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(11/02/2010 11:39:07)

Oracle lance son tour du monde du cloud

Ce world tour est en décalage avec les critiques faites publiquement par Larry Ellison à propos du cloud, qu'il considère comme un habillage et un mélange de technologies existantes. Lors d'un récent webcast dans lequel des cadres de l'entreprise s'exprimaient sur la manière dont la société envisage d'utiliser les éléments acquis avec le rachat de Sun Microsystems, certains ont déclaré que l'objectif principal d'Oracle serait d'aider ses clients à construire des cloud privés. En 2008, Ellison avait lui-même déclaré, non sans ironie, qu'Oracle ferait dorénavant des publicités sur le cloud. « Si la couleur orange est la nouvelle couleur à la mode, nous allons faire des blouses oranges. Et je ne vais pas m'opposer à cela, » avait-il déclaré. « Peut-être que nous en ferons une pub. Je ne vois d'ailleurs pas ce que nous ferions de plus pour le cloud computing que de changer les mots de certaines de nos publicités... » Oracle serait donc cloud natif... Mais la tournée de démonstration va apparemment tenter d'aller plus loin en détaillant de manière approfondie ce qu'Oracle va précisément faire en matière de cloud, une appellation malmenée et utilisée à grande échelle, depuis la virtualisation, jusqu'aux infrastructures informatiques modulaires comme celles vendues par Amazon Web Services, et aux services SaaS (Software as a Service). Au minimum, ces conférences viendront «dissiper le brouillard» entourant le sujet, à mesure que les « experts d'Oracle » clarifieront la manière dont les entreprises peuvent profiter du « cloud». Parmi les sujets abordés, les participants pourront récolter des conseils sur l'élaboration d'un cloud privé, apprendre comment transférer des environnements informatiques actuels vers une structure équivalente de type cloud, et comment utiliser les options de cloud publics comme les AWS. « Oracle doit simplement satisfaire une demande en cloud public, tant les forces du marché vont dans cette direction, » a déclaré China Martens du cabinet d'analystes 451 Group. « Mais l'une des questions à laquelle la compagnie doit faire face, est de savoir comment elle va inclure dans ses plans les technologies Sun, et ce travail n'est probablement pas achevé, » a t-elle ajouté. L'entreprise a déjà fait clairement savoir qu'elle n'avait pas de proposition immédiate à faire à Amazon, dans la mesure où l'entreprise avait abandonné les projets de Sun pour créer un service de cloud public. Selon China Martens, Oracle a le temps de formuler sa réponse. « Quoi que dise Larry Ellison, cela va se passer en plusieurs actes. Parfois aussi, Ellison dit juste ce qui lui passe par la tête. Et Oracle doit faire marche arrière et tout reformuler. C'est ce qu'ils font, lentement et soigneusement, » dit-elle. «Oracle peut avancer selon son propre rythme, mais l'entreprise doit toutefois montrer qu'elle est à l'écoute du marché et qu'elle n'est pas isolée dans sa bulle. » (...)

(01/02/2010 14:57:31)

