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(24/06/2011 15:01:37)
Oracle : ventes de logiciels en hausse, matériel en baisse au 4e trimestre
Confortée par la croissance de son activité logicielle, Oracle a présenté les résultats de son quatrième trimestre fiscal 2011 clos le 31 mai montrant une hausse de 36% de son bénéfice net à 3,2 milliards de dollars par rapport à l'exercice fiscal précédent. Le total du chiffre d'affaires pour le trimestre a augmenté de 13% à 10,8 milliards de dollars. Les ventes de licences logicielles, qui sont considérées comme un indicateur clé de la bonne santé du marché ont augmenté de 19% pour atteindre 3,7 milliards de dollars. En revanche, le chiffre d'affaires de la branche matérielle a diminué de 6% et s'élève à 1,2 milliard de dollars. Cette baisse sur les revenus du matériel a affecté le cours de l'action d'Oracle, hier jeudi. Celui-ci est ensuite remonté.
Sur l'ensemble de l'exercice fiscal, le bénéfice net a bondi de 39% à 8,5 milliards de dollars et le chiffre d'affaires de l'éditeur a atteint les 35,6 milliards de dollars, soit une hausse de 33%.
Safra Catz, co-présidente et directrice financière d'Oracle, a tenu à souligner dans un communiqué que la croissance des ventes de logiciels pour le quatrième trimestre avait été réalisée sans l'aide, pratiquement (ou dans une moindre mesure), des acquisitions.
Plus de 1 000 Exadata dans le monde
L'éditeur s'est résolument tourné vers le hardware avec l'intégration de Sun Microsystems. Il a livré des systèmes tels que les Exadata, des serveurs de stockage dédiés aux bases de données Oracle. « Ces systèmes ont fortement contribué à notre croissance au cours du quatrième trimestre », a pour sa part indiqué Mark Hurd, co président d'Oracle. « Aujourd'hui il existe plus de 1 000 Exadata installées dans le monde. Notre objectif est de tripler ce nombre au cours de l'exercice fiscal 2012 ».
Les Exadata sont toutefois confrontés à la concurrence d'IBM, avec sa division Netezza, et de SAP, qui a lancé HANA, son appliance d'analyse en mémoire. Les traitements « In-memory » s'effectuent en mémoire vive, ce qui dope la performance par rapport aux systèmes devant lire les données sur disques. Lors de la conférence téléphonique de commentaires des résultats, Larry Ellison, PDG d'Oracle a indiqué que son groupe prévoyait d'annoncer un accélérateur « in-memory » pour Exadata, lors de son événement annuel OpenWorld (à San Francisco, en octobre prochain), ainsi qu'un accélérateur pour les Big Data, mettant en oeuvre le framework open-source de programmation Hadoop.
« Un accélérateur in-memory peut signifier différentes choses », a estimé Curt Monash, analyste chez Monash Research «Gérer des données en mémoire en étant relié à un système de gestion reposant sur des disques est un peu plus difficile que de simplement gérer des données en mémoire ». Le projet d'Oracle concernant un produit reposant sur Hadoop est peu surprenant compte tenu de l'attention généralisée manifestée pour cette technologie ces derniers temps par les acteurs du datawarehouse et du décisionnel. En attendant, les ventes d'Exadata et du serveur Exalogic se portent à merveille, a affirmé Mark Hurd durant la conférence téléphonique. Le lancement d'Exalogic se déroule même encore mieux que celui d'Exadata.
Matériel: le revenu du support augmente
Alors que les ventes de matériels ont baissé sur le trimestre, les revenus du support associés ont augmenté, à la faveur de meilleurs taux de souscription enregistrés sur les nouvelles ventes, a expliqué le co-président. Oracle vend aussi moins de systèmes avec des marges plus élevées. C'est, selon lui, fondamental pour disposer d'une activité matérielle solide.
