s dans le sens montant, selon des informations venant de chez Intel. En mobilité, la technologie fonctionnera pour des utilisateurs se déplaçant jusqu'à 350 km/h. Les débits offerts par les opérateurs Wimax actuels sont de 16 Mbit/s dans le sens descendant et de 4 Mbit/s dans le sens montant. Rama Shukla avait estimé cette année le nombre d'abonnés au WImax entre 6 et 10 millions, avec les Etats Unis en tête, suivis par la Russie, et le Japon. L'usage principal est la connexion de PC portables. (...)

(10/03/2010 10:04:31)

Mille taxis Wimax s'animent à Taïwan

Les écrans installés à disposition des passagers, accrochés à l'appui tête du passager avant, permettent de surfer sur internet, de jouer en réseau et de regarder des programmes de Web TV. Cliquer sur l'image pour l'agrandir [[page]] Le dispositif - construit par Tecom Inc - est équipé d'un écran de 7 pouces, tactile contrôlable via un stylet. Il embarque sa connexion Wimax mobile et un GPS. Il fonctionne sous le système d'exploitation mobile Windows CE 5.0. Cliquer sur l'image pour l'agrandir [[page]] L'opérateur Vmax a lancé ses services Wimax à Taïwan au début de février dernier, selon le site web de l'opérateur. La société dispose de cent magasins où l'on peut s'abonner à son réseau Wimax pour un forfait mensuel. Vmax a été financé pour partie par le fond d'investissement d'Intel, fervent promoteur du Wimax. Cliquer sur l'image pour l'agrandir (...)

(09/03/2010 15:38:47)

L'Icann tient sa réunion à Nairobi malgré les menaces terroristes

Loin des débats habituels de l'Icann sur la gouvernance d'Internet, ces dernières semaines avaient été dominées par les suites à donner aux menaces proférées par le groupe terroriste Al-Shabab basé en Somalie. Les annulations d'hôtel s'étaient enchaînées, certains membres de l'Icann ayant décidé de boycotter le meeting de Nairobi(du 7 au 12 mars 2010), et de tenir des sessions parallèles à New York et à Washington D.C, refusant de prendre le risque de se rendre en Afrique de l'Est. Lundi matin, les organisateurs locaux avaient enregistré 800 participants contre les 1000 dénombrés habituellement. « La sécurité concerne tous les pays mais le Kenya a ses propres problèmes à régler,» a déclaré le président de l'Icann. insistant aussi sur le fait que l'Icann n'avait pas sanctionné les réunions parallèles aux États-Unis, assumant qu'elles avaient eu lieu dans des forums en ligne destinés aux personnes n'ayant pu pas assister à la réunion africaine.

Des réformes devenues nécessaires


Cette semaine, les observateurs seront attentifs aux engagements pris par l'Icann pour résoudre ses différends concernant ses mécanismes de fonctionnement, depuis qu'un comité indépendant (Independent Review Panel) a jugé que l'Icann était injuste et discriminatoire dans le traitement des propositions pour l'adoption d'un domaine .xxx pour référencer les sites offrant un contenu explicitement sexuel. L'ICM Registry avait en effet proposé un .xxx TLD (Top-Level Domain ou domaine de premier niveau), mais l'idée a finalement été rejetée. « Nos statuts exigent que les membres du bureau de l'Icann examinent les conclusions de l'Independent Review Panel qui a testé la validité de notre dispositif et cette question sera abordée à la réunion du conseil d'administration vendredi, » a déclaré Peter Dengate Thrush, un membre du conseil de l'Icann. [[page]] Le conseil devrait également discuter des questions relatives aux noms de domaine internationalisés (IDN) et apporter des éclaircissements sur les raisons pour lesquelles la procédure accélérée appliquée par la Chine a échoué, alors qu'elle en est l'un des plus grands bénéficiaires à coté de la Russie, des Émirats Arabes Unis, de l'Arabie Saoudite et de l'Egypte. Le débat sur les nouveaux domaines génériques de premier niveau devrait gagner du terrain notamment en matière de protection des marques commerciales. En particulier, la question de savoir si les marques déposées devront acheter tous les nouveaux gTLD afin de protéger leurs identités, sera à l'ordre du jour.