Trimestriels CA : le nouveau PDG souligne l'accent mis sur le cloud computing

Le tout nouveau PDG de CA, William McCracken, s'est déclaré satisfait du troisième trimestre fiscal de son groupe qui affiche un chiffre d'affaires de 1,128 Md$, en augmentation de 8% par rapport aux trois derniers mois de 2008. Le bénéfice net (Gaap) de l'éditeur américain a progressé de 24% à 257 M$ et la société a gagné un point sur sa marge opérationnelle (Gaap) qui s'élève à 31% du chiffre d'affaires. William McCracken a notamment rappelé que les tout derniers rachats de CA, NetQoS et Oblicore, ont été faits dans des secteurs (supervision de la performance réseau et gestion des SLA) qui lui permettent de renforcer ses offres de cloud computing. Au poste de PDG, il succède à John Swainson, qui avait annoncé son départ à la retraite en septembre dernier. Depuis cette date, il occupait déjà les fonctions de président exécutif de la société dont il a rejoint le conseil d'administration en 2005. Il avait auparavant passé 36 ans chez IBM. Sur son troisième trimestre, CA souligne la demande importante enregistrée sur sa gamme de produits « Mainframe 2.0 », ainsi dénommée pour marquer la volonté du fournisseur de simplifier l'administration des grands systèmes. Sur la période, la société dit avoir également répondu à une forte demande sur ses offres de gestion des identités et des accès sécurisés, sur sa gamme CA Wily de gestion de la performance applicative, ainsi que sur ses offres de gestion de projets fournies en ligne, CA Clarity. Pour l'ensemble de l'exercice 2010, la société prévoit de réaliser un chiffre d'affaires compris entre 4,3 et 4,4 Md$, soit une augmentation de 2 à 4% par rapport à l'exercice précédent. (...)

(21/01/2010 18:07:16)

Lotusphere 2010 : avec Vulcan, Lotus imagine les outils collaboratifs de demain

Si les utilisateurs de Notes, Quickr, Sametime ou Connections viennent à Lotusphere en quête de réponses concrètes sur les logiciels qu'ils exploitent au quotidien, les conférences plénières de l'événement abordent aussi des aspects plus prospectifs. Cette année, Alistair Rennie, le tout nouveau patron de Lotus Software et Websphere Portal, a dessiné les contours (encore imprécis) de l'application de collaboration des prochaines années. Un projet baptisé Vulcan où il n'est pour l'instant pas encore question de produit, a rappelé plusieurs fois le dirigeant au cours des différents points presse, mais « de vision ». Une telle expression pourrait laisser dubitatif si l'on ne disposait pas, malgré tout, de quelques éléments tangibles. IBM précise notamment que Vulcan s'inscrit dans la continuité du portefeuille de produits existant de Lotus, avec l'ambition de faire converger les fonctions déjà disponibles (communication, partage de données, réseau social...). Le tout s'effectuant au sein d'une interface harmonisée, accessible depuis différents points d'entrée : un client Notes, un navigateur Web ou un service mobile. A la découverte de ce que l'on ne connaît pas D'un point de vue fonctionnel, ces futurs outils apporteront une dimension d'exploration et de découverte d'informations, a évoqué Alistair Rennie. Une évolution qui s'appuiera notamment sur des applications de réseaux sociaux tels qu'on peut les déployer aujourd'hui avec un logiciel comme Connections. Ce dernier suscite de plus en plus l'intérêt des entreprises comme moyen de retrouver plus rapidement les expertises au sein de leurs équipes ou de leur écosystème. Dans le projet Vulcan, IBM inclut évidemment le recours à des outils d'analyse de ces réseaux sociaux ('social analytics') pour 'recommander' les contacts, contenus et événements métiers qui semblent les plus pertinents en fonction d'un contexte donné. « Ce que veulent les clients, c'est pouvoir exploiter de façon intégrée les éléments qui sont importants pour eux dans leur contexte métier, souligne Alistair Rennie. Nous essayons vraiment d'imaginer comment les gens vont vouloir collaborer à l'avenir ». Le projet Vulcan s'adresse d'abord aux développeurs Pour le patron de Lotus Software, ce sont les développeurs qui vont donner de l'ampleur à ce projet en créant de nouvelles générations d'applications collaboratives. « Vulcan s'appuie sur un modèle de programmation ouvert », précise-t-il. Et d'énumérer l'utilisation d'API Rest, de HTML5, des mash-up et widgets, ainsi que de XPages for Notes, le toolkit de développement pour applications Web 2.0, annoncé avec Domino 8.5, l'an dernier à Lotusphere. En y ajoutant des fonctions de Single Sign on et de recherche. IBM prévoit de livrer la version bêta d'un environnement de développement au second semestre de cette année. Celui-ci sera disponible via LotusLive Labs, nouveau canal qui offre désormais à l'appréciation des utilisateurs enregistrés le fruit des développements combinés d'IBM Research et de Lotus. Les évolutions découlant du projet Vulcan seront livrées dans les prochaines versions des produits Lotus, promet IBM. Tant Notes, Domino et WebSphere Portal, que Connections ou QuickR, et y compris au sein des logiciels accessibles sur le cloud LotusLive. Il faudra juste faire preuve d'un peu de patience pour les découvrir. Déjà fortement concurrencé par Microsoft, sur les applications de messagerie et de collaboration, avec Exchange et SharePoint, Lotus se voit maintenant 'challengé' par Google, avec Gmail et le projet de plateforme collaborative Wave, actuellement testée par les internautes enregistrés. Face à eux et à bien d'autres, IBM a tout intérêt à voir loin et à le faire savoir, par exemple avec l'évocation de projets tels que Vulcan. En attendant l'outil du futur, Alistair Rennie rappelle que Lotus livre de façon régulière des innovations pour chacun de ses principaux produits. Et souligne tout l'intérêt de disposer maintenant d'applications dans le cloud qui permettent à Lotus de faire évoluer ses logiciels "à la vitesse du Web". Illustration / De gauche à droite sur la photo, lors d'un point presse qui a, notamment, abordé le projet Vulcan : Alistair Rennie, directeur général de Lotus Software et WebSphere Portal, Kevin Cavanaugh, vice président, responsable des logiciels de messagerie et de collaboration, Sean Poulley, vice président pour les services de collaboration en ligne, et Bruce Morse, vice président, responsable des logiciels de communication unifiée. (...)

