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RFID

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(07/08/2006 14:55:40)

Mauvais jour pour les RFID

Les exercices de compromission et autres méchancetés pleuvent sur les étiquettes radio... Lors de la Black Hat Conference, Lukas Grunwald un ingénieur allemand, nous rapporte un très long article de Wired, s'est penché sur les méthodes de clonage des passeports numériques. Un allemand impliqué dans la fabrication des faux papiers... voilà qui mérite au moins 15 ans de bagne. Ne serait-ce que pour manquer de respect à tous ceux qui font des pieds et des mains pour imposer une technologie que l'on sait imparfaite depuis déjà fort longtemps. Le problème posé par les RFID, rappelons-le, ne réside pas tant dans les données contenues dans le composant lui -même -après tout, il remplit les fonctions que l'on attend d'une pièce d'identité-, mais dans les risques évidents de mésusage liés à la lecture à distance : usurpation d'identité par attaque man in the midddle, falsification par modification des données ou duplication de contenu, usage abusif par exploitation des informations numériques sans la présence du porteur (confusion entre « identification » de la personne et « preuve numérique » de présence de la personne en question) etc. (...)

(18/07/2006 16:20:34)

HP réinvente la roue RFID avec Memory Spot

HP a annoncé le 17 juillet le développement d'une nouvelle technologie d'étiquettes électroniques communicantes, baptisée Memory Spot. Mesurant 2mm par 4mm, une puce Memory Spot permet de stocker entre 512 Ko et 4 Mo de données de façon non volatile et peut transférer ces données sans fil à un débit de 10 Mbit/s lorsqu'elle est interrogée par un lecteur adéquat. Comme les puces RFID actuelles, les puces Memory Spot ne nécessitent aucune alimentation interne. Elles sont alimentées par induction magnétique lorsque le lecteur s'approche de la puce pour tenter de lire son contenu. Contrairement aux puces RFID, les puces Memory Spot affiche des performances élevées en lecture, mais elle ne sont lisibles qu'en approchant le lecteur à quelques millimètres de la puce contre plusieurs mètres pour une puce RFID UHF. HP présente la puce comme "révolutionnaire". En fait il semble qu'elle ne soit qu'une variante des puces RFID actuelles, plus rapide mais à plus courte portée. D'ailleurs, certaines des applications envisagées par HP ressemblent de très près à celles des étiquettes RFID (passeports électroniques, étiquettes anti-contrefaçon...). Notons qu'HP n'a pas précisé la nature des technologies radio utilisées pour la puce, pas plus qu'il n'a indiqué la nature des mémoires mises en oeuvres (Flash, MRAM...). (...)

(06/07/2006 09:21:57)

Bruxelles ouvre une consultation publique sur le RFID

La Commission européenne ouvre une consultation publique en ligne sur la technologie de puce radio RFID (Radio Frequency Identification) (*). Selon l'exécutif européen, cette opération vise à "s'assurer que la croissance du RFID renforcera, ou non, la compétitivité des entreprises européennes et améliorera, ou non, la qualité de vie des citoyens, tout en veillant à la préservation de leurs droits, notamment celui de la vie privée". La Commission compte évaluer l'impact que pourrait avoir la technologie sur la vie courante et en analyser également les éventuels freins. En outre, cette consultation doit également lui permettre de se positionner face à l'adoption du RFID en Europe. Doit-elle ou non intervenir, et si oui, dans quelle mesure. Les 39 questions abordées par le sondage sont organisées autour de thèmes liés à l'utilisation générale du RFID, à la sécurité et à la vie privée, à l'interopérabilité et aux standards, et enfin à la bande de fréquence. La consultation restera ouverte jusqu'au 17 septembre 2006. Les commentaires recueillis seront ensuite soumis à un groupe d'experts et de décisionnaires dès octobre. (*) Le document est intitulé "The RFID Revolution: your voice on the Challenges, Opportunities and Threats" Pour en savoir plus La consultation en ligne (en anglais) (...)

(20/06/2006 09:32:46)

L'administration américaine impose l'utilisation de RFID à l'industrie pharmaceutique

RFID vient de trouver une nouvelle application à sa juste mesure. L'industrie pharmaceutique américaine devrait s'emparer de la technologie d'identification par radio-fréquence afin de tracer certains médicaments. Le gouvernement américain pousse d'ailleurs à un engagement sérieux des laboratoires en ce sens, pour faire face à la multiplication des copies de médicaments plus ou moins douteuse : selon l'administration américaine, on serait passé de 4 faux médicaments sur 10 en vente avant l'an 2000, en moyenne, à 22 faux pour 10 vrais actuellement ! RFID pourrait permettre de lutter contre le phénomène. L'administration américaine voit ainsi dans les ondes radio le seul outil fiable de traçage puisqu'un médicament passe par de nombreuses mains avant de parvenir en pharmacie. L'administration américaine donne aux laboratoires jusqu'au mois de décembre pour tracer les produits les plus chers. Le prix de la technologie ne devrait pas poser de problème, le coût de la puce RFID se fondant dans le prix du médicament. (...)

