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Société

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1898 documents trouvés, affichage des résultats 1351 à 1360.

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(24/09/2007 17:24:52)

Les disques durs d'occasion regorgent de données personnelles

« Ceux qui se débarrassent de leurs disques durs, entreprises ou particuliers, ne sont pas assez prudents. » C'est l'un des constats que l'on peut lire dans l'étude publiée conjointement par l'University anglaise de Glasmorian, l'université américaine de Longwood et l'université australienne Edith Cowan. Les trois équipes ont en effet montré que les disques durs revendus par leurs anciens propriétaires se retrouvent sur le marché d'occasion remplis de données de leurs précédents utilisateurs. La nature de ces fichiers va du dossier médical au courrier personnel, en passant par les vidéos pornographiques. Cette conclusion a nécessite deux ans d'un travail, qui a consisté à acheter et analyser des disques durs de seconde main sur Internet. Parmi les 350 exemplaires collectés, seuls 32 (un peu plus de 9%) étaient entièrement et correctement effacés. Parmi ceux qui restaient et qui étaient lisibles (154 ne fonctionnaient pas). 129 avaient suffisamment de données pour identifier les particuliers ou les organismes originaux. Les chercheurs concluent leur rapport en s'inquiétant de « cette absence d'effacement de données qui ne fera que croitre en même temps que la numérisation des documents. » Ils préconisent de « combattre le grand risque que représente la fuite de données à caractère personnel et confidentiel en s'attaquant à ses deux fléaux que son l'ignorance et le manque de bonne volonté des utilisateurs. » (...)

(24/09/2007 09:12:57)

Les OLPC pas réservés aux enfants pauvres

Le programme OLPC (One Laptop Per Child), initié par le Massachusetts Institut of Technology pour offrir aux enfants des pays pauvres un accès aux outils IT, sera également distribué en Amérique du Nord. Aux termes d'une initiative qui devrait être présentée en cours de journée, les habitants du Canada et des Etats-Unis pourront payer 400 $, une somme qui financera deux OLPC : l'un pour l'acquéreur, l'autre pour un enfant d'un pays en développement. Il devrait être impossible, du moins dans un premier temps, de choisir le pays où ira le second portable. « L'idée est d'aider à financer les programmes dans les pays les moins développés », explique Walter Bender, le président du logiciel et des contenus du groupement OLPC. En permettant aux Nord-Américains d'acheter les portables prévus pour les enfants pauvres, le but est de persuader le plus grand nombre de contribuer financièrement au développement du projet L'offre sera lancée du 12 au 26 novembre : « nous ne voulons pas trop nous éloigner des PVD, indique Walter Bender pour justifier cette courte durée. La production en série des portables est prévue pour le mois d'octobre, les premiers exemplaires devant atteindre le public début novembre. Dans un premier temps, 40 000 machines seront fabriquées, une quantité qui devrait doubler ou tripler rapidement. Dans un premier temps conçus pour être vendus 100 $, les portables ne devraient finalement pas coûter moins de 190 $. (...)

(21/09/2007 17:59:53)

Les opposants à la "vente liée" gagnent un round

Le tribunal de proximité de Puteaux (92) vient de publier le jugement d'un procès opposant depuis plus d'un an le constructeur de PC Acer Computer à l'un de ses clients. Le plaignant arguait du droit de « ne pas devoir acheter le système d'exploitation Microsoft Windows » avec son ordinateur portable. Le juge de proximité a tranché. Il accorde au demandeur le remboursement de 311,85 € pour un PC acquis au tarif de 599 €, soit un montant dépassant les 50% du prix initial. Dans le détail, cette somme ne comprend pas uniquement un dédommagement pour Microsoft Windows XP Home, mais aussi pour plusieurs autres logiciels préinstallés sur l'ordinateur. A cela vient s'ajouter 500 € au titre de dommages et intérêts pour « résistance abusive » et frais engagés dans l'action, ainsi que 150 € en remboursement des frais de procédure. Finalement, l'achat de ce PC aura rapporté de l'argent à cet utilisateur. « C'est un succès pour le consommateur », estime Alain Coulais, responsable du groupe Detaxe, une association qui lutte contre la vente liée PC/système d'exploitation. (...)

