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(16/01/2009 17:08:40)

L'édifiant portrait de Marc L, fruit de ses traces numériques

C'est un exercice original et inquiétant auquel se sont livrés les journalistes du Tigre, un bimestriel présenté comme un « curieux magazine curieux ». L'idée : dresser le portrait d'un parfait inconnu à partir d'informations glanées sur le Web. Le sujet - ou plutôt la victime - de ce portait Google est Marc L, un architecte d'intérieur de 29 ans habitant dans l'ouest de la France, utilisateur de réseaux sociaux et autres outils du web 2.0. Des instruments pratiques pour rester en contact avec ses amis mais néanmoins redoutables : en y éparpillant des morceaux de vie privée, les internautes s'exposent à être dépossédés de leur identité numérique. En témoigne ce portrait « violemment impudique » de Marc L, écrit « pour la bonne cause » avec une pointe de sarcasme : « après tout, c'est de ta faute, tu n'avais qu'à faire attention. » L'enquête sur la vie de Marc L débute à partir de quelques photos trouvées sur Flickr. En explorant les quelque 17 000 clichés mis en ligne par le jeune homme, on retrace ses voyages et découvre ses fréquentations et ses centres d'intérêt : séjour au Canada avec Helena et Jose en 2008, groupe de musique monté à la fin des années 1990 puis abandonné en 2002, retrouvailles avec Dom pour la fête de la musique en 2008. « Dom, c'est Dominique F., il est thésard à Bordeaux III », précise le Tigre. Un passage sur Facebook nous apprend que Marc L est hétérosexuel, qu'il a fréquenté Jennifer, puis Claudia, dont les parents vivent boulevard V, à Bordeaux. Claudia travaille avec Lukas au Centre culturel franco-autrichien de la préfecture de Gironde. Les trois amis se voient régulièrement, pour jouer à la pétanque à Arcachon ou « fêter les sous de la CAF », comme le 31 mai dernier. L'histoire avec Jennifer avait duré deux ans. En 2006, les amoureux sont partis en vacances en Bretagne. « Tu avais les cheveux courts à l'époque, ça t'allait moins bien. » La suite de l'article du Tigre regorge de détails sur la vie privée de Marc, que n'importe quel internaute curieux aurait pu dénicher en fouinant sur Google, Youtube, Pagesjaunes, les sites des journaux régionaux, etc. Ce qui est valable pour Marc l'est évidemment pour une multitude d'individus : si certains prennent grand soin de ne pas diffuser des informations personnelles, la plupart se laissent séduire par les outils qu'ils utilisent et éparpillent des pans de leur existence de ci, de là, sans avoir conscience de la facilité avec laquelle il est possible de rassembler les pièces du puzzle. (...)

(16/01/2009 13:10:56)

