Flux RSS

Société

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1898 documents trouvés, affichage des résultats 1441 à 1450.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(30/07/2007 12:42:02)

Les systèmes de vote électronique perforés par les chercheurs californiens

Une équipe de chercheurs de l'Université de Californie a passé les deux derniers mois à étudier la sécurité des machines de vote électronique de Diebold Election Systems, Hart InterCivic et Sequoia Voting Systems. Le résultat est accablant : « Les équipes de sécurité ont pu contourner les protections physiques et logicielles de chaque système qu'elles ont testé », a expliqué Debra Bowen, secrétaire d'Etat de la Californie. A ce titre, Debra Bowen est responsable de l'organisation des élections, et donc chargée de certifier les machines que les différents comtés de l'Etat pourront acheter. En tout, 15 problèmes ont été identifiés. Les chercheurs ont pu, par exemple, exploiter un bug de Windows pour accéder directement aux données du système GEMS de Diebold. Ils disent avoir réussi à obtenir un même niveau d'accès sur les WinEDS de Sequoia. Il était possible, disent les chercheurs, de faire en sorte qu'au redémarrage suivant, la machine charge un firmware pirate donnant le contrôle de la machine. De même, le remplacement du firmware de la machine de Diebold (« les testeurs ont trouvé plusieurs façon de faire », précise le rapport), a permis de modifier par la suite les droits d'accès et privilèges des utilisateurs, pour transformer un électeur en administrateur, par exemple. Des accès au système des machines Hart permettant de manipuler les résultats ont aussi été démontrés. Des défauts de protection aussi bien au niveau physique qu'au niveau logique Côté protection physique, le rapport des chercheurs relève que des vis du système de Sequoia n'étaient pas protégés, et que dans certains cas il était possible d'introduire des instruments sous des caches en plastique et de manipuler des boutons internes sans endommager les sceaux externes. « Avec des objets ordinaires », il était également possible de désactiver l'imprimante du système Diebold, pour empêcher toute vérification. Les résultats pour les machines d'ES&S (Election Systems & Software), utilisées dans le comté de Los Angeles, ne sont pas encore connus, le fabricant ayant tardé à soumettre son matériel à l'examen des chercheurs. Des porte-parole de Sequoia et de Diebold ont demandé un peu de temps avant de commenter les résultats de l'étude. Sequoia a toutefois déjà indiqué que les tests pratiqués ne reflétaient pas « les processus et les procédures employés lors de la tenue d'une élection normale ». Sachant que les prochaines élections en Californie ont lieu le 5 février, et qu'enlever la certification d'une machine de vote demande un préavis de 6 mois, Debra Bowen rendra ses conclusions le 3 août. (...)

(27/07/2007 16:46:53)

En 2013, tous les lycées d'Ile-de-France auront leurs ENT

D'ici à 2013, tous les lycées d'Ile de France auront leurs espaces numériques de travail (ENT). L'opération lancée à l'initiative de la région Ile-de-France concerne plus de 400 000 lycéens, ainsi que les personnels d'établissement. Le conseil régional s'apprête également à distribuer près de 175 000 clés USB équipées de logiciels libres, dès septembre 2007. Jean-Paul Huchon, président de la région Ile de France, a en effet annoncé que les 130 000 lycéens de seconde des lycées publics franciliens et les 45 000 apprentis en première année dans un centre de formation francilien, recevront une clé USB équipée d'un bureau mobile en logiciels libres, à partir de la rentrée scolaire 2007. Bureau qui se compose d'une suite bureautique, d'un navigateur Internet, d'un client de messagerie électronique, d'une messagerie instantanée, et d'un logiciel de lecture audio vidéo. D'un coût de 2,6 millions d'euros, ces clés seront distribuées à la prochaine rentrée scolaire par les chefs d'établissements. 100 000 ordinateurs, soit un pour moins de 4 élèves Jean-Paul Huchon serait-il partisan d'un rééquilibrage de l'offre logicielle entre solutions propriétaires et logiciel libre ? Il semblerait que oui, à en juger par le lancement européen de Firefox 2, qui a eu lieu en octobre 2006 dans les locaux de la Région, en présence de Jean-Paul Huchon qui s'était fendu d'un petit discours. En décembre dernier, le président Huchon avait également apporté le soutien du Conseil régional à la création d'un pôle de compétitivité du logiciel libre. La région Ile-de-France a ainsi équipé ses lycées de plus de 100 000 ordinateurs, soit un PC pour moins de 4 lycéens, en accès libre pour Internet et comme outil pédagogique pour les enseignants. « Cette clé USB représente pour eux un outil de liberté et de mobilité entre leur établissement, les cybercafés, l'ordinateur de leur domicile ou de leurs amis », peut-on lire dans le communiqué du conseil régional. Autre acteur ayant décidé de s'impliquer dans la création d'ENT : l'académie de Créteil, pour un déploiement dans 21 collèges, dès la rentrée prochaine. Le "cartable en ligne" développé par l'académie proposera aux établissements cibles un espace numérique opérationnel qui pourra, à terme, découler sur une solution globale. (...)