(19/01/2010 09:50:54)

Lotusphere 2010 : IBM promet ses API pour étendre les services de LotusLive

Lotusphere vient de démarrer sa dix-septième édition à Orlando sur la toute fraîche nomination d'un nouveau patron pour la division Lotus Software. En ouverture de la conférence, Bob Picciano, jusqu'alors directeur général de l'entité Lotus, a ainsi passé les rênes à Alistair Rennie, qui était jusque-là vice-président du développement et du support. Lui-même prend la tête des ventes mondiale d'un IBM Software réorganisé en deux divisions : l'une axée sur les solutions, incluant les logiciels Lotus, l'autre gérant les produits middleware. Jusqu'au 21 janvier, près de 7 000 personnes sont attendues à Orlando : partenaires de Lotus et utilisateurs de Notes, QuickR, Sametime et Connections, ou des outils de collaboration en ligne LotusLive annoncés l'an dernier sur Lotusphere 2009. IBM dit aujourd'hui compter 18 millions d'utilisateurs de LotusLive dans une centaine de pays. Parmi les derniers en date, Panasonic a annoncé il y a quelques jours avoir choisi ces outils en ligne pour ses équipes internationales. A terme, quelque 380 000 salariés accéderont de cette façon à leur messagerie, ainsi qu'à des fonctions de web conférence, dialogue en direct, partage de fichiers et gestion de projets. Encore plus satisfaisant pour IBM, en concurrence frontale avec Microsoft sur ces solutions, ce sont en partie des utilisateurs d'Exchange que Panasonic fait ainsi migrer vers la messagerie de LotusLive. Le fabricant de produits électroniques doit aussi mettre en place LotusLive Connections pour constituer un réseau social avec son écosystème et avec ses fournisseurs. LotusLive s'ouvre davantage aux partenaires IBM offre de nouvelles perspectives à ses partenaires tentés par LotusLive. A partir du deuxième semestre 2010, des API seront accessibles à tous pour ajouter des services à ces outils de collaboration en ligne ou les inclure dans un processus métier. Auparavant, il fallait passer par un programme spécial (Lotus Design Partner) pour y accéder. Parmi les prochains services attendus figure une fonction d'appel téléphonique proposée par Skype (annoncée pour le deuxième trimestre). Certains partenaires pourront par ailleurs commercialiser les services de LotusLive en complément de leurs propres offres. [[page]] Pour imaginer le futur de LotusLive, ses utilisateurs sont par ailleurs mis à contribution. A l'instar d'autres éditeurs, comme SAP (avec Business Objects) ou Google, IBM propose de donner son avis sur des technologies en incubation au sein de ses équipes de R&D. Déjà, le LotusLive Labs (où se conjuguent les ressources d'IBM Research et de Lotus) livre quatre versions, qualifiées de « pre-alpha », que les utilisateurs enregistrés peuvent tester. On y trouve Slide Library, qui a déjà été montrée par IBM lors de précédentes conférences. Le logiciel sert à constituer une bibliothèque de 'slides' qui seront utilisées pour créer de nouvelles présentations. Collaborative Recorded Meetings enregistre et retranscrit les conférences pour permettre ensuite les recherches. Avec la technologie Composer, on bâtit des mash-up à partir de services LotusLive. Quant au logiciel Event Maps, il permet de visualiser des plannings de conférences de façon interactive. Au deuxième trimestre, un cinquième logiciel sera livré à l'appréciation : Project Concord proposera d'élaborer et partager en ligne documents, tableaux et présentations. Un accès plus souple à LotusLive Notes Enfin, une prochaine version (multitenant) du client de messagerie Notes sur LotusLive (basé sur Lotus Notes Hosted Messaging) permettra de combiner les déploiements sur site et dans le cloud, en supportant de façon standard la synchronisation entre les annuaires gérés sur site et dans le cloud. Chaque utilisateur pourra choisir entre un client Notes ou un navigateur pour accéder à sa messagerie. Et IBM assouplit les conditions d'accès au service. Le nombre d'utilisateurs minimum pour s'abonner à LotusLive Notes passe ainsi de 1 000 à 25 utilisateurs. Cette offre fournira par ailleurs une capacité standard de 5 Go pour stocker les mails et comportera les fonctions de messagerie instantanée de Sametime. La version bêta sera disponible au deuxième trimestre. (...)

