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(09/06/2008 12:54:08)

Forrester : Les consommateurs français de plus en plus influencés par Internet

Dans une étude datée du 29 mai, Forrester analyse l'influence d'Internet sur les consommateurs français et montre l'importance prise par ce canal par rapport aux autres médias (télévision, radio, journaux...). D'évidence, le Net doit être inclus dans les actions de marketing des entreprises, mais elle doivent le combiner judicieusement avec les autres canaux d'informations, toujours bien ancrés. Elles doivent adapter leur approche aux différentes catégories de produits et de consommateurs visés. Même quand les achats ne sont pas finalisés en ligne, Internet sert d'appui aux consommateurs pour développer leur connaissance des marques, comparer les produits, s'informer sur la satisfaction des autres acheteurs. La photographie de groupe prise par Forrester remonte déjà à un an. La tendance s'est sans doute renforcée depuis. 3 929 Français ont été interrogés au deuxième trimestre 2007, dans le cadre d'une enquête européenne menée avec TNS sur 24 808 consommateurs de plus de 16 ans (outre la France, l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie, les Pays-Bas, la Pologne, le Royaume-Uni et la Suède ont été scrutés). En France, 55% de ces consommateurs se connectent à Internet (80% d'entre eux surfant en haut débit), soit une progression de 10% par rapport à 2004. Cette proportion reste moins élevée que la moyenne européenne (61%) mais, précise Forrester, elle n'indique en rien une maturité moindre des internautes de l'Hexagone. Le cabinet d'études a au contraire détecté une utilisation plutôt sophistiquée du Net par les acheteurs français que l'on doit à la pénétration des connexions haut débit sur l'Hexagone. Une action à mener profil par profil Dans son enquête, Forrester dresse le portrait de trois consommateurs-types, entre 30 et 40 ans. L'un enrichit son portefeuille d'actions, l'autre recherche sa première crème anti-rides et le troisième, fan d'électronique grand public au budget confortable, est en quête du dernier modèle d'écran plasma. Forrester montre comment chacun d'eux s'informe et panache sa quête de renseignements (Internet, radio, magazines, centre d'appels, contact direct en boutique...). Un zapping que doivent maîtriser ceux qui cherchent à capter leur attention (en l'occurrence une banque, un fabricant de cosmétiques et un fournisseur de produits électroniques). Les données recueillies par Forrester montrent qu'Internet continue à grignoter sur les autres médias. Seule la télévision tire toujours son épingle du jeu. [[page]]En moyenne, en 2007, les consommateurs français qui surfent consacrent 10 heures par semaine à cette activité, soit presque une heure et demie de plus qu'en 2004. L'écart se réduit avec la télévision qui se voit toujours consacrer 12 heures par semaine. Et il se creuse un peu plus avec les autres médias : radio (7,2 heures), magazines (1,7 heures) et journaux (1,4 heures contre 1,7 heures en 2004). Des différences s'opèrent suivant les tranches d'âge. Comme les autres jeunes européens, les consommateurs français de 16 à 25 ans sont nombreux en ligne (87%) et ils y passent autant de temps que devant leur téléviseur. Plus globalement, les moins de 45 ans sont à 80% sur Internet, qu'ils privilégient à la radio entre 25 et 35 ans. Il n'y a guère que les plus de 65 ans qui mettent Internet au bas de leur liste, derrière les journaux. 49% de consommateurs français ont une activité « sociale » sur le Net Forrester conseille donc aux annonceurs d'analyser en profondeur, produit par produit (de la voiture à la savonnette) la façon dont l'audience visée se comporte vis-à-vis des différents médias avant d'établir leur budget de publicité. Le cabinet rappelle que le fait que les Français surfent en moyenne moins que les autres européens ne reflète en rien une maturité moindre sur ce terrain. A cet égard, il souligne que plus de 40% des consommateurs français connectés sont impliqués dans au moins une activité sociale en ligne (lecture de blogs, inscription sur un réseau, consultation de vidéos sur YouTube...). Le cabinet enjoint les annonceurs à découvrir ce que font exactement leurs clients sur Internet pour mieux les atteindre. Enfin, dans la perspective de la suppression de la publicité sur les télévisions publiques (programmée par le président de la République, Nicolas Sarkozy), Forrester suggère aux annonceurs de réallouer judicieusement ces budgets en ligne pour augmenter la visibilité des marques. (...)

(06/06/2008 14:53:27)

Deux mafias derrière 95% des attaques par pourriels personnalisés

Une enquête conduite par Verisign démontre encore une fois que le piratage sur Internet est désormais entre les mains du crime organisé. Après être remontée à la source de 66 ces attaques ciblées d'hameçonnage par courriel (ou 'phishing') sur un an, la société affirme que deux mafias sont derrière 95% de ce type d'attaque. Contrairement aux pourriels de masse, l'hameçonnage ciblé utilise des informations personnelles pour mieux circonvenir la victime. Le but est d'induire un comportement dangereux pour la sécurité du destinataire : pièce jointe piégée, accès à un site dangereux. Les pirates cherchent à ouvrir une 'back door' sur la machine attaquée. Verisign estime que ces deux associations auraient fait 15 000 victimes au cours de 15 derniers mois. Depuis avril, l'alarmante recrudescence de ce type d'attaque montre que les pirates possèdent désormais une dangereuse expertise. Une convention sur la cybercriminalité très peu prisée des Etats En avril dernier, un courriel annonçant une inculpation fut envoyé à des cadres dirigeants. Ce fut, paraît-il, un succès. En mai, 2 000 personnes ont reçu un courriel supposé provenir de différents services fiscaux américains... L'ampleur de la menace des pourriels est jugée telle que l'OCDE appelle ses pays membres à s'unir pour la contrer. L'organisme déplore un manque de coordination dont profitent les pirates. De son côté le Conseil de l'Europe propose une Convention sur la cybercriminalité depuis 2001. En Europe, des pays comme la Russie, la Grande-Bretagne, l'Allemagne et la Suisse ne l'ont toujours ni signée ni ratifiée. Ailleurs, le Canada et le Japon sont aussi dans ce cas. Son principal objectif est de poursuivre "une politique pénale commune destinée à protéger la société contre le cybercrime, notamment par l'adoption d'une législation appropriée et la stimulation de la coopération internationale". (...)

(06/06/2008 14:46:59)

Les foyers français consacrent 113 euros par mois aux services TIC

Chaque mois, les foyers français consacrent 113 € ttc aux services TIC. La facture mobile pèse à elle seule près de la moitié de ce budget. L'Idate, qui a interrogé 1000 foyers sur leur comportement en matière de services TIC, prédit même que cette part devrait légèrement augmenter avec le développement des services de données. Le reste profite de plus en plus à l'accès Internet et à la télévision payante au détriment des communications fixes. L'Idate accuse le téléchargement illégal d'être responsable de la "dévalorisation" des marchés de la vidéo et de la musique. Pour ces deux marchés, l'institut prédit des changements de distribution. Ce budget n'augmentera que de 1,8% par an pour atteindre 121€ en 2011. (...)

(06/06/2008 13:18:23)

Le bonus-malus écologique étendu à l'IT dans les mois qui viennent

Dans une interview accordée hier aux Echos, le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo a expliqué que le système de bonus-malus écologique mis en place pour les véhicules serait étendu d'ici à la fin de l'année dans une vingtaine de « familles de produits dans lesquelles les produits vertueux auront un avantage de prix par rapport aux produits les moins vertueux ». Parmi ces familles, les produits électroniques et informatiques devraient être concernés. Pour rappel, alors que les acheteurs de véhicules considérés comme peu polluants bénéficient d'une aide de l'Etat, ceux qui optent pour les véhicules dits polluants doivent s'acquitter d'une taxe. Le ministre a ainsi déclaré à nos confrères : « Si nous imposons un tel système sur les appareils électroniques, les consommateurs seront tentés de s'orienter rapidement vers les appareils moins énergivores. » Réticent à donner une liste des équipements visés, pour ne pas perturber le marché tant que le texte de loi n'est pas prêt, Jean-Louis Borloo a toutefois précisé que les écrans plats, qu'il qualifie d' « hyper-énergivores » feront partie de la liste dès 2009. (...)

(05/06/2008 10:18:23)

Paris offre un supercalculateur de 147 Tflop au Cines

La France et l'Europe fourbissent leurs armes pour devenir des acteurs de poids sur la scène des supercalculateurs. A l'occasion des journées Ter@tec sur le calcul haute performance, au Génocentre d'Evry, Valérie Pécresse, la ministre de la Recherche, a ainsi annoncé l'acquisition d'un cluster destiné au Cines, le Centre informatique national de l'enseignement supérieur, à Montpellier. D'une puissance de 147 teraflops - soit 147 000 milliards d'opérations en virgule flottante par seconde - le supercalculateur a coûté 9 M€ à l'Etat et devrait, selon la ministre, porter à 470 Tflop la capacité de calcul de la recherche académique. Une puissance atteinte notamment grâce aux améliorations apportées aux clusters installés au sein du CEA, du CCRT (Centre de calcul recherche technologie), de l'Idris (Institut du développement et des ressources en informatique scientifique) et du CNRS. Avec ses 147 Tflop, le supercalculateur du Cines se classe en 3e position du classement Top 500, qui recense les machines les plus puissantes du monde. Sur la première marche du podium, l'indéboulonnable Blue Gene d'IBM trône depuis 2004 et affiche une capacité de 478 Tflop. Ce chiffre risque cependant d'être prochainement balayé, après que Roadrunner aura pris son service. Lui aussi mis au point par IBM, ce cluster devrait être le premier de l'histoire à franchir le cap du petaflop. Une capacité impressionnante qui doit constituer, selon Valérie Pécresse, la prochaine étape à atteindre pour la France. Ou plutôt pour l'Europe, car un Etat isolé n'y parviendra pas. Une coopération internationale indispensable C'est pourquoi, 14 pays européens, dont la France, l'Allemagne, les Pays-Bas, l'Espagne et le Royaume-Uni, mettent en commun leurs efforts à travers le programme Prace (Partnership for advanced computing in Europe). Leur but : créer trois à cinq supercalculateurs d'une capacité minimum d'un petaflop en Europe. Doté par Bruxelles d'une enveloppe de 40 M€, Prace devra trouver d'importantes sources de financement pour atteindre ses fins. Les coûts de fonctionnement d'une installation petaflopique s'élèvent en effet entre 100 M€ et 200 M€ par an, selon Achim Bachem, du centre de recherche allemand de Jülich. Et il faut compter sur environ deux fois cette somme pour la construction. Le jeu en vaut la chandelle, si l'on s'en tient aux propos de Viviane Reding, la Commissaire à la Société de l'information, selon laquelle « les supercalculateurs sont les cathédrale de la science moderne, des outils essentiels pour repousser les frontières de la recherche au service de la prospérité et de la croissance européennes ». (...)

(04/06/2008 18:09:20)

Le Forum des droits sur l'Internet livre ses 7 ans de réflexion

Isabelle Falque-Pierrotin, notamment présidente du Forum des Droits sur l'Internet (FDI), a remis ce matin, 4 juin 2008, le rapport d'activité 2007 de cette association un peu particulière au secrétaire d'Etat Eric Besson. Celui-ci a félicité le FDI - qui fête ses 7 ans d'existence - pour son action autour de ses trois missions : organiser la concertation afin de dégager des bonnes pratiques pour les professionnels et un consensus guidant les décisions publiques ; informer et sensibiliser le public (le secrétaire d'Etat est ainsi un utilisateur satisfait du nouveau portail du FDI) ; et enfin gérer une plate-forme de médiation en ligne entre des consommateurs et des professionnels (opérateurs télécoms, cybermarchands...) où 87% des 4 000 demandes annuelles sont résolues. L'outil développé pour la plate-forme du FDI devrait d'ailleurs être mutualisé avec d'autres organismes devant s'occuper de médiation. Cependant, la création du futur Conseil National du Numérique, discutée en ce moment durant les Assises du Numérique, pourrait condamner le FDI en le fusionnant dans un vaste « machin » au statut d'autorité administrative indépendante raclant tous les fonds de tiroirs des commissions et organismes (même totalement obsolètes) ayant de près ou de loin un rapport avec la télématique ou l'informatique. Le point le plus polémique de ce projet est la disparition de facto du principe même de corégulation et de concertation très ouverte via le statut d'autorité administrative indépendante dotée de pouvoirs de sanction (par exemple contre les cybermarchands indélicats). [[page]] L'année 2007 vue par le FDI a vu le « déclic » sur la protection des mineurs (lois réprimant la pédophilie en ligne, obligations de signalétique pour les sites destinés aux adultes...), l'invasion d'Internet par les débats électoraux (pas toujours de façon très pertinente ou très respectueuse des citoyens), et, bien sûr, le grand débat qui dure depuis le début des années 2000 sur la protection de la propriété littéraire et artistique mise en opposition avec la protection des droits des consommateurs et des libertés publiques (la loi DADVSI pourrait ainsi être complétée par une « loi Olivennes »). De ce dernier point de vue, 2007 a été l'année de l'émergence des offres légales de diffusion de contenus selon des modèles économiques très variés. Enfin, la question de la responsabilité des prestataires techniques revient sur le devant de la scène avec le « web 2.0 », une réforme de la LCEN (Loi sur la Confiance dans l'Economie Numérique) étant même envisagée. Les responsables de sites Web français ont hérité d'un bonnet d'âne en terme d'accessibilité aux handicapés. Si une loi rend cette accessibilité obligatoire sur les sites publics, il manque des décrets d'application pour que cette obligation soit effective. A la fin du mois de Juin, Eric Besson inaugurera la prochaine réunion de l'ICANN. Il y dévoilera la position de la France sur la question de la gouvernance d'Internet, notamment sur l'inféodation de cet organisme au gouvernement américain. (...)

(04/06/2008 16:21:35)

Le marché français des jeux en ligne s'ouvre à la concurrence

La France s'apprête à ouvrir partiellement ses jeux d'argent à la concurrence. Le gouvernement a présenté aujourd'hui, mercredi 4 juin, à Bruxelles, un dispositif d'ouverture progressive à la concurrence du marché des jeux d'argent en ligne. Selon l'AFP, le projet concerne les paris hippiques, sportifs et le poker, mais pas les machines à sous, ni les jeux de loterie. Une haute autorité de régulation des jeux indépendante sera créée pour délivrer les autorisations aux opérateurs étrangers et français, en respectant un cadre très strict. Une première étape expérimentale pourrait être lancée dès le second semestre 2009. Le ministère du Budget doit organiser vendredi 6 juin une conférence de presse sur le sujet. (...)

(04/06/2008 15:57:15)

Le CEO d'Unica dans les salles obscures aujourd'hui

Une aventure de jeunesse du cofondateur et patron d'Unica sort aujourd'hui dans les salles. Le film « Las Vegas 21 » raconte en effet comment un professeur (incarné par Kevin Spacey) et des étudiants du MIT (Massachusetts Institute of Technology) ont mis à profit leurs connaissances en mathématiques et en statistiques pour écumer les tables de Black Jack des casinos de Las Vegas. Parmi ces étudiants figurait Yuchun Lee, aujourd'hui CEO de l'éditeur de logiciels Unica. Unica, qui réalise un peu plus de 100 M$ de CA annuel, propose justement des programmes d'analyse statistique. Mais cette fois à destination des professionnels du marketing. (...)

(04/06/2008 12:25:12)

L'Europe investit plus de 11 Md€ par an dans la publicité en ligne

La publicité en ligne attire de plus en plus d'annonceurs sur le continent européen : l'année dernière, les dépenses publicitaires sur Internet ont bondi de 40%, à 11,2 Md€ en Europe, selon une étude publiée par l'Interactive Advertising Bureau (IAB), et analysée par le cabinet PricewaterhouseCoopers (PwC). Ainsi, le Vieux Continent paraît prêt à combler le retard pris sur les Etats-Unis qui affichait une progression de 26% à 14,5 Md€ au cours de la même année 2007. La France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne représentent les deux tiers des budgets publicitaires. Mais c'est sur des marchés de moindre importance que la croissance a atteint des niveaux inégalés : + 91% en Grèce, + 55% en Espagne et + 49% en Slovénie. Les secteurs investissant le plus dans le média Internet sont, par ordre d'importance, l'industrie du divertissement et des loisirs, les télécoms, la finance et l'assurance. Au sein du premier secteur, les investissements publicitaires les plus importants ont bénéficié aux réseaux sociaux : les annonceurs des incontournables Facebook ou MySpace n'hésitent pas à dépenser lorsqu'il s'agit de promouvoir leurs produits et services auprès de centaines de millions d'internautes. (...)

(04/06/2008 11:40:40)

Un comité pour instaurer le haut débit sur toute la France (MàJ)

Députés, experts et conseillers techniques en tout genre vont plancher sur « la couverture en haut débit fixe et mobile de 100% de la population à l'horizon 2012 ». Dans le cadre des Assises du numérique, et suivant la volonté du président de la République d'assurer la connexion en haut débit de tous les Français, a été instauré hier un « comité pour la couverture numérique des territoires ». Ce comité a été mis sur pied conjointement par trois membres du gouvernement, Luc Chatel, secrétaire d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation, porte-parole du Gouvernement, Eric Besson, secrétaire d'Etat chargé de la Prospective, de l'Evaluation des Politiques publiques et du Développement de l'Economie numérique, et Hubert Falco, secrétaire d'Etat chargé de l'Aménagement du Territoire. Christian Paul et le président de l'Arcep invités au comité Parmi ce comité figurent plusieurs personnalités connues de ces colonnes, telles que Jean-Michel Hubert, président délégué du Conseil Stratégique des Technologies de l'Information (CSTI) et ancien président de l'ART (Autorité de régulation des télécoms, remplacée aujourd'hui par l'Arcep), Christian Paul, député de la Nièvre et vice-président de l'Assemblée des Régions de France (ARF), ou encore Paul Champsaur, président de l'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes). [[page]] Le rôle de ce comité sera de lancer « une concertation avec les représentants des collectivités territoriale et les parlementaires pour définir : - les priorités territoriales relatives à l'équipement numérique, - le rôle de chaque acteur public ou privé dans le déploiement des infrastructures, - les modèles économiques des projets contribuant à la couverture numérique du territoire national, - les modalités d'organisation de la solidarité entre les territoires. La mission de Coconut : assurer un pilotage au niveau de l'Etat Aucun calendrier n'a pour l'instant été défini en dehors de cet « horizon 2012 ». Néanmoins, Christian Paul nous a précisé que des auditions seraient menées d'ici à la mi-juillet, et qu'un premier rapport d'étape pourrait alors être rendu public. Instigateur, avec l'ARF, du projet de 27e région, réflexion sur les usages des TIC dans les collectivités publiques, Christian Paul explique avoir rejoint le comité « dans un souci de travail loyal pour le déploiement du très haut débit », et afin de participer à l'élaboration d'un plan national d'action. C'est pour l'heure la seule mission de ce que le député et son équipe ont rebaptisé Coconut (COmité pour la COuverture NUmérique des Territoires). « Il faut comprendre que le marché ne peut pas tout, explique Christian Paul. Au bout de deux ou trois ans, les capacités d'investissement des opérateurs se raréfient, et on se retrouve avec un taux de couverture trop faible. Il faut un pilote dans l'avion, de la même façon que cela s'est produit pour le déploiement du chemin de fer ou de la téléphonie fixe. L'Etat doit jouer un rôle de cohérence, de régulation et - même s'il ne le joue pas actuellement - de péréquation. » [[page]] Vous trouverez ci-dessous la liste des membres de ce comité (l'ordre et l'emphase sont du fait des cabinets ministériels).

MembreFonctions
Hubert FALCOSecrétaire d'Etat chargé de l'Aménagement du territoire
Vincent PIVETEAUDirecteur de Cabinet au Secrétariat d'Etat chargé de l'Aménagement du territoire
Brice SOCCOLDirecteur adjoint de Cabinet au Secrétariat d'Etat chargé de l'Aménagement du territoire
Fabrice ALVESConseiller technique chargé des nouvelles technologies de l'information
Luc CHATELSecrétaire d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation, Porte Parole du Gouvernement
Nicolas TOURÉConseiller technique Poste ' Télécommunication au Secrétariat d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation
Eric BESSONSecrétaire d'Etat chargé de la Prospective, de l'Evaluation des politiques publique et du Développement de l'économie numérique
Michel COMBOTConseiller à l'Economie numérique au Secrétariat d'Etat chargé de la Prospective, de l'Evaluation des politiques publiques et du développement de l'Economie numérique
Pierre HERISSONVice-Président de la Commission supérieure du service public des Postes et Télécommunications
Laure de la RAUDIEREDéputée et membre de la Commission supérieure du service public des Postes et Télécommunications
Jean GUYMembre, expert de la Commission supérieure du service public des Postes et Télécommunications
Christian PAULVice-Président de l'Assemblée des Régions de France
Véronique KLECKChargée des Technologies, de l'Information et de la Communication à l'Assemblée des Régions de France
Richard SOSPEDRAChargé de mission à l'Assemblée des Départements de France
Véronique PICARDChargée d'études au département administration et gestion communale de l'Association des Maires de France
Martial GABILLARDPrésident de l'Association des Villes et Collectivités pour les communications électroniques et l'Audiovisuel
Patrick VUITTONDélégué général de l'Association des Villes et Collectivités pour les communications électroniques et l'Audiovisuel
Paul CHAMPSAURPrésident de l'Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes
Gabrielle GAUTHEYMembre de l'Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes
Renaud CHAPELLEChef de l'Unité collectivités locales à l'Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes
Jean-Michel HUBERTPrésident délégué du Comité stratégique pour le numérique
Philippe BRAIDYDirecteur du Développement territorial et du réseau à la Caisse des Dépôts et Consignations
Edward JOSSADirecteur général de la Direction générale des Collectivités locales au Ministère de l'Intérieur
Marie-France BARTHETConseillère chargée de l'équipe Innovation/Compétitivité et du pôle TIC à la DIACT
Jerôme COUTANTResponsable du pôle TIC à la DIACT
Emmanuel GABLAChef de service du STSI à la Direction générale des Entreprises au Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi
Luc ROUSSEAUDirecteur général de la Direction générale des Entreprises au Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi
Jean-Marc DESSAPTChef de bureau à la Direction générale des Entreprises au Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi
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