(27/07/2007 15:47:25)

BNP Paribas recrute à son tour sur Second Life

Décidément, Second Life intéresse les entreprises de multiples horizons en tant qu'outil de recrutement. Après les acteurs de l'informatique (Accenture, Capgemini, Unilog LogicaCMG), les cabinets spécialisés (Expectra), et les établissements de l'enseignement supérieur (Insead, ESNT), c'est au tour des banques d'embaucher dans le monde virtuel crée par Linden Lab. Cet été, BNP Paribas a ainsi choisi de s'appuyer sur cet univers pour attirer informaticiens, chefs de projet, ingénieurs systèmes et réseaux, architectes techniques ou applicatifs. Les candidats n'ont qu'à s'inscrire sur l'espace de recrutement mis en ligne par la banque. A l'issue de l'étude de leur candidature, ils reçoivent un mail de confirmation leur indiquant la date et l'heure du rendez-vous, le nom de leur interlocuteur RH sur Second Life ainsi qu'un lien qui leur permettra de téléporter leur « avatar » (représentation en 3D d'un personnage) sur l'île BNP Paribas. Le jour J, ils sont reçus par les avatars des chargés de recrutement pour un entretien confidentiel d'une dizaine de minutes. Egalement sur les lieux, un responsable du département informatique du groupe, pour un chat avec les personnes présentes. Plus largement, la nouvelle île de BNP Paribas, proposera des espaces ludiques et pédagogiques, destinés à évoluer avec le temps, l'un dédié au tennis, la banque étant impliqué dans le sponsoring autour de la petite balle jaune, l'autre consacré aux échecs dans le cadre du partenariat avec la Fédération Française des Echecs. Pour en savoir plus : - Lien vers l'espace de recrutement de BNP-Paribas (...)

(27/07/2007 12:49:01)

L'Ires pointe les limites d'Internet sur le marché de l'emploi

Dans une édition spéciale consacrée au recrutement et à la recherche d'emploi sur Internet et conduite par Yannick Fondeur, l'IRES (Institut de recherches économiques et sociales) pointe quelques uns des problèmes soulevés par l'utilisation de ce média et ses limites, en compilant les résultats de différents travaux. L'organisme montre qu'Internet ne s'est pas imposé, loin de là, comme un canal de recrutement dominant : en effet, d'après les données de l'OFER (Offres d'emploi et de recrutement) de la Darès, le bon vieux courrier papier reste majoritaire dans la réception des candidatures spontanées (91% des entreprises en auraient reçu de cette manière), Internet ne rassemblant que 23% des suffrages. Quant aux limites de l'outil, elles viseraient les difficultés de traitement, pour distinguer les informations pertinentes de celles qui ne le sont pas. L'entreprise et la profession des recrutés jouent leur rôle La situation semble néanmoins plus équilibrée s'agissant de la diffusion des offres : la proportion des entreprises qui recourent à la presse (18%) est quasiment équivalente à celles qui utilisent le Web (17%). Rejoignant les résultats d'une enquête ANPE (réalisée fin 2003), l'Ires pointe également la très forte hétérogénéité du recours à Internet selon le type d'entreprise, la probabilité qu'un recrutement ait fait l'objet d'une diffusion d'offre d'emploi sur Internet étant dix fois plus élevée dans les établissements de plus de 500 salariés, que dans ceux de moins de dix. D'ailleurs les résultats d'une autre étude, menée récemment par HEC Junior, montre que les PME françaises en sont encore à l'ère du papier pour réaliser leurs recrutements Enfin, la profession des recrutés jouerait un rôle important, en terme de choix de canal de recrutement : les informaticiens considèrent ainsi Internet comme premier vecteur de recherche d'emploi. (...)

