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(11/04/2008 16:22:32)

Capgemini : direction et syndicats s'opposent encore

Retour à la case départ chez Capgemini ? Au lendemain des trois jours de discussion entre la direction et les organisations syndicales, rien n'a progressé, dénonce l'intersyndicale, qui appelle les salariés à se mobiliser de nouveau « pour tout mouvement de grève dans les semaines à venir ». Les revendications portent notamment sur une augmentation générale destinée à rattraper une perte du pouvoir d'achat depuis cinq ans. Un préalable que n'accepte par la direction de la SSII, qui a formulé d'autres propositions, dont certaines seront appliquées dès le mois prochain. L'intersyndicale dénonce « un simulacre
de négociation »
L'ampleur des mouvements du 28 mars et du 1er avril derniers avait décidé la direction à proposer trois jours de négociation, les 7, 8 et 9 avril. Dans leur communiqué daté du 10 avril, les représentants CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT et FO écrivent : « En fait la Direction nous a fourni des éléments destinés à préparer la NAO (Négociation Annuelle Obligatoire sur les salaires) pour fin 2008. [...] Devant l'intransigeance de la Direction, l'Intersyndicale n'a eu d'autre recours que d'interrompre ce simulacre de négociation, en revenant vers les salariés dans les Assemblées Générales qui vont se tenir à partir du jeudi 10 avril. » La direction de Capgemini ne voit pas les choses du même oeil. Philippe Tavernier, directeur général adjoint de Sogeti qui a mené les négociations avec les syndicats, reconnaît que certaines propositions relevaient bien des NAO. Toutefois, pour lui, « il ne s'agit absolument pas d'un simulacre de négociations. Nous avons proposé ces journées pleines et entières dès le 31 mars, et la réunion s'est bien tenue sur les trois jours. » Autre élément mis en avant par Philippe Tavernier, la direction a apporté « une dizaine de propositions qui relèvent directement ou indirectement des rémunérations et de l'évolution du coût de la vie. » Capgemini juge une augmentation générale « pas réaliste » Malgré cette apparente volonté de dialogue, les négociations ont achoppé sur la principale demande de l'intersyndicale. Les représentants des salariés réclament en effet une augmentation générale qui rattrapera la perte du pouvoir d'achat depuis cinq ans, un accord salarial pérenne, une revalorisation des frais professionnels et une refonte complète du système d'évaluation des salariés. La direction estime de son côté que « vouloir augmenter de 1 500 euros tout salaire inférieur à 50 000 euros ne constitue pas une revendication réaliste ». D'une part, parce que « les syndicats prennent en compte les résultats opérationnels du groupe dans son ensemble, et non les résultats en France ». Or, explique Philippe Tavernier, « le taux de rentabilité en France est un des plus faibles dans le groupe ». D'autre part, parce que Capgemini juge sa politique salariale équilibrée, des mesures existant déjà pour assurer des augmentations, notamment aux salaires les moins élevés. [[page]] Philippe Tavernier rappelle ainsi que le salaire moyen des quelque 21 000 salariés était de 39 462 E en 2007, et de 42 758 E si on ne prend en compte que la population des cadres, soit près de 16 000 personnes. Les augmentations de salaire se font de façon individualisée, « au regard de la performance et du potentiel ». Au total cette année, selon Capgemini, « à effectif constant l'augmentation de la masse salariale se monte à 2,8 % ». « En 2007, souligne encore Philippe Tavernier, 19,3 ME ont été consacrés à la performance collective des unités au travers de la participation (contre 12 ME en 2006). » Enfin, dit-il, des « mesures-filets ont été signées en 2006 avec quatre des cinq organisations de l'intersyndicale dans le cadre d'un accord courant jusqu'en 2010 ». Elles prévoient une augmentation automatique de 1,5% pour les gens touchant moins de 42 834 E et qui n'auraient pas été augmentés les trois dernières années, ainsi que 500 euros par an d'indemnité forfaitaire pour les 2% des gens de chaque branche touchant moins de 32 000 E. Capgemini propose des mesures de revalorisation applicables dès le 1er mai « Afin de concrétiser le dialogue », fait valoir Philippe Tavernier, Capgemini a proposé lors de ces trois jours de négociations de revoir à la hausse ces mesures de l'accord signé en 2006 ainsi que d'autres compléments de rémunération. Ainsi, ce sont 4% des salaires les plus bas qui seront concernés par l'augmentation de 500 euros par an, et le délai au-delà duquel la revalorisation devient automatique est raccourci de 3 à 2 ans. « Ces mesures qui touchent l'ensemble des collaborateurs de Capgemini seront appliquées dès le 1er mai », fait observer le directeur général adjoint de Sogeti. De même que trois autres mesures : la valeur faciale du ticket restaurant sera portée de 7 à 8 euros, « sachant que la participation patronale est de 60% » (le salarié y étant donc de sa poche aussi, remarque l'intersyndicale) ; le remboursement des indemnités kilométriques gagnera 3% (ce qui est calqué sur le barème du Fisc, dénonce là aussi l'intersyndicale) ; et les forfaits pour les frais de déplacement des non-cadres seront valorisés de 2%. La direction a communiqué ces décisions hier aux collaborateurs du groupe. Et fait savoir aux organisations syndicales qu'elle avait d'autres propositions dont elle entend discuter la mise en oeuvre. De nouvelles assemblées générales décideront si l'intersyndicale doit accepter ou s'en tenir à son préalable. (...)