Le Sénat veut étendre la redevance aux ordinateurs

Le financement de l'audiovisuel public pourrait passer par une augmentation de la redevance, laquelle touchera les possesseurs d'ordinateurs. C'est ce qu'ont décidé les sénateurs, hier, en adoptant l'amendement 38. Le texte, qui vient modifier le code général des impôts, prévoit en effet que la redevance est due « à la condition de détenir un terminal, hors téléphone portable, permettant la réception de la télévision pour l'usage privatif du foyer ». Pour Catherine Morin-Desailly, l'auteur de l'amendement, cette extension coule de source : « Il serait injuste que votre voisin de palier ne paye pas la redevance parce qu'il regarde la télévision sur son ordinateur alors qu'ayant un écran classique, vous la payez. » Une position soutenue par Michel Thiollière, pour lequel « il s'agit d'une mesure d'équité : ceux qui bénéficient des mêmes services doivent contribuer de la même façon à leur financement. » Un amendement qui soulève de nombreux problèmes L'amendement ne manque pourtant pas de soulever des interrogations. Notamment sur le sens du terme « terminal ». Est-il « défini quelque part, dans un dictionnaire ou un document juridique ? Sinon nous serions dans l'embarras », indique le sénateur Yannick Bodin. Autre objection, tous les utilisateurs d'ordinateur n'ont pas nécessairement accès aux chaînes de télévision. C'est notamment le cas pour tous ceux qui n'ont pas souscrit à un abonnement à Internet. Ce que rappelle Bruno Retailleau, en ajoutant que la taxation des ordinateurs « serait un bien mauvais signal » au regard « du faible taux de pénétration [des PC en France], inférieur de 10 à 15% à celui enregistré en Europe du Nord ou en Grande-Bretagne ». Malgré ces arguments et l'avis du gouvernement, les sénateurs ont adopté l'amendement. Ils ont également entériné le principe d'une augmentation de l'assiette de la redevance et précisé qu'elle ne sera acquittée qu'une seule fois par foyer, quel que soit le nombre d'appareils de réception. Ces dispositions sont néanmoins encore loin d'avoir force de loi. Elles innovent en effet par rapport aux termes dans lesquels les députés ont adopté la loi. Il échoira à une commission mixte paritaire, composée de sénateurs et députés, d'élaborer un texte de compromis dans le cadre de la procédure d'examen en urgence décidée par le gouvernement. (...)

(15/01/2009 17:31:07)

L'UE donne le feu vert aux passeports biométriques

Les députés européens donnent leur feu vert à la mise en circulation des passeports biométriques. Hier, les élus du Parlement européen ont approuvé à une large majorité une réglementation autorisant l'inclusion d'un support de stockage numérique dans les passeports des ressortissants des 27 Etats membres. Une photographie et deux empreintes digitales y figureront. L'idée de créer des passeports biométriques s'est imposée après les attentats du 11 septembre 2001. Les partisans de l'apposition des empreintes digitales arguent que celles-ci contribueront à renforcer la sécurité aux frontières, en compliquant la tâche des personnes malintentionnées désireuses de voyager avec un titre falsifié ou volé. Mais cette nouvelle génération de passeports suscite également les craintes des tenants des libertés individuelles. Ils redoutent en premier lieu la création d'un fichier qui recenserait les empreintes digitales de toute la population. Ils s'effraient ensuite de ce que le recours à la biométrie ne produise les effets inverses de ce pour quoi il est pensé. « Il existe un risque que les policiers aux frontières se reposent trop sur la technologie aux dépens des techniques traditionnelles d'identification », explique ainsi le chercheur en sécurité Richard Clayton, de l'Université de Cambridge. Une inviolabilité qui reste à prouver « Avec les passeports actuels, les agents des frontières examinent attentivement les visages des voyageurs. Si, avec un passeport biométrique, la correspondance est établie entre les empreintes digitales stockées sur le document et celles de celui qui s'en prétend le titulaire, il existe alors un risque de voir les éléments 'humains' laissés de côté, comme le comportement des individus : semblent-ils agités, nerveux... », poursuit l'universitaire. Par ailleurs, ajoute-t-il, les empreintes digitales ne constituent pas un élément d'identification infaillible, et risquent donc de poser de sérieux problèmes en cas de faux positif. En 2004, après les attentats de Madrid, un juriste américain, Brandon Mayfield, avait fait les frais de ces erreurs potentielles : ses empreintes correspondaient à celles d'un terroriste suspecté. Il aura fallu attendre que la malheureuse coïncidence soit attestée pour que l'homme soit libéré de prison. En outre, les éléments numériques des passeports stockant des données biométriques ne semblent pas si infaillibles que leurs défenseurs l'affirment. Il n'est qu'à se pencher sur l'exemple des passeports britanniques : cet été, le quotidien The Times a démontré combien il était simple de modifier le contenu de la puce via un système conçu par un expert néerlandais. En ce qui concerne les enfants, les députés européens ont repoussé une proposition de la Commission. Les bambins de moins de douze ans n'auront donc pas l'obligation d'apposer leurs empreintes dactyloscopiques sur leur passeport. Ils ne pourront cependant plus figurer sur le document de leurs parents. Enfin, les personnes dépourvues de mains - et donc d'empreintes - ne seront pas tenues de posséder un passeport biométrique. Elles devront être munies de passeports provisoires, renouvelables tous les ans, si elles souhaitent voyager au-delà de l'espace Schengen. (...)

