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(27/02/2009 17:48:38)

Cisco supprime 2 000 postes et évoque une restructuration limitée

En annonçant un projet de restructuration qui se soldera par la suppression de 1 500 à 2 000 postes, Cisco Systems intègre la longue liste des contributeurs aux plans sociaux. Selon nos confrère du Wall Stret Journal, les premiers départs ont eu lieu cette semaine, l'équipementier ayant décidé d'engager le processus en supprimant 250 emplois à San Jose (Californie), son siège social, et également à l'international. L'entreprise a indiqué que ces coupes faisaient partie du cours normal de ses affaires et qu'elle souhaitait davantage se concentrer sur des domaines d'activité à forte croissance. Dans une déclaration, le PDG, John Chambers, a précisé que la société évaluait constamment ses priorités et qu'elle avait également pour habitude d'aligner ses ressources dans le cadre de son processus de gestion. Le patron de Cisco a rappelé que cette réorganisation faisait partie d'un projet de réalignement des équipes qui avait déjà été évoqué à l'occasion de la publication des résultats du deuxième trimestre. Selon lui, l'équipementier ne compte pas procéder à une large vague de suppressions de postes car si c'était le cas, les coupes se seraient montées à 10% des effectifs de l'entreprise, qui compte actuellement 67 000 salariés. 1 Md de dollars économisés d'ici fin 2009 Comme beaucoup d'acteurs du secteur des TIC, Cisco est durement touché par la récession mondiale. Au cours de son deuxième trimestre 2009, les revenus de l'équipementier ont reculé d'environ 7,5% par rapport à l'année précédente, à 9,1 Md$, en raison de la baisse de la demande de ses clients. Plutôt que d'engager de grosses réductions d'effectifs pour contrôler ses coûts, Cisco a préféré mettre l'accent sur la réduction de ses dépenses et entend économiser 1 milliard de dollars d'ici à la fin de l'exercice 2009. Pour atteindre cet objectif, Cisco a donc fait une pause sur ses recrutements, mais a également prévu de réduire le budget de ses voyages, de ses événements, de ses équipements et de son marketing, notamment. Reste à savoir quelles seront les conséquences de ce plan dans l'Hexagone, la direction de Cisco France n'ayant pas été en mesure de répondre à notre demande. (...)

(06/02/2009 11:08:44)

LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner

Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)

(28/01/2009 17:54:12)

Les commutateurs Cisco réduiront la consommation des équipements informatiques et des bâtiments

Lorsqu'il s'agit de parler green IT chez Cisco, c'est le PDG en personne qui se déplace. Il faut dire que John Chambers avait sensibilisé l'entreprise à son impact environnemental dès son retour de Davos en 2006. Il avait alors constitué un 'éco-board' et lancé des actions idoines. A Barcelone, où se tient la conférence annuelle CiscoNetworkers, le 27 janvier, il a présenté Energywise, une des premières concrétisations de sa décision d'alors. Cette technologie sera intégrée à l'ensemble de la gamme de commutateurs Catalyst de Cisco pour mesurer, contrôler et diminuer la consommation électrique des matériels informatiques des entreprises et des bâtiments. C'est par activation logicielle que les commutateurs de la gamme Cisco actuelle surveilleront et optimiseront la consommation électrique des équipements. Il sera alors possible d'activer ou de désactiver ces derniers, de mesurer leur consommation bien sûr, mais aussi d'affecter des priorités à certains environnements ou de procéder à un délestage intelligent du système. Un morceau de code se greffera par ailleurs sur la plateforme centrale d'administration LMS (LAN management solution) du constructeur pour contrôler l'ensemble de la consommation électrique. C'est depuis LMS que seront mis en oeuvre les éléments d'une éventuelle politique globale de gestion de la consommation. Une réduction de 10% à 30% de la consommation des bâtiments EnergyWise sera disponible en trois étapes. Pour commencer, à partir de février, il permettra de gérer, depuis les commutateurs, les éléments alimentés par un réseau IP comme les téléphones, les caméras de surveillance ou les points d'accès Wifi. Ensuite, dès l'été prochain, ce sera au tour des périphériques connectés en IP mais alimentés par un autre moyen, comme les PC, les laptops ou les imprimantes. Dans ce cas, c'est un protocole spécifique qui se chargera de la mesure, du contrôle et de la réduction de la consommation. Enfin, début 2010, Cisco s'attaquera aux équipements de bâtiments comme le chauffage, la ventilation, l'air conditionné, les ascenseurs, l'éclairage, les systèmes de badge, les alarmes incendies et les systèmes de sécurité. Ce dernier cas impose de passer par une interface entre le réseau IP et le bus de terrain des équipements du bâtiment. Pour développer ce type d'interfaces, Cisco a déjà passé un accord avec Schneider Electric pour ses produits, par exemple. Mais il a aussi acquis la société Richards Zeta qui propose un middleware chargé d'exposer les standards du bâtiment au réseau IP en XML. Un moyen de convertir des technologies qui ne seraient pas ouvertes sur IP pour qu'elles fonctionnent avec EnergyWise. Selon Olivier Seznec, directeur de la stratégie technologique et en charge du comité green IT pour Cisco France, « avec de tels outils, il est possible de réduire de 10% à 30% la consommation d'un bâtiment. Bien sûr, on parle plutôt d'immeubles de bureau ou de bâtiments techniques comme les hôpitaux, par exemple.» « EnergyWise est à la fois une technologie et un programme, précise par ailleurs Olivier Seznec. Aujourd'hui, c'est notre première annonce d'une technologie avec un objectif purement green IT. Nous avions déjà la téléprésence et la Web collaboration, par exemple, mais ces outils n'avaient pas été conçus dans un but green IT dès le départ. » (...)

