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(18/04/2011 13:14:48)

Des robots au chevet de la centrale de Fukushima

L'exploitant de la centrale Tepco (Tokyo Electric Power) s'est reposé sur les iRobot PackBots pour fournir des données sur l'intérieur des bâtiments. Certaines parties contiennent des niveaux élevés de radioactivité et sont donc dangereuses pour les secours.

Les robots sont entrés dans le bâtiment du réacteur numéro 3 et sont capables d'analyser le niveau de rayonnement, ainsi que la température. Ils sont équipés de caméras vidéo pour fournir des images en temps réel. Les photos publiées par Tokyo Electric Power (TEPCO) montrent la manipulation par un robot d'une poignée de porte qui mène dans le bâtiment du réacteur. TEPCO a indiqué aujourd'hui que les robots ont mesuré des niveaux de rayonnement compris entre 28 et 57 millisieverts par heure au sein du réacteur 3.

D'autres relèves dans le réacteur numéro 1 ont mesuré des niveaux de rayonnement compris entre 10 et 49 millisieverts par heure. Au point où le maximum de rayonnement a été observé, les travailleurs seraient en mesure de rester un peu moins de 5 heures avant d'atteindre leur dose maximale annuelle autorisée de 250 millisieverts. Dans la partie où les radiations sont les plus faibles, le travail serait limité à 25 heures avant la limite annuelle.

(...)

(06/04/2011 15:48:02)

Les clients d'Apple consacrent un budget mensuel de 3 euros pour les applis

57% des possesseurs français de terminaux mobiles Apple plafonnent leur budget mensuel à 3 euros lors de l'achat d'applications, ressort-il d'une étude d'Appsteur publiée le 5 avril. Chez les 80% d'utilisateurs d'applications, moins de 20% de leur catalogue s'avère payant et un sur sept (14%) se refuse à payer pour une application.

93% des adeptes de l'App Store téléchargent au moins une application par semaine. 66% d'entre eux, le fait chaque jour. Les jeux vidéo tiennent le haut du pavé avec 73% des sondés admettant qu'il s'agit de leur catégorie préférée. Le divertissement survient en deuxième position avec 54%, suivi de la musique (39%) et du « lifestyle » (35%).

Spécialiste de la promotion d'application, Appsteur a interrogé 2 300 possesseurs de terminaux Apple mobiles. 42,3% disposaient d'un iPhone 3GS et 41,4% d'un iPhone 4. L'iPod Touch, dépourvu de la fonction téléphone, occupe le troisième rang avec 19,2%. L'iPhone 3G et l'iPad suivent 18,9% et 12,2%. Quatre répondants sur cinq étaient des hommes.

Enfin, Appsteur pondère ses résultats en expliquant que les canaux utilisés pour le sondage pouvaient « mener à une légère surreprésentation des utilisateurs avertis de l'iPhone ».

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(06/04/2011 11:17:44)

Les médias sociaux un eldorado marketing encore peu exploité pour IDC

Les médias sociaux ne constituent pas une entité à part ou du moins ne devraient pas la constituer. Ils ne sont, pour les entreprises, qu'un nouveau canal de la relation client. C'est du moins l'avis de Karim Bahloul, directeur consulting et recherche au sein du cabinet IDC, développé lorsqu'il a présenté la première partie de l'« Observatoire français des médias sociaux », consacrée aux liens entre outils sociaux et relation client. L'intégration des données issues des médias sociaux dans les outils décisionnels ou de veille des entreprises est pourtant loin d'être généralisée. Or les clients et prospects s'expriment largement en ligne et attendent des réponses appropriées des marques. Les risques pour les entreprises sont donc importants si elles ne font rien ou adoptent une démarche inappropriée.

