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(14/04/2006 17:16:39)

Paris se met à l'heure du passeport numérique

Fini. Les voyageurs français désireux de visiter les Etats-unis n'auront plus à se munir d'un visa pour pénétrer sur le territoire américain. Depuis le 13 avril, les ressortissants de l'Hexagone peuvent en effet se faire délivrer un passeport électronique. Dans un premier temps réservé aux habitants de Hauts-de-Seine, le nouveau document sera progressivement disponible dans l'ensemble du pays. A la fin du mois de juin, toutes les préfectures le délivreront. Initialement prévu pour être distribué en octobre 2005, le passeport électronique a accusé un retard dû à un contentieux entre le ministère de l'Intérieur et l'imprimerie nationale. Après bien des atermoiements, c'est bien cette dernière qui est chargée de la fabrication du document officiel et qui devrait en livrer deux millions d'ici la fin de l'année. En apparence, rien ne change sur le nouveau passeport. En apparence seulement, car à l'intérieur de la couverture se loge une puce RFID. Mise au point par Axalto, celle-ci contient l'ensemble des données d'état civil écrites sur la première page du livret. Elle renferme également une version numérique de la photo d'identité apposée sur le papier, un ajout donnant ses lettres de biométrie au passeport, une première pour un document administratif français. L'ensemble se veut inviolable, ou du moins hautement sécurisé par le système Axseal assurant un cryptage des données sur 112 bits. Pensé et conçu pour minimiser les risques de contrefaçon, le passeport électronique s'entoure de davantage de précautions, au-delà même des technologies utilisées. Ainsi, le ressortissant désireux de se voir délivrer le document de circulation, ne doit plus seulement présenter une pièce d'identité mais une copie intégrale de son acte de naissance, y compris pour un renouvellement. Les mineurs ne pourront plus figurer sur le passeport de leurs parents et devront désormais disposer de leur propre document. En rendant disponible le passeport électronique, la France rejoint les rares pays à disposer d'un tel document. Elle précède les exigences européennes, un règlement communautaire enjoignant les Etats membres à les fournir à leurs citoyens à compter du 28 août 2006. Surtout, Paris satisfait Washington. Les Etats-Unis ne laissaient en effet plus pénétrer sur leur territoire les visiteurs étrangers démunis d'un document biométrique. (...)

(14/04/2006 17:18:40)

La FSF prépare une vaste campagne contre les DRM

Dans un entretien accordé à ZDNet, au Royaume-Uni, Peter Brown, directeur exécutif de la Free Software Foundation (FSF) indique que l'association prévoit de « lancer une campagne pour mettre fin aux DRM », à l'occasion de la sortie, en juin prochain, du second brouillon de la version 3 de la licence GPL. Le premier brouillon contient déjà des provisions à l'encontre des systèmes de gestion des droits numériques et est à l'origine d'une polémique dans la communauté du logiciel livre. Linus Torvalds lui-même s'oppose à ces dispositions, qu'il juge trop contraignantes. Dans la nouvelle campagne anti-DRM de la FSF, Peter Brown prévoit de s'associer à des constructeurs afin d'informer les utilisateurs d'ordinateurs sur les risques associés aux DRM pour leur liberté d'usage des contenus multimédia et des constructeurs à éviter en raison de leur soutien à ces systèmes. (...)