(21/09/2007 17:20:21)

A l'IE-Club, les éditeurs réclament des développeurs

Hier soir, l'IE-Club a tenu sa conférence de rentrée dans les locaux parisiens de Microsoft, rue de l'Université. Le thème de la soirée, « la révolution de l'Internet Software », a visiblement plu. Ce fut la meilleure audience depuis la création de l'IE-Club : 325 participants. L'assistance d'hier mêlait capitaux-risqueurs (environ 15 % de l'audience) et éditeurs de logiciels, tout autant aficionados de l'Internet que fournisseurs plus traditionnels. Rappelons que l'IE-Club a vocation à rapprocher les PME du secteur IT des acteurs susceptibles de les aider dans leur essor. La conférence, il est vrai, surfait sur une actualité plutôt chaude, de nombreux éditeurs ne parlant ces temps derniers que de SaaS (software as a service), de « on-demand » ou de « cloud computing ». « Nous avons observé que les nouveaux modes de consommation du logiciel - à partir d'un navigateur Web, d'un téléphone portable ou de widgets - généraient aussi de nouveaux modes de développement, de financement et de commercialisation », explique Julien Codorniou, responsable chez Microsoft France des partenariats avec les éditeurs innovants et organisateur de la conférence (en partenariat avec TechCrunch et l'Afdel). Un coût de développement divisé par dix en six ans En trois tables rondes, la soirée a donc posé les règles de cette nouvelle industrie, avec les acteurs français du logiciel « canal historique » (selon l'expression de Julien Codorniou) et avec les éditeurs pour qui le Web est la seule plate forme possible. Premier constat, il est beaucoup plus facile de créer une société qui fait de l'Internet qu'un éditeur traditionnel. Le coût de développement d'une application Web a été divisé par plus de dix en cinq ou six ans. Le fondateur de « Dis-moi où » a déboursé 350 euros pour [[page]]développer son « encyclopédie des lieux participative et réutilisable ». La richesse de l'Open Source contribue à cette accessibilité, mais les ténors du logiciel y participent aussi. « Chez Microsoft, nous avons un programme pour les start-up, rappelle Julien Codorniou. Pour 300 euros, elles accèdent à l'ensemble de nos outils pour cinq développeurs. » Deuxième constat, plus préoccupant, il y a une vraie pénurie de développeurs sur le marché, ceux-ci étant systématiquement happés par les SSII. Les jeunes sous-estiment l'intérêt de développer chez un éditeur. Pourtant, des acteurs comme Brainsonic et Yahoo souligne l'attrait du poste. Pour eux, cela revient purement et simplement à « intégrer une écurie de Formule 1 ». Contraint à l'innovation permanente Troisième constat, quand on se lance dans l'Internet Software, on est contraint à l'innovation permanente. A la moindre faiblesse, l'éditeur court le risque de voir le client le lâcher. Sur ce front, les nouvelles sont plutôt bonnes. Les intervenants de l'IE-Club jugent très bon le niveau des développeurs français en Europe. Un des atouts hexagonaux semble être la capacité à fabriquer de « la propriété intellectuelle », par rapport à d'autres pays, comme l'Inde, plus axés sur le développement de services. Enfin, les investisseurs soulignent la qualité des dossiers français. Il y a davantage de bons entrepreneurs, qui ont des idées et font du chiffre d'affaires, avec des acteurs à la pointe dans le commerce électronique. Une bonification que l'on doit sans doute en partie au crédit d'impôt recherche ou encore au soutien de l'Oséo et à son label Entreprise innovante. (...)

(21/09/2007 13:38:43)

Réseaux sociaux : les Français préfèrent Skyblog

Le cabinet ComScore, spécialisé dans les mesures d'audience Internet, vient de publier sa dernière étude concernant les réseaux communautaires en France. Sans véritable surprise, c'est Skyblog qui rafle encore la mise, avec plus de neuf millions de visiteurs uniques au courant du mois de juillet (sur 13,2 millions, pour la totalité des connexions). La raison de cet engouement ? Apparemment la langue. Delphine Gatignol, directrice de développement chez ComScore, souligne en effet que « les sites de réseaux sociaux sont fondés sur leur capacité à permettre aux utilisateurs de communiquer rapidement entre eux. La prédominance de Skyblog en France démontre que la langue est un facteur principal dans leur choix ». Loin derrière Skyblog, on retrouve MySpace (2,2 millions de connectés), Adoo.com (1,3 million), NetLog.com (827 000), Hi5 (754 000), Lexode (675 000) et Dada.net (495 000). Les célèbres Facebook, MSN Group et autres Videao sont quant à eux à la traîne. Si Facebook remporte un franc succès en Grande-Bretagne (7,6 millions de visiteurs, pour la même période), le site, référence des campus universitaires américains, peine nettement à se faire une place en France, avec à peine 300 000 connexions mensuelles. (...)