Hervé Kabla, directeur général de BlogAngels, a d'ailleurs rappelé, lors de la présentation de l'étude, les mésaventures de Nestlé en la matière. La multinationale suisse s'était ainsi heurtée à Greenpeace au sujet de la déforestation permettant certes la production d'huile de palme pour fabriquer des barres chocolatées mais accélérant le déclin des populations d'orangs-outans. Environ la moitié des entreprises ont « mené des actions » sur les médias sociaux. En général, il ne s'agit que de l'ouverture du fan-page sur Facebook, éventuellement un bouton « j'aime » sur le site web corporate.

Une expérience client qui échappe au contrôle de la marque

Pour Serge Boulet, directeur marketing et communication de SAS France, « auparavant, l'expérience client était sous le contrôle de la marque et à son initiative. Aujourd'hui, le client devient l'initiateur du contact en téléphonant à un centre d'appel ou en utilisant un formulaire de contact sur le web. De plus en plus, l'expérience client se fait même dans un environnement totalement hors du contrôle de la marque, sur les médias sociaux. »

L'émergence des médias sociaux doit modifier l'attitude vis-à-vis des clients et prospects. « Un client peu ou pas rentable par lui-même peut être par ailleurs un influenceur important auprès de clients très rentables, ce qui implique que le sacrifier n'est pas nécessairement une bonne idée » souligne Serge Boulet. Or la veille informationnelle sur les médias sociaux n'est pratiquement pas prise en compte pour la relation client.

Les médias sociaux pas encore prioritaires

Les services marketing, il est vrai, doivent en moyenne subir une stabilité (63% des répondants) voire une diminution (14% indiquent une baisse de plus de 7%) de leurs budgets à cause du contexte général de crise. Créer ou intégrer de nouveaux outils est donc problématique. Leurs priorités restent par conséquent centrées sur les fondamentaux classiques : fidéliser des clients, garantir le ROI des actions sur les médias traditionnels (courrier, téléphone) ou Internet habituels (e-mail, web). La prise en compte de la mobilité et des médias sociaux est donc un peu repoussée sine die d'autant que les entreprises identifient des risques à se frotter à ces nouveaux médias, notamment en terme de e-réputation s'ils commettent des impairs, sans clairement identifier les bénéfices possibles à en tirer.

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« La vision unique intégrée du client reste un défi » constate Karim Bahloul. IDC constate cependant que les budgets affectés au marketing digital ont plutôt tendance à s'accroître. Il existe une population d'entreprise où cette croissance est d'ailleurs extrêmement forte par opposition aux autres où l'investissement est minimal sans qu'il y ait beaucoup de « juste milieu ». Un risque est de confier la totalité de la communication sociale à un « community manager », autrement dit un petit jeune quasi-stagiaire. « En cas de crise, il risque d'être vite dépassé faute d'une expérience suffisante dans l'entreprise » juge Karim Bahloul.

Les réseaux sociaux deviennent universels

Les clients et prospects sont pourtant de plus en plus sur Internet en général et les médias sociaux en particulier. Cela est vrai quel que soit la tranche d'âge : les jeunes de 18-24 ans utilisent (à titre personnel) en moyenne Internet 3h24 par semaine, les retraités 2h49. L'usage des médias sociaux décroit au fil de l'avancement de l'âge mais reste en tous cas très forte : 82% en moyenne, allant de 92% chez les 18-24 ans à 70% chez plus de 65 ans. Il y a également des différences selon les statuts sociaux : 94% des étudiants, 85% des inactifs divers, 83% des CSP-, 78% des CSP+ et 73% des retraités. Le temps passé sur les médias sociaux est également variable : 29% du temps en moyenne, soit 52 minutes par jour, mais 32% (66 minutes) chez les jeunes et 18% (31 minutes) chez les retraités.

Les médias sociaux ont tendance à remplacer les autres médias comme sources de dialogue (à la place de l'e-mail ou de la messagerie instantanée) ou d'information. Ceci dit, un tiers des internautes est sceptique voire hostile à l'interaction avec les marques sur les outils sociaux. Karim Bahloul insiste : « les internautes attendent de la valeur ajoutée spécifique lorsqu'ils interagissent avec des marques via les outils sociaux ».