(15/01/2009 13:24:38)

Nathalie Kosciusko-Morizet succède à Eric Besson contre toute attente

Nombreuses étaient les rumeurs sur le nom du successeur d'Eric Besson au secrétariat d'Etat à l'Economie numérique. Finalement, Nicolas Sarkozy joue la carte de la surprise en nommant Nathalie Kosciusko-Morizet, que personne n'avait pressentie à ce poste. Jusqu'à présent secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, maire de Longjumeau et secrétaire générale adjointe de l'UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet ne s'est jamais fait remarquer par ses prises de position sur quelque sujet concernant l'IT. De fait, son engagement politique s'est invariablement concentré sur les questions environnementales, auxquelles elle affirme s'être intéressée très tôt. Après être passée par Polytechnique, elle intègre en 1999 la direction des relations économiques extérieures, pour travailler sur l'environnement. Le même thème lui permettra de rejoindre le cabinet du Premier ministre Jean-Pierre Raffarin en 2002, au poste de conseillère technique, puis d'intégrer le secrétariat national de l'UMP l'année suivante, et enfin de seconder Jean-Louis Borloo au ministère de l'Ecologie en 2007. En choisissant de placer NKM au secrétariat d'Etat à l'Economie numérique, le chef de l'Etat pourrait logiquement vouloir diriger l'action de ce maroquin vers davantage de Green IT. La soeur de Pierre Kosciusko-Morizet, patron de Priceminister, devra néanmoins se pencher sur les dossiers laissés ouverts par son prédécesseur, Eric Besson. A commencer par la traduction en actions concrètes des mesures contenues dans le plan France numérique 2012. (...)

(15/01/2009 11:03:57)

Le gouvernement inaugure le chantier du (pas très) haut débit pour tous

François Fillon, le Premier ministre, l'avait annoncé lundi, en présentant la mise en oeuvre du plan France numérique 2012 ; c'est désormais chose faite : le gouvernement a posé la première pierre du chantier qui permettra à tous les Français d'accéder à Internet en haut débit d'ici à 2012. Mais, en publiant l'appel à manifestation d'intérêt qui inaugure ce 'haut débit universel', l'exécutif fait preuve de bien peu d'audace. En premier lieu, le gouvernement ne prévoit pas de contribuer financièrement à cette couverture de tous les ménages, en investissant dans le déploiement de nouveaux réseaux par exemple ; il se contentera de délivrer des labels aux offres des FAI (fournisseurs d'accès à Internet) répondant au cahier des charges. Ensuite, les caractéristiques techniques de l'accès haut débit dont pourront bénéficier les populations visées laissent sans voix tant elles sont éloignées de la réalité du Web de 2009 : le débit descendant peut se limiter à 512 kbit/s, contre 96 kbit/s en débit montant. Pire, les FAI auront tout loisir de limiter le volume des données échangées mensuellement à 2 Go en descendant, et 300 Mo en montant. La consultation de vidéos sur Youtube ou toute autre activité gourmande en bande passante ne seront pas au programme des « Français durablement exclus de la société de l'information », dont le gouvernement estime le nombre entre 1 et 2 millions. Et qui paieront au maximum 35 € par mois pour bénéficier d'une offre étiquetée 'haut débit universel'. L'appel à manifestation d'intérêt est ouvert jusqu'au 1er mars. Il vise à identifier les FAI désirant participer au programme gouvernemental et à recueillir leurs observations sur le cahier des charges. (...)