(26/07/2007 15:15:26)

Un projet de commissariat virtuel pour déposer plainte en ligne

Après les expérimentations de commissariat virtuel initiées précédemment par l'Italie, la Belgique et l'Espagne, la France a elle aussi décidé de se pencher sur la mise en place d'un dispositif permettant à tout citoyen, connecté à Internet, de porter plainte en ligne. Le 6 juillet dernier, à l'occasion de la 7ème édition de journée nationale des victimes, la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a en effet prévu d'inscrire dans la future loi d'orientation et de programmation pour la sécurité intérieure (Lopsi) la possibilité de déposer plainte en ligne. Dans son discours, la ministre a ainsi précisé que les victimes d'infractions, qui « de manière quotidienne alimentent l'insécurité », seraient désormais en mesure de déposer plainte depuis leur domicile, évitant les contraintes de déplacements et d'attente. Le ministère de l'Intérieur a estimé que cette première évaluation des faits donnera la possibilité aux forces de l'ordre de mieux recevoir les victimes, lesquelles « pourront par ailleurs se faire connaître sans crainte de représailles ni contraintes matérielles ». Ce système de dépôt de plaintes en ligne devrait être expérimenté dès la fin de l'année 2007 sur plusieurs sites de police, notamment celui de la Sécurité publique, et dans quelques départements, rapporte l'AFP. A terme, il pourrait être généralisé sur l'ensemble de l'Hexagone après examen parlementaire de la future Lopsi à partir d'octobre prochain. (...)

(26/07/2007 13:12:45)

Hausse de 41% au premier semestre de la publicité sur Internet

Selon un rapport publié mardi dernier par le cabinet d'étude TNS Media Intelligence, le marché de la publicité sur Internet a enregistré au cours du premier semestre 2007 une croissance record, avec une hausse de 41%. Internet représente aujourd'hui 11% des investissements publicitaires bruts, ce qui correspond à 1,2 Md€ ces six derniers mois - manne dont Google est le premier bénéficiaire. Face à cette montée en puissance, TNS prévoit un brillant avenir à la publicité en ligne. Dès 2008, Internet pourrait bien détrôner la radio de sa troisième place (en baisse de 1%, avec 15,6% des investissements), et se positionner directement derrière la télévision (toujours stable avec 30,4%) et la presse écrite (en légère baisse, avec 15,6%). « Internet se positionne au fil des mois comme le futur troisième média sur le marché publicitaire", a déclaré Luc Tran Thang, président du Syndicat des régies Internet (SRI). Malgré une croissance ralentie au mois de juin (+29,3% contre +34,8 % en mai et +42,8 % en avril), le marché reprend donc sa course vers le haut. Les observateurs pronostiquent par ailleurs une fin d'année très faste en matière d'investissements sur Internet, notamment dans le secteur de la téléphonie mobile. Google se taille la part du lion Moteurs de recherche (Google en tête) et portails Internet (Orange, MSN...) raflent quasiment la moitié du gâteau, avec 44,8% des investissements publicitaires. Loin derrière, on retrouve les sites d'information (11,9%). Parmi ces derniers tf1.fr recueille 32,7% des investissements, devant les sites du Nouvel Observateur (15,9%) et du Monde (11,8 %). Le plus gros fournisseur de publicité sur Internet reste la SNCF, suivi du site de ventes par enchères Ebay et de l'opérateur France Télécom. Ces six derniers mois, la publicité sur Internet a attiré 2 433 annonceurs, contre 1 534 un an plus tôt, ce qui correspond à une hausse de 58%. Sur les 100 plus gros annonceurs en France, 97% sont désormais également présents sur le Wb. Côté budget, le coût moyen d'une campagne sur Internet s'élève aujourd'hui à 490 000 euros. L'étude TNS Media Intelligence montre par ailleurs que les annonceurs sont de plus en plus conscients de la nécessité d'adopter des campagnes de communication plurimédia. 43% des annonceurs présents à la télévision ont investi sur le Web, et 22% des annonceurs qui investissent en ligne se portent aussi sur la télévision. (...)

(24/07/2007 15:21:01)

Trois millions d'OLPC disponibles en octobre prochain

Le feu vert pour la fabrication des XO, les ordinateurs portables conçus pour les enfants des pays pauvres, a été donné. Les XO, élaborés dans le cadre du programme OLPC (One laptop per child), devraient sortir des chaînes de production en octobre - et non septembre, comme indiqué jusque-là. Au moment de leur commercialisation, il devrait y avoir 3 millions de machines disponibles au prix unitaire de 176$. Au début du projet, la barre avait été fixée à 100$, et les animateurs du projet espèrent toujours pouvoir parvenir à moyen terme à ce tarif. A noter qu'Intel, qui a rejoint récemment le projet OLPC cofondé par son concurrent AMD, a lancé un projet concurrent qui a accouché d'un Classmate PC à 225$. Ce sont les Etats impliqués dans le projet qui achèteront ces ordinateurs afin de les redistribuer à leurs écoliers. Sont déjà inscrits : Argentine, Brésil, Cambodge, Costa Rica, République Dominicaine, Egypte, Etats-Unis, Grèce, Libye, Nigeria, Pakistan, Pérou, Rwanda, Tunisie et Uruguay. (...)