(16/06/2006 17:24:11)

Innovation : le français Crocus lève 13,5 M€ pour financer l'industrialisation de ses MRAM

Crocus Technology, une jeune pousse grenobloise soutenue par le CEA Valorisation et FIST (respectivement les filiales de valorisation du CEA et du CNRS), vient de lever 13,5 M€ auprès de 6 sociétés de capital risque pour financer le développement de ses mémoires vives MRAM (Magnetic Random Access Memories ou mémoires magnétiques à accès aléatoire). Crocus Technology tente d'industrialiser la technologie MRAM innovante, brevetée et mise au point par le laboratoire de Spintronique commun au CEA et au CNRS, SpinTec. Elle devrait produire ses premiers prototypes dans les 12 prochains mois et débuter la commercialisation de ses premières mémoire peu de temps après. Les mémoires MRAM sont le produit d'une découverte d'IBM au début des années 90 et elles sont considérées comme l'avenir des mémoires RAM. Contrairement aux actuelles mémoires DRAM ou SRAM, les MRAM sont non volatiles (comme les mémoires Flash, elles conservent leurs données même lorsqu'elles ne sont pas alimentées) et elles sont aussi insensibles aux rayonnements ionisants. Elles affichent aussi des performances très élevées, proches de celles des mémoires SRAM, utilisées notamment comme cache pour les processeurs. Ces caractéristiques font que certains considèrent les MRAM comme les futures mémoires universelles. Elles pourraient remplacer les DRAM et SRAM, mais aussi supplanter les mémoires Flash dans les téléphones, PDA, disques durs hybrides et autres appareils portables du fait de leurs performances élevées et de leur faible consommation énergétique. A terme, certains considèrent qu'elles ont aussi le potentiel de remplacer les disques durs du fait des progrès réalisés en nano électronique. Crocus indique que ses premières mémoires devraient être intégrées dans des équipements sans fil tels que les téléphones mobiles, les PDA, les baladeurs, les ordinateurs portables, les tags RFID, l'électronique automobile et l'électronique dans le secteur de la Défense. (...)

(07/06/2006 18:06:22)

Microsoft prévoit une R2 de Biztalk Server 2006 dopée au RFID pour 2007

Microsoft a détaillé la feuille de route de Biztalk Server 2006, serveur d'intégration de processus métiers (BPM - Business Process Management) de la marque, lancé en mai dernier. A l'image des autres produits de la marque, Biztalk subira un lifting mi-2007, avec la sortie d'une version R2. Plus importante amélioration vantée par Microsoft, le tant attendu support des technologies RFID. L'éditeur de Redmond a par ailleurs misé sur l'ouverture, en livrant à la fois l'API de sa plate-forme ainsi qu'un framework pour faciliter, puis adapter, les développements verticaux, tant matériels que logiciels. Avec pour objectif de les relier, en temps réel, aux processus métiers de chaque client ainsi qu'à leur back-office. Pour cela, la plate-forme devrait fournir un ensemble de règles métiers et de gestionnaire d'événements. En ce sens, Biztalk Server 2006 R2 devrait désormais supporter en natif les protocoles d'échanges EDI (electronic data interchange) et AS2 (Applicability Statement 2), pour faciliter les liaisons, toujours dans la chaîne logistique, entre partenaires et fournisseurs. Enfin, Microsoft indique également avoir renforcer le support de certaines technologies WinFX, prochainement intégrées à Office 2007 et Vista. Notamment, Windows Workflow Foundation et Windows Communication Foundation (WCF), la couche service web de Vista. Plus concrètement, Biztalk 2006 R2 fournira, selon l'éditeur de Redmond, un framework, au dessus de Windows Communication Foundation, pour le développement de connecteurs spécifiques. Notons qu'en 2005, ">Microsoft voyait en Biztalk, une fois couplé à WCF - à l'époque Indigo - une alternative à l'ESB. Aucune tarification ni modèle de licence ne sont pour l'heure disponibles. Les versions de tests, dont la date de sortie n'a pas été communiquée, resteront accessibles aux partenaires à travers le programme Technology Adoption Program (TAP). (...)