Illustration : Safra Catz, directrice financière d'Oracle et co-présidente, sur OpenWorld 2010 (crédit : MG)[[page]]
« Oracle se débrouille bien pour pousser du matériel vers sa base installée de clients, remarque l'analyste Ray Wang, PDG de Constellation Research, dans une interview accordée à nos confrères d'IDG News Service hier, juste avant l'annonce des résultats. « Cela a commencé avec Exadata et il apprend doucement à se comporter comme un fournisseur de matériel. » Pour lui, ce n'est pas une compétence facile à acquérir pour un groupe qui n'évolue pas traditionnellement sur ce terrain.
L'analyste, qui aide les acheteurs de logiciels à négocier leurs contrats avec les vendeurs, a constaté l'agitation habituelle des discounts de fin d'année [NDLR : fiscale] sur les contrats du quatrième trimestre réalisés par Oracle. Mais celle-ci n'a toutefois pas été aussi forte que l'an dernier.« Sans aucun doute, Oracle progresse du côté de son activité applications, mais à l'instar des autres éditeurs, cette croissance vient des solutions complémentaires, pas des applications centrées sur l'ERP en soi ».
Quels clients vont aller vers Fusion Applications ?
Après une longue attente, Oracle est finalement prêt pour livre sa nouvelle génération Fusion Applications, supposée combiner le meilleur de chacune des lignes de produits que l'éditeur a acquises. Les clients appréhendent de différentes façons cette offre, selon leurs situations particulières, note Ray Wang. Les clients Oracle « purs et durs » qui ont déjà lourdement investi dans les technologies de la firme au logo rouge migrent pour la plupart vers la E-Business Suite 12, puis se dirigeront vers Fusion Applications. Tandis que les clients utilisant des logiciels rachetés par Oracle adoptent plutôt une attitude attentiste, de type « wait and see ». Il y a aussi des utilisateurs de longue date, clients depuis les années 90, qui jettent un oeil vers SAP, ajoute Ray Wang.
Un certain nombre de clients Fusion Applications sont désormais en production, a indiqué Larry Ellison au cours de la conférence téléphonique. La suite logicielle sera disponible dans l'infrastructure cloud d'Oracle de même qu'en clouds privés, a-t-il ajouté. Le cloud d'Oracle offrira aux clients un niveau plus élevé de sécurité que ceux des concurrents tels que Salesforce.com, n'a-t-il pas craint d'affirmer.
Par ailleurs, Oracle prévoit d'embaucher davantage de commerciaux et modifie la façon dont ces forces de vente sont réparties, a indiqué Mark Hurd. « Il devrait y avoir un vendeur pour vingt clients, a-t-il précisé. Nous pensons que ce commercial a l'opportunité de vendre autant de logiciels qu'à cinq clients ». (...)
Les petites SSII ont un regain d'optimisme
Pour 85% des sociétés de services interrogées par le 3SCI, le niveau de commandes enregistrées en 2011 a été égal ou supérieur à celui de l'an dernier. C'est l'un des résultats marquants de la dernière enquête de conjoncture réalisée par le syndicat.
De nombreux autres indicateurs sont repassés au vert mais on retient une amélioration globale du « moral des troupes » : 67% des entreprises interrogées sont optimistes, alors que moins de 50% d'entre elles l'étaient en 2010. « On peut désormais réellement parler d'une sortie de crise, même si l'amélioration est moins forte qu'on pouvait l'espérer, note Olivier Bouderand, Secrétaire Général du 3SCI. Le principal bémol concerne la trésorerie des clients, qui reste dégradée. Les délais de paiement ne se sont pas améliorés. »
Des améliorations sensibles
Parmi les points importants, on peut noter que la situation s'est stabilisée en ce qui concerne les encours accordés par les fournisseurs. Seuls 8% des répondants les ont vus baisser depuis le début de l'année. En ce qui concerne le chiffre d'affaires, il est stable ou en hausse pour 78% des entreprises interrogées (la hausse concerne 49% du panel).
Autre signe marquant : les relations avec les banques ne se détériorent plus, notamment parce que les sociétés de services évitent d'avoir recours aux emprunts et aux encours bancaires. Quoi qu'il en soit, les rares qui l'ont demandé (15% des réponses) ont obtenu satisfaction dans 100% des cas.