(10/04/2008 13:01:08)

39 390 postes de cadres et ingénieurs informatiques ouverts en 2008

Pour sa septième édition, l'enquête BMO (besoins en main d'oeuvre) réalisée par l'Unédic a dénombré 39 390 projets de recrutement d'ingénieurs et cadres dans l'informatique en 2008, sur un total de 1 298 142. Cette catégorie professionnelle se classe en 6ème position des métiers rassemblant le plus d'intentions d'embauches, derrière l'hôtellerie, les agents d'entretien, les animateurs sociaux culturels, les caissiers et les employés de maison. Chaque groupe se divise en deux catégories - effectifs permanents et activité saisonnière. Pour les cinq premiers groupes, ce sont surtout les embauches saisonnières qui tirent les chiffres vers le haut, alors que pour l'informatique, elles restent anecdotiques (352 à peine, soit 0,9%, contre 25% en moyenne). L'étude souligne par ailleurs que la demande de personnel qualifié est à la hausse, mais difficile à contenter. 62,8% des ingénieurs et cadres de l'informatique sont difficiles à recruter, contre 56% l'an dernier. Des disparités géographiques sont également signalées. Les difficultés de recrutement concernent essentiellement l'Ile-de-France, qui réunit à elle seule deux tiers des intentions d'embauche. Le Munci, association des professionnels informaticiens, met toutefois en garde contre l'optimisme affiché de cette étude, et ce pour trois raisons. D'une part à cause du turn-over en constante progression, notamment dans les SSII. Il ne s'agirait donc pas de véritables créations d'emploi, mais de remplacement de postes régulièrement vacants. Le Munci pointe également du doigt les critères de recrutement, qui sont de plus en plus exigeants, à la fois en termes de formation, de salaire et d'âge (toujours plus jeunes, blindés de diplômes mais sous-payés), d'où les difficultés à dénicher la perle rare. Le Munci relève enfin que l'enquête a été soumise à plus de 1,5 million d'établissements affiliés à l'assurance-chômage, mais n'a obtenu que 355 174 réponses (soit 23,3%)... ce qui peut statistiquement sembler peu fiable. L'enquête Besoins en main-d'oeuvre (BMO) est une initiative de l'Unédic, réalisée auprès de 30 institutions de l'Assurance chômage (Assédic et Garp) et le concours du Crédoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie). (...)