Analyser l'expression des clients : un minimum

Une des entreprises les plus en avance en France sur la relation client via les médias sociaux est peut-être ING Direct. Cette banque en ligne en est pourtant largement aux prémices de l'usage de ces nouveaux outils. D'une part, cette entreprise gère des espaces d'échange avec ses prospects et clients (comme le Web Café sur Facebook). D'autre part, elle effectue une veille sur tous les médias sociaux et un rapport d'e-réputation. Une équipe particulière est chargée de la gestion des médias sociaux. Mais les alertes sont remontées aux personnes appropriées pour obtenir la bonne réponse, éventuellement délivrée par l'équipe dédiée si la réponse passe par les outils sociaux. Une critique réalisée de bonne foi est en fait un axe de progrès. Et un client dont le problème a été traité avec exemplarité devient souvient un promoteur de la marque.

Les outils d'analyse lexicale sont bien sûr utilisés pour tout cela. Mais la technique permettrait le cas échéant de relier l'expression d'une personne donnée à un compte client ou prospect. Cette liaison reste pour l'heure inexploitée. L'une des difficultés rencontrée reste la séparation organisationnelle entre la gestion des médias sociaux, confiée en général à la direction de la communication, et les autres fonctions de relation avec les clients, directions dédiées ou directions marketing.

(...)

(06/04/2011 10:52:03)

Les tablettes en entreprise séduisent le Gartner

Il ne faut pas commettre les mêmes erreurs qu'avec les smartphones, vus comme des jouets frivoles et couteux et des symboles du statut de cadre, note David Willis, vice-président au Gartner.  L'impact des tablettes est plus fort que le nombre de ventes le laisse prévoir (69 millions en 2011) en raison du nombre d'applications déjà disponibles et de l'impact de l'éco-système.  

Les entreprises commencent à comprendre le parti qu'elles peuvent tirer de produits grand public, comme les tablettes. Ceux qui ont déjà compris comment gérer et sécuriser les iPhone pourront aborder les tablettes plus aisément, remarque le Gartner.  Toutefois, ces terminaux ne se comparent ni aux ordinateurs, ni aux smartphones. Par rapport aux PC, les tablettes évitent le temps long et frustrant passé au démarrage. L'autonomie est plus large. Ce qui n'empêche pas en fin de journée, de revenir au PC portable pour saisir des données ou créer des contenus.

Un bon outil pour les commerciaux et les professionnels de la santé

Les tablettes sont bien adaptées aux forces de vente, ensuite à la GRC, aux configurations d'entrée de commandes et de ventes. Pour les directeurs de ventes, les tablettes PC devraient devenir une plateforme naturelle pour l'analyse et les tableaux de bord de performance. Les personnels de santé devraient également s'en emparer de même que les magasins de vente au détail.

Conclusions : les ardoises numériques ont un énorme potentiel dans le monde du travail selon Gartner et ne devraient remplacer ni les PC ni les smartphones. Et Apple reste loin devant par la confiance qu'il inspire à ses clients et la capacité d'imitation qu'il suscite chez ses concurrents !

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(01/04/2011 10:46:21)

Nokia analyse la fracture mobile mondiale

Le fabricant de mobiles Nokia a publié sur son blog un diagramme composé à partir de chiffres rendus publics récemment par l'Union Internationale des Télécommunications (UIT), et montrant la répartition par zones géographiques des abonnés mobiles dans le monde.

En Europe, on compte treize mobiles pour dix individus, soit un abonnement pour 0,8 personne.  « Dès qu'on enlève les très jeunes et les très âgés, on se rend compte qu'un très grand nombre d'individus possèdent soit deux téléphones, soit une clé internet, soit un système GPS qui nécessite une carte SIM, soit une tablette », explique Nokia sur son blog.