(20/09/2007 17:07:30)

Les salaires des jeunes diplômés en IT augmentent sensiblement

S'il est une question cruciale dans le monde du travail, c'est bien celle du salaire. Dans une étude intitulée « Rémunérations 2007 », le site d'offres d'emploi Cadremploi.fr dresse une analyse des prétentions salariales et des niveaux de salaires perçus par les jeunes diplômés en 2007. Pour réaliser son enquête, le site a passé en revue un peu plus de 60 000 CV de jeunes présentant moins d'un an d'expérience et ayant une expérience professionnelle de un à deux ans. Côté prétentions, 36,6% des profils de niveau bac+5 souhaitent démarrer à des niveaux de salaires qui se situent entre 30 et 35 000 euros bruts annuels. « Cette année, les niveaux de salaires demandés par les étudiants ont augmenté, en raison des perspectives d'embauches particulièrement favorables », commente Sophie Ak, responsable du marketing et de la communication chez Cadremploi, et auteur de l'étude. Tendance à la hausse pour les ingénieurs systèmes, sécurité et réseaux Les salaires déclarés profitent eux aussi de l'embellie que connaît actuellement le marché de l'emploi : dans la fonction informatique, 45% des jeunes diplômés ayant moins d'un an d'expérience déclarent gagner un salaire brut qui se situe entre 25 000 et 35 000 euros bruts annuels. Et plus de 30% de ceux qui possèdent un à deux ans d'expérience perçoivent une rémunération annuelle brute annuelle allant de 30 000 à 35 000 euros bruts. « Le nombre de jeunes qui déclarent toucher un salaire annuel brut de 30 000 à 35 000 euros a doublé en deux ans, précise Sophie Ak. Cette tendance à la hausse profite surtout aux ingénieurs systèmes, sécurité et réseaux. Mais elle concerne aussi les techniciens de niveau bac+ 2 et bac+3, qui déclarent entre 25 000 à 30 000 euros bruts annuels. » La fonction études et recherches voit également croître son niveau de rémunération : 57% des Bac+ 5 ayant moins d'un an d'expérience, et 60% des jeunes disposant de un à deux ans d'expertise perçoivent un salaire brut annuel de 25 000 à 35 000 euros. « Cette filière est particulièrement convoitée par les jeunes diplômés, précise Sophie Ak. 20% d'entre eux souhaitent y faire leurs première armes. » Cadremploi.fr note cependant quelques décalages qui concernent l'ensemble de la fonction IT : des écarts de salaires qui persistent entre Paris et la Province (20% de différence) des prétentions salariales, côté candidats, parfois en deçà de la réalité du marché, et des niveaux de salaires revus à la hausse par les recruteurs, en raison d'une tension sur certains profils. (...)

(20/09/2007 16:41:20)

Le G9+ s'interroge sur l'avenir des éditeurs de logiciels en France

La France deviendra-t-elle une nation de SSII adaptant des logiciels créés aux Etats-Unis ? En caricaturant à peine, voici la question posée par le G9+, association d'anciens de grandes écoles, à un panel de haut niveau, la semaine dernière. Patrick Bertrand, DG de Cegid et président de l'Afdel, Jean Ferré, patron de Sinequa, Olivier Guilbert, PDG d'OpenTrust, Pascal Houillon, président de Sage, Thierry Pierre, directeur de la stratégie SOA chez SAP France, Gilles Rigal, directeur d'Apax Partners et Michèle Guren, présidente de CA France, étaient appelés à se prononcer sur l'avenir des éditeurs de logiciels en France. Sachant qu'il n'y a que deux Français dans le top 20 des éditeurs de logiciels, Dassault et Business Objects, la question n'est pas anodine. D'autant que les rumeurs sur un éventuel rachat de BO par un éditeur américain sont de plus en plus audibles. En introduction de la conférence, Jean-François Perret, président du directoire de Pierre-Audouin Consultants, soulignait ainsi que si on prend le top 200 des éditeurs en Europe, 70% sont américains, 12% allemands (bien que SAP comptât pour une grande part), 5% britanniques et 5% français. Alors qu'il y a, d'après lui, quelque 2200 éditeurs en France. Mais leur problème, a-t-il souligné, est lié à la croissance : sur ces 2200, « plus de 2000 ont un chiffre d'affaires inférieur à 2 ME ». A voir : notre reportage vidéo sur place. (...)

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