(13/04/2006 17:39:16)

Mobile et haut débit resteront hors du service universel

Bruxelles ne prévoit pas d'étendre le service universel des télécoms au mobile et au haut débit. C'est ce qu'indiquent nos confrères des Echos, rapportant une déclaration de la Commission européenne qui entend ne faire "aucune proposition pour changer le périmètre" du service universel. Pour étayer sa position, l'exécutif communautaire cite les résultats d'une consultation publique : plus de 70 % des contributeurs actuels - essentiellement les opérateurs, prélevés en proportion de leur chiffre d'affaires - seraient ainsi opposés à l'extension au mobile, et 80 % ne voudraient pas d'une ouverture au haut débit. Le gouvernement français, qui s'était pourtant déclaré favorable à l'extension en 2003, semble partager l'avis de la Commission et estime désormais le mouvement "prématuré". France Telecom partage la même position. L'opérateur historique, qui assure seul les missions du service universel des télécoms, estime que l'extension est "inopportune" et que la meilleure façon de garantir l'universalité de l'accès aux services mobiles et haut débit reste la concurrence. Les opérateurs alternatifs, certainement peu désireux de voir leur contribution s'alourdir, ne démentieront pas. (...)

(12/04/2006 17:44:49)

Du rififi en allemagne contre la vente par l'Etat de données personnelles

Dans un communiqué, le groupe Gesellschaft für Informatik e.V. indique que "la combinaison du nom, de l'adresse et des informations biométriques pourrait conduire à des possibilités d'analyse et de surveillance dénuées de toute transparence". L'organisation s'en prend particulièrement aux parlementaires, qui ont débattu sur la vente à des entreprises de données personnelles pour participer au financement des passeports biométriques, prévus pour 2008. Initiés en novembre 2005, les passeports biométriques incluent une puce RFID contenant une photo du détenteur. A partir de 2007, les empreintes digitales de seront également embarquées puis, en 2008, d'autres données biométriques, dont l'iris et des informations génétiques. Selon Gesellschaft für Informatik, de telles données pourraient servir à divulguer de précieuses informations sur le titulaire du passeport et l'accès doit en être réservé au seul gouvernement à fin d'identification. Le gouvernement, de son côté, cherche des moyens de financement pour ce document dont le coût de production est estimé à environ 300 E par unité. (...)

(12/04/2006 16:53:33)

La technopole Rennes Atalante s'ouvre au grand large

L'accord entre les communautés urbaines de Rennes et du pays de Saint-Malo est bien concrétisé. La technopole de Rennes Atalante a désormais une antenne à Saint-Malo. La zone destinée à accueillir les entreprises, située à l'entrée de la ville sur la route de Rennes, est en cours d'aménagement. Mais l'hôtel de la technopole est déjà ouvert. Il propose aux entreprises technologiques des surfaces de bureau en location et des services partagés. Il est également destiné à favoriser les rencontres entre les différents acteurs des filières de biotechnologies marines et des technologies de l'information qui constituent les deux axes propres au territoire de Saint-Malo. Actuellement, trois entreprises technologiques et trois équipes de recherche de l'IUT de Saint-Malo - Université de Rennes 1 sont installées à l'hôtel de la technopole. Au début du mois d'avril, les parisiens ont pu mieux découvrir le Pays de Saint-Malo sur le parvis de la gare Montparnasse, avec des stands et la présence du Renard, réplique du dernier bateau corsaire de Robert Surcouf. Une manière pour les malouins de relier leur histoire aux entreprises d'aujourd'hui. (...)

(11/04/2006 17:59:43)

Gestion des compétences: un Toefl de l'informatique? Prononcez-vous

Etes-vous pour ou contre un système d'évaluation des compétences informatiques pour les non informaticiens? Ceux qui ont des réflexions à ce sujet sont invitées à s'exprimer sur le site de son initiateur l'association Top Dev. Chrystel Coassin, président de TopDev a ouvert le débat hier, au cours d'une conférence donnée au ministère de la recherche avec des représentants du Cigref, du Syntec, de la Commission des titres de l'ingénieur (Cti) et des écoles d'ingénieurs.