(09/04/2008 15:55:15)

EDS a racheté une SSII britannique spécialisée sur la sécurité

La SSII américaine EDS vient d'acquérir la Britannique Vistorm Holdings, société de services spécialisée dans l'administration de la sécurité informatique et la protection de l'information. Le montant de la transaction n'a pas été précisé. Vistorm gardera son autonomie et sera dirigée par son équipe actuelle. Cette société créée en 1991 emploie 220 personnes outre-Manche et réalise un chiffre d'affaires d'environ 100 M$. EDS a indiqué qu'il fusionnerait ses ressources investies dans la sécurité au Royaume-Uni avec celles de cette nouvelle entité. L'Américain regroupera ainsi 400 personnes pour couvrir la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) sur un marché de la sécurité qu'il juge « stratégique et prioritaire » pour lui à l'échelle mondiale. En 2007, EDS a réalisé un chiffre d'affaires de 22,13 Md$ en 2007. Elle emploie 138 000 personnes dans le monde. (...)

(09/04/2008 09:24:52)

Annuels Smile : le CA a doublé et l'offre s'est étoffée

Résultats 2007 Chiffre d'affaires : 14,24 M€ (+57,8%) Résultat net : 576 307 € (+38,6%) L'intégrateur de solutions en Open Source Smile a publié des résultats supérieurs à ses prévisions : le chiffre d'affaire a plus que doublé, pour atteindre les 14,24 M€, le résultat net est également en progression à 576 307 € (+38,6%) et la marge opérationnelle s'affiche à 8% (contre 7,1% un an plus tôt). L'actualité de Smile a été marquée cette année par deux acquisitions : la Web agency E-dition en juillet, puisle cabinet de conseil Ingénieurs et Consultants en novembre. Smile a également créé en décembre un Observatoire du Web. Totalement gratuit, cet outil de monitoring permet de placer des sites sous surveillance, afin d'en suivre les performances (temps d'affichage de la page, disponibilité du site, technologie utilisée...). Côté services et produits, l'offre de Smile s'est élargie, avec le lancement de nouvelles gammes d'outils système, de virtualisation, de GED (gestion électronique de documents) ainsi que d'une entité baptisée Agence Media Interactive (e-marketing, conseil éditorial, hébergement de données...). Smile compte 329 clients, soit 101 de plus qu'en 2006. La SSII a également étendu sa couverture nationale en ouvrant trois agences, à Lyon, Nantes et Bordeaux. Elle est déjà implantée à Paris et Montpellier. Smile compte 220 collaborateurs. Pour 2008, la société vise un chiffre d'affaires de 21,3 M€ pour une marge opérationnelle stable, à 8%. (...)

(08/04/2008 16:22:34)

Annuels Niji : chiffre d'affaires en hausse de 25%

Niji, société de conseil, d'ingénierie et d'intégration des technologies de la convergence, a publié des résultats conformes à ses attentes. La SSII a réalisé un chiffre d'affaires de 20,2 M€, contre 16 M€ un an plus tôt, soit une hausse de plus de 25%. Le résultat opérationnel courant s'établit à 1,8 M€ (+60%) et le bénéfice net à 0,9 M€ (+40%), pour une marge nette de 4,5%. En 2007, Niji a diversifié sa clientèle (historiquement, il s'agit des opérateurs télécoms et des grands compte) en s'adressant également aux organismes publics et aux collectivités locales. Ce changement de stratégie lui a permis de gagner vingt clients. Créée en 2001, la SSII est présente à Rennes, Paris et Lille. Elle a embauché 80 personnes en 2007, ce qui porte ses effectifs à 270 collaborateurs, et compte intensifier sa politique de recrutement. Elle recherche 100 consultants, ingénieurs et experts réseaux et télécommunications. Pour 2008, la société table également sur une croissance de son chiffre d'affaires de 25%. (...)

