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(05/01/2009 17:43:10)

Apprentissage : les spécialités de l'informatique ont la cote

500 000 apprentis en 2009. C'est l'objectif qui avait été fixé en 2005 par le ministre du travail d'alors, Jean-Louis Borloo, dans son plan de cohésion sociale. Ce seuil, qui devrait comporter de plus en plus de jeunes gens ayant choisi une spécialité informatique dans les formations du supérieur, n'est pas « hors de portée » vient d'indiquer le ministère de l'Education nationale dans une note d'information de décembre 2008 (D.E.P.P - N°08.33), « L'apprentissage : une voie de formation attractive, entre tradition et mutation ». Il y a deux ans, au 31 décembre 2006, 408 000 jeunes préparaient déjà un diplôme en apprentissage, dans un CFA (centre de formation d'apprentis) sous tutelle pédagogique du ministère de l'Education nationale ou de l'Agriculture. Ces effectifs ont progressé de 13% depuis 2003. Or, cette augmentation se fait à la faveur d'une montée en puissance des formations de l'enseignement supérieur qui concernent maintenant un apprenti sur cinq. +16% sur les formations supérieures en informatique Les spécialités de l'informatique regroupaient 6,1% des apprentis du supérieur en 2006. Ce sont celles qui se développent de la façon la plus dynamique, précise la note du ministère, qui fait état dans ce secteur d'une progression de 16% par an en moyenne entre 2003 et 2006. Les autres spécialités supérieures en hausse notable sont celles de la gestion/finance (+13%) qui regroupent 22,3% des effectifs dans le supérieur. D'ailleurs, tant dans l'informatique que dans la gestion/finance, l'apprentissage n'intervient que dans les formations du supérieur et les progressions les plus remarquables (+35% et +55%) s'observent au niveau I (bac+5 et grandes écoles). Depuis dix ans, de façon générale, le nombre d'apprentis dans les niveaux post-baccalauréat a augmenté de 12% par an en moyenne, contre +1,3% par an dans les niveaux IV (baccalauréat, brevet professionnel ou équivalent) et V (CAP, BEP ou équivalent). Entre 2003 et 2006, les effectifs ont progressé de 60% au niveau I et de 30% aux niveaux II (bac+3 et bac+4) et III (bac+2). Les filles constituent 11,2% des apprentis du supérieur en informatique [[page]] Si les jeunes filles semblent toujours moins tentées par l'apprentissage (elles ne constituaient que 28,8% des effectifs en 1996 et 30,5% en 2006), en revanche la filière est plus féminisée dans les formations post-baccalauréat. Elle s'ouvre fortement sur les spécialités des services telles que la gestion/finance où les filles constituaient 67,5% des effectifs des apprentis du supérieur en 2006. La mixité est moins flagrante dans les formations supérieures de l'informatique et du traitement de l'information où les filles représentaient 11,2% des effectifs. A noter par ailleurs que le développement de l'apprentissage dans le supérieur a relevé l'âge moyen de l'apprenti : la part des 20 ans ou plus est passée de 28,8% en 2003 à 32,3% en 2006. (...)

(05/01/2009 17:32:25)