(13/01/2010 09:29:32)

Intergraphic 2010 : la plateforme de mise en page EMX couvre l'impression et le Web

Après avoir créé le logiciel Edition Manager pour modifier des documents QuarkXPress à partir d'un simple navigateur Web, la société française MG Production a développé une solution de mise en page entièrement accessible en mode hébergé. L'offre Edition Manager Xtend (EMX), que l'on peut voir en ce moment sur le salon Intergraphic 2010 (12-14 janvier, Palais des Congrès, Paris), est destinée à créer des contenus qui pourront être imprimés, publiés sur le Web ou adaptés aux téléphones mobiles (par le biais d'un export en XHTML). Elle a été conçue pour affranchir ses utilisateurs du recours à des logiciels de PAO qui s'installent sur les postes de travail (tels que XPress ou InDesign). L'éditeur s'adresse tout particulièrement aux départements marketing des grandes entreprises qui sont amenés à faire collaborer un grand nombre d'utilisateurs autour de documents et contenus (brochures, fiches techniques, catalogues...) à amender, enrichir ou localiser pour différents pays. Un module de workflow sert à contrôler les multiples contributions (service juridique, traducteur...) et à suivre l'avancée des documents. Néanmoins, le coût de la solution, entre 100 et 80 euros par utilisateur et par mois pour les cent premiers utilisateurs, la met également à la portée des PME. Un fichier PDF ou Postscript pour l'imprimeur Si le logiciel EMX ne couvre bien sûr pas la palette d'outils d'un QuarkXPress ou d'un InDesign, Philippe Traveilly, le directeur commercial associé de MG Production, considère qu'on y trouve « 70 à 80% des fonctionnalités majeures » utilisées dans ces solutions de PAO. Si nécessaire, ajoute-t-il, certains utilisateurs (l'infographiste, par exemple) feront appel en complément à leurs outils de dessin ou de retouche photo habituels. Philippe Traveilly insiste sur la facilité d'utilisation d'EMX, capable de gérer les contraintes de l'impression offset avec, à l'arrivée, le fichier PDF ou Postscript requis par l'imprimeur (les polices de caractères Open Type sont stockées sur le serveur). Selon cet ancien professionnel de l'imprimerie, la prise en main d'EMX, sans problème pour les familiers des logiciels de PAO, ne demandera que deux heures de formation aux novices. Parmi les clients de l'éditeur figurent déjà le constructeur automobile PSA, avec 850 utilisateurs du logiciel, et Havas, qui compte entre 130 et 140 utilisateurs. [Au Canada, MG Production est par ailleurs en cours de négociation avec un groupe international qui prévoit le déploiement de quelque 3 600 utilisateurs.] Partenaire de Sefas, spécialiste de l'éditique EMX s'utilise à partir d'un navigateur Internet Explorer 6.7 ou Firefox 3.5.x pour Mac ou PC. Il stocke séparément la mise en page et les contenus. L'élaboration de gabarits, conservés dans la base de données documentaire, permet à tout utilisateur de créer un document en respectant les contraintes graphiques, tant de l'impression offset que de la publication Web. Le document s'élabore dans un mode Wysiwyg offrant à l'affichage une présentation identique à celle qui sera imprimée ou publiée. La solution EMX comporte une médiathèque intégrée qui, sous peu, permettra de gérer aussi les vidéos. Si les clients ont déjà constitué une photothèque, elle pourra être récupérée dans EMX. Les documents peuvent être liés à des données (liste de prix, ou coordonnées de clients par exemple) gérées dans le système d'information de l'entreprise. « Nous sommes partenaires de spécialistes de l'éditique comme Sefas », précise d'ailleurs Philippe Traveilly. Les serveurs sur lesquels EMX est installé sont gérés par MG Production et hébergés dans le datacenter français d'Equinix, situé à Saint-Denis. (...)

(10/12/2009 18:02:13)

SAP prévoit à terme d'ouvrir sa plateforme 'on-demand' aux développeurs

A l'occasion de sa conférence Influencer Summit 09, SAP a braqué les projecteurs sur les produits qu'il prépare et sur ses projets en cours pour les cinq années à venir. L'événement a réuni quelque 200 acteurs et utilisateurs clés de la IT, mardi dernier 8 décembre, à Boston. Depuis un certain temps, on sait que l'éditeur allemand oriente notamment ses développements vers les traitements en mémoire (in-memory), les fonctions analytiques intégrées, les applications 'on-demand', les extensions dans le cloud, ou encore les déclinaisons mobiles. Tour à tour, devant les auditeurs de la conférence, se sont ainsi succédé des membres du directoire comme Jim Hagemann Snabe et John Schwarz, respectivement responsables des solutions pour les grandes entreprises et de l'entité BusinessObjects, Vishal Sikka, le directeur technique (CTO), Marge Breya, vice-présidente exécutive, responsable de la plateforme décisionnelle, ou encore John Wookey, vice-président exécutif chargé de développer des solutions 'on-demand'. Sur le terrain du 'on-demand', SAP bâtit par exemple une série de produits à partir d'une plateforme basée sur Java, acquise avec le rachat de Frictionless Commerce, en 2006. Ce dernier avait développé une application en ligne de gestion des relations avec les fournisseurs. Selon John Wookey, SAP pourrait, à terme, laisser accéder à la plateforme de Frictionless d'autres éditeurs ou intégrateurs. Ces derniers pourraient ainsi ajouter des fonctionnalités aux implémentations 'on-demand' de SAP exploitées par certains de leurs clients. L'éditeur allemand souhaite que cela puisse se faire sans contraindre les développeurs à recourir nécessairement aux outils de la plateforme Frictionless. « S'ils souhaitent travailler avec ces outils, c'est très bien, mais ils peuvent aussi vouloir utiliser Python, Ruby ou un autre langage, explique John Wookey. Nous voulons qu'ils puissent se connecter à notre environnement de manière standard. Nous nous concentrons donc sur la façon dont nous pourrions packager des services pour accéder à la Business Suite [et aux données qu'elle gère]. » Cette ouverture de la plateforme 'on-demand' ne se fera pas dans l'immédiat. « Nous voulons livrer nos propres applications avant de supporter d'autres acteurs », a précisé John Wookey. La stratégie on-demand de SAP vise d'abord sa propre base installée qui se verra ainsi proposer des extensions aux applications SAP qu'elle a déployées en interne. Le suivi des frais professionnels et la gestion des ressources humaines seront les premières catégories de solutions proposées sous cette forme. (...)

(08/12/2009 17:40:24)

IBM offre les services de Tivoli en ligne aux entreprises de taille moyenne

IBM a décidé de proposer les fonctions de Tivoli, sa solution d'administration de systèmes, sous la forme d'un service hébergé. Cette offre vise les entreprises qui pourraient être davantage tentées par une formule d'abonnement que par le déploiement du produit en interne. Tivoli Live Monitoring Services doit permettre à une équipe informatique de garder l'oeil sur 25 à 500 ressources IT (serveurs, systèmes d'exploitation, machines virtuelles et applications). Sur réception d'une alerte, ils seront avertis qu'une application montre des signes de faiblesse, qu'un serveur risque de manquer de mémoire ou qu'une page Web met un peu trop de temps à s'afficher. Le service Il existera en deux versions. La première a recours à des agents pour surveiller les systèmes d'exploitation, les machines virtuelles et les applications de type base de données ou serveur de messagerie (tels que Microsoft Exchange, par exemple). Elle revient à 58 dollars par mois pour chaque ressource surveillée. La deuxième offre ne comprend pas d'agents. Sa tarification démarre à 44 dollars par ressources et par mois, pour la surveillance d'équipements matériels, d'OS, de sites Web et la gestion d'alertes SNMP. Pour les deux versions, IBM facture des frais de mise en place de 6 500 dollars par client. Disponible dans plusieurs pays, mais pas encore en France En option, le fournisseur propose un service de reporting, pour un tarif mensuel de 15 dollars par ressources. Cet historique des données est utile pour faciliter les opérations de dépannage et prévoir les besoins en ressources. Ce service de surveillance en ligne repose sur les solutions Tivoli Monitoring 6.2.1, Tivoli Monitoring for Microsoft Applications 6.2 et Tivoli Composite Application Manager for Applications 6.2. Bien qu'IBM vienne tout juste de l'annoncer, cette offre de service est en fait opérationnelle depuis le mois dernier aux Etats-Unis, selon un blog interne. Elle est également disponible dans un certain nombre de pays à travers le monde : Canada, Royaume-Uni, Australie, Hong-Kong, Scandinavie... Pour l'instant, elle n'est pas encore accessible en France, mais il est prévu qu'elle soit étendue à davantage de pays en 2010. IBM propose déjà plusieurs de ses produits sur Amazon Web Services et la semaine dernière, il a installé son offre Tivoli Monitoring sur le cloud EC2 d'Amazon afin d'assurer une surveillance de ses logiciels qui s'exécutent sur ce service. Interrogé sur l'offre Tivoli Express déjà proposée par ailleurs aux PME, IBM a reconnu qu'il n'avait peut-être pas fait aussi bien qu'il aurait voulu. Pour Michael Coté, analyste de RedMonk, l'un des défis pour IBM sur son offre Tivoli, c'est effectivement de pouvoir descendre dans des entreprises de taille moins importante. Parmi les petits éditeurs offrant déjà des services de monitoring des ressources IT en ligne figurent des acteurs comme Accelops, InteQ, et ManageEngine (entité de Zoho). Microsoft et BMC Software développent aussi des services. (...)

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