Le principal point négatif qui apparaît dans cette enquête est bien la dégradation des délais de paiement des clients : 37% des interrogés parlent d'un allongement et ils ne sont que 9% à noter une amélioration par rapport à 2010.
« En dehors des résultats de cette enquête, nous constatons que nous sommes arrivés dans la période où de nombreux chefs d'entreprises prennent leur retraite, ce qui débouche généralement sur des rachats, des fusions ou, malheureusement quelquefois, des disparitions. Il est donc difficile pour nous de passer de 300 à 500 adhérents, mais cela reste notre objectif », conclut Olivier Bouderand.
Annuels Solucom : des indicateurs de rentabilité positifs
En réalisant un chiffre d'affaires annuel de 108 millions d'euros, sur son exercice fiscal clos fin mars 2011, Solucom a réalisé 4% de croissance organique par rapport à son précédent exercice. Les indicateurs de rentabilité sont positifs : un résultat net part du groupe de 6,9 M€, contre 3,3 l'an dernier, un résultat opérationnel de 12,6 M€, contre 7 M€ en 2009/10, et un résultat opérationnel courant de 12,6 M€, contre 10,1 il y a un an. La marge opérationnelle courante s'établit à 11,7% du chiffre d'affaires (9,7% en 2009/10).
La trésorerie nette se monte à 9,5 M€ au 31 mars dernier, contre 2 M€ un an auparavant. Les capitaux propres s'élèvent à 40 M€.
Solucom déploie également un plan de développement à l'horizon 2015. La société compte atteindre alors un chiffre d'affaires compris entre 170 et 200 M€. Sur l'exercice 2011/2012, la SSII vise entre 110 et 115 M€. (...)
Annuels SII : Une bonne croissance organique
Le groupe SII a terminé son exercice annuel au 31 mars dernier, avec un chiffre d'affaires de 222,1 millions d'euros, en croissance organique de 14,6%. Une progression largement au dessus de la moyenne de la profession, souligne la société. En France, SII enregistre une progression de 11,8%. A l'international (qui représente 18% du CA), la hausse se monte à 46% avec des progressions fortes en Europe de l'Est et l'intégration réussie de Aida en Allemagne.
Côté rentabilité, SII affiche également le sourire. Le résultat net part du groupe se monte à 8,1 M€, en hausse de 93%. Le résultat opérationnel est de 13,5 M€ en croissance de 85%, avec une marge opérationnelle de 6,1%. La trésorerie nette se monte à 18,9 M€, au 31 mars dernier, les fonds propres à 62 M€.
Pour son nouvel exercice, 2011/2012, SII prévoit un CA de 250 M€, en croissance organique de 12,5%. Mais le groupe se dit attentif à toute possibilité de croissance externe, que ce soit en France ou à l'étranger, sur son métier du conseil en technologie. (...)
Annuels Synchrone Technologies : Croissance et recrutement en 2010
Tant qu'à être originale autant l'être deux fois. La SSII Synchrone Technologies a réalisé une progression organique de 56% sur son exercice 2010 avec 39,5 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA). Elle prévoit le recrutement de 260 collaborateurs en 2011 mais n'éprouve, contrairement à ses consoeurs, que peu de difficultés à trouver des talents.
« C'est le résultat de notre organisation, explique Pierre Lacaze, P-dg. Nous avons réalisé depuis deux à trois ans de plus en plus de référencements dans les grands comptes. 80% des banques françaises nous ont référencés. On sera à 100% dans deux ans. Malgré notre taille, nous travaillons aisément dans les grands comptes bancaires. Il faut montrer patte blanche, mais nous avons franchi l'obstacle en montrant notre expertise et notre professionnalisme. Une stratégie adoptée depuis notre création il y a dix ans. »
Une politique RH également originale
Selon les dirigeants de Synchrone, cette forte croissance, largement au dessus de la moyenne des SSII, s'accompagne d'une politique RH également originale. Pierre Lacaze a effectué son stage de fin d'études chez Michael Page, donc avant de créer une SSII. Une fois la société lancée, les dirigeants ont créé une base de données interne, un « monster bien à eux » avec 110 000 CV. Quand un client demande tel profil, sur telle version de logiciel, ils l'ont probablement plus rapidement qu'une grande SSII dont les process internes et celui de la DRH rendent le recrutement long et plus aléatoire. La réactivité est la clé du recrutement chez Synchrone.