Les étiquettes 'Vista Capable' auraient rapporté 1,5 Md$ à Microsoft

L'affaire 'Vista Capable', qui empoisonne Microsoft depuis l'ouverture d'une action collective en avril 2007, s'enrichit d'une information qui ne plaidera pas en faveur de l'éditeur. Selon Keith Leffler, un économiste américain oeuvrant pour les plaignants, les ventes de PC estampillés 'Vista Capable' mais en réalité incapables de profiter de toutes les fonctions de l'OS auraient rapporté quelque 1,5 Md$ à Microsoft. Sur ces machines étaient installées des versions de Windows XP destinées à être remplacées par Vista quand l'OS verrait le jour. Les consommateurs achetaient donc des machines et payaient pour des licences en pensant pouvoir profiter des futurs avantages de Vista tant vantés par Microsoft. Las, ils s'apercevaient quelques mois plus tard que leur machine, sur laquelle ils avaient fini par installer Vista Premium, ne disposait pas des ressources nécessaires pour profiter de l'interface graphique Aero et autres nouveautés apportées par l'OS. Selon certaines sources, Microsoft aurait volontairement minoré les configurations susceptibles de recevoir les autocollants 'Vista Capable' en y incluant notamment les machines reposant sur le composant graphique d'entrée de gamme 915 d'Intel, afin que les ventes du fondeur restent à niveau. En attendant le témoignage de Steve Ballmer devant la justice Après avoir examiné des documents transmis par Microsoft dans le cadre de l'action collective lancée par des consommateurs américains, Keith Leffler estime « que les revenus tirés par Microsoft de la vente aux plaignants de licences Windows XP sur des PC 'Vista Capable' mais pas capables de faire tourner Vista Premium s'élève à 1,505 Md$. » La justice américaine devrait examiner cette affaire au printemps. D'ici là, elle entendra le témoignage de Steve Ballmer, le patron de Microsoft. Si, dans un premier temps, celui-ci avait refusé d'intervenir dans ce dossier, arguant de ce qu'il était totalement étranger au programme 'Vista Capable', la justice d'outre-Atlantique en a décidé autrement en novembre dernier en faisant de la participation du PDG de l'éditeur une obligation. (...)

(05/01/2009 17:32:40)

Rencontre avec Sam Ramji, patron de l'Open Source chez Microsoft

Depuis près de trois ans, Microsoft s'est doté d'un patron de la stratégie Open Source. Et son travail commencerait à porter ses fruits : c'est ce qu'est venu dire Sam Ramji, officiellement directeur senior de la stratégie plateforme, et à titre responsable de l'Open Source Lab, en fin d'année dernière à Paris lors d'une rencontre avec quelques journalistes. Son travail, dit-il, consiste aussi bien à faire bouger les mentalités au sein de Microsoft, qu'à faire évoluer l'image de l'éditeur auprès des communautés Open Source et même auprès de ses propres employés. Les efforts de Microsoft en matière d'interopérabilité seraient un premier pas important, et même Steve Ballmer commencerait à être conscient de la nécessité de ne plus attaquer systématiquement le monde du Libre. Tous les détails sur le blog Ingénierie logicielle. (...)

(05/01/2009 17:30:16)