(24/07/2007 11:16:29)

Le Cnam signe un contrat de développement avec l'Etat

L'Etat a renouvelé le contrat de développement avec le Cnam. Portant sur près de 39 millions d'euros, en augmentation de 6% par rapport à la période 2003-2006, le contrat 2007-2010 accompagne le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) dans une nouvelle et importante étape de son développement. L'accord signé le 18 juillet dernier par Laurence Paye-Jeanneney, administratrice générale du Cnam et Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, réaffirme, dans sa première partie, l'importance des trois missions de l'établissement : formation professionnelle supérieure des adultes, recherche technologique et innovation, diffusion de la culture scientifique et technique. Dans sa deuxième partie, le contrat insiste sur le caractère national du Cnam et l'importance de son réseau, et l'invite à s'appuyer sur une politique active de développement et de renforcement de l'usage des technologies numériques. (...)

(23/07/2007 17:54:38)

Les cartes compétences et talents disponibles à l'automne

L'immigration « choisie », prônée par Nicolas Sarkozy, serait-elle en marche ? C'est en tout cas ce qu'a laissé entendre Brice Hortefeux, le 18 juillet dernier, lors des 'Journées de la coopération internationale et du développement'. L'occasion pour le ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement d'annoncer que les premières cartes « compétences et talents », destinées à favoriser l'immigration économique en France, seraient délivrées en octobre prochain. Destinée à faciliter l'accueil des étrangers dont « la personnalité et le talent constituent des atouts pour le développement et le rayonnement de la France », selon le texte voté l'été dernier sous l'impulsion de l'ex-ministre de l'Intérieur, aujourd'hui président de la République, Nicolas Sarkozy, cette carte d'une durée de trois ans, ne sera renouvelable qu'une seule fois. Elle oblige également son titulaire à retourner dans son pays d'origine « pour le faire bénéficier de l'expérience acquise sur le territoire français ». Un titulaire qui sera d'ailleurs tenu de participer à une action de coopération en faveur de son pays durant son séjour dans l'Hexagone. Certains n'ont pas hésité à considérer cette initiative comme l'un des plus grands gadgets du projet de loi, et s'interrogent sur la manière dont vont être mesurées ces fameuses compétences et qui va les décider. D'ailleurs, la constitution de la Commission nationale des compétences et des talents, censée préciser les critères de sélection des lauréats, et qui devrait être présidée par un grand chef d'entreprise, reste encore à l'étude. Recruter les étudiants des filières scientifiques Le ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement a profité de l'occasion pour préciser la politique qu'il comptait mener, souhaitant une immigration utile à la France et aux pays d'origine. Le but est qu'à terme, « l'immigration économique représente 50% des entrées à des fins d'immigration durable », le chiffre s'élevant à 7% aujourd'hui. Il trouve aussi que les filières généralistes sont "surreprésentées" et entend recruter davantage d'étudiants pour les filières scientifiques. Enfin, pour répondre à ceux qui accusent la carte « compétences et talents » de participer au pillage des cerveaux , Brice Hortefeux a trouvé la parade : celle-ci « ne sera pas réservée à une élite de super diplômés, au contraire elle a vocation à bénéficier à des personnes qualifiées, alors même qu'elles n'auraient aucun diplôme ». (...)

(23/07/2007 17:05:45)

Pas de salon des loisirs numériques en France à court terme

Les loisirs numériques ont beau stimuler la consommation des ménages, il n'en reste pas moins qu'organiser un salon grand public dédié à cette industrie est un pari difficile à relever en France. Pour preuve, Reed Expositions, qui prévoyait d'organiser le salon IT's life dans les jardin des Tuileries du 14 au 18 juin prochains vient d'annoncer qu'il jetait l'éponge. Quelques jours plus tôt, Exposium, un autre spécialiste des salons, a choisi de reporter d'un an la tenue du Paris Numeric Show qui devait se dérouler initialement du 17 au 21 octobre 2007 à Paris, au Parc des expositions de la Porte de Versailles. « Nous devions rassembler 50 à 60 fournisseurs partenaires dotés de moyens significatifs pour mener à bien notre projet, détaille Laurent Eydieu, le directeur de la division nouvelles technologies de Reed. Mais seulement 30 marques, dont 10 de premier plan, se sont engagées à nous suivre. » Exposium revendique quant à lui l'engagement de 8 partenaires alors que la promotion qu'il a menée autour de son salon en laissait espérer 250. Il travaille actuellement à la redéfinition du concept en tenant compte des remarques qui lui ont été faites par les fournisseurs. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >