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Société
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(30/09/2008 10:15:45)
Semestriels : SQLI a réalisé 15% de croissance organique
C'est un premier semestre faste qu'a réalisé SQLI. Le chiffre d'affaires se monte à 80,3 M€ contre 55,7 pour les six premiers mois de l'exercice 2007. La croissance est en fait de 15% en organique et de 44% en tenant compte des acquisitions. Le résultat net est toutefois décevant, puisqu'il perd 45 points, à 2,1 M€ (contre 3,8 M€ un an plus tôt). Le groupe s'est spécialisé sur les solutions SAP, il a également mis en place une stratégie offshore. Deux éléments qui expliquent selon lui ses bons résultats. Il a ainsi modifié la répartition de ses activités, passant de 90% d'ingénierie et 10% de conseil à 60/40, toujours en faveur de l'ingénierie. (...)
(29/09/2008 12:32:16)L'Hadopi compte sur les finances publiques... et les FAI
Le ministère de la Culture vient de détailler les chiffres clés de son budget pour 2009, qui s'attarde notamment sur les modalités de mise en oeuvre de la future loi Internet et Création. Destiné à faire respecter les droits des acteurs de l'industrie culturelle, le texte s'appuiera sur un financement public de 6,7 M€. Rappelons que la loi Création et Internet prévoit des mesures destinées à lutter contre le téléchargement illégal de contenus soumis au droit d'auteur. Les internautes s'adonnant à une telle pratique pourront voir, après plusieurs avertissements, leur abonnement à un FAI suspendu ou résilié. Un mécanisme plus connu sous le nom de riposte graduée, contre lequel se sont exprimés récemment les députés européens. Une autorité administrative, l'Hadopi (Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet), sera chargée d'orchestrer l'ensemble du dispositif. Ayants droit et FAI appelés à mettre la main à la poche A cette fin, le budget 2009 prévoit une enveloppe de 6,7 M€ pour le fonctionnement de l'instance. L'outil de lutte contre « le pillage des oeuvres musicales, cinématographiques et audiovisuelles sur les réseaux numériques » reposera donc sur les finances publiques. Ce qui n'exclut pas une participation d'acteurs privés. Le budget compte ainsi sur les ayants droit pour mettre la main à la poche afin de repérer et signaler les actes de piratage. Logique, quand on considère qu'ils seront les premiers bénéficiaires de la lutte contre le téléchargement illégal. Ce qui coule moins de source, en revanche, est le volet concernant les fournisseurs d'accès. La rue de Valois envisage en effet de leur faire supporter le coût d'identification des internautes indélicats, sans faire mention d'une éventuelle indemnisation ultérieure. Il est peu probable que les FAI apprécient d'être sollicités de la sorte. On se souvient, qu'en juillet dernier, ils avaient déjà fait part de leurs doutes en s'inquiétant de ce que « le projet reste muet quant à la prise en charge financière des frais supportés par les opérateurs ». (...)
(26/09/2008 14:53:45)Annuels : Accenture fait fi de la crise avec un bénéfice qui s'envole
La société de conseil informatique américaine Accenture a publié des résultats annuels en forte progression : le chiffre d'affaires gagne 19% à 23,39 Md$ et le bénéfice net s'envole de 36% à 1,7 Md$. Le revenu opérationnel s'établit quant à lui à 3,01 Md$, en hausse de 21%. Dans un communiqué, le PDG d'Accenture William Green s'est félicité de la solidité de ces résultats, « surtout dans des conditions économiques difficiles ». La zone Europe, Moyen-Orient et Afrique génère près de la moitié du chiffre d'affaires d'Accenture, où il enregistre une progression de 21% contre 26% en Asie-Pacifique, et seulement 15% aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. Par pôles d'activité, le conseil représente 55% du CA et l'externalisation 45%. L'IAOP (association internationale des professionnels de l'outsourcing) a d'ailleurs placé Accenture en tête de son classement annuel des 100 meilleures sociétés de l'externalisation, détrônant ainsi IBM. Accenture emploie plus de 186 000 salariés répartis dans 49 pays. (...)
(26/09/2008 12:52:40)Riposte graduée : Viviane Reding veut interdire l'amendement Bono
L'adoption par le Parlement européen d'un amendement qui s'oppose au principe de la riposte graduée, tel que le projet de loi français Création et Internet l'envisage, suscite des réactions courroucées. L'exécutif européen et la majorité parlementaire française font ainsi part de leurs inquiétudes et vilipendent les eurodéputés socialistes - et plus largement, le PS - accusés de vouloir nuire aux acteurs de la culture. Alors que l'amendement Bono-Cohn Bendit vient d'être adopté à une écrasante majorité par les eurodéputés, la réaction immédiate de Christine Albanel, la ministre de la Culture, consiste à afficher une sérénité teintée d'agacement. D'un côté, la locataire de la rue Valois regrette « l'acharnement » de Guy Bono ; de l'autre, elle assure que l'amendement ne remet pas en cause le projet de loi qu'elle prépare. Applaudissements nourris des sociétés d'auteurs et autres industriels de la culture - ARP et SACD en tête - qui voient dans l'amendement « un recul pour le développement des mécanismes extrajudiciaires des litiges ». Dans la foulée, l'exécutif européen s'empare de l'affaire : Viviane Reding, la Commissaire à la Société de l'information, vole au secours de Christine Albanel et annonce tout de go qu'elle rejetterait l'amendement honni. Réaction horrifiée de Guy Bono : « les propos de Mme Reding ne font qu'empirer l'image de la commission européenne caractérisée par son déficit démocratique. » Rappelons que 573 députés européens ont approuvé l'amendement, contre 74 qui s'y sont opposés. L'UMP dénonce les socialistes français [[page]]Les remous provoqués par cette affaire agitent également l'esquif UMP. Dans un communiqué, le parti présidentiel s'emporte contre le vote des parlementaires européens et se demande « pourquoi tant d'acharnement du Parti Socialiste français contre les auteurs, compositeurs et plus généralement créateurs français ? » Rappelons que 573 députés européens ont approuvé l'amendement, contre 74 qui s'y sont opposés. Les députés socialistes ne sont donc pas les seuls à avoir voté le texte. Et face à cette fronde européenne qui enfle, l'UMP commence à craindre que le projet de loi Création et Internet ne soit compromis par des débats parlementaires sans fin et ne mobilise une opinion publique déjà sur les nerfs après l'épisode Edvige. Par conséquent, l'UMP presse le gouvernement « d'inscrire en urgence le texte [...] à l'ordre du jour du Parlement ». Si cette inscription tardait à intervenir, le parti majoritaire « souhaite que la réforme des institutions soit mise à profit pour [incorporer le projet de loi Création et Internet] dans le cadre de l'ordre du jour réservé au Parlement. » (...)
(26/09/2008 12:32:39)Google crée un site pour expliquer l'accord avec Yahoo
Afin de balayer les confusions et les interrogations concernant l'accord publicitaire passé en juin dernier avec Yahoo, Google a lancé un site où il détaille les termes de l'alliance. La transaction n'est pas une fusion, elle n'empêche pas Yahoo de nouer des partenariats avec d'autres sociétés et en aucun cas elle n'est synonyme de prise de participation de Google dans le capital de Yahoo, peut-on y lire. On y trouve également une présentation visuelle des futures pages de Yahoo intégrant les publicités sélectionnées par Google, un question/réponse et quelques vidéos de dirigeants défendant bec et ongles le bien-fondé du partenariat. « Cette entente est bénéfique pour les consommateurs, les annonceurs et les éditeurs », affirme Google. Google ne manque pas de mettre délicatement les points sur les i en ce qui concerne Microsoft et ses manoeuvres pour faire échouer l'accord avec Yahoo. Mais Google ne se mouille pas : il se contente de citer des articles parus dans quelques magazines fleurons de la presse américaine. Deux semaines avant la mise en application de l'accord, Google a donc décidé de mettre les bouchées doubles pour défendre son bébé. Il y a quelques jours, Hal Varian , économiste en chef de la société, puis son PDG, Eric Schmidt, sont tous deux montés au créneau pour plaider en faveur de l'alliance avec Yahoo. Cet accord a en effet soulevé les protestations d'autres acteurs du Web et poussé les autorités américaine puis européenne à en disséquer les termes, afin de vérifier qu'il ne portait pas atteinte au droit de la concurrence. (...)
(26/09/2008 12:13:20)Nicolas Sarkozy étendra progressivement le bonus-malus écologique
« Utiliser la fiscalité pour relever le défi écologique, c'est indispensable », a affirmé Nicolas Sarkozy hier soir, à l'occasion de son discours de Toulon sur la crise financière internationale. Il a sans nul doute rassuré ceux qui ont cru le bonus-malus écologique perdu pour toujours. Le président de la République a rappelé que 500 000 bonus sur l'automobile avaient déjà été distribués en 8 mois et qu'il croyait au dispositif. « Ce système extrêmement incitatif du bonus-malus, qui permet de gagner des années dans le changement des modes de consommation, sera étendu à d'autres produits, a confirmé Nicolas Sarkozy dans son discours. Cette extension se fera dans la concertation. Elle se fera progressivement. Mais elle se fera. J'en prends l'engagement. » Le président de la République a néanmoins exclu tout renchérissement des produits de grande consommation, dans une période où les Français sont particulièrement inquiets pour leur pouvoir d'achat. Le président demande un groupe de travail sur le sujet Vendredi 19 septembre, Nicolas Sarkozy avait convoqué le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, et sa secrétaire d'Etat Nathalie Kosciusko-Morizet, avec Eric Woerth, ministre du Budget, pour éteindre les querelles sur le sujet. Le président de la République avait alors réclamé un groupe de travail pour étudier une extension du bonus-malus. Parmi les produits qui pourraient être concernés, Jean-Louis Borloo s'était intéressé, entre autres, aux biens électroniques et informatiques. (...)
(26/09/2008 11:19:43)La Cnil refuse le recours aux empreintes digitales dans les établissements scolaires
Le contour de la main pour accéder à la cantine, oui. L'empreinte digitale pour entrer dans un établissement scolaire, non. Dans une décision rendue publique hier, la Cnil vient de préciser sa doctrine en matière d'utilisation des procédés biométriques dans les écoles. La Commission nationale informatique et libertés a en effet refusé que soient utilisés des dispositifs recourant aux empreintes digitales pour contrôler l'accès et la présence des élèves dans les établissements scolaires. La Cnil motive son refus de deux façons. D'abord, elle juge qu'un tel dispositif ne devrait être utilisé qu'en cas « d'un fort impératif de sécurité ». Or, dit l'organisme, « le contrôle d'accès à un lycée ainsi que le contrôle de présence des élèves n'ont pas pour objet de sécuriser l'accès d'un nombre limité de personnes à une zone bien déterminée, représentant un enjeu majeur dépassant l'intérêt strict de l'organisme ». Un risque d'usurpation d'identité existe Ensuite, la Cnil considère que l'empreinte digitale est une donnée biométrique « à trace ». Autrement dit, chacun laisse des empreintes sur tous les objets de la vie courante. Celles-ci constituent autant de traces qui « peuvent être capturées à l'insu des personnes et être utilisées notamment pour usurper leur identité. C'est pourquoi leur utilisation doit être strictement limitée et encadrée ». Il y a deux ans, la Cnil avait bien autorisé l'usage de la biométrie dans les écoles, mais il s'agissait de contrôler l'accès à la cantine - pour le processus de paiement - et la donnée biométrique utilisée était le contour de la main. Un élément beaucoup plus difficile à capturer, et qui change d'une année sur l'autre. La Cnil avait d'ailleurs exigé, à l'époque, que les données biométriques soient effacées à la fin de chaque année scolaire. (...)
