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(30/09/2011 10:15:57)
Gartner donne des conseils pour économiser sur les coûts d'infrastructures
1-Se concentrer sur le court terme
Il faut d'abord différer tout ce qui ne concerne pas des infrastructures critiques. Et se poser trois questions. Est-ce bien une initiative de haute priorité qui doit être achevée rapidement ? Sera-t-elle réalisable dans des structures de coûts et dans des délais prévus ? Permettra-t-elle d'éviter des pannes majeures ou des dégradations de performances ?
2-Ré-examiner les coûts réseau
Ces coûts en général s'offrent la part du lion dans les coûts de l'entreprise. Il faut donc renégocier les contrats avec les fournisseurs pour s'assurer que leurs tarifs contractuels sont basés sur le marché. Des mesures importantes peuvent également être prises pour optimiser les coûts de réseau en affinant la conception et l'approvisionnement de ces réseaux.
3-Consolider les infrastructures
Cette partie est liée à la normalisation, l'intégration et la virtualisation des infrastructures. Dans le passé, la montée de l'informatique distribuée et d'autres tendances ont contribué au déclin des grands sites de traitement. Maintenant, les datacenters reviennent et Gartner prévoit que cette tendance se poursuivra durant toute la décennie à venir. D'autres tendances vont arriver : la rationalisation du serveur, la croissance matérielle, la limitation des coûts, la consolidation des données d'entreprise dans les sites de traitement de données plus importants.
4-Virtualiser
Les serveurs fonctionnent avec un très faible taux d'utilisation moyenne (moins de 15 pour cent). Les logiciels de virtualisation multiplient cette utilisation généralement par quatre ou plus, ce qui signifie, pour une charge de travail donnée, qu'une entreprise peut généralement réduire le nombre de serveurs physiques par quatre. Cela signifie des coûts de matériel et d'énergie réduits chacun de plus de 50 pour cent.
5-Réduire les besoins d'alimentation et de refroidissement
Dans le passé, les centres de données étaient souvent ouverts sur d'immenses zones de surface au sol d'un blanc immaculé, entièrement alimentés et soutenus par une alimentation sans coupure (UPS), l'eau étant refroidie par air. Avec le coût des équipements mécaniques et électriques, ainsi que le prix de l'énergie, ce modèle ne fonctionne plus.
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Les centres de données utilisent beaucoup moins d'énergie, prennent moins de place et coûtent beaucoup moins.
6-Contenir la croissance du stockage
Le réseau et la capacité de stockage sont tous en croissance annuelle à deux chiffres. Le Gartner prédit que, d'ici 2016, les entreprises vont installer, en téraoctets, 850 pour cent de plus que ce qu'ils ont installé en 2011. De multiples approches doivent être adoptées, notamment l'utilisation de la virtualisation du stockage, la hiérarchisation et de stockage automatisé de gestion des ressources (MRS) des outils.
7-Réduire le coût du support utilisateur
Le support pour les utilisateurs est généralement d'environ 8 % du total des dépenses IT, et la plupart des entreprises ont au moins quatre niveaux de soutien, chacun avec un coût et un niveau d'expertise différents. Pour réduire ces coûts, les entreprises ont besoin de réduire d'un tiers les appels au support par l'utilisateur.
8-Simplifier les opérations IT
Pour contenir et dénombrer les coûts associés à la gestion des opérations et des infrastructures, les processus doivent être rationalisés et aussi efficaces que possible. Ceci implique généralement la mise en oeuvre d'ITIL, le cadre standard de facto dans les opérations informatiques. L'objectif principal est d'améliorer la gestion du service et sa qualité, mais ITIL a été connu aussi pour réduire les charges d'exploitation.
9-Renforcer l'IT Asset Management (ITAM)
ITAM en soi ne réduit pas les coûts, mais c'est un outil très efficace pour identifier et évaluer les possibilités de réduction des coûts. ITAM peut aider à déterminer la durée de vie de certains actifs, reporter les mises à niveau et éliminer ou combiner les licences de logiciels, ainsi que le remplacement de certains contrats de services de maintenance. Les référentiels actifs informatiques sont généralement des outils les plus efficaces pour cette entreprise. Ces outils peuvent maintenir les dates, gérer les changements et envoyer des courriels des rappels pour s'assurer que le processus de cycle de vie est géré de manière proactive.