Du général au particulier, les chiffres changent


Le tableau est radicalement différent en Afrique: pour dix personnes, seulement quatre téléphones sont disponibles, ce qui équivaut à un abonnement SIM pour 2,4 personnes. Mais en considérant le continent entier, on se fait une idée trop optimiste de la situation: le taux de pénétration du téléphone portable est beaucoup plus bas dans les régions rurales pauvres de l'Afrique.

« Etudier les données correspondant à des régions immenses implique que les extrêmes de la pénétration du mobile ne sont pas aussi clairement visibles que lorsqu'on examine les données pays par pays », précise le constructeur finlandais. « Il y a évidemment une différence énorme entre le nombre de mobiles par personne à New York et Asunción au Paraguay, à l'autre bout de l'Amérique; ou entre Dubaï et Khartoum, pour prendre deux villes des Etats Arabes, mais une moyenne continentale ne la montrera pas ».

Selon les Indicateurs du développement dans le monde de la Banque mondiale, 60,84% de la population mondiale avaient un abonnement mobile en 2008.

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(30/03/2011 16:04:42)

Une « dépression Facebook » apparaît chez les jeunes, selon des pédiatres américains

La pratique assidue des réseaux sociaux pourrait amplifier le mal-être de certains adolescents, affirme une étude publiée le 28 mars dans la revue American Academy of Pediatrics. Les chercheurs ont surnommé cette pathologie « Dépression Facebook ».

A la période de l'adolescence, les réseaux sociaux prolongeraient les rapports parfois difficiles à l'acception de soi vis-à-vis du regard des autres. Comme dans la vie, selon l'étude, les jeunes retrouvent sur Internet les mécanismes d'interactions sociales, notamment au sujet de l'acceptation et de la reconnaissance par autrui.

Des sites tels que Facebook agiraient dès lors comme une loupe sur la vie réelle. Un adolescent ayant peu d'amis se verra retranscrire cette triste réalité sur le réseau. Un constat amplifié de surcroît par la vue de son profil aux yeux de camarades. Assister à la riche vie sociale des autres pourrait également renforcer le sentiment d'isolement social de certains ados et préados fragiles, averti en outre l'étude.

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(30/03/2011 12:21:48)

Modifications discrètes de l'organisation de la CNIL

Le Journal Officiel du 30 mars 2011 a publié les textes instituant le désormais fameux Défenseur des droits, nommé discrétionnairement en conseil des ministres sauf opposition des trois cinquièmes des deux commissions parlementaires supervisant de telles nominations. Le Défenseur des droits remplace le Médiateur de la République, le Défenseur des enfants, la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS) et la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) comme mentionné à l'article 22 de la loi n° 2011-334 (voir encadré).

Au passage, la CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés) est aussi affectée à plusieurs niveaux.

Tout d'abord, le quotidien des contrôles de la CNIL dans les entreprises et administrations est modifié par les articles 7 et 8 de la loi n° 2011-334. Les contrôles sont ainsi mieux encadrés et respectent désormais les principes généraux des procédures judiciaires, notamment l'intervention du juge des libertés et de la détention pour les mesures atteignant aux locaux que la CNIL veut visiter contre l'avis de l'occupant. Ce point était objet de litiges.

Les articles 2 à 5 réorganisent la formation contentieuse prononçant les sanctions.

Une moindre indépendance

L'organisation et la composition de la CNIL sont donc également affectées.

Ainsi, le nouveau Défenseur des Droits s'y invite soit directement soit via un représentant (article 1 de la même loi) en tant que dix-huitième membre.