Pour 2011, Synchrone prévoit un CA de 52 ME, il sera révisé à la hausse. Dans trois à quatre ans, ce CA sera porté à 100 ME, tout en autofinancement, la bourse n'est pas une hypothèse de travail.
Annuels Lenovo : En pleine croissance
Lenovo publie ses résultats annuels 2010-2011, pour un exercice fiscal achevé au 31 mars dernier. Le chiffre d'affaires a progressé de 30% à 21,3 milliards de dollars. Le revenu net avant impôts se monte à 358 millions de dollars. Le bénéfice annuel attribuable aux actionnaires s'est élevé à 273 millions de dollars, le double de l'an dernier. Les dirigeants du constructeur se félicitent évidemment de ces chiffres. Ils remarquent que la part de marché mondial de Lenovo a progressé de 28% dans un marché qui a progressé de 7,4%.
Pour le seul 4ème trimestre (1er trimestre calendaire 2011), Lenovo a enregistré la plus forte croissance de cinq premiers fabricants de PC pour le sixième trimestre d'affilé. Sur ces trois mois, le CA en Chine, 2,2 milliards de dollars, augmente de 12,3% par rapport au même trimestre de l'exercice précédent et représente 45% des ventes de la société. Dans les marchés dits émergents (Afrique, Asie Pacifique, Brésil, Europe Centrale / Europe de l'Est, Hong Kong, Inde, Amérique latine, Mexique, Moyen-Orient, Pakistan, Russie, Taiwan, Turquie), Lenovo enregistre 31,5% de progression. Cette zone représente 17,4% des ventes totales du groupe.
Les pays matures, toujours au Q4, (Australie / Nouvelle-Zélande, Israël, Japon, Amérique du Nord, Europe occidentale) affichent un taux de croissance de 7%, alors que cette zone, globalement, fléchit de 12,1%, explique Lenovo. Elle représente 37,6% des ventes du constructeur.
Sony : un piratage qui coûte cher et qui se poursuit
En avril dernier, des pirates ont réussi à hacker les services en ligne PlayStation Network et Qriocity, en volant au passage les informations personnelles d'environ 77 millions de comptes. Une seconde attaque avait été découverte lors des enquêtes sur le piratage et concernait Sony Online Entertainment utilisé pour les jeux PC. Sony a répondu aux attaques en suspendant ses services et en recrutant plusieurs sociétés de sécurité informatique pour effectuer des vérifications et reconstruire son système de sécurité.
Les utilisateurs dans de nombreux pays se sont vus offrir un programme de protection contre le vol d'identité et des jeux gratuits. Masaru Kato, directeur financier de Sony, a estimé que l'impact du piratage sera de l'ordre de 170 millions d'euros dans les prochains résultats financiers du groupe. Il a ajouté « à ce jour, nous n'avons pas de confirmation d'utilisation abusive des données personnelles ou des coordonnées bancaires de nos clients ».
Des attaques renouvelées
Décidément, Sony devient une cible de choix pour les hackers. Selon le Wall Street Journal, le groupe japonais a été obligé de fermer le site de So-Net, qui est fournisseur d'accès Internet au Japon. Les pirates ont dérobé des points virtuels de fidélité convertibles en argent ou en produits Sony. Par ailleurs, le spécialiste de la sécurité F-Secure a alerté Sony sur l'existence d'un site de phishing (hameçonnage) sur un serveur de Sony Thaïlande. L'URL pointait sur un faux site bancaire italien.