(26/09/2008 09:31:46)Eric Besson a remis le Lutèce d'Or du meilleur projet Libre à OpenOffice
La fondation Gnome, OpenOffice, l'April et la Région Ile de France sont parmi les projets, associations ou collectivités qui ont été récompensés cette année par les Lutèces d'Or, remis à l'occasion de la manifestation Paris Capitale du Libre.
La cérémonie s'est déroulée lors d'un dîner mercredi soir, en présence d'Eric Besson, secrétaire d'Etat au développement de l'Economie numérique. Avant d'inaugurer la cérémonie, Eric Besson nous a accordé une interview exclusive où il nous a expliqué comment son travail s'insérait dans la politique générale du gouvernement et les raisons qui l'ont poussé à venir à Paris Capitale du Libre. Il estime qu'il faut donner davantage de visibilité aux logiciels libres, mais s'empresse de préciser que sa démarche n'exclue pas les logiciels propriétaires : « le logiciel libre et les logiciels propriétaires ne s'opposent plus les uns aux autres, ils sont devenus complémentaires, une espèce d'hybridation qu'il faut saluer. »
L'interview exclusive d'Eric Besson en vidéo
Les Lutèces d'Or ont ensuite été remis en présence du secrétaire d'Etat. Ces prix annuels récompensent des projets, des personnes ou des communautés pour leur contribution exceptionnelle au Logiciel Libre.
Le palmarès des Lutèces d'Or 2008
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Cette année, ont été récompensés :
- Meilleure action communautaire menée : Le programme « GNOME Outreach Program: Accessibility » de la Fondation Gnome qui vise à la meilleure prise en compte de la problématique de l'accessibilité dans les projets Open Source. Les autres nominés étaient OW2 et Sésamath.
- Meilleure action de promotion du Libre menée : l'association Veni, Vidi, Libri a pour objectif de promouvoir les licences libres en menant des actions de sensibilisation et des formations juridiques sur ces licences auprès des auteurs de logiciels. Les autres nominés étaient l'Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines et Expolibre/Apitux.
- Meilleur projet de développement libre réalisé : La « poule ou l'oeuf » est le premier moteur de créations de livres en ligne. Les autres nominés étaient Sensio Labs pour le Projet Symfony et Talend Open Studio.
- Meilleur projet du Libre réalisé par une collectivité locale ou un centre hospitalier : l'association « Les enfants @ l'hôpital » pour Kolibri, une plateforme de travail partagé, libre, qui favorise en particulier des dialogues entre des « hommes remarquables » (explorateurs et savants) et les enfants malades et handicapés hospitalisés en France (3 000 à ce jour). Les autres nominés étaient Projet Liberaccès et la Mairie de Rueil Malmaison.
- Meilleur projet Libre réalisé par une administration ou une collectivité publique : Météo France pour son site Web, l'un des plus visités de France, entièrement en technologies libres. Les autres nominés étaient le Projet Plume et Promotée « Clé en main » par Legta des Eméyères.
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- Meilleur projet Libre réalisé par une PMI-PME : l'implantation d'ERP 5 Express par 3 Plus. Les autres nominés étaient France 24 et Sensio Labs pour le framework PHP « Symfony ».
- Meilleur projet Libre réalisé par un grand groupe : la forge logicielle Codendi de Xerox. Les autres nominés étaient les projets Phenix de France Telecom et Solipsis d'Orange Labs.
- Meilleur projet Libre réalisé au niveau mondial : OpenOffice, qui a également gagné largement le prix de l'applaudimètre de la soirée. Ce prix a été remis par Eric Besson. Les autres nominés étaient OpenSuse build service et Lyx - The document processor.