Il a présenté son projet, la création d'un outil baptisé IS Able qui a pour ambition de servir de « Toefl » de l'informatique, du nom du célèbre questionnaire d'anglais qui permet d'estimer son niveau de langue. Son objet serait de mesurer la capacité d'un ingénieur généraliste à appréhender les problématiques des outils des systèmes d'information et à intégrer des équipes projet où ils seront en interface avec des experts techniques. Il a été pensé en priorité pour des jeunes diplômés afin de mettre en avant leurs compétences. Mais « il intéresse également des entreprises pour accroître le savoir-faire de leurs salariés », explique Chrystel Coassin. Dans cette optique, ce dernier et ses partenaires ont défini quatre axes de connaissances qui pourraient être évalués avec IS Able: la culture des outils informatiques présents sur le marché, la capacité à avoir un rôle de maîtrise d'ouvrage pour le développement d'outils, la connaissance du fonctionnement d'une base de données, la conscience des possibilités permises par l'algorithmique et la programmation.

Ces axes ne sont pas figés. Top Dev prévoit de les enrichir ou de les modifier grâce aux réactions que ce projet va susciter, celles de ses promoteurs et de ses détracteurs. Les premiers, comme par exemple l'un des professeurs de l'Insa Rouen présent à la conférence, voient dans ce dispositif un outil de reconnaissance et de promotion pour les ingénieurs dans l'entreprise. "Il est intéressant qu'un salarié ait les moyens de s'auto-évaluer de manière indépendante pour connaître son niveau, par exemple si il souhaite devenir chef de projet", souligne aussi Frederic Lau, chargé de mission au Cigref. Claude Durand, directeur stratégie et innovation au sein de la SSII Osiatis salue de son côté l'idée d'un outil qui valide la bonne appréhension du rôle de la maîtrise d'ouvrage. Il n'y voit pas une aide au recrutement, mais plutôt à la gestion de compétences, « à condition d'avoir des référentiels métiers communs et transverses à la profession", note-t-il. Il précise à ce sujet qu'il serait d'ailleurs question de créer un référentiel commun entre le Syntec et le Cigref, pour commencer.
Les détracteurs d'IS Able quant à eux sont sceptiques sur la pertinence d'un simple questionnaire pour évaluer les compétences informatique. Ils insistent aussi sur la nécessité de se mettre d'abord d'accord sur un langage commun entre les informaticiens et les opérationnels pour le bâtir puisque le but et de faciliter les échanges entre ces populations. Des représentants d'écoles ont aussi rappelé qu'il était difficile de savoir où commence et où s'arrête les connaissances des systèmes d'information ? Autrement dit comment bien délimiter le périmètre du test. Ce à quoi Chrystel Coassin répond qu'il possède toute l'expérience nécessaire pour répondre à cette question...

IS Able ne verra pas le jour avant 2007. En attendant, ce projet a le mérite de fédérer les acteurs de la formation et de l'accueil de compétences informatiques. Peu d'outils existent s sur le marché français pour leur évaluation. Le distributeur Apsit vient de s'y lancer. Il commercialise la plate-forme de tests de l'américain IKM TechChek destinée à mesurer les compétences d'informaticiens sur des domaines techniques pointus. (...)

(10/04/2006 17:52:59)

L'enregistrement passe au tout électronique chez Air France

A l'image des grandes compagnies américaines, Air France continue sa mutation vers le tout numérique en lançant l'enregistrement électronique. Les détenteurs d'un billet électronique émis par Air France, KLM ou une compagnie de l'alliance SkyTeam, peuvent désormais effectuer leur enregistrement sur Internet, ce qui était déjà possible sur certains vols nationaux. L'impression de la carte d'embarquement peut se faire chez soi ou depuis une borne installée à l'aéroport. Ce service est disponible de 24 heures à 30 minutes avant l'heure limite d'enregistrement. Le système offre également la possibilité de choisir son siège. Pour les passagers ayant des bagages en soute, la compagnie met à disposition des comptoirs de dépose rapide. Ce service devrait éviter les files d'attente. Outre ce gain de temps, ce nouveau service offre plus de souplesse quant aux horaires des avions. En effet, il est désormais possible d'avancer son départ ou de le reculer. Une simple connexion et il sera possible de changer son vol pour le précédent ou le suivant - selon les places et le tarif du billet acquis. Gain de temps, souplesse, Air France espère ainsi faciliter le transport pour ses passagers et leur présenter l'avion comme un moyen de transport aussi banal que le train. (...)