(12/01/2009 13:17:23)

La 4e licence 3G va enfin voir le jour

Souvent évoquée, mais jusqu'à présent toujours victime de la procrastination du gouvernement, la 4e licence 3G va enfin voir le jour. C'est ce que François Fillon, le Premier ministre, a annoncé ce matin à l'occasion de la présentation de la mise en oeuvre du Plan numérique d'Eric Besson. L'exécutif va charger l'Arcep de lancer un appel à candidature en février, l'attribution définitive devant intervenir avant l'été. Au total, trois lots seront proposés : deux pour tous les opérateurs, le troisième réservé à un nouvel entrant. Free tient donc sa chance après avoir invariablement réclamé la création de cette 4e licence. François Fillon a souligné que cette décision contribuera à favoriser la concurrence sans pour autant déstabiliser le marché. Nous reviendrons dans la journée sur l'ensemble des mesures annoncées par le premier ministre. (...)

(07/01/2009 12:40:51)

Infiniband réussit haut la main le test de la longue distance

Le protocole Infiniband est couramment utilisé pour la connexion de clusters de serveurs dans les datacenters ou les supercalculateurs. Il a été conçu pour assurer une communication simple et efficace sur courte distance. Pourtant, selon le site américain Goverment Computer News, des chercheurs du département de l'énergie du laboratoire Oak Ridge National (ORN) ont testé le protocole entre deux machines distantes de près de 14 000 km en soutenant un débit moyen de 7,34 Gbps. Le même essai réalisé sur HTCP (Hyper Text Caching Protocol) n'a jamais permis de dépasser 1,79 Gbps. Plus précisément, les chercheurs ont constaté que le débit sur HTCP, élevé au départ (9,21 Gbps sur 300m), s'est dégradé à mesure que la distance s'est allongée. Le débit Infiniband est, lui, resté relativement constant. Les tests ont été réalisés sur une liaison optique à 10 Gbps dédiée, qui relie Oak Ridge dans le Tennessee et Sunnyvale en Californie, en passant par Atlanta, Chicago et Seattle. Les chercheurs concèdent à ce propos que l'utilisation d'une ligne spécialisée a défavorisé HTCP. TCP/IP a en effet été conçu pour le partage de trafic. Le laboratoire a utilisé à chaque extrémité du réseau des commutateurs Infiniband de la gamme Longbow de Obsidian Research. La société s'attèle justement à proposer une utilisation longue distance du protocole. Avec le succès des environnements de simulation entre autres, les grands laboratoires de recherche et leurs supercalculateurs ont de plus en plus besoin d'échanger des quantités massives de données sur longue distance. Le Cern (Organisation européenne pour la recherche nucléaire) à Genève, par exemple, va échanger dans le monde entier les petaoctets de données issus des expériences de l'accélérateur de particules LHC (Large hadron collider). Or, TCP/IP ne donnerait pas toujours satisfaction dans de telles conditions en termes de débit autant que de fiabilité du transfert. Toutes les solutions de rechange comme Infiniband sont ainsi les bienvenues. (...)

(06/01/2009 12:51:18)

Les câbles sous-marins rompus en décembre, finalement réparés

Les trois câbles sous-marins de télécommunications rompus le 19 décembre dernier ont finalement tous été réparés hier matin. Propriété de France Telecom, ceux-ci se situaient entre la Sicile et la Tunisie et assuraient la liaison entre la France et la région Moyen-Orient / Asie. Après avoir été perturbés pendant plusieurs jours, les trafics Internet et téléphoniques ont repris leur cours normal. Une ancre de navire aurait été à l'origine de la première panne le 19 décembre dernier. L'un des câbles, réparé dès les 25 décembre, a pourtant été de nouveau rompu le jour suivant. Cette nouvelle avarie qui a eu lieu à 3000 m de profondeur serait, elle, « d'origine sismique, peut-être liée à un glissement de terrain local, » selon France Telecom. Le câble a finalement été réparé lundi matin, après que les deux autres aient été remis successivement en état de marche le 29 décembre et le 4 janvier. (...)

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