10-Optimiser le multi-sourcing
Le sourcing est peut-être la décision la plus stratégique. Les critères de décision clés sont le contrôle sur les aspects qui sont d'une importance stratégique et critique pour l'entreprise, en jouant de la force du personnel disponible, en définissant les lignes de démarcation claires, en réduisant le nombre de fournisseurs impliqués à un petit nombre gérable et en déterminant ce qui rend solide le plan financier.
(...)(29/09/2011 09:45:29)Centrex et Box pro dynamisent le marché de la ToIP/VoIP
Première surprise de l'étude, le Centrex refait parler de lui. Célébré au début des années 2000, il semblait être atteint d'anémie. 2010 a marqué un réveil, aujourd'hui 7% des entreprises (en moyenne) en sont équipés : 14% dans les grands comptes, 11% dans les PME (50 à 499 salariés), 6% en dessous. Par secteur, les services, le commerce, les entreprises multisites semblent les plus favorables au centrex. « De nouvelles offres opérateurs ont réveillé le marché » commente Xavier Lemuet qui a piloté l'étude.
Autre poussée, mais là c'est une confirmation, celle des box adsl. Elles poursuivent leur progression jusqu'à atteindre 55% du marché (de la TPE au grand compte). C'est 16% de plus qu'en 2010. La box est le deuxième type d'équipement en France, derrière le Pbx qui atteint 70%. Loin derrière : les logiciels de téléphonie (7%) et le Centrex (7%). Par rapport à 2010, la box grand public en entreprise baisse au profit de la box Pro, signe que cet équipement est très ancré dans le monde de l'entreprise dans des configurations de 10 à 15 postes.
Fort potentiel de croissance des PBX IP-enabled
Mais la grande découverte de cette nouvelle édition tient au fort potentiel de croissance des PBX IP-enabled. Des PBX hybrides qui fonctionnent aussi bien en TDM qu'en IP. Depuis trois ans, il ne se vend que des PBX de ce type. « Mais, nous observons un fort décalage entre l'équipement en PBX et l'utilisation des services IP » note Xavier Lemuet. Soit les installateurs ne savent pas préconiser une utilisation complète de ces PBX, soit les entreprises clientes rechignent à dépenser pour accéder à une connexion IP. En convertissant ce parc, la ToIP/VoIP pourrait toucher 60% des entreprises ! Actuellement, 40% des entreprises françaises (de la TPE au grand compte) font de la ToIP.
Autre donnée, les usages restent dans le grand classique. 94% des entreprises citent : l'accueil téléphonique, la messagerie vocale, le transfert d'appels. Le changement, sur cette question des usages, vient des sujets audioconférence et visioconférence, le premier passe de 8% en 2010 à 16% en 2011. La visio, progresse de 5 à 7%.
IPBX, un marché de nouveau en croissance selon IDC
A l'automne 2008, le marché de l'IPBX était affecté par une baisse en EMEA. L'année 2010 a marqué le retour à la croissance. En 2015, prévoit le cabinet IDC, ce marché atteindra les 5,1 milliards de dollars, avec un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 11,9% entre 2010 et 2015.
Cette croissance forte est due selon le cabinet d'études à trois facteurs. D'abord, la modernisation nécessaire de l'équipement en réseaux des entreprises. Elles auront besoin de remplacer leurs plates-formes vocales en TDM devenues obsolètes. Ensuite, elles auront besoin d'intégrer de solutions de communication unifiée et de collaborations pour accompagner de nouveaux processus métier. Enfin, pour faire face au climat économique les entreprises auront intérêt à investir dans l'équipement en téléphonie IP.