(08/04/2008 13:03:14)

Trois grands candidats pour le projet informatique de l'AP-HP

Le deuxième appel d'offres lancé par l'AP-HP (Assistance publique et Hôpitaux de Paris), dans le cadre de la mise en oeuvre d'un outil informatique commun à 43 sites, a déjà reçu plusieurs candidatures, selon nos confrères Les Echos. Ce projet, qui serait le plus coûteux jamais réalisé dans le milieu hospitalier français, s'articule autour de la création du « dossier patient unique » (centralisation des données santé du patient : ordonnances, résultats médicaux...). Toujours selon Les Echos, trois grands postulants se pressent au portillon : Capgemini-Agfa, Cerner-IBM et Atos Origin. Le projet avait été attribué en avril 2007 à Thales, GE (General Electric) et Medasys (éditeur de logiciels médicaux), en raison du prix proposé (75 M€), un coût relativement bas par rapport aux sociétés concurrentes. En décembre dernier, l'AP-HP s'est finalement rétractée, arguant que son partenaire ne tenait pas ses promesses en termes de délais et de « concrétisation de sa proposition ». Le cahier des charges n'a pas bougé. Il s'agit de réaliser un « système intégré et communicant pour permettre en 2009 la mise en place du serveur d'identité unique AP-HP et, à partir de 2010, le déploiement sur trois ans du nouveau système d'information patient », selon un communiqué de l'AP-HP. Les tarifs proposés par les prestataires ont sensiblement varié quant à eux. Les Echos mentionnent des contrats compris entre 90 et 100 M€ pour les consortiums Cerner-IBM et Agfa-Capgemini, et 70 M€ pour l'offre en Open Source d'Atos Origin. L'AP-HP précise par ailleurs que la notification officielle du marché est prévue courant juin. (...)

(07/04/2008 14:52:13)

Après des résultats dans le rouge, Team Partners change son état-major

Révisez vos fichiers ! Annoncée le 14 février dernier, l'arrivée de Mohamed Bouighamedane comme Pdg de Team Partners Group est confirmée depuis l'Assemblée générale du 3 avril. Il a remplacé Patrick Puy, nommé en octobre 2006 pour succéder à Gérard Guyodo. Le directeur général délégué, Gérard de la Horie, également nommé au mois d'octobre dernier est en revanche confirmé dans ses fonctions. Il est chargé des parties financières et juridiques du plan de redressement, notamment de la rénégociation en cours de la dette sociale. Un deuxième directeur général entre en scène depuis le 3 avril pour reprendre en main le commercial : Denis Marsault. Enfin, le directeur financier arrivé au mois d'octobre dernier, Jean-François Busnel cède sa place ce vendredi soir à Hervé Pagasani. Il y avait urgence. Les difficultés viennent du rachat de la société Datem, au mois d'octobre 2006. Spécialisée dans la gestion d'abonnements pour la presse, elle est profondément restructurée (50 départs sur les 120 postes supprimés dans le groupe). Une dépréciation pour écarts d'acquisition est d'ailleurs annoncée de 15 M€. Team Partners Group est engagé dans un plan de restructuration comprenant : une réduction des coûts de fonctionnement, la renégociation de la dette, une augmentation de capital, le renforcement du top management. Le redressement prendra effet en 2009. En terme opérationnel, les activités du groupe sont désormais organisées en deux business unit : l'une correspond à Datem, l'autre concerne l'activité SSII à l'intérieur même de Team Partners Group. Celle-ci regroupe l'infogérance applicative, la gestion documentaire, la supply chain, le management de parcs informatiques. (...)

(03/04/2008 18:03:09)