Petit à petit, le green IT fait son chemin dans l'esprit des DSI

Le concept de green IT prend forme dans les esprits des DSI, mais il reste un sujet de doute et d'inquiétude. Pourtant, analystes et fournisseurs le chantent en choeur : il faut se lancer à petits pas. Pour eux, comme pour les défenseurs de l'environnement, les entreprises du secteur IT ont les moyens de rendre leur fonctionnement plus écologique en réduisant leurs besoins en énergie. Qui plus est, non seulement ils diminueront leur empreinte carbone mais ils économiseront de l'argent sonnant et trébuchant. Les responsables IT qui ont répondu à l'enquête annuelle de notre confrère ComputerWorld expriment leur réticence vis à vis du green IT. Près de la moitié (42%) affirment que leur département n'a aucun projet de réduction de la consommation d'énergie ni des émissions de CO2 de l'infrastructure. Et presque les trois quarts n'ont même aucune intention de mettre sur pied des comités pour piloter de telles initiatives. Les responsables IT n'ont aucune envie, pour le green IT, de repenser des processus qui fonctionnent Certains responsables IT pensent que le green IT n'est qu'une mode. Christopher Mines, analyste pour Forrester Research, explique que d'autres ne croient pas au réchauffement climatique et pensent qu'il n'est nul besoin d'agir en la matière, ou encore ne voient les comportements 'verts' que comme autant de sources d'augmentation des dépenses. Sans oublier ceux que la seule idée de repenser des systèmes et des processus établis de longue date rend nerveux. « La dernière chose qu'ils ont envie de faire, c'est de se saisir d'un tournevis pour démonter et remonter des processus IT qui fonctionnent afin de les rendre plus efficaces en matière de consommation énergétique. » Les observateurs du marché préviennent néanmoins : les entreprises qui ignorent le green computing aujourd'hui seront contraintes de rattraper leur retard à un moment ou un autre si elles veulent rester concurrentielles. « La thématique green ne va pas disparaître, rappelle Rakesh Kumar, analyste du Gartner. L'enjeu est trop important. » Et certains responsables IT l'ont bien compris. Quand IDC a interrogé 300 CEO pour son étude U.S. "Green IT Survey" en septembre dernier, 44% ont expliqué que l'IT jouerait un rôle essentiel dans les efforts de leur entreprise pour réduire son impact sur l'environnement. En 2007, ils n'étaient que 14% à penser ainsi. A noter que cette étude montrait toutefois que l'augmentation des coûts de l'énergie constituait l'explication majeure d'une telle attitude. On peut entamer de petites démarches pour commencer [[page]]« Peu d'entreprises rejettent vraiment l'idée de lancer des projets de green IT, affirme, quant à lui, Vernon Turner d'IDC. En fait, le plus effrayant, c'est de ne pas savoir par où commencer ! Et c'est peut-être bien ce qui donne à certains le sentiment d'être une âme errante... Il y a eu beaucoup de marketing autour du concept, et je crois que les CEO et le DSI sont complètement noyés dans le vert.» Sans nul doute, lancer une politique 'verte' à l'échelle de l'entreprise n'est pas une mince affaire. Mais les observateurs et ceux qui se sont lancés le rappellent : les DSI peuvent mettre en oeuvre des initiatives green IT sans pour autant revoir l'ensemble de leurs politiques, de leurs procédures et de leurs processus - et sans forcément dépenser beaucoup. De plus, ils peuvent vendre ce type de projets auprès de leur direction non seulement avec leurs mérites environnementaux mais aussi leurs retours financiers. « Beaucoup de démarches donneront lieu à des retours sur investissement rapides, affirme ainsi Rakesh Kumar. Avec la crise économiques, les CIO devraient se concentrer sur des initiatives 'vertes' avec des retours inférieurs à 18 mois : cela peut aller de la mise en place de téléconférence jusqu'à la consolidation de datacenters. » « Une meilleure gestion de la consommation électrique est certainement l'un des moyens les plus simples et les moins chers de faire des économies colossales », ajoute de son côté Katharine Kaplan, responsable produit pour l'initiative 'Energy Star for Consumer Electronics and IT' de l'Agence de protection environnementale (EPA) des Etats-Unis. Elle rappelle que l'utilisation des fonctions de gestion de l'énergie sur un PC de bureau peut économiser 50 $ par machine et par an. Pour un écran, cela peut aller de 12 à 90 $ annuels. Et si l'on commençait par une gestion de parc plus pointue ? Autre conseil de pur bon sens, celui de Henry Wong, responsable senior pour le programme éco-technologie d'Intel : « Commencer par une meilleure gestion de parc est un moyen simple de réduire sa consommation. Il suffit d'identifier et d'éteindre toutes les machines et les périphériques qui ne sont pas utilisés ou dont on n'a pas besoin. » De façon évidente, des politiques d'achats et de renouvellement mieux pensées constituent aussi de bonnes pistes. Ainsi, chez Citigroup, à New York, on pense à installer des clients légers, qui ont moins besoin de puissance, coûtent moins cher et devraient réduire l'empreinte carbone de l'entreprise. On peut aussi exiger des nouveaux équipements acquis qu'ils respectent tous le standard Energy Star. D'autant qu'à partir de 2009, ce dernier s'appliquera aussi aux serveurs. Des stratégies similaires s'appliquent aux datacenters. Avec les précautions d'usage, la virtualisation et la consolidation permettent de réduire le nombre de machines sans diminuer l'efficacité de l'infrastructure. Henry Wong rappelle qu'Intel, comme la plupart des autres fournisseurs du marché, a procédé ainsi et a réduit ses coûts de 3 M$. Le fondeur a ainsi économisé la construction d'un nouveau bâtiment et sa maintenance. Pour l'aspect 'green', la demande en énergie et en équipement neuf a mécaniquement diminué. « Même les entreprises qui ne se sentent pas prêtes pour ce type de démarche peuvent tout simplement commencer par contrôler la température, continue Henry Wong. Ce faisant, il faudra contrôler l'humidité de près mais il est possible la plupart du temps d'augmenter sans dommage la température de l'infrastructure de quelques degrés et de réduire en conséquence le niveau de climatisation. » Sans oublier d'utiliser l'air naturel quand c'est possible... Ce ne sont peut-être pas les démarches les plus imposantes, mais c'est un début. (...)