- Meilleure stratégie logiciel libre mise en oeuvre : Mairie de Rueil Malmaison. Les autres nominés étaient : France Telecom pour le projet « Phenix » et Atos Origin SMO.
- Lutèce de la personnalité de l'année : Bdale Garbee, directeur technique mondial Logiciel Libre et Linux chez HP, responsable de la stratégie Open Source du constructeur aux Etats-Unis.
- Prix Spécial du Jury : il a été remis à l'April, qui a su devenir une structure de promotion du Logiciel Libre particulièrement active et efficace.
- Grand prix du jury : il a été remis à la Région Ile de France. (...)
OpenWorld : pas de progiciel Fusion avant 2010
Avec un middleware Fusion qui vient à peine d'être redéfini et après le rachat de BEA, il était clair que la refonte de l'offre progicielle prendrait un peu plus de temps que prévu. Un dirigeant d'Oracle l'a confirmé, au cours d'une session de questions-réponses avec la presse durant OpenWorld, la conférence utilisateurs de l'éditeur à San Francisco. Steve Miranda, vice-président senior responsable du développement des applicatifs Fusion, a prévenu que la première suite estampillée Fusion Applications ne sortirait pas avant 2010. « Nous commencerons avec les premiers clients à la fin de l'année prochaine, et nous comptons être très, très prudents quant à la date de disponibilité générale », a expliqué Steve Miranda. L'objectif, constamment répété, est d'atteindre un niveau de qualité irréprochable. Toutefois, cela n'empêche pas Oracle de livrer au compte-gouttes quelques modules applicatifs Fusion. Steve Miranda a ainsi présenté un logiciel de gestion de projet, et précisé que des outils de gestion des ressources humaines et de gestion financière devraient voir le jour avant la fin de l'année. Les fonctionnalités de tous les progiciels Oracle exposés pour une SOA [[page]] A terme, les applications Fusion proposeront sous forme de modules l'ensemble des fonctionnalités offertes par les progiciels d'Oracle, qu'il s'agisse de son offre historique ou de produits venant de Siebel, Peoplesoft ou JD Edwards. Le tout pourra être déployé sur un middleware ouvert, l'idée étant de proposer une architecture progicielle conforme aux canons des architectures orientées services (SOA). Tout comme SAP a réarchitecturé son progiciel pour lui donner une orientation services, et acheté Business Objects pour le teinter de BI (Business intelligence, ou décisionnel), Steve Miranda a également précisé que les fonctions décisionnelles seraient omniprésentes dans tous les modules de l'offre Fusion : « Dans chaque transaction, il y a des informations nécessaires aux utilisateurs métier pour leurs prises de décision. Et il ne s'agit pas d'informations venant après les événements, mais de faits venant éclairer directement ce qu'il faut faire dans la transaction en cours. » Jusqu'à présent, d'après une présentation de Steve Miranda, ce seraient 700 clients qui auraient participé depuis trois ans à la mise au point de Fusion Applications. Parmi eux, des sociétés comme FedEx, Coca-Cola, Kodak, Sears ou Toshiba. (...)
(25/09/2008 14:43:17)Seagate filialise ses activités de services autour du stockage
Seagate, numéro un mondial des disques durs, crée i365, une filiale dans laquelle il regroupe toutes ses activités ayant trait aux services associés au stockage. i365, dont le nom fait allusion à une fiabilité 365 jours / 365, rassemble les activités résultat des rachats réalisés par Seagate au cours des deux dernières années : EVault (sauvegarde à distance), MetaLINCS (spécialiste de la recherche de preuves) et Seagate Recovery Services (ActionFront). i365 s'adresse en priorité aux PME, et Seagate lui prédit à un bel avenir : les activités regroupées dans i365 croissent de 39% par an, soit mieux que le créneau des services en ligne concernés (+12,6%, selon IDC) et de la sauvegarde en ligne (+38%). (...)
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