(...)(20/05/2011 11:20:06)
Annuels iOrga : Croissance et acquisitions soutenus en 2010
La SSII iOrga publie son chiffre d'affaires annuel 2010. Il se monte à 24 millions d'euros (ME) en hausse de 8,7%, avec un résultat net après impôts de 1 ME. Sur 2010, iOrga a procédé à plusieurs acquisitions : les activités de JD Edwards en Belgique, de Do IT au Portugal, des compétences CRM on demand et le cabinet Itaque. La société est également devenue en 2010 gold certified Microsoft et Platinum chez Oracle.
iOrga entend continuer sur sa lancée, pour 2011, la société veut dépasser les 10% de croissance. Elle engage un plan de développement triennal pour atteindre en 2014 les 40 ME de CA. Pour cela, elle va se réorganiser en deux b.u. : grands comptes en Ile-de-France et ETI.
Trimestriels Dell : Des perspectives rassurantes
Dell affiche un tout autre visage qu'HP. Non que ses résultats soient plus flamboyants que son concurrent, mais ses perspectives et sa crédibilité semblent meilleures. Dell progresse ainsi de 1% sur le trimestre avec 15 milliards de dollars de chiffre d'affaires. Son résultat opérationnel (Gaap) se monte à 1,2 milliard de dollars en hausse de 134%, le résultat net (Gaap), atteint les 945 millions de dollars, en progression de 177%.
L'essentiel de l'activité de Dell, 12 milliards de dollar sur les 15 enregistrés au total provient des entreprises. Le CA sur cette activité progresse de 3%. Sur ce marché, les solutions et les services augmentent de 5% à 4,4 milliards de dollars, c'est 30% de l'activité totale de Dell. Les serveurs et les équipements réseaux progressent de 11%, les technologies de stockage (Compellent, EqualLogic et PowerVault, DX Object Storage) augmentent de 11%.
+5% dans les grands comptes
Par secteur, Dell annonce une hausse de 5% de son CA dans les grands comptes avec 4,5 milliards de dollars, le résultat opérationnel progresse de 11,3% à 504 millions de dollars. Le secteur public est en hausse de 2% à 3,8 milliards de dollars. Les PME progressent de 7% à 3,8 milliards de dollars. Le secteur des particuliers augmente de 7% à 3 milliards de dollars.
Dell prévoit 5% de hausse de son chiffre d'affaires pour son prochain trimestre, 5 à 9% pour l'ensemble de l'année (avec un bénéfice en hausse de 12 à 18%). Dell profite des effets de son plan de restructuration et de la bonne tenue de ses activités services et stockage.
(...)
Trimestriels HP : Des résultats plombés par l'activité grand public
HP annonce un chiffre d'affaires trimestriel de 31,6 milliards de dollars, en progression de 3% par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. Le résultat net (Gaap) se monte à 2,3 milliards de dollars en hausse de 5%, le non Gaap à 2,7, en hausse de 3%. Les ventes dans le grand public sont très décevantes contrairement aux ventes en entreprise et ce, dans toutes les zones géographiques.
Par secteur d'activité, les PC (division Personal Systems Group, PSG) baissent de 5% sur un an en termes de CA, la marge se monte à 5,7%. En entreprise, le CA des PC progresse de 13%, alors qu'il baisse de 23% chez les particuliers. Les imprimantes et systèmes associés (division Imaging and Printing Group, IPG) voient leur CA progresser de 5% avec une marge de 17%.
Faiblesse des services et diète en perspective
La partie services progresse de 2% sur un an, avec une marge de 15,2%. Les solutions à valeur ajoutée et le cloud computing sont encore à travailler reconnaît le communiqué officiel. La division serveurs et stockage (Serveurs d'entreprise de stockage et de réseau, ESSN) a progressé de 15% avec une marge de 13,8%. Les logiciels croissent de 17%, avec une marge de 20,2%. Les services financiers, enfin, augmentent de 17% avec une marge opérationnelle de 9,4%.
Les perspectives annoncée par HP laissent planer beaucoup d'interrogations. Déjà, deux jours avant cette publication, un mémo interne de Léo Apotheker, le Pdg mondial, demandait aux dirigeants du groupe de limiter leurs dépenses de manière drastique. Le troisième trimestre est annoncé entre 31,1 et 31,3 milliards de dollars. L'exercice fiscal annuel est attendu entre 129 et 130 milliards de dollars. Des chiffres moins ambitieux que ceux précédemment avancés.
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