(14/01/2009 16:42:07)

Barack Obama nomme Julius Genachowski à la tête de la FCC

Selon le Wall Street Journal et plusieurs autres publications, Barack Obama devrait nommer à la tête de la FCC (Federal communication commission) son ancien camarade de Harvard et conseiller technologique de campagne, Julius Genachowski. Durant l'administration Clinton, il avait déjà tenu le rôle de conseiller général pour le président de la FCC. Avant de travailler avec Barack Obama, il avait co-fondé deux entreprises de capital risque, LaunchBox Digital et Rock Creek Ventures, et été membre du conseil d'administration de The Motley Fool, Website Pros et Mark Ecko Enterprises. Durant la campagne démocrate, Julius Genachowski a présidé le comité à l'origine du plan sur la technologie et l'innovation et du soutien au principe de neutralité d'Internet cher à Barack Obama. Cependant, même la définition de la neutralité d'Internet reste sujette à controverse. En effet, certains des partisans de cette idée considèrent que toute facturation de la qualité de service par les FAI et les opérateurs représente déjà une forme de discrimination, puisque seuls les plus aisés peuvent prétendre à un accès avec la meilleure bande passante. Les opposants estiment, eux, que le concept de niveau de qualité de service est indispensable pour le multimédia et le contenu télévisuel qui, pour la plupart des internautes, occupent de la bande passante et ralentissent l'accès. Le plan défini par Julius Genachowski s'intéresse à ce type de questions. "Barack Obama soutient le principe de base selon lequel les opérateurs ne devraient pas facturer des services destinés à privilégier le contenu ou les applications de certains sites par rapport à d'autres. » Le programme souhaite aussi encourager une plus grande variété de propriétaires pour les médias en « développant de nouveaux médias et l'expression de différents points de vue ». De plus, le plan soutient la protection de la vie privée par le biais de « restrictions sur la façon dont l'information pourrait être utilisée et d'outils de contrôle de cette utilisation. » (...)

(14/01/2009 14:45:48)

Succession de Besson : Bruno Retailleau pressenti à son tour

Les rumeurs se multiplient autour du nom du futur secrétaire d'Etat à l'Economie numérique. Eric Besson, l'actuel titulaire, est en effet pressenti pour succéder à Brice Hortefeux au ministère de l'Immigration. Après que plusieurs sources ont évoqué les noms de Frédéric Lefebvre ou de Patrick Devedjian pour le remplacer, le Figaro affirme que Bruno Retailleau pourrait finalement être nommé. Présenté par Philippe de Villiers comme son « fils spirituel », l'intéressé est actuellement sénateur de la Vendée. Sa nomination répondrait à la volonté de Nicolas Sarkozy de poursuivre ses démarches d'ouverture, en se concentrant cette fois sur la droite de l'échiquier politique. La prise en charge du secrétariat d'Etat par Bruno Retailleau serait finalement assez peu surprenante, eu égard aux travaux menés par le sénateur sur le terrain de l'IT. Rapporteur lors de l'examen de la loi Création et Hadopi, il avait notamment défendu le remplacement de la suspension de l'abonnement à Internet par une amende et avait souligné le caractère déséquilibré du projet législatif, jugé trop répressif. Il était également à l'origine d'un amendement imposant à l'Hadopi de ne s'en prendre qu'aux internautes dont les agissements illicites auraient été préalablement prouvés. Bruno Retailleau s'était en outre illustré pendant les débats entourant la Dadvsi en stigmatisant les aspects du texte défavorables à l'interopérabilité et au logiciel libre. (...)