Elu en son sein, le président de la CNIL ne pourra plus être un élu. L'article 4 dispose en effet : « La fonction de président de la commission est incompatible avec toute activité professionnelle, tout mandat électif national, tout autre emploi public et toute détention, directe ou indirecte, d'intérêts dans une entreprise du secteur des communications électroniques ou de l'informatique. La durée du mandat de président est de cinq ans. »

Or, parmi les membres actuels de la CNIL, il y a 2 députés, 2 sénateurs, 2 membres du Conseil économique, social et environnemental, 2 conseillers d'État, 2 conseillers à la Cour de cassation, 2 conseillers à la Cour des comptes et 5 personnalités qualifiées désignées par le Président de l'Assemblée nationale (1 personnalité), le Président du Sénat (1 personnalité), et le gouvernement par décret (3 personnalités).

Si un fonctionnaire ou un magistrat devient président, il devra donc être mis en disponibilité. Un élu devrait démissionner mais, en tel cas, il perdrait de fait son mandat de membre de la CNIL puisque les deux sont liés. Cette disposition pourrait accroître l'indépendance de l'institution mais, de fait, va privilégier les « personnalités qualifiées » non-professionnelles et nommées discrétionnairement.

Les décisions de la CNIL s'imposant autant aux entreprises privées qu'aux administrations et collectivités, cette modification des relations de pouvoirs en son sein ne seront pas sans conséquences sur les exigences relatives aux systèmes d'information et aux fichiers de données personnelles.

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(29/03/2011 12:14:41)

La contrefaçon dans la high-tech augmente

Le secteur de la high-tech, comprenant la téléphonie, les baladeurs MP3, et les logiciels, représente ainsi 34% des contrefaçons observés en 2010. Toutefois, PriceMinister fait état d'une baisse générale des tentatives de mise en vente de contrefaçon, la première depuis 3 ans. Dans le secteur de la high-tech, la téléphonie se place en tête des produits contrefaits en 2010 (31%). Suivent les logiciels (25%), le son (25%), les supports de stockage (14%) et les tablettes tactiles (4%).

Néanmoins, comme chaque année, le secteur le plus touché par la contrefaçon demeure la mode. Plus de la moitié (54%) des contrefaçons observées par PriceMinister ont concerné ce secteur en 2010, notamment en matière de vêtements, d'articles de sport, de maroquinerie et d'accessoires. Le secteur des accessoires de mode a notamment enregistré une hausse des produits contrefaits de 9% en 2010, alors que les cas de contrefaçon des vêtements et articles de sport sont restés stables.

Apple victime de son succès


Le nombre de contrefaçons détectées dans le secteur de la culture est également en hausse sur l'année, soit +23% par rapport à 2009. Le secteur, comprenant les jeux vidéo, les livres, les consoles, les CD et les DVD, a ainsi représenté 8% des contrefaçons en 2010.

Dernier point, Apple et les marques de parfums et cosmétiques demeurent les principales victimes de la contrefaçon en 2010. Suivent Microsoft, Nike, Hello Kitty, Monster Beats Studio, Sony, Nintendo et Nokia. A noter, PriceMinister fait état d'une hausse de 186% des cas de contrefaçon touchant la marque Converse.

Ce bilan est essentiellement basé sur l'analyse de l'ensemble des détections opérées en 2010 par la Cellule anti-contrefaçon des sites français, britannique et espagnol de PriceMinister. Depuis février 2077, l'éditeur détecte les vendeurs suspects, susceptibles d'émettre des produits contrefaits, au travers de sa cellule Anti-Contrefaçon.

 

Illustration: Une tablette iPad contrefaite

Crédit Photo: D.R

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(28/03/2011 14:34:15)

Un des pionniers de l'Internet, Paul Baran, s'est éteint

L'ingénieur américain Paul Baran, co-créateur d'Arpanet, ancêtre d'Internet, s'est éteint samedi 26 mars à l'âge de 84 ans des suites d'un cancer des poumons, rapporte lundi 28 mars le quotidien le New York Times.

Dans les années 1960, Paul Baran avait contribué à poser les bases d'un réseau de communication éclaté, à même de maintenir les communications en cas de conflit avec le Bloc de l'Est. Arpanet est finalement né en 1969 sous l'impulsion du gouvernement américain avant d'être remplacer par Internet.

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