Annuels ITS Group : +41% sur fond de campagne de recrutement

La société ITS Group, spécialisée dans le conseil et la gestion des infrastructures informatiques, affiche des résultats financiers en forte progression. Son chiffre d'affaires 2007 atteint les 50,3 M€, en hausse de 41% par rapport à l'an dernier. Le résultat net s'établit à 2,7 M€ (+40%) et la marge opérationnelle courante à 8,4%. La SSII, qui fête ses dix ans, vise les 100 M€ de chiffre d'affaires en 2011, avec une marge opérationnelle de 10%. Dans un plan baptisé Trajectoire 2011, elle détaille ses axes stratégiques : se développer en région (elle compte des agences à Paris, Nantes, Lyon, Lille, Laval) et renforcer son pôle conseil dans les projets d'infrastructures et d'infogérance pour les PME, notamment en s'appuyant sur iMedia, une société rachetée en janvier dernier. 214 recrutements en 2007, 250 prévus en 2008 ITS Group, qui emploie actuellement 600 salariés en France et en Suisse, compte par ailleurs intensifier sa politique de recrutement. Après avoir embauché 214 personnes en 2007, elle recherche 250 collaborateurs de plus cette année. Les profils sollicités : chefs et directeurs de projets techniques, spécialistes Unix (système et exploitation), des ingénieurs systèmes Microsoft, développeurs Java/J2EE et .Net. Des postes de directeur de projets sont également à pourvoir. ITS Group organise d'ailleurs la deuxième édition de ses « rencontres recrutement », le 10 avril prochain. (...)

(02/04/2008 13:07:54)

Telindus ouvre une centaine de postes en sécurité, réseaux et communications unifiées

Telindus Belgacom ICT, intégrateur spécialisé dans les réseaux et la sécurité, annonce pour l'année en cours, un plan de recrutement similaire à celui lancé il y a un an à peine. Après avoir embauché 130 nouveaux collaborateurs en 2007, en Ile-de-France et en régions, l'intégrateur poursuit sur sa lancée en annonçant l'ouverture d'une centaine de postes supplémentaires d'ici la fin de l'année. Les offres sont à pourvoir dans les domaines liés à la sécurité, aux réseaux, aux communications unifiées et à la vidéo-protection. Il s'agit d'ingénieurs avant-vente, de consultants, de techniciens et ingénieurs support et réalisation, et de directeurs de projet. «Nous devons faire face à l'évolution de nos effectifs, pour répondre à un besoin permanent d'expertises complémentaires sur un marché tendu », a commenté Fabienne Guillou, directrice des ressources humaines de Telindus. Des partenariats avec les écoles d'ingénieurs télécoms Pour accompagner ses recrutements, Telindus compte sur le soutien de grandes écoles d'ingénieurs, comme Telecom Sud Paris (ex INT), l'Esigetel, l'Epita, Télécom Lille ou encore l'Insa. Dans le cadre de ces partenariats, l'équipe RH est régulièrement sollicitée pour des simulations d'entretiens et du coaching de positionnement individuel auprès des futurs jeunes diplômés. Le fournisseur dispense aussi des formations auprès de ces écoles partenaires sur des technologies de pointe telles que les communications unifiées ou la sécurité. (...)

(02/04/2008 12:54:22)

Annuels Akka : les deux dernières acquisitions boostent le chiffre d'affaires

Akka Technologies, spécialisé dans le conseil et l'intégration de solutions, publie des résultats annuels supérieurs à ses prévisions. Le chiffre d'affaires s'établit à 236 M€, en hausse de 47% (dont 12% réalisé à l'international). Le résultat opérationnel courant atteint 15,1 M€, en progression de 24%. En intégrant les deux acquisitions réalisées au court de l'exercice fiscal (la division ingénierie de Comau France en juin puis Coframi en novembre dernier), le chiffre d'affaires pro forma s'envole à 353 M€. Ces deux rachats ont permis à la SSII lyonnaise de changer de dimension stratégique et géographique. Avec Coframi, Akka Technologies a mis un pied dans la région Midi-Pyrénées, s'est doté d'une équipe de 2000 collaborateurs spécialisés dans l'informatique industrielle, l'électronique et les systèmes d'information, mais a également consolidé son expertise dans des secteurs comme l'aéronautique et les transports. L'acquisition de la branche ingénierie de Comau France (18 M€, 250 salariés) lui a parallèlement permis de renforcer sa présence dans le secteur de l'automobile. Akka Technologies emploie actuellement 5100 personnes dans le monde (soit 1000 de plus que l'an dernier) et souhaite intensifier sa politique de recrutement en 2008, avec 1500 embauches. (...)

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