(07/04/2006 12:48:50)

Le .eu s'ouvre aux particuliers dans la confusion

L'ouverture générale officielle du domaine .euaux particuliers devait en principe débuter ce vendredi 7 avril à 11h, avec la possibilité pour tout citoyen ou entreprise de l'union d'enregistrer des noms de domaine utilisant le TLD (top level domain) .eu. Malgré des années de préparation et de tergiversations, le registrar européen ne s'est pas montré à la hauteur des attentes. Ses serveurs d'enregistrement se sont effondrés ce matin sous la charge des milliers de requêtes de noms de domaines, contraignant les dépositaires de noms de domaines au plus absolu bricolage. La règle dit du premier arrivé premier servi n'a en effet aucune utilité lorsqu'il devient impossible d'effectuer une vérification de disponibilité et une demande de domaine. A ce jour 26 436 domaines .eu sont actifs, dont 3833 enregistrés par des sociétés françaises. (...)

(05/04/2006 16:44:15)

Le capital-investissement a le vent en poupe

Selon l'étude annuelle réalisée par l'Association française des investisseurs en capital (Afic) et le cabinet Price Waterhouse Coopers (PWC), le capital-investissement français a établi en 2005 un record avec 8,072 milliards d'euros, en progression de 55,6% par rapport à 2004. Le nombre d'entreprises financées, quant à lui, est presque stable (1 253 contre 1 273 en 2004), et le nombre d'investissements a progressé de 14,3% à 2 072. L'accroissement de l'activité a été porté par de nouveaux dossiers, puisque ceux-ci représentent 85% du montant total et est tiré principalement par le capital transmission et par le rachat d'actions de type LBO (Leveraged Buy Out). Les PME sont les principales bénéficiaires de ces investissements : 88% de ces derniers sont réalisés dans des entreprises de moins de cinq cents salariés (et 70% dans des entreprises de moins de cent salariés). Même si, en valeur, les chiffres diffèrent fortement. Les 1% d'entreprises de plus de cinq mille personnes s'arrogent 15% des montants investis et les entreprises de moins de cinq cents personnes se répartissent 46% des sommes (24% des sommes pour les entreprises de moins de cent personnes). Les entreprises travaillant dans le secteur de l'informatique sont les plus nombreuses (24%), devant la chimie et l'industrie (18%) et le médical et les biotechnologies (15%). Mais en valeur, le secteur de l'informatique n'arrive qu'en cinquième position (8%), derrière la chimie et l'industrie (24%), les biens de consommation (19%), les services et les transports (16%) et les télécommunications (12%). (...)

(05/04/2006 13:18:47)

L'industrie du disque accentue sa pression sur le téléchargement illégal

Nouvelle vague de plaintes pour l'industrie du disque européenne, toujours en lutte contre le téléchargement illégal. Au total, depuis novembre, quelque 2 000 actions en Justice ont été entamé sous l'égide de Ifpi (International Federation of the Phonographic Industry). Cette dernière affine peu à peu sa stratégie judiciaire, demandant désormais à la Justice de procéder à la coupure des accès Internet des contrevenants, notamment ceux offrant leurs bibliothèques musicales en partage. En France, quelque 130 injonctions ont d'ores et déjà été requises, conduisant à la déconnexion de 100 internautes par les FAI. L'Ifpi a mis au point une technologie de recherche des adresse IP opérant des téléchargements afin de pouvoir remonter à la source auprès des FAI. Selon l'Ifpi, ne seraient aujourd'hui concerné par ces poursuites que des internautes ayant téléchargé en volume de manière répétée. (...)

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