(05/01/2009 16:56:03)

Jean-Claude Mallet, énarque et agrégé de lettre, à la tête de l'Arcep

Jean-Claude Mallet préside aux destinées de l'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des Postes) depuis le 4 janvier. Il succède à Paul Champsaur arrivé au terme de son mandat non renouvelable de six ans. Nommé par décret du président de la République, Jean-Claude Mallet, 53 ans, a fait l'essentiel de sa carrière de haut fonctionnaire au ministère de la Défense où il a occupé différents postes clés depuis 1992. Ni son parcours professionnel ni sa formation ne paraissent prédisposer cet énarque agrégé de lettres modernes à la direction d'une Autorité en charge de dossiers techniques et de stimuler la concurrence au profit des citoyens abonnés. Didier Lombard, président d'Orange (ex-France telecom) se réjouit d'ailleurs de cette nomination. Selon le Canard enchaîné, il a "expliqué qu'il fondait de grands espoirs sur la prochaine nomination d'un "régulateur plus amical" (...) [un] patriote, plus soucieux de soutenir les champions nationaux que de doper la concurrence" avant d'ajouter que "la 4ème licence de téléphone mobile, c'est enterré". Fondée ou non, la réputation de Jean-Claude Mallet tranche nettement avec celle de son prédécesseur, Paul Champsaur, qui était considéré comme favorable aux positions défendues par Iliad/Free tant sur la quatrième licence de téléphonie mobile que sur la fibre optique. Iliad/Free est le fournisseur d'accès à qui l'on doit la mise en place des conditions d'une véritable concurrence sur l'accès Internet. Détenteur de la seule licence Wimax d'envergure nationale et demandeur d'une licence de téléphonie mobile, Free est aussi très actif sur le front de la fibre optique. Il prône l'accès "multifibre" chez les utilisateurs afin de créer un contexte favorable à la pluralité des choix. A l'inverse, Orange défend le "monofibre" et joue la montre depuis plusieurs mois. On connaîtra sans ambiguïté la position de Jean-Claude Mallet d'ici quelques mois, lorsqu'il aura bouclé les dossiers de la quatrième licence mobile et de la fibre optique. (...)

(05/01/2009 16:48:10)

Le kernel de Linux disponible en version 2.6.28

Avec l'arrivée de la version 2.6.28 du kernel de Linux pour Noël, les linuxiens ont reçu un cadeau de taille conséquente : plus de dix millions de lignes de code. Cette version du système d'exploitation apporte des améliorations notables au niveau de la gestion des processeurs graphiques, de la mémoire et des disques. On notera en particulier l'intégration du système de fichiers ext4, qui succède à ext3. Le tout promet de nets gains de performances. Comme toute mise à jour de Linux, celle-ci arrive entourée d'une kyrielle de pilotes améliorés. (...)

(05/01/2009 15:37:48)

Les ventes de téléphones mobiles en France reculent en décembre

Triste Noël pour les constructeurs de téléphones mobiles. Selon l'institut GfK, les ventes de mobiles ont enregistré une sérieuse baisse en France, en volume. Sur la première semaine de décembre, GfK enregistre ainsi un recul de 18% par rapport à la même période de l'année précédente. La dégringolade atteint 20% sur la deuxième semaine. Si ces chiffres ne reflètent pas l'état de l'ensemble du marché hexagonal - ils ne prennent en considération qu'une dizaine d'enseignes de la grande distribution (Auchan, Fnac, etc.) et de boutiques spécialisées (The Phone House) - ils expriment néanmoins une tendance au ralentissement observée depuis le mois d'octobre et qui s'accélère subitement. Plusieurs facteurs permettent d'expliquer ce phénomène. En premier lieu, environ neuf personnes sur dix sont déjà équipées d'un terminal ; le marché vit alors sur le renouvellement des appareils, une opération évidemment pas prioritaire en période de crise économique. Par ailleurs, GfK note une préférence pour les mobiles d'entrée de gamme et les smartphones constituant le haut de gamme, au détriment des terminaux gravitant entre deux eaux. L'acquisition d'un téléphone onéreux est souvent remise à plus tard, d'autant que son utilisation requiert la souscription d'un abonnement incluant un accès au Web mobile, largement plus cher qu'un forfait voix traditionnel. La décision d'achat est donc encore plus facilement retardée, les consommateurs attendant une baisse des prix des abonnements data. GfK table pour l'heure sur 24,3 millions de téléphones mobiles vendus en France sur l'ensemble de 2008, soit 7% de plus qu'au cours de l'année précédente. L'institut prévoit encore une hausse des livraisons en 2009 (+ 4%), en grande partie due à la demande pour les smartphones (+ 55%, à 2,8 millions d'unités). Mais, face aux chiffres enregistrés sur le mois de décembre, GfK pourrait rapidement revoir ces prévisions à la baisse et ne plus envisager qu'une stabilité du marché de la téléphonie mobile en 2009. (...)

(05/01/2009 15:18:02)

Concours : les apprentis à l'assaut des TIC dans les PME

Il ne reste que quelques jours aux apprentis des CFA (Centre de formation des apprentis) d'Ile-de-France pour participer à la deuxième édition du concours « Trophées appren'TIC », organisé par leur région. Ils se verront offrir l'opportunité de développer un projet numérique dans l'entreprise qui les emploie. L'imagination et l'innovation sont les principaux critères retenus. Par cette démarche, la région entend soutenir, au moyen d'une subvention pouvant aller jusqu'à 80% du financement du projet, les initiatives qui contribuent à propager l'usage des TIC dans les PME et entreprises artisanales franciliennes. Les dossiers de candidatures peuvent être déposés jusqu'au jeudi 15 janvier par le binôme constitué de l'apprenti et de son maître d'apprentissage, évoluant au sein d'une entreprise de 1 à 249 salariés n'appartenant pas à un groupe industriel de plus de 250 salariés. Mettre en valeur le savoir-faire technologique Dans le même élan, la région veut mettre en valeur « les compétences et le savoir-faire technologique des apprentis de la génération Internet » ; des jeunes qui sont vus comme les ambassadeurs des TIC dans les PME. Attention, l'activité de l'entreprise participante ne doit pas être liée à la mise en oeuvre, la vente ou l'utilisation des technologies numériques. Le 4 décembre dernier, l'édition 2008 de Trophées appren'TIC a distingué, entre autres, la création d'un site Internet, un logiciel de gestion comptable pour une entreprise du secteur automobile, un système de gestion de contenu et une plateforme multimédia. A noter que sur les neuf apprentis couronnés figurent six jeunes filles. Un résultat de bon augure à un moment où les candidatures féminines sont rares dans les filières informatiques. (...)

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