(14/04/2006 17:16:39)

Paris se met à l'heure du passeport numérique

Fini. Les voyageurs français désireux de visiter les Etats-unis n'auront plus à se munir d'un visa pour pénétrer sur le territoire américain. Depuis le 13 avril, les ressortissants de l'Hexagone peuvent en effet se faire délivrer un passeport électronique. Dans un premier temps réservé aux habitants de Hauts-de-Seine, le nouveau document sera progressivement disponible dans l'ensemble du pays. A la fin du mois de juin, toutes les préfectures le délivreront. Initialement prévu pour être distribué en octobre 2005, le passeport électronique a accusé un retard dû à un contentieux entre le ministère de l'Intérieur et l'imprimerie nationale. Après bien des atermoiements, c'est bien cette dernière qui est chargée de la fabrication du document officiel et qui devrait en livrer deux millions d'ici la fin de l'année. En apparence, rien ne change sur le nouveau passeport. En apparence seulement, car à l'intérieur de la couverture se loge une puce RFID. Mise au point par Axalto, celle-ci contient l'ensemble des données d'état civil écrites sur la première page du livret. Elle renferme également une version numérique de la photo d'identité apposée sur le papier, un ajout donnant ses lettres de biométrie au passeport, une première pour un document administratif français. L'ensemble se veut inviolable, ou du moins hautement sécurisé par le système Axseal assurant un cryptage des données sur 112 bits. Pensé et conçu pour minimiser les risques de contrefaçon, le passeport électronique s'entoure de davantage de précautions, au-delà même des technologies utilisées. Ainsi, le ressortissant désireux de se voir délivrer le document de circulation, ne doit plus seulement présenter une pièce d'identité mais une copie intégrale de son acte de naissance, y compris pour un renouvellement. Les mineurs ne pourront plus figurer sur le passeport de leurs parents et devront désormais disposer de leur propre document. En rendant disponible le passeport électronique, la France rejoint les rares pays à disposer d'un tel document. Elle précède les exigences européennes, un règlement communautaire enjoignant les Etats membres à les fournir à leurs citoyens à compter du 28 août 2006. Surtout, Paris satisfait Washington. Les Etats-Unis ne laissaient en effet plus pénétrer sur leur territoire les visiteurs étrangers démunis d'un document biométrique. (...)

(12/04/2006 17:44:49)

Du rififi en allemagne contre la vente par l'Etat de données personnelles

Dans un communiqué, le groupe Gesellschaft für Informatik e.V. indique que "la combinaison du nom, de l'adresse et des informations biométriques pourrait conduire à des possibilités d'analyse et de surveillance dénuées de toute transparence". L'organisation s'en prend particulièrement aux parlementaires, qui ont débattu sur la vente à des entreprises de données personnelles pour participer au financement des passeports biométriques, prévus pour 2008. Initiés en novembre 2005, les passeports biométriques incluent une puce RFID contenant une photo du détenteur. A partir de 2007, les empreintes digitales de seront également embarquées puis, en 2008, d'autres données biométriques, dont l'iris et des informations génétiques. Selon Gesellschaft für Informatik, de telles données pourraient servir à divulguer de précieuses informations sur le titulaire du passeport et l'accès doit en être réservé au seul gouvernement à fin d'identification. Le gouvernement, de son côté, cherche des moyens de financement pour ce document dont le coût de production est estimé à environ 300 E par unité. (...)

(16/03/2006 18:04:39)

Etude : le RFID, cible potentielle de virus

Trois chercheurs de l'Université Vrije d'Amsterdam viennent de démontrer qu'il est possible d'utiliser des tags RFID comme vecteur de contamination pour le système d'information. Selon les trois chercheurs, l'attaque peut par exemple prendre la forme d'une injection de code ou d'une attaque par débordement de tampon. Pour apporter la preuve de leur théorie, les trois chercheurs ont créé un Virus RFID capable de fonctionner dans les 114 octets d'un tag. Le développement du virus n'a pris que 4 heures explique Andrew S. Tanenbaum, un professeur de l'Université d'Amsterdam, un avertissement sérieux à destination des fournisseurs de technologies RFID. L'objectif des trois chercheurs est d'encourager les fournisseurs de middleware RFID a être plus prudent dans l'écriture de leur code afin d'éviter toute faille exploitable par un éventuel virus RFID, qui pourrait compromettre un système ou permettre à un attaquant de modifier des données ou installer des "backdoors" dans l'infrastructure RFID... (...)

(16/03/2006 18:07:25)

Sun et SAP collaborent pour le développement RFID sur Netweaver

La plate-forme Netweare de SAP devrait désormais intégrer le logiciel de Middleware Java Systems RFID de Sun. La technologie, testée et certifiée par SAP sera disponible au sein de MySAP Bussiness Suite. La collaboration entre Sun et SAP doit permettre aux entreprises d'accélérer leurs déploiements RFID dans le cadre d'une intégration avec leurs systèmes d'infrastructure. Le logiciel Sun Java System RFID apporte notamment des fonctions d'administration et de supervision centralisées pour de nombreux équipements RFID. L'outil intègre en outre des fonctions basées sur Jini pour une transmission des données RFID dans les environnements de production les plus exigeants. Julie Sarbacker, directrice de la division Business RFID, estime que cette association sera profitable à toute sorte « d'environnements professionnels, de la pharmacie à l'industrie en passant par le commerce de détail » (...)

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