(12/01/2009 17:57:15)

Plan numérique 2012 : Internet pour tous et 4e licence 3G au programme

Les mesures du plan France numérique 2012 concocté par Eric Besson s'apprêtent à voir concrètement le jour. C'est ce qu'a indiqué ce matin le Premier ministre, François Fillon, à l'occasion d'une conférence de presse qu'il a tenue en compagnie de son secrétaire d'Etat à l'économie numérique. Maintes fois appelé de ses voeux par Nicolas Sarkozy, le haut débit pour tous devrait être une réalité « avant le 1er janvier 2010 ». L'objectif de cette mesure est d'offrir à « tous les Français, pour 35 € par mois maximum matériel compris » un accès à Internet en haut débit, c'est-à-dire à 512 kbit/s. Le Premier ministre n'a pas communiqué de budget pour cette opération, se contentant de souligner « la contribution essentielle des collectivités territoriales » à ce dossier. Les collectivités sont donc invitées à répondre à l'appel à manifestation d'intérêt lancé aujourd'hui, qui vise à ce que soit labellisé le concept « d'Internet haut débit universel » afin d'en donner une définition et d'en organiser la mise en oeuvre. Au final, les questions d'ordre technique devront être totalement inhérentes aux opérateurs, qui choisiront librement les technologies utilisées (xDSL, 3G, satellite...). Un choix qui ne devra pas affecter les utilisateurs. Du côté de la fibre optique, le gouvernement souhaite une « accélération du déploiement » et précise son rôle : « avant tout, créer les règles du jeu ». L'exécutif a donc chargé l'Arcep de mettre en place un cadre réglementaire avant la fin de l'été, permettant ce déploiement rapide. L'équipe gouvernementale publiera, de son côté, les décrets permettant la mise en oeuvre des mesures de la Loi de modernisation de l'économie relatives à la fibre optique, notamment le fibrage de tous les bâtiments neufs. Sur ce dossier, les collectivités locales sont également incitées à s'engager activement. Pour cela, la Caisse des dépôts devra réfléchir sur la création d'un outil de financement autorisant l'investissement minoritaire des collectivités dans les projets de déploiement sur leur territoire. La 4e licence 3G voit enfin le jour [[page]] François Fillon a consacré quelques mots à la future télévision mobile personnelle - une mission sera prochainement attribuée à une personnalité pas encore choisie qui sera chargée de définir le modèle économique - et à l'arrêt de la télévision analogique - fixé au 30 novembre 2011. Toutefois, la principale annonce faite ce matin concernait la création d'une quatrième licence 3G. Avant la fin du mois de février, l'Arcep lancera ainsi une consultation préalable à un appel à candidature pour trois lots de 5 MHz, sur la bande 2,1 GHz. Deux lots pourront être attribués à n'importe quel opérateur, le troisième étant réservé à un nouvel entrant. Si jamais un candidat se fait connaître. Iliad réitère régulièrement sa volonté d'entrer sur le marché de la 3G ; il pourrait toutefois voir ses ardeurs refroidies par l'étroitesse de la plage de fréquences proposées. Les lots de 5 MHz ne permettent en effet pas de rivaliser, en termes de couverture, avec les trois opérateurs (Bouygues, SFR et Orange) disposant aujourd'hui de licences 3G. Lesquels ont en plus récemment obtenu le droit de réutiliser certaines fréquences libérées, notamment, par le basculement de la télévision analogique vers la TNT, et peuvent également compter sur les deux premiers lots qui feront l'objet d'un appel d'offres pour accroître encre leur couverture. Pas de successeur désigné pour Eric Besson Enfin, beaucoup d'observateurs attendaient que soit annoncé le nom du successeur d'Eric Besson, pressenti pour remplacer Brice Hortefeux. Certains noms circulent - on pense notamment à Frédéric Lefebvre ; de son côté, Claude Guéant, a laissé entendre que les attributions du secrétaire d'Etat à l'Economie numérique pourraient être réparties entre plusieurs ministères. Pluie de rumeurs donc, mais pas d'annonce sur ce point. François Fillon s'est contenté de « remercier encore une fois le secrétaire d'Etat » et de souligner « qu'à force de le remercier, tout le monde en tire des conclusions sur lesquelles je n'aurai pas l'occasion de m'exprimer. » Une seule chose semble certaine selon le Premier ministre : le secrétariat d'Etat à l'Economie numérique est « indispensable » et n'a pas vocation à disparaître moins d'un an après avoir été créé. (...)

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