Toujours pas de bureau en Afrique


Dans son discours d'ouverture, Rod Beckstrom a rendu hommage aux progrès réalisés par les gouvernements africains pour assurer l'accès à Internet. Il a également exhorté l'Afrique à davantage participer au comité consultatif du gouvernement, au sein duquel l'Icann met en place ses différentes politiques. Toutefois, le président de l'Icann a clairement indiqué que l'Icann n'ouvrirait pas de bureau en Afrique, arguant que 90 % des recettes de l'institution provenaient d'Amérique du Nord. « Une des raisons pour lesquelles il existe trois bureaux là-bas et aucun en Afrique. » Par ailleurs, l'Afrique n'a pas encore résolu certaines questions élémentaires, comme la redélégation du code de pays pour les domaines de premier niveau, laquelle a déjà été effectuée il y a dix ans dans de nombreux pays membres de l'Icann. Le ccNSO, l'organe qui, au sein du Conseil d'administration de l'Icann, représente les intérêts de la communauté des registres nationaux qui y ont adhéré - dont des domaines de premier niveau africains - et également organisation de support technique, s'occupe de gérer les codes pays. « S'il y a des questions de redélégation, elles seront traitées par l'Internet Assigned Numbers Authority, » a déclaré Rod Beckstrom. En marge des discussions, l'Icann organise également une formation technique sur la sécurité pour les opérateurs et gestionnaires de registry participant au meeting de Nairobi. (...)

(09/03/2010 09:59:26)

Les opérateurs US misent sur le Wimax et le LTE

Fin 2010, l'opérateur Clearwire devrait avoir bâti son réseau Wimax pour les marchés les plus importants des Etats Unis. Quant à Verizon, il prévoit de commercialiser ses services LTE (Long Term Evolution) dans 25 à 30 marchés majeurs toujours aux Etats Unis fin 2010. A la même date, l'Association du GSM espère que ses travaux sur VoLTE (Voix sur LTE) seront pratiquement terminés et que les terminaux LTE seront capables de gérer la voix sur LTE et les SMS. Dans le détail, les réseaux Wimax utilisent le standard 802.16. Clearwire voit ses services Wimax être revendus par les opérateurs Sprint, Comcast et Time-Warner Cable. Le LTE, pour sa part, hérite des principes du GSM et sera déployé par Verizon, AT&T et T-Mobile. Dès aujourd'hui, Clearwire dispose de services Wimax disponibles dans 27 marchés américains couvrant 34 millions de points de présence potentiels (domiciles de particuliers, bureaux professionnels). Fin 2010, Clearwire couvrira 120 millions de points de présence. Pour les entreprises américaines qui sont situées dans n'importe laquelle des métropoles des Etats Unis, il est très probable qu'elles auront accès au réseau Wimax de Clearwire à la fin de 2010. Des stratégies et des investissements différents « La revente de services est en forte croissance. Nous avons capté 46 000 clients par ce biais, à la fin du 4ème trimestre 2009, et notre rythme de progression devrait nous amener à faire nettement mieux durant ce premier trimestre 2010 » affirme Mike Sievert Chief Commercial Officer de Clearwire. Au contraire de Clearwire, Verizon n'aura pas de réseau LTE couvrant les Etats Unis depuis la côte Est jusqu'à la côte Ouest. L'opérateur prévoit cependant de couvrir 30 villes majeures et beaucoup plus en 2011. Verizon a passé son année 2009 à se préparer pour activer son infrastructure LTE dans le courant de 2010 y compris pour ses antennes, le coeur de son réseau et la location des points hauts auprès de leurs propriétaires, affirme Tony Melone, executive vice président et CTO de Verizon Wireless. [[page]] A partir de là, Verizon étendra de manière significative son réseau LTE tout au long de 2011. L'opérateur entend avoir doubler le nombre de villes couvertes pour le début de 2012. A la fin de 2013, Verizon devrait avoir couvert en 4G le même périmètre que son réseau 3G actuel et même aller au-delà. Tony Melone explique que Verizon exploitera d'abord la tranche de 22 Mhz du spectre dans la bande des 700 Mhz obtenue durant les enchères de 2008. "La bande de fréquences des 700 Mhz nous offre d'énormes avantages en termes de propagation comparativement à ceux qui déploient dans des bandes de fréquences supérieures. La bande des 700 Mhz signifie que nous devrons équiper moins de sites d'émission, et que nous aurons une meilleure pénétration des ondes radio dans les immeubles » ajoute Tony Melone. Les premiers utilisateurs du LTE ne disposeront au début que de modems pour des transferts de données, sans téléphonie vocale. Afin de palier à cela, AT&T, Verizon et d'autres sociétés des télécoms, dont des fabricants, ont décidé conjointement de développer des standards pour la voix et les SMS sur LTE. En février, l'association du GSM a décidé d'adopter la solution des opérateurs pour la voix sur LTE, afin d'éviter la dispersion des efforts en matière de standardisation. Bientôt de la voix sur LTE L'association du GSM a déclaré qu'elle soutenait l'initiative VoLTE, fondée sur une approche IMS (un standard qui définit un coeur de réseau IP pour tous les services télécoms), car « IMS permet tous les services autour de la voix tels que la mise en attente d'un appel ou la limitation d'appels.» "Les possibilités techniques pour de la voix sur LTE seront disponibles en 2011. La question pour nous sera de savoir si notre couverture radio en LTE sera suffisante pour fournir à nos clients un service téléphonique convenable en voix sur LTE, ou s'il vaudra mieux que nous offrions de la voix sur la 3G et des services de données sur la 4G » conclut Tony Melone. (...)

(09/03/2010 09:54:22)

La Poste bientôt opérateur mobile virtuel

Que faire quand l'activité du courrier est en baisse constante ? Se tourner vers les nouveaux médias, comme le téléphone mobile. C'est que ce La Poste aurait bien envie de faire en devenant opérateur mobile, selon notre confrère Les Echos. La décision devrait être entérinée Jeudi prochain lors du prochain conseil d'administration. L'offre concernerait aussi bien des forfaits que des cartes pré-payées. La Poste serait MVNO (Mobile Virtual Network Operator) au même titre que Virgin Mobile. Les services seraient commercialisés au premier semestre de 2011. Dans ce retour au source de l'ancien monopole des télécommunications, la Poste dispose d'un atout de première grandeur avec son réseau de distribution de proximité unique en France. Les ambitions de La Poste resteraient mesurées avec 1,5 à 2 millions de clients. Voilà qui ne va pas faire plaisir à Free mais devrait déclencher une vraie concurrence entre les opérateurs mobiles qui possèdent leur propre réseau (Orange, Bouygues Télécoms ou SFR) pour héberger La Poste sur leurs infrastructures. Et que penserait l'Autorité de la Concurrence d'un rapprochement entre La Poste et France Télécom sur ce sujet ? (...)

(09/03/2010 09:52:58)

Cisco réduit ses activités dans le Wimax

Après l'acquisition de Navini Networks en 2007 pour 330 millions de dollars, Cisco avait fait sa véritable entrée sur le marché du WiMax. A l'époque, il y voyait une excellente opportunité de développer l'Internet haut débit dans les pays émergents. Depuis, le WiMax a été progressivement relégué au second plan par la technologie LTE (Long-Tarm Evolution) en tant que socle des futurs réseaux de communication mobile 4G. Le LTE bénéficie du soutient des acteurs de l'industrie du GSM. En outre, il figure sur la feuille de route des principaux opérateurs ayant déjà fait les choix technologiques pour leur futurs réseaux mobiles 4G. Verizon Wireless prévoit, par exemple, de lancer une offre commerciale bâtie sur LTE cette année, tandis qu'AT&T devrait suivre l'an prochain. Heureusement pour lui, Cisco peut à la fois couvrir les marchés du WiMax et du LTE depuis l'acquisition de Starent Networks l'an dernier. Cette entreprise conçoit des produits qui gèrent des accès aux réseaux sans fil 2,5 G, 3G et 4G pour des coeurs de réseaux d'opérateurs mobiles. Ses matériels sont déployés dans des réseaux CDMA2000 (1X, EV-DO), UMTS/HSPA, LTE, WiFi, et WiMAX. « Pour que notre décision de cesser de fabriquer des stations de bases WiMax ne lèse pas nos clients, nous avons prévu un plan de support qui va les aider à migrer vers le LTE », précise Jim Brady, le porte-parole de Cisco. "Cisco a pris la bonne décision au bon moment", juge Laurence Swasey, analyste chez Visant Strategies. "Cisco pense que le LTE va dominer le monde de la 4G et que cette technologie pourrait même être adoptée par les opérateurs WiMax". Pour ce spécialiste, le récent choix de Cisco de sortir du marché du WiMax aura beaucoup moins d'impact sur l'industrie que celui qu'il avait fait en décidant d'y entrer. Photo : installation d'un réseau Wimax à Karaganda (centre du Kazakhstan) par l'opérateur AsiaBell en février 2009 avec des équipements fournis par Cisco (D.R.) (...)

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