Toutefois, l'étude n'est pas totalement optimiste. Une détérioration trop forte de l'économie dans la région EMEA peut modifier de façon spectaculaire les perspectives des prestataires, de leurs intégrateurs et des clients. Dans ce cas, celui de la crise, les clients mettront l'accent sur les coûts, c'est l'argument qu'il faut travailler leur conseille IDC.
Crédit photo : Panasonic
OVH lance un forfait Internet sans TV mais avec VoIP
L'offre no!TV d'OVH propose un forfait ADSL incluant les appels vers les téléphones fixes et mobiles en France, ainsi que les communications avec les fixes de 40 pays. A défaut de box avec fonctions vidéo, OVH fournit un modem-routeur WiFi. Comme son nom l'indique, cette offre ne comprend pas la télévision. A peine plus cher que le forfait social réclamé par le gouvernement (et proposé par Orange aux bénéficiaires du RSA début 2012), il est plus complet puisqu'il comprend les communications vers les mobiles.
Parallèlement, OVH commercialise une offre no!Box, un simple accès internet à jusqu'à 28Mbps, pour 20 € par mois. OVH propose également un forfait Double, orienté geeks comme entrepreneurs, qui propose un accès internet, deux lignes téléphoniques, un espace de stockage en ligne de 100 Go et deux comptes de messagerie Microsoft Exchange, le tout pour 30 €. Enfin, une offre Pro inclut un accès internet, trois lignes téléphoniques, un espace de stockage en ligne de 500 Go et cinq comptes de messagerie Microsoft Exchange, le tout pour 46,64€.
Tous les abonnements d'OVH requièrent douze mois d'engagement, mais ne comportent aucuns frais d'ouverture ni de fermeture.
Découvrir les offres OVH : http://www.ovh.fr/
(...)(23/09/2011 09:47:37)Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR décrochent leurs licences 4G
Les quatre opérateurs retenus se partageront le réseau mobile à très haut débit (4G, pour 4e génération), et pourront ainsi proposer à leurs clients des débits d'au minimum 60Mbps. Trois d'entre eux (Orange, Free et Bouygues) pourront en outre louer leur réseau aux opérateurs "virtuels".
Orange et Free obtiennent les plus grosses parts avec un lot de fréquences de 20MHz duplex pour respectivement 287M€ et 271M€. Bouygues et SFR ressortent avec un lot de fréquences de 15MHz duplex pour 228M€ et 150M€. Seul SFR n'a pas souscrit en plus à l'engagement d'accueil des opérateurs mobiles virtuels (MVNO) sur son futur réseau. Au total, ce sont plus de 936M€ qui ont ainsi été mis sur la table.
(...)(21/09/2011 12:29:42)Cisco étoffe la gestion de la couche réseau virtualisé de Windows Server 8
Cisco va proposer deux solutions pour s'arrimer aux serveurs équipés de l'hyperviseur Hyper-V 3 de Microsoft, extraire l'information de la couche réseau relative aux machines virtuelles Hyper-V et ajouter les fonctions de contrôle, de gestion et de configuration de la couche réseau Cisco à ces machines.
La première solution supportant la technologie Hyper-V est une déclinaison du switch Nexus 1000V Series de Cisco en commutateur virtuel distribué. Celui-ci a été adapté à la technologie Hyper-V 3 des machines virtuelles par l'ajout de cartes Ethernet virtuelles qui peuvent être gérées par le Virtual Supervisor Module, un autre composant du commutateur de Cisco. Selon le constructeur, le module de supervision est étroitement intégré à Microsoft System Center Virtual Machine Manager, ce qui permettra aux clients de définir des privilèges distincts pour des niveaux d'administration différents. Le module de supervision peut être déployé sur une appliance physique ou sur une machine virtuelle. La totalité du commutateur distribué peut être hébergé sur l'appliance physique Cisco Nexus 1010 Virtual Appliance Services.
Gérer les VM Hyper-V 3 à partir de NX-OS
Selon Cisco, cette combinaison offre aux administrateurs Cisco un moyen plus facile de gérer les machines virtuelles, car ils peuvent utiliser le logiciel Cisco NX-OS avec lequel ils sont déjà familiers. Les machines virtuelles apparaissent comme des extensions du réseau physique, ce qui facilite l'application des politiques, le provisionning et le diagnostic des problèmes éventuels sur les machines virtuelles. Ici, l'environnement virtuel n'est pas traité séparément, mais il a été placé sous un parapluie de protection.
Le Nexus 1000V a également été intégré à d'autres produits Cisco afin de pouvoir étendre leurs fonctionnalités aux machines virtuelles. Dès son lancement, le commutateur virtuel sera compatible avec les services de trois produits de réseau virtuel. À commencer par Virtual Security Gateway, qui permet l'application de politiques de sécurité par zone dans des environnements virtuels multi-tenant. Vient ensuite Virtual Wide Area Application Services, qui supporte l'optimisation des performances pour les applications hébergées sur les serveurs virtuels des datacenters et des clouds privés. Enfin, Network Analysis Module qui apporte de la visibilité à l'environnement virtuel pour la résolution de problèmes de performance. Hyper-V est déjà fourni avec son propre commutateur virtuel, mais, selon Cisco, celui-ci n'offre pas le même degré de contrôle que le Nexus 1000V à venir.
Cliquer sur l'illustration pour l'agrandir
Des produits pour Windows Server 8 uniquement
L'équipementier lance également une nouvelle version de Hyper-V-friendly de l'Unified Computing System Virtual Machine Fabric Extender (UCS VM-FEX), lequel étend la gestion Cisco aux environnements virtuels. Les avantages de ce système sont proches de ceux apportés par le Nexus 1000V, à ceci près qu'il permet de voir la couche réseau et les contrôles de l'environnement virtuel, comme l'a précisé Cisco. Avec l' UCS VM-FEX, les administrateurs peuvent gérer les éléments physiques et virtuels de leurs réseaux comme une seule et même infrastructure pour le provisionning, la configuration, la gestion, le monitoring et le dépannage.
Ces produits fonctionneront exclusivement avec la version 8 de Windows Server, attendue fin 2012. Les versions existantes de Nexus 1000V et de l'UCS VM-FEX travaillent déjà avec les environnements virtuels Hyper-V concurrents de VMware. Pour l'instant, le prix de ces nouveaux produits n'est pas encore disponible.
Crédit photo : Cisco
Selon IDC, le marché de l'UCC devrait tripler d'ici 2015
D'après une étude que vient de publier IDC, le marché des solutions de communications unifiées et de collaboration (UCC) en EMEA devrait générer 16,6 Md$ de chiffre d'affaires en 2015. L'an dernier, les revenus du secteur s'étaient établis à 5,7 Md$, ce qui signifie qu'ils devraient croître à un rythme annuel moyen de 23,7% durant les trois ans et demi à venir. La France représenterait le plus important marché pour l'UCC en Europe de l'Ouest, suivie par le Royaume-Uni et l'Allemagne.
Illustration : Microsoft Lync, crédit D.R. (...)(15/09/2011 15:26:25)Cisco : après la restructuration, Chambers redistribue les coups
Lors de conférence annuelle destinée à la présentation des résultats de l'entreprise aux analystes financiers qui s'est tenue mardi à San Jose, Californie, les dirigeants ont donné davantage de détails sur les transformations de Cisco. L'entreprise, spécialiste et leader dans les réseaux, avait commencé à rationaliser ses opérations et à se recentrer sur son coeur de métier, plus tôt cette année, après la publication de résultats financiers décevants. La réorganisation conséquente qui s'en était suivie, avait démarré par l'arrêt de son unité de production de caméscopes grand public Flip et d'autres activités, la suppression de 12 900 emplois et la réaffectation de 23 000 salariés.
John Chambers reconduit et Mea Culpa
Finalement, le président du conseil d'administration et CEO, John Chambers, n'aura pas fait les frais de cette réorganisation, en dépit d'informations selon lesquelles il annoncerait sa démission. Au terme de la conférence, en réponse à la question d'un analyste, le CEO a déclaré qu'il avait accepté de rester « à la demande du conseil d'administration » de Cisco. Il a été reconduit pour 3 ans. John Chambers a reconnu que l'entreprise s'était un peu égarée et avait manqué d'efficacité dans certains domaines. « Nous étions trop gros, » a ajouté le CEO de Cisco. « Je veux dire que nous avions pris quatre ou cinq tailles de trop. » En particulier, la structure de Cisco est devenue trop lourde, compliquant la relation avec les clients. « Nous avons rendu nos rapport douloureux dans les négociations de contrats et de licences logicielles, » a ajouté John Chambers. En outre, « l'entreprise n'a pas suffisamment pris en compte les retours clients sur certains produits et n'a pas fait assez circuler l'information pour modifier sa feuille de route en conséquence, » a t-il précisé.
De plus, « les clients demandaient une meilleure intégration des produits afin qu'ils soient plus faciles à utiliser. Et certains départements ont pris du retard en terme d'innovation, » a encore reconnu le président. « Cette réorganisation a été l'occasion de désigner des personnes spécifiques pour répondre à ces lacunes, » a ajouté John Chambers. L'entreprise a également mis fin à une série de commissions et de conseils de gestion en nommant des responsables pour ses lignes de produits.
Autonomie, collaboration, rationalisation
Les dirigeants ont également donné quelques détails sur la façon dont Cisco pensait rationaliser ses activités. Par exemple, « l'entreprise va accorder aux commerciaux plus d'autonomie, et nous avons réduit le temps consacré à l'examen des contrats de 2/3, » a déclaré Gary Moore, Chief Operating Officier (COO) de Cisco.
Illustration: John Chambers lors de l'intervention devant les analystes
Crédit Photo: IDG
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Selon le CEO, l'entreprise a également fait en sorte que les équipes travaillant sur les produits collaborent plus étroitement entre elles, au lieu d'être en concurrence. « L'entreprise prévoit d'intégrer davantage ses technologies et de se servir de ses composants comme levier pour d'autres produits, » a ajouté John Chambers.
De plus, Cisco prévoit d'utiliser les mêmes circuits ASIC (Application-Specific Integrated Circuits) dans plusieurs lignes de produits pour réduire les coûts de développement des processeurs. Les cinq domaines d'activité de Cisco sont désormais centrés sur le routage et la commutation d'entreprise, la collaboration, la virtualisation des datacenters, la vidéo et tout ce qui permet de relier ces éléments ensemble dans une architecture globale.
Optimisme retrouvé par rapport à la concurrence
Selon les dirigeants, après cette cure d'amaigrissement, l'entreprise peut afficher de fortes perspectives pour les trois années à venir, avec des prévisions de croissance moyenne de 5 à 7 % en revenus annuels. Selon Frank Calderone, le directeur financier, « le bénéfice par action devrait croître de 7 à 9 % par an, sans tenir comptes des éléments non récurrents. »
« Pendant ce temps, les concurrents commencent à peine à s'attaquer à leurs propres problèmes, » a déclaré John Chambers, citant Hewlett-Packard aux prises avec sa stratégie. Pour sa part, il considère que Cisco a surmonté la question de la compétition sur les prix en faisant la démonstration que ses propres produits étaient moins chers sur le long terme. S'adressant aux analystes après les principales présentations, John Chambers a estimé que « HP n'avait jamais été plus vulnérable qu'aujourd'hui. » Pendant la conférence, Cisco s'en est également pris plusieurs fois à Juniper, quelques jours après le début d'une campagne de publicité qui ridiculise l'entreprise, se moquant de ses produits toujours livrés en retard. « Notre rival de la Silicon Valley est trop éparpillé entre son activité principale de prestataire de services et celle, récente, de fournisseurs de produits pour l'entreprise, » a commenté John Chambers. « Nous n'avons jamais été en meilleure position par rapport à nos concurrents », a t-il encore déclaré.
Illustration: John Chambers lors de l'intervention devant les analystes
